Ma Femme Exhibée Se Donne

Je n'avais pas envie d'aller ce jour là au faubourg st. Antoine faire les boutiques à la recherche d'une bibliothèque. Il faut dire que j'étais agacé par Chantal. Elle m'avait contrarié la veille au soir sans que ce soit vraiment de sa faute. Toujours est-il que toute la matinée je l'ai passée à bougonner. Nous avons déjeuné à la tour d'argent sur la place de la bastille. Au café, une brutale idée m'est venue.
Elle portait ce jour là son tailleur saumon qui a la particularité de se boutonner très bas. Dessous elle avait un petit débardeur couleur peau. J'avais observé que beaucoup d'hommes regardaient le décolleté avant de tomber déçus, sur le tissu. Dans les magasins visités, il y avait peu de monde et les vendeurs s'attardaient à détailler mon épouse qui est belle.
- Si tu le voulais, tu pourrais me faire un grand plaisir. Et cela me remettrait le moral au beau fixe.
- Et quoi donc s'il te plait ?
- Tu descends aux toilettes et tu enlèves ton débardeur pour rester nue sous la veste de ton tailleur. C'est sage et l'idée est excitante.
Après une seconde d'hésitation, elle se lève et descend aux toilettes. Quand elle remonte je suis pris d'une violente érection à la voir. Elle est belle.
A chaque mouvement des bras, les pans de l'habit s'ouvrent et laissent apparaître nettement ses seins.
Dans le second magasin où nous entrons, le vendeur qui est seul, s'est rapidement aperçu de la situation. Chantal, au bout d'un moment découvre les regards appuyés du voyeur mais elle ne change rien. Il nous fait monter à l'étage et pour admirer les détails d'un meuble ma femme se penche et la veste s'ouvre largement, dévoilant presque entièrement la poitrine. L'homme reste silencieux. Nos regards se croisent. Il reprend son discours en tremblant un peu. Pour passer dans une autre pièce il s'éloigne et je profite du moment pour m'approcher de Chantal et avant qu'elle ne puisse réagir je défaits un bouton de la veste.

L'homme revient et tout de suite se rend compte du changement. Chantal fait l'innocente. Elle s'assoit sur une chaise près d’elle et encore plus nettement dévoile ses trésors au voyeur. L'homme se penche sur elle pour bien admirer. Il a compris cette fois et est assuré de ma complicité. Son regard fixe celui de mon épouse, un silence s'ensuit il s'approche et se saisit de bords de la veste qu'il écarte pour regarder sans vergogne. Il défait le dernier bouton écarte et laisse tomber la veste. Chantal est maintenant nue devant cet inconnu qui se saisit de ses tétons puis se met à lui peloter les seins. Une main glisse sous sa jupe. Chantal se lève et s'assoit sur le rebord d'une table. L'homme passe une main sous sa jupe et lentement fait descendre le slip, l’enlève et le met dans sa poche. Puis il saisit les cuisses qu'il soulève pour découvrir le sexe nu au milieu duquel une goutte de sécrétion témoigne de son trouble. L'homme sort rapidement sa queue et sans attendre il s'enfonce sans ménagements dans ce sexe offert. Chantal se cabre sous cette étreinte qui l'excite, saisit l'homme à la nuque et l'attire à elle pour se saisir de sa bouche. Le sexe entreprend alors un rapide va et vient dans ce ventre accueillant cherchant à s'enfoncer au plus loin et soudain dans un râle il se déverse. Quand il se retire le sperme s’écoule abondamment entre les cuisses de mon épouse qui sans un mot se rajuste sans s'essuyer. Sans remettre son slip que le vendeur garde, nous repartons sans rien dire sur les trottoirs ensoleillés du Faubourg. Là je l'embrasse tant elle m'a fait plaisir. J'ai jouit dans ma culotte sans qu'il fût nécessaire de me toucher.