Visite Au Dortoir Des Garçons.

C'était en fin d'année scolaire. Les excitations à l'arrivée des épreuves du bac, excitaient aussi les corps. J'étais pensionnaire et le dortoir des filles se trouvait à l'extrême opposé de celui des garçons. Avec Sandy ma copine, on décida de braver les dangers d'une surveillance accrue pour nous rendre dans le dortoir des garçons.
Nous savions que c'était les dernières occasions, car tout le monde allait se séparer pour nous diriger vers les facs dispersées dans toute la France.
On avait préparé notre coup et nous nous étions renseignées sur l'emplacement des piaules d’untel ou untel. Il était une heure du matin et en pyjama nous courrions pieds nus dans les couloirs en faisant bien attention de ne pas faire de bruit. A notre étonnement nous n'avons rencontré personne et tous les surveillants paraissaient dormir. Nous choisissions la piaule où nous avions décidé d'aller et avec d'infinies précautions je baissais la poignée de la porte qui couinait, puis je la poussais, je pénétrais dans la pièce, tout en tenant la poignée et suivie de très près par Sandy.
Après le passage de mon amie, je refermais la porte derrière elle en la tenant par la main. Nous restâmes un moment immobiles pour nous habi à la pénombre puis nous repérions le lit de chacun de nos camarades. Nous avions envie de rire, la situation était drôle... Après quelques minutes d'observation, Sandy repéra le lit de Damien, car ils étaient quatre dans la pièce, celui qu'elle espérait voir, et sur la pointe des pieds s'y dirigea. Quelques secondes après j'aperçus le visage angélique de Guillaume qui dormait la bouche légèrement entrouverte. Je me mis à quatre pattes et comme un animal m'approchait du lit de Guillaume. A ce moment là, j'entendis les petits chuchotements de Sandy et Damien. J'approchais mon visage de celui de Guillaume et commençais à lui déposer quelques baisers sur la joue et sur la bouche. Il se réveilla brusquement, me fixa puis pris mon visage et m'embrassa langoureusement.

J'étais super excitée, et pendant qu'il me léchait le visage, je passais ma main sous le drap dirigeant mon geste vers son entrejambe. Ma Main trouva aussitôt la fente du caleçon et s'y plongea pour trouver le sexe au repos de Guillaume. Il était chaud et flasque et je le tripotais comme un jouet, caressant les boules et leur peau fine. Mais rapidement son sexe pris forme, se dressa, et devint très dure. Je répondais à ses baisers tout en le caressant et en le branlant. J'avais décalotté son gland et passait le plat du pouce sur le méat d'où était sortit une goutte de jus. Je me dégageais de sa prise et glissais ma tête sous le drap. Tenant d'une main le sexe décalotté, j'entrepris de le lécher et de le gober pour le sucer. Que c'était bon et délicieux, son bassin allait et venait et sa tige glissait bien dans ma bouche pleine de salive. Sa main posée sur ma tête donnait le rythme qu'il souhaitait. Je jouais de la langue et des lèvres, engloutissais toute sa tige dans ma bouche, puis reprenais ma succion en lui caressant les boules et en le branlant. Mon geste allait à un rythme régulier quand soudain, Guillaume se cambra et je sentis plusieurs jets de sperme arriver dans ma bouche. J'avalais tout, au fur et à mesure, puis pinçant les lèvres pour bien rincer ce nectar. Sa queue reprit une dimension plus réduite peu à peu et je décidais de lâcher ma prise. Malgré l'étroitesse du lit, je me fis une place tout contre lui, ma tête sur son épaule. Nous restâmes comme ça, une bonne dizaine de minutes, puis la chaleur aidant, j'étouffais et enlevais le haut de mon pyjama et le glissa sous l'oreiller. Mes mamelons de mes seins encore tout dressés d'excitation se frottaient sur le corps chaud de Guillaume. Avec beaucoup de minutie il tira sur mon bas de pyjama et m'en débarrassa pour le pousser dans le fond du lit. Puis il commença à me caresser avec délicatesse, d'abord sur ma poitrine où chaque effleurement sur le mamelon me faisait bondir, puis tout en m'embrassant, sa main glissa ente mes cuisses chaudes que j'écartais.
Ses doigts caressèrent mon pubis puis descendirent entre mes lèvres suintantes de cyprine. Il plongea un doigt dans ma chatte accueillante, puis deux, qu'il agita peu à peu en glissant sur mon clitoris...
Un plaisir croissant monta en moi, j'allais jouir quand il s'arrêta soudainement et entreprit de venir sur moi. J'écartais largement les cuisses et pris son sexe pour le poser à l'entrée de mon vagin. D'un coup de rein, il me pénétra et s'enfonça en moi. Que c'était bon, ce corps étranger dans mon ventre, ce sexe que je ne connaissais pas une demi-heure plus tôt et qui me pilonnait les entrailles avec frénésie. Mes mains étaient posées sur ses fesses lisses et je l'attirais à chaque pilonnage pour qu'il aille encore plus profond en moi. Dans la fièvre de nos ébats, je vis le visage de notre voisin qui nous matait et se branlait. Je lâchais une fesse et lançais une main qui était vers lui. Il se leva, plaça sa bite tendue dans ma main et pendant que Guillaume me martelait le vagin, je branlais cette autre bite inconnue. C'est Guillaume qui éjacula le premier, me remplissant le ventre, puis le voisin trop excité le suivit et lâcha un flot de sperme qui gicla sur les fesses de Guillaume et sur ma main. Cette main caressa ce membre étalant le reste du jus sur toute la tige, il se laissait faire. Puis, commençant à ramollir, il se dégagea et se remit dans son lit.
Guillaume se remit à côté de moi et m'étreignit fortement pour me remercier du plaisir que je lui avais procuré. Je récupérais mon pantalon de pyjama dans le fond du lit et il en profita pour me caresser les fesses, puis je récupérais mon haut sous l'oreiller et l'enfila. Je fis signe à Sandy pour lui donner le signal de départ et nous quittâmes la chambre de nos amants sur la pointe des pieds comme nous étions arrivées, heureuses des plaisirs pris subrepticement.

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