La Femme Du Supermarché

Mon histoire commence comme ça. Après 6 mois de célibat, ponctués de petites aventures sans lendemain, je menais ma petite vie entre boulot et repos très largement mérité dans mon petit studio.
Je commençais à sérieusement m'ennuyer dans ma petite vie, un peu trop tranquille. De temps à autre, après une soirée arrosée chez des amis, je finissais dans le lit de copines consentantes, mais avec qui nous nous contentions de sexe sans saveur. En fait, je cherchais des aventures plus originales. J'avais déjà essayé le sexe entre hommes, et m'épanouissait désormais dans ma bisexualité. Mais mes fantasmes ne lorgnaient pas, en ce temps là, vers les hommes.

Ma petite vie de célibataires se déroulait sans encombre, sentimentalement parlant, mais je ne trouvais pas, sexuellement parlant, le ou la partenaire à la hauteur de mes fantasmes.

Je faisais régulièrement mes courses dans une petite supérette à 2 pas de mon appart'. Je dois vous avouer que je déteste faire les courses, je ne m'attarde que rarement, ce qui signifie surtout que j'oublie toujours des choses. Je dois donc y retourner souvent. A force, je croisais toujours les mêmes personnes: lycéen qui provisionnaient pour leur "casse dalle", retraités, et aussi (et surtout) une femme, la quarantaine, avec 2 s (une fille et un garçon à qui j'aurais donné environ 10 et 12ans).
Je trouvais un charme fou à cette femme, blonde, les yeux bleus, la peau claire 1m65 environ et de jolies formes (je lui donnais un 90C, bien que je n’aie pas ment le compas dans l'œil). On se croisait régulièrement vers 18h/18h30, à la sortie du boulot, épuisés tous les deux, à la différence, qu'elle était en lutte systématique avec ses s qui réclamaient bonbons et jouets. Avec le temps nous finissions par nous reconnaître. Compte tenu de la taille de la supérette, je supposais qu'elle était ma voisine à un pâté de maison prêt. Malgré mon attirance, je me contentais d'un sourire et d'un signe de tête, ce à quoi il finit rapidement par me répondre d'un joli sourire discret.

Ce fut la première étape de notre complicité.

J'avais vraiment eu un flash pour cette femme. Je la supposais douce même quand elle se montrait autoritaire avec ses rejetons. Je fantasmais sur ses fesses, ses seins, son cou, ses cuisses. Elle devait avoir un emploi de bureau, peut-être même des responsabilités, en témoignent les tailleurs strictes qu'elle portait, au demeurant, avec beaucoup de classe. Malgré la fatigue de chaque fin de journée, je la devinais coquette, sans jamais être vulgaire : un maquillage léger, de rares bijoux, j'avais d'ailleurs observé qu'elle ne portait pas d'alliance. J'en avais donc déduits, qu'elle vivait seule avec ses s. Cette constatation me donnait du baume au cœur, et un soir de décembre, alors qu'il faisait nuit noir dehors, je me risquais à une petite phrase d'abordage "Bonsoir chère camarade de course" accommodée de mon sourire le plus charmeur. Une fois passée la surprise de voir cet inconnu lui adresser la parole, et rompre l'accord tacite des "camarades de courses", elle me répondit d'un sourire courtois, quoique dénué de la complicité à laquelle j'avais rêvé. Terrassé par la timidité, je m'éclipsais.

En repensant à cette incartade à mon code de conduite, je fus pris d'une certaine honte. Je choisis même d'aller faire mes courses plus loin pour ne plus la croiser. Cette perte de temps ne dura qu'un temps, il fallu me résoudre à retourner à la supérette. Le premier jour je croisais effectivement mon aimable complice, qui me fit comprendre cette fois ci que j'avais eu tort de céder à ma timidité.

Nous nous rencontrâmes donc des mois durant. Elle habitait toujours mes fantasmes, et me plaisait toujours autant. Lorsque les beaux jours revinrent, ses tenues plus légères faisaient monter en moi une inévitable excitation, ce qui se traduisait souvent par une légère bosse à mon jean.
Un samedi, alors que le repas auquel j'avais été convié avait été annulé, je filais faire une course rapide avant de me plonger dans une passionnante soirée dvd - plateau repas.
Alors que, désœuvré, j’errais dans les rayons à la recherche d'un mets qui ouvrirait mon appétit, je croisais ma complice, celle qui partageait mes rêves érotiques depuis un an déjà. Elle m'apparut sous un angle nouveau, elle était habillée de manière plus légère et décontractée, un jean et débardeur blanc. Elle respirait une certaine fraîcheur, elle semblait plus reposée, et sentais un parfum subtil mais léger. Je m'aperçus soudain qu'elle n'avait pas ses s avec elle.

"Tiens vous n'avez pas vos s avec vous?" observais-je en passant dans le rayon, le sourire aux lèvres.
"Non ils sont chez leur père" puis elle rougit, et timidement
"Est-ce que vous pourriez me rendre un service? Je suis trop petite pour attr les boites la haut"

Je m'aperçus alors qu'elle tentait d'attr une conserve "régime". Je profitais de mes 10 cm d'avantage sur elle pour lui rendre ce service (qui ne me coutât rien, bien au contraire.
L'occasion étant trop belle, je pris mon courage à deux mains, et improvisa une parade, la conserve à la main.

"Vous n'allez quand même pas manger ça..."
Pris au dépourvue, peut-être un peu vexé par ma réflexion, elle me répondit
"J’ai quelques kilos à perdre pour l'été"
"Mais non, n'importe quoi, je vous trouve très bien." puis seul dans mon bateau
"Bon, voila ce que je vous propose, je vous invite à manger, depuis le temps qu'on se connaît, vous ne pouvez pas me refuser ça..."

Je tenais toujours la boîte en main, puis la lui tendis, comprenant à ce moment là qu'elle n'avait plus de raisons de rester avec moi. Elle hésita, les rouges roses, n'osant pas refuser. J'avais du y aller un peu fort, je me sentis gêné à mon tour. Nous restâmes quelques minutes en silence, les yeux baissés.
Puis elle prit sur elle de rompre le malaise:

"Ho et puis merde pourquoi pas.. Vous me faîtes quoi à manger"
"On à tout ce qu'il faut ici, choisissons"

Nous arrivâmes donc dans mon studio.
Le temps d'effec ces quelques emplettes, puis de me lancer dans la difficile réalisation d'une omelette accompagnée de salade verte, nous fîmes connaissance. Elle s'appelait Catherine, était divorcée depuis 5 ans, et abandonnait ses rejetons tous les weekends au père légitime. Elle avait le poste que je lui devinais dans une grosse entreprise de la région, semblait bien gagner sa vie.. L'échange de banalité m'avait au moins permis de prendre la dimension du personnage: féminine, ouverte, avec de l'humour. Elle avait trouvé touchant ma démarche, et aussi désœuvrée que moi, elle s'était lancée dans l'aventure. Je ne lui inspirais pas vraiment de méfiance, peut-être que mes 25 ans n'inspirait pas la peur... Quant à son âge, je le laissais à sa discrétion, mais mes soupçons semblaient se confirmer.
Nous nous racontâmes nos vies respectives, le temps d'un repas trop rapide, elle en avait plus à raconter que moi. Elle semblait à l'aise, surement amusée par le manque de sérieux de la situation. Après tout, il était évident que je voulais en faire ma maîtresse, mon jeu n'était pas très bien caché, c'est elle qui avait toutes les cartes en main. Elle s'en rendit vite compte, et le vin aidant, elle prit la situation en main.

"Tu n'as pas de copine?"
"Non hélas.. pas en ce moment.. "
"Ca doit être dur à ton âge d'être tout seul"
"Mais non, j'ai mon chat, et puis je drague dans les supermarchés."

Elle a sourit, puis changea d'attitude, et l'air surprise

"Et je te plaît moi? Je suis un peu vieille pour toi non ? Tu pourrais t'en trouver de ton âge quand même..."
"Oui tu me plaîs, je dois te plaire aussi, sinon tu ne serais pas venu avec moi"

Pour seule réponse, elle sourit à nouveau, se resservit un verre de vin, se leva et vint vers moi. Elle me tendit la main, et me tira vers elle, puis se fit tomber dans le canapé en riant. Elle détacha ses cheveux, bu du vin, posa son verre et jeta sa tête en arrière.

Elle était vraiment belle comme ça, je lui trouvais plus que jamais ce charme naturel qui m'avait fondre. Quoique là, son attitude me faisait plutôt bander..

"Viens"

Je me mis au dessus d'elle, et commença à l'embrasser.. Le cou, les épaules, le front, ses lèvres. Lorsque nos bouches se rejoignirent, elle se laissa aller et soupira...
Elle tendit le cou, je descendais les caresses jusque dans le creux de ses seins que j'embrassais au travers du débardeur. Je devinais ses tétons qui pointaient, mais voulait prendre son temps. Elle enleva son débardeur, puis me fit enlever son jean. La surprise fut de découvrir un joli débardeur bleu ciel. Elle rougit de son corps et tenta de dissimuler pudiquement ses seins et son joli shorty. Je relevais ses bras derrière sa tête, et dans un dernier signe de résignation, elle les laissa tomber en arrière avec sa tête. Elle s'abandonna, et me laisse découvrir son corps qui n'avait absolument rien à envier aux plus belles de mes conquêtes. Mes caresses se firent alors plus insistantes, ma main descendit à son entre jambe, elle écarta doucement les cuisses, me faisant découvrir un petit tatouage coquin dans l'intérieur de l'une de ses cuisses. Je risqua ma main dans sa culotte, puis l'enleva. Elle dégrafa son soutien gorge et se retrouva nue, ce qui sembla la contrarier. Elle m'ordonna d'une voix ferme de me mettre dans le même état, puis sourit à nouveau quand elle vit que je m'exécutais immédiatement.

Je commençais à insister sur son sexe, elle avait le ticket de métro règlementaire, de couleur assez claire, presque aussi blond que ses cheveux. Mes caresses se firent plus pressantes, et mes doigts écartèrent ses lèvres toute fines. Lorsque je fis glisser mon index plus profondément entre ses lèvres, elle soupira et ferma yeux. Je relevais, un large sourire lorsque mon doigt glissa dans sa mouille. Elle écarta les jambes d'elle même, m'incitant tacitement à me jeter sur son con humide, et à la lécher. Elle ne poussa pas de cris poussifs, mais j'entendis clairement sa respiration changer. Je léchais son clitoris, le pinçais délicatement entre mes lèvres, l'aspirait, puis l'évitait quelques secondes avec des mouvements de langues circulaires le long de ses lèvres. Je reprenais à nouveau mon petit manège, elle fondait littéralement.
Sa respiration s'accélérait doucement. Ma salive se mélangeait à la cyprine pour former cette odeur unique de sexe qui me rendait fou. Je glissais un doigt dans son entrejambe, et très doucement, je le fis glisser du haut de son vagin jusqu'à la raie de fesses. Je pris ensuite le plus grand soin à la pénétrer doucement avec un doigt puis 2. Je jouais avec mes doits, et lui caressait toute l'entrejambe. Mon insistance sur sa raie des fesses la fit esquisser une petite moquerie inaudible, mais elle se tourna légèrement sur le côté pour m'en faciliter l'accès ...
Je me mis donc à lui masser légèrement l'anus, alors que l'autre main lui baisait le vagin. Mon doigt rentra en elle facilement, elle était complètement détendue, elle respirait en même temps que chaque va et vient, et très rapidement se contracta, et étouffa un cri entre ses dents. Elle m'ordonna de me retirer, elle était écarlate. Elle se releva brusquement laissant apparaître une grande trace de cyprine sur mon vieux canapé.

"Bon où sont les capotes!"
Pantois, je lui répondis "dans la petite table", elle ouvrit le tiroir et en prix une. Puis elle s'esclaffa "Tiens tiens .." et saisit un gode que l'on m'avait offert à un anniversaire pour meubler mon célibat. Cette blague d'anniversaire me gêna sur le moment, mais elle éclata de rire..
Elle se rassit sur le canapé, me fit me tenir debout devant elle, et s'appliqua à me rendre l'équivalent de mon câlin.

Elle commença par lécher mon sexe de bas en haut, à s'attarder sur les couilles, puis pris ma queue en bouche, qu'elle avait d'experte d'ailleurs. Elle entreprit une sacré pipe, peut-être l'une des meilleures. Elle mit beaucoup d'ardeur à la tâche, s'appliquant à en avaler le maximum de mon sexe dans le fond de sa gorge, jusqu'à un petit haut le cœur. Elle mit beaucoup de cœur à l'ouvrage, sa salive coulait abondement pour mon plus grand bonheur. Elle me caressait des 2 mains, me branlait avec douceur, avant de me re sucer de plus belle. J'avais peur d'exploser dans sa bouche, puis je sentis une autre sensation. J'ouvris les yeux, pour la voir appliquer mon armure avec ses lèvres. Elle me regardait avec des yeux très coquins qui me rendaient fou.
Elle me fit assoir sur le canapé, je sentais la mouille froide contre ma peau. Elle vint à cheval sur moi, nous nous enlaçâmes un petit moment. Elle prit le gode avec lequel elle se caressait la chatte, elle le glissait entre ses lèvres, je lui embrassais les seins. Puis elle prit ma queue, se cambra, et se laissa glisser doucement dessus. Inutile de dire qu'elle s'est empalée en toute facilité, et jusqu'à la garde. Je sentis mes couilles contre ses fesses. Elle ne bougea plus comme pour savourer l'instant. Je la sentais contracter son vagin, sa respiration s'accélérait encore. Je cru une seconde qu'elle allait jouir tout seule. Elle commença alors un lent va et vient. Je malaxais ses fesses, elle m'embrassait. Elle accéléra le va-et vient, nos corps étaient trempés, sa chatte coulait.

Elle me chevauchait de plus en plus vite, en me tenant les cheveux, les mains, puis je sentis la jouissance arriver, et en quelques coups de reins violents je jouis en elle. Nous restions tous les deux, dans le silence, pendant que je débandais en elle. Des jeunes fêtaient bruyamment quelque chose dans la rue. Elle se releva, les jambes un peu tremblantes, alluma 2 clopes et m'en tendit une. Nous étions épuisés.

"Où est ta douche?" me lança-t-elle d'un coup

Nous avons pris une douche rapide, brûlante, à se câliner tous les deux. Nous nous sommes endormis, puis avons refait l'amour au petit matin entre le café et les croissants, en levrette sur le clic-clac.

Nous nous revoyons de temps à autre, le week end, pour se donner l'un à l'autre.

Je suis curieux de connaître vos avis, cru ou romantique, court ou long, n'hésitez pas à m'écrire. A bientôt

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