Paule

J’attends que le docteur me reçoive. Ca traine en longueur, à croire que toute les habitants de la ville sont malades. Comme tout le monde je feuillète les revues sur les « peoples » qui m’intéresse à un point impossible à imaginer. Que m’importe que Machins soit avec Unetelle ?
Je pense à mon chéri avec qui nous avons des rapports toujours forts, dignes de certaines statues de temples indiens. Je sort mon portable et lui envoi des messages de promesses enflammées, style, en langage normal de « nous baiserons, je te sucerai, tu me sucera, je te mettrai des doigts dans le cul etc.……
Le plus excitant est que je reçois les réponses aussi chaudes. C’est tout juste s’il ne me dit pas qu’il va me la mettre. Il me fixe même rendez-vous à 17 heures dans un hôtel, il m’attendra à la réception. Depuis que nous sommes ensemble, c’est la première fois que nous irons rien que pour baiser dans un tel endroit.
Juste avant mon tour, je remarque que je n’ai pas envoyé de message à mon amour, je me suis trompée. C’est à ma meilleure amie Paule que j’ai déclarer que j’avais envie de son corps.
Il fallait que je m’explique, en tout cas pas par téléphone. J’avais gaffé, à moi de le réparer. J’irai au rendez-vous et lui expliquerai ce qui d’était passé. La connaissant comme je la connais, elle comprendre, à moins que……..
Justement ce à moins que était le problème. Je savais que dans le temps Julia aimais pas mal ses copines. Je devais avoir réveillé son vieux démon. Je suis sure qu’elle comprendra. Je n’arrête pas de penser à mon erreur. Et sans m’en douter, je commence à réviser mon jugement. Pourquoi refuser si elle me demande d’aller avec elle dans une chambre, je pourrai savoir au moins ce qu’elle me fera, si c’est agréable ou non. Bref, je suis prête à tromper mon chéri. Je ne sais ce qu’il va dire quand je le lui raconterai.
Je pousse même le problème au bout, pour être initiée totalement et rapidement je quitte mes sous vêtements.

Je me sens bizarre avec l’air frais sur ma chatte. Je suis décidée: je vais la voir, je vais lui faire ce que je lui ai proposé.
Je vois Paule dès l’entrée. Elle me semble habillée normalement. Elle m’embrasse sur les joues, comme d’habitude:
- Merci de tes messages !
- Mais de rien.
- En tout cas c’est gentil de ta part, tu t’es enfin souvenue de ce que j’aimais avant: tu as réveillé ce que j’ai au fond de moi.
- Tu me le montrera.
- Montons, j’ai les clés, j’ai payé la chambre. J’espère qu’elle te plaira.
Il faudrait être difficile pour que la chambre ne me plaise pas: grand luxe, mini bar à volonté, salle de bain, très grand lit, balcon presque aussi grand que la chambre d’où on peut voir un magnifique panorama sans être vue de dehors.
Nous allons dans la chambre proprement dite. Nous nous arrêtons avant le lit, elle se tourne vers moi et m’embrasse sur la bouche. Je suis embarrassée quand sa langue force ma bouche. Je la laisse faire ce qu’elle veut. Ce que je pouvait dire à cet instant est qu’elle embrassait fort bien, trop bien même puisque je la laisse faire. Il faut que je lui dise:
- Tu sais c’est ma première fois.
- Tant mieux, je t’apprendrai tout.
- Si nous buvions une coupe de champagne pour nous mettre en forme?
- Bien sur.
Après le champagne, elle commence aussitôt à me montrer le chemin vers des plaisirs nouveaux. Paule s’aperçoit très vite que je n’ai pas de soutif. Elle en profite pour passer une main sous mon top boléro. Un sein est vite dans sa main. Elle le caresse avec habileté, trop sans doute, j’aime ce qu’elle me fait, comme j’aime quand elle enlève le top pour me sucer les mamelons. Je ne bouge pas tellement je mouille. Je suis torse nue devant ma meilleure amie: elle va penser, je ne sais pas ce qu’elle va penser. Moi je ne pense qu’à la suite. Maintenant qu’elle m’a entrainer, je ne voudrais surtout pas qu’elle arrête.
Elle garde sa bouche sur mes seins, et lentement, passe sa main sur mon ventre.
Plus elle descend, plus j’ai envie de……je ne sais pas encore, j’en ai envie en tout cas. Mon ventre réclame sa main sur ma chatte. Elle remonte un peu ma jupe écossaise, passe sa main dessous pour me caresser les cuisses, plus exactement entre les cuisses que j’écarte.
Paule s’y prend bien mieux qu’un homme. Elle monte très lentement, trop, même. Je meurs d’envie que sa main soit sur ma moule.
Qu’elle bonne idée de n’avoir pas de slip. Au moins elle ne cherche pas une façon de venir sur ma chatte: elle y est déjà. Je sens ses doigts sur le haut de mon sexe, juste là où j’ai le clitoris. Elle tire un peu les lèvres pour faire bander mon bouton. Enfin elle passe aux chose sérieuses: elle me caresse avec trois doigts. C’est comme si elle avait le pouvoir de me faire jouir plus vite, ce qui ne manque pas.
Elle m’embrasse encore pendant toute la durée de l’orgasme.
Quand j’ai fini de jouir, Paule me déshabille rapidement et en fait de même pour elle. Je regarde ce corps féminin que je trouve beau comme une déesse grecque. Une déesse de l’amour physique entre femme.
J’ai soudain envie d’elle, en envie que je ne connais jusqu’à aujourd’hui que pour les hommes.
Nous sommes couchées, elle m’embrasse encore et toujours. Ses lèvres sont douces, comme sa langue. J’apprécie ses baisers. Elle est sur le coté, une main sur ma chatte: elle me doigte avec habileté. Je pense qu’elle a entré deux doigts dans le vagin. Elles les fait aller et venir. Je suis sur le point de partir dans les limbes quand elle ne me caresse qu’une toute petite partie du vagin: elle est sur le point qui me fait toujours jouir sans fin. Elle me frotte doucement, lentement, sans forcer. Par contre les orgasme s’enchaînent: je suis obligée de lui demander d’arrêter.
Paule me demande de la branler, comme promis. Je me lance dans la recherche de son clitoris. Il est un peu plus gros que le mien. J’écarte ses lèvres et pose, comme pour moi un seul doigt. Je le fais glisser depuis la pulpe jusqu’à la fin du doigt.
Je redescend ensuite. J’espère qu’elle aime. Je l’embrasse sans qu’elle ne me le demande. C’est la première fois que JE l’embrasse. Ma langue n’a pas à chercher la sienne: elle est déjà prête. Je sens qu’elle jouit. Bravo, j’ai réussi.
Nous passons maintenant à un autre stade de mon éducation: elle pose sa tête sur mes cuisses. Je sais fort bien ce qu’elle cherche: j’y suis prête.
Quand sa langue prend contact avec mon bouton, je suis surprise de la différence avec mon ami: c’est bien plus doux et aussi efficace. Pour être plus à l’aise je passe mes jambes sur ses épaules.
Cette fois Paule est à mes pieds, sa langue fouille mon entrejambe. Fouiller est même faible. J’ai les yeux fermé pour profiter du plaisir que je commence à aimer fortement. J’aime quand sa langue vient dans mon vagin. J’aime quand en sortant de là, elle lèche le périnée jusqu’à l’anus. Certains estiment cette façon dégueulasse, alors que ce devrait être obligatoire avant chaque sodomie. Sa langue ne force pas du tout pour venir dans mon cul. Elle me sodomise parfaitement, même si elle ne va pas tellement profond. Je pars encore;
Je jouis depuis longtemps. Elle me demande de la baiser.
Je m’applique aussi avec ma langue et mes doigts, je suce son bouton dans ma bouche, j’entre ma langue dans son con. Je vais jusqu’à l’anus. Je m’apprête à entrer ma langue, je force un peu sans y arriver.
- Tant pis, mets moi trois doigts pour que ce soit aussi gros que la bite de mon mari.
- Tu aimes te faire mettre dans le cul ?
- J’aime tout en amour du moment que j’en jouis.
- Qu’est-ce que je suis pour toi ?
- Une amante que j’aimerai conserver.
- C’est bien vrai, pourtant je débute.
- Tu t’améliorera.
- Tu crois ?
- Bien sur, nous pourrions nous voir une fois par semaine.
- Si j’en parle à mon mec ?
- Nous ne nous révérions plus jamais, en tout cas au lit.
- Je n’en parlerai pas.
J’ai repris mes caresses linguales.
Je l’ai faite jouir plusieurs fois.
Nous avons fini par le fin du fin entre filles: en 69. J’ai profité de cette position en la suçant et en étant sucée. Quel autre plaisir que s’y ajouter les doigts dans le cul.
Je ne pensais jamais trouver ces plaisirs autres avec Paule, ou une autre fille.

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