Ma Femme Exhibitionniste

Avec Stéphanie cela fait maintenant 12 ans que l’on est ensemble. Je m’appel Fred j’ai 36 ans et Stéphanie a 34 ans, elle est brune les cheveux mi long, les yeux vert, elle est très jolie du haut de son mètre 70, ce qui me plait particulièrement chez elle c’est sa grosse poitrine et son corps de sportive, mais pas trop musclé.

Pour ma part je mesure 1 m80, je suis brun les cheveux courts, je suis également sportif.

Nous n’avons pas d’s, nous travaillons tout les deux. Nous vivons dans un appartement dans une ville de 6000 habitants environs, dans un département côtier.
Sexuellement nous sommes normalement actifs, mais le temps est passé et je ressens une certaine lassitude dans cette routine qui c’est naturellement installé, lassitude que ne m’a pas exprimé Stéphanie. Sur ce sujet elle est assez classique, pour ma part j’aimerai passer à autre chose, montrer ma femme à quelqu’un d’autre, je ne pense pas qu’elle va être d’accord si je lui demande de but en blanc.

Dans un premier temps je dois faire sortir nos ébats amoureux du cadre de notre appartement, pour cela il faut que je trouve le lieu idéal, calme et discret. J’ai regardé autour de notre ville s’il y avait des petits coins de campagne propice. Après quelques jours de prospection je me rends tout seul dans l’endroit que j’ai trouvé à 15 min de chez nous.

Après 10 min de route je sors de la départementale et je m’engage sur une route de remembrement.

Je suis bien dans un endroit paumé, c’est parfait. Cela fait 2 ou 3 minutes que je roule au pas et j’aperçois un petit chemin entre un bois et un champ de maïs, derrière le champ j’aperçois une petite ferme au loin, je décide de m’y rendre. Cela à l’air toujours en activité mais en piteuse état, cela ne devrait pas posé de problème.

Maintenant le plus dur reste à faire, je dois amener Stéphanie dans ce lieu et l’engager dans mes fantasmes sans casser ce que nous avons construit tout les deux depuis tant d’années.



Je décide de choisir un dimanche en début d’après midi avec si possible une météo pas trop ensoleillé pour éviter les promeneurs.
Après plus d’une semaine d’attente je décide de faire le pas, nous sommes à table.

- Ma chérie, sa te dirait d’aller te promener après mangé.

- Tu veux aller ou ?

- Je ne sais pas on verra.

- OK.

30 minutes plus tard nous sommes dans la voiture, je prends la direction de mon coin de campagne tranquille. Stéphanie c’est habillé avec une jupe et un teeshirt car il fait doux aujourd’hui.
Grace à mes repères j’aperçois la route de graviers orange, je mets mon clignotant.


- Mais !!! Tu nous emmènes ou ???

- Je ne sais pas, je roule un peu au hasard.

J’ai senti qu’elle me regarda avec un air perplexe. J’ai continué sur le chemin.

- Tu n’es pas un peu perdu mon chéri ???

Là, j’aperçois le petit chemin entre le bois et le champ de maïs qui a poussé depuis mon premier passage, je ne vois plus la ferme. Je me gare et coupe le contact.

- Si tu as perdu ton chemin il va falloir faire demi-tour, on ne capte rien ici.

- Non, je suis venu ici volontairement.

- Ben !!! Pourquoi !!!

- Jeeee… voudrais qu’on aille se promener à proximité de la voiture dans le bois par exemple eeeet… qu’on fasse l’amour. Là j’ai baissé les yeux.

Elle m’a répondu calmement en rigolant.

- Tu es fou, quelqu’un pourrait nous voir.

- J’en ai bien conscience ma chérie, mais je veux juste pimenter notre vie amoureuse qui me semblait monotone. J’ai baissé les yeux l’air triste histoire de la culpabiliser.

- Non, je suis désolé mon chéri, mais je ne pourrai pas faire se genre de chose.

Mes plans semblent compromis, il va falloir ruser.

- Mais si on reste dans la voiture, sa te vas ? S’il te plait, s’il te plait, s’il te plait !!!
Elle avait les yeux figés sur le pare brise, le visage plein de doute.
Après quelques secondes interminables, elle m’a dit :

- OK.

J’ai explosé intérieurement.
- OK, mais si quelques chose ne me plait pas on rentre direct à l’appart.

- Très bien, merci ma chérie.

Je me suis approché d’elle pour l’embrasser en la complimentant :

- C’est grâce à ce genre de discussion que notre couple va de l’avant.

- Tu es surtout un gros cochon alors fait moi l’amour après on rentre.

Je l’ai regardé avec un sourire innocent comme savent le faire les hommes.
J’ai posé ma main sur sa cuisse pour la caresser doucement tout en remontant jusqu’à sa culotte, j’ai fait des allers retours sur son bas ventre, je l’ai regardé elle avait les yeux fermés ce qui ait une bonne chose sachant le contexte qu’elle n’apprécie pas beaucoup.
J’ai plongé ma main dans sa culotte, mon doigt est venu s’insérer entre ses deux lèvres, sous mon va et vient j’ai senti l’humidité arriver, sa bouche c’est entrouverte, elle a toujours les yeux fermés, on entend les oiseaux pendant que je la masturbe, elle a l’air en confiance.

Je lui insert doucement un doigt dans le vagin humide, j’accélère le mouvement de pénétration, de petits cris sorte de sa bouche. De l’autre main j’ouvre mon jeans comme je peux, elle l’entend et commence à se pencher sur moi, elle ouvre les yeux et regarde autour d’elle pour se rassurer.

Elle fini de baisser mon jeans et mets la main dans mon boxer et sort mon pénis je sens ses lèvres frôler mon gland et maintenant sa langue en fait le tour, ma femme est en train de me sucer en pleine nature, je suis aux anges.

Je soulève sa jupe laissant apparaitre ses fesses que je lui caresse sans ménagement, le summum c’est quand je lui écarte sa culotte, laissant apparaitre sa vulve a toutes personnes qui passerait par la, elle n’a pas du calculer son exposition car elle continue à me sucer.

Je passe ma main dans son dos puis sur son ventre pour finir sous son soutient gorge que je relève avec soins pour laisser tomber c’est gros seins.
Je commence à les malaxer chacun leur tours sous son teeshirt, j’ai laissé sa jupe relevé son vagin à la vue de tous le monde, je suis surexcité.

Elle se relève en regardant autour d’elle. Elle est toujours inquiète.

Elle vient sur mes genoux face à moi et m’embrasse.

- Tu es content, je fais ce qu’il te plait, mon cochon adoré. Me dit-elle avec un grand sourire.

- Je t’adore ma chérie

Elle saisie mon pénis et le présente entre ses lèvres en se laissant tomber sur mes cuisses, le dos posé sur le volant elle commence des va et vient la tête en arrière, malgré le lieu je sens en elle l’excitation, pour ma part je vais exploser, j’ai réussi à exhiber ma femme.

Cela fait maintenant 15 minutes que nous faisons l’amour sur le siège conducteur quand tout à coup je vois passer doucement au fond du chemin, heureusement dos à Stéphanie, un tracteur entre le champ de maïs et le bois, c’est trop loin on ne peut entendre le bruit du moteur.

Cette vue soudaine n’a fait qu’augmenter mon excitation, je soulève le teeshirt de ma chérie laissant apparaitre ses gros seins blancs à la vue de tout le monde, j’accélère le rythme, ses cris sont de plus un plus fort ainsi que mon souffle, je fais une ultime accélération et j’éjacule au fond de son vagin.

L’acte terminé Stéphanie c’est immédiatement remise à sa place tout se rhabillant rapidement en regardant autour d’elle et en me disant :

- On rentre maintenant ?

- Oui on y va.

Tout en démarrant la voiture j’ai repensé à ce paysan qui aurait pu voir ma femme nue, j’étais de nouveau tendu.

Sur la route du retour je les remercié à nouveau, tout en lui demandant :

- Tu as quand même été excité par le risque que tu as prise, ne mens pas je l’ai ressenti. Lui dis-je avec le sourire.

- Oui c’est vrai, cette nouvelle expérience ma amené de l’excitation à travers la peur d’être vu.


- Tu voudras recommencer.

- Je ne sais pas, laisse-moi me remettre de mes émotions.

Nous sommes rentré tranquillement jusqu’à l’appart, je n’ai bien sur pas évoqué le passage du paysans sur son tracteur, trop dangereux pour que je la persuade de réitérer l’expérience.

Quelques jours se sont passés et j’avais toujours ce tracteur en tête, il faut que je sache si il provient de la ferme prêt de notre petit chemin.

En rentrant du travail je décide d’aller vérifier, je m’engage à nouveau sur le chemin de graviers, l’excitation est au rendez-vous quand je me remémore les ébats avec Stéphanie. Arrivé devant la ferme je reconnais le tracteur, je suis content de voir qu’il vient de cette ferme, c’est qu’il y a quelqu’un.

La ferme est entièrement entourée d’un mur en pierre d’environ 2 mètres, je me gare devant. Le portail en bois est ouvert, je m’engage dans la cour devant moi il y a une grande longère en pierre avec des volets bleus en piteuse état, on se croirait dans les années 50. Sur ma droite il y a un hangar en bois avec du vieux matériel agricole, sur ma gauche je crois reconnaitre une petite porcherie en pierre. Je m’avance dans la cour en terre parsemé de pavés.

Tout à coup un chien allongé prêt de la porte se lève et vient vers moi en aboyant je suis surprit et je fais un pas en arrière, il est posté devant moi et continue à aboyer, il n’a pas l’air d’être méchant c’est une bonne chose, c’est un border collie.

La porte vitrée de la maison s’ouvre

- Que voulez vous monsieur, black viens ici.

Le chien c’est tut et a exécuté les ordres de son maitre, un papy d’environ 75 ans tout maigre et pas bien grand avec une chemise, une salopette verte typique des agriculteurs et une paire de bottes. Il ne lui reste plus beaucoup de cheveux blancs sur la tête.

Il a répété une nouvelle fois :

- Que voulez vous monsieur

En m’approchant doucement je lui est répondu :

- Il y a quelques jours, dimanche précisément, je suis venu avec ma femme me promener dans votre chemin, vous avez peut-être vu notre voiture car j’ai aperçu votre tracteur au bout du champ de maïs.


- Oui peut-être…??

- Je vous dis cela que j’espère que l’on ne vous a pas causé de désagrément.

- Non

- Avec ma femme nous aimons les coins tranquilles, j’espère que cela ne vous dérange pas si on revient un dimanche.

Il ne m’a pas répondu.

- Je vous souhaite une bonne journée, vous avez un très beau chien, bien dressé.

Sur c’est paroles j’ai tourné les talons et pris la direction de la voiture, j’espère qu’il a compris les sous entendus que j’ai évoqué, cela ferai un voyeur idéal.

Je suis reparti exciter à l’idée que ce papy pourrait regarder ma chérie nue.

Pendant le diner je suis revenu sur la journée de dimanche :

- As-tu réfléchi à ce que je t’ai demandé dimanche ?

- De quoi tu parles ?

- Et bien je voudrai savoir si tu veux bien retourner dans le petit chemin tranquille ?

- Je ne sais pas, j’ai peur que l’on puisse nous voir.

- Je sais bien ma chérie, mais cette peur t’a provoqué une certaine excitation.

- Oui c’est vrai, c’était très excitant…

- Tu veux bien y retourner pour ton chérie ? Lui dis-je les yeux mielleux.

- OK d’accord, je ne peux rien te refuser.

Le jour J est arrivé, nous sommes sur la route, Stéphanie est habillé avec un short en jeans et un haut blanc court, moulant sa grosse poitrine et d’une culotte et soutient gorge en dentelle blanc.

Arrivé sur place je décide de m’aventurer un peu plus loin dans le chemin afin d’être vu plus facilement par le papy.

- Tu ne vas pas au même endroit que la dernière fois ?

- Oui, c’est pour éviter d’être repéré.

Il fait très beau aujourd’hui et chaud je me gare de façon à que se soit le côté de Stéphanie qu’il soit visible, les vitres sont légèrement entrouvertes pour laisser passer l’air.

- Tu veux que l’on sorte de la voiture aujourd’hui.

- Non, je veux que l’on reste à l’intérieur, j’aurai trop peur à l’extérieur.

- OK.

Je commence par l’embrasser tout en passant ma main sur son ventre, elle semble détendue, je déboutonne les boutons de son short laissant entrevoir la dentelle de sa culotte. Avec mon autre main je passe dans son dos dégrafant son soutient gorge.
Je rentre ma main dans sa culotte venant jouer avec son clitoris. Elle a la tète en arrière les yeux fermés.

Tout à coup en levant les yeux j’aperçois une personne au bout du chemin, Stéphanie a toujours les yeux fermés, il se rapproche et je reconnais le papy de la ferme. J’attends qu’il soit à une dizaine de mètres et je dis à vois basse :

- Attention!!! Voila quelqu’un!!!

Je pose ma main sur le short ouvert de Stéphanie pour cacher sa culotte. Le papy est habillé comme la dernière fois que je l’ai vu mais avec une casquette. Il a une cigarette roulée collée à la bouche. Il s’approche de la vitre côté de ma femme.

- Alors jeunes gens on est perdu?

Stéphanie surprise reste bloqué dans son siège, je ressens qu’elle a eut très peur.

- Bonjour Monsieur, moi et ma femme nous nous sommes arrêté la, car c’est un coin très tranquille.

Je ne sais pas s’il fait exprès mais il me parle comme si c’était la première fois qu’il me voyait. Il regarde ma femme de haut en bas. Je retire ma main de son short, il regarde la dentelle de la culotte laissant apparaitre la toison brune de Stéphanie.

- C’est jolie tout sa. Dit-il.

Stéphanie comprend et pose ses mains sur son short.

- On peut partir maintenant. me dit-elle.

- C’est juste un petit papy, il nous ferra pas de mal. Lui dis-je à voix basse.

- Vous êtes sur mes terres, pour cela j’aimerais en voir un peu plus.

- Enlève tes mains ma chérie c’est juste un petit papy.

- Non je ne veux pas me montrer à un vieil inconnu.

- Il serait dommage que j’appel la gendarmerie et que vous soyez dans le journal de demain avec la photo de votre voiture.

Cela a fait un déclic chez elle.

- Non ne faites pas sa !! Lui a-t-elle dit tout en retirant ses mains.

Le papy était aux anges de ce corps superbe.

- Continuez ce que vous étiez en train de faire, ne vous souciez pas de moi.

J’ai approché ma main doucement du ventre de Stéphanie, quand je l’ai posé sur son corps j’ai senti le stress intense, j’ai rentré ma main dans sa culotte, le papy se malaxait la braguette.

Après quelques minutes de masturbation j’ai senti qu’elle se détendait, j’ai retiré ma main de sa culotte et commencé à descendre son short elle a émit aucune objection. La culotte en dentelle blanc totalement apparente le papy était dans tous ses états et a ouvert sa braguette pour en sortir une petite queue flasque. Stéphanie la vue et n’a rien dit. J’ai repris la masturbation, j’ai senti rapidement mes doigts s’ humidifiés, je fus surpris de la voir regarder le papy se masturber avec vigueur, sa queue était plus longue et plus raide, on l’entendait grogner à travers l’ouverture de la vitre.

J’ai insérer un doigt puis deux dans le vagin de Stéphanie en appliquant directement une fréquence de va et vient assez forte, elle commencé à émettre de petits cris en fermant les yeux. J’ai regardé le papy qui avait le pénis tendu à la main les yeux scotché sur Stéphanie, je l’entendais marmonner.

Je fus étonné par cette vigueur vu son âge. J’étais tellement excité par cette vue de Stéphanie quasiment nue devant ce vieux voyeur que j’ai sorti mon pénis et prit la main de Stéphanie pour qu’elle me masturbe ce qu’elle a fait directement.

Le vieux était à bout, il ma montré d’un signe de la tête la poitrine de ma femme, quand il a vu que je passais ma main sous le soutient gorge dégrafé de ma femme il accéléré sa masturbation, je l’ai soulevé et les gros seins blanc avec les auréoles foncées de Stéphanie lui son apparus il a immédiatement éjaculé un liquide jaunâtre avec un cri rauque sous les yeux de Stéphanie.

Voyant cette scène ahurissante j’ai moi-même éjaculé recouvrant la main de Stéphanie, j’étais sur un nuage de plaisir.

J’ai retiré mes doigts trempés de sa culotte tout en regardant le papy qui avait la main sur le cœur et le souffle intense et cour, j’ai cru qu’il allait nous faire une crise cardiaque.

- Merci les jeunes pour c’est fortes émotions. Nous a-t-il dis avec le souffle coupé entre chaque mots.

Il a ramassé sont pénis et il est reparti d’où il était venu.
Stéphanie a pris une lingette dans la boite à gangs pour se laver les mains, elle avait le regard triste. Je venais de l’exposer à un homme sous des menaces.

- Sa va ma chérie ?

- Non !!! Je viens de me montrer nue devant un homme vieux, repoussant et… J’ai pris du plaisir, j’ai honte.

- Il ne faut pas avoir honte, tu as juste découvert une facette de ta sexualité que tu n’imaginais pas avant cette expérience… Quelques peu s… On la partagé tout les deux, on a prit du plaisir tout les deux.

- Maintenant rentrons. Me dit-elle perdu dans ses pensées.

- Très bien ma chérie.

Je l’ai rassuré pendant le trajet, mais arrivé à l’appartement elle semblait toujours perturbée.

Le lendemain matin je l’ai embrassé avant qu’elle parte au travail, elle me la rendu avec un petit sourire. J’étais soulagé.

Au diner c’est elle qui a évoqué le sujet de la journée précédente.

- Concernant hier j’ai réfléchi et j’ai aimé me faire regarder par quelqu’un d’autre que toi.

- Et bien si tu veux on pourra recommencer.

- Pas pour l’instant, je dois être sur de mon envie.

J’ai laissé passer un peu de temps avant d’évoquer se sujet avec Stéphanie, mais à ma surprise c’est elle, 2 semaines plus tard qui m’a demandé si on pouvait retourner au petit chemin.

- Tu es sur de vouloir réitérer l’expérience ? Lui dis-je pour jauger son envie.

- Oui je le veux.

J’étais tout excité d’entendre c’est paroles, par contre hors de question que je laisse la chance au hasard, pour cela dans la semaine je me suis rendu à la ferme de notre papy pour le prévenir de notre présence.

Arrivé sur place je l’ai aperçu dans la cours à bricoler, le chien à de nouveau aboyé. Il était toujours habillé de la même façon, je doute de son hygiène.

- Bonjour Monsieur, vous me reconnaissez ?

Je me suis approché pour lui serrer la main, étant proche j’ai pu voir qu’il n’avait plus beaucoup de dents et le peut qu’il restait avait une coloration assez dégoutante. Il avait des sourcils très longs et de longs poils dans les oreilles.

- Oui, la dernière fois j’ai bien aimé le spectacle de votre dame.

- Content que cela vous ais fait plaisir, je venais vous prévenir que nous allions revenir ce weekend.

- Je suis pressé de revoir votre femme.

- Je n’en doute pas, mais je conte sur votre discrétion et bien sur on ne sait jamais vu.

- J’ai compris le message n’ayez crainte, de toute façon il n’y a personne dans le coin je suis seul avec mon fils.

- OK bonne journée à ce weekend.

Le vieil homme est directement partie vers la longère, cette invitation a du lui redonner de la vigueur.

Nous sommes dimanche, je n’ai rien dit à Stéphanie concernant sa tenue, je souhaite voir son choix et je ne suis pas déçu, une simple robe d’été blanche à fleurs avec un grand décolleté et des sous-vêtements blancs unis, classique mais excitant, je lui fais remarquer en me collant à elle.

- Patience. Me dit-elle avec le sourire.

Je suis content de voir qu’elle est toujours enthousiaste pour cette nouvelle expérience de voyeurisme.
Nous prenons la route, direction le chemin de la débauche.
Arrivé sur place elle me demande :

- Tu crois que le petit vieux va venir ?

- Je ne sais pas, tu ne veux pas qu’il te regarde ?

- Si !!??... Enfin on verra.

Je me gare au même endroit que la dernière fois à l’ombre, les fenêtres un peu plus ouvertes car il fait chaud aujourd’hui. Elle a gardé ses lunettes de soleil, peut-être que sa lui donne l’impression d’être plus discrète.

Je regarde autour de moi pas de papy, tant pis on va commencer sans lui.
Je m’approche de ma chérie et pose ma main sur son ventre et je commence à le caresser elle me regarde avec un petit sourire. J’ai envie de la voir se faire plaisir toute seul, pour cela je prends sa main et la positionne entre ses jambes pour la masturber à travers ses vêtements.

Elle comprend directement et elle commence à se toucher tout doucement, je me repositionne dans mon siège pour admirer le spectacle.

Elle passe ses mains sur son corps malaxant sa poitrine à travers ses vêtements, passant entre ses cuisses ouvertes. Ce petit jeu dur depuis quelques minutes quand j’aperçois notre ancien au bord du chemin. Stéphanie continue ses caresses les yeux fermés, je ne lui dit rien tandis qu’il se rapproche discrètement du côté de Stéphanie.

Maintenant il a une vu totale sur ma femme en train de se caresser, il se frotte la queue à travers sa salopette tachée et usée.

Je saisie la bretelle de sa robe pour la faire glisser le long de son bras et je fais de même de l’autre côté, on aperçoit ses gros seins débordants de leurs bonnets. Papy a la langue qui fait le tour de ses lèvres. Je tire sur sa robe au niveau de ses hanches laissant apparaitre totalement son soutien gorge blanc gonflé, je continue le périple sous ses fesses et le long des ses jambes pour laisser tomber sa robe au sol.

Elle est maintenant en sous-vêtements devant le vieux qui trépigne devant le streap-tease. Avec le bruit qu’il provoque elle tourne la tête et l’aperçois, mais elle continue à se toucher langoureusement. Devant les yeux qui le regarde, il ouvre sa braguette et sort sa queue flasque, il se masturbe devant ma femme. Il a la bouche ouverte, on voit ses quelques dents jaunes.

Malgré l’ombre il commence à faire chaud dans la voiture, j’entrouvre un peu plus les vitres. Stéphanie prend peur.

- Non, n’ouvres pas !!!

- C’est juste pour aérer la voiture, j’ai chaud ma chérie.

- OK mais pas plus.
Rassurée elle reprend ses attouchements, au bout de quelques minutes elle plonge sa main dans sa culotte et s’ insert un doigt dans le vagin, rapidement on entend des petits cris sortir de sa bouche en même temps qu’elle se cambre, papy a les yeux fixé sur le spectacle le pénis tendu entre les doigts.

Elle a les yeux fermés et continue à gémir, je vois les gouttes de sueurs ruisselé sur son front, malgré tout elle continue à faire des allés retours dans son vagin, mais elle me dit à voix basse :

- Tu peux ouvrir un peu plus, j’ai chaud.

Je profite de cette occasion pour offrir pleinement ma femme à l’ancien, étant dans son excitation, elle ne se rend pas compte que j’ouvre complètement sa vitre. Le papy vient se coller immédiatement à la portière et pose une main sur celle-ci et continue à se masturber devant le spectacle, il entend très bien les gémissements de Stéphanie.
Je mets ma main sur le soutien gorge de Stéphanie et je commence à la peloter, j’ai tellement envie que le papy la touche !!!! De l’autre main je dégrafe son soutient gorge. Je lui fais signe de touché, il lève sa main de la portière et vient doucement vers sa poitrine et pose sa main sur le bonnet du soutient gorge et le caresse, je lui fais signe de le soulevé, il s’exécute immédiatement en soulevant le soutient gorge laissant tomber les gros seins de Stéphanie, il lui retire son soutient gorge.

Elle c’est rendu compte que se n’était pas moi qui la déshabillais elle a ouvert les yeux et a stoppé sa masturbation, le papy ne c’est pas dégonflé et a posé sa main sur son sein et a commencer à le malaxer, elle a immédiatement saisi la main du vieux pour lui indiquer son refus mais il continué à la peloter tout en lui frottant le mamelon.
Tout à coup elle a relâché son emprise, elle a compris que d’être touché par un inconnu l’excitait au plus haut point et elle a positionné ses mains le long de son corps s’offrant totalement à notre papy.

Il a relâché sa queue et est venue saisir c’est seins à deux mains, les malaxant vigoureusement, il a ajouté :

- Votre dame a de sacrées tétines.

J’étais tellement excité que j’ai sortit ma queue pour me masturber.
Quand Stéphanie a commencé à gémir d’excitation il a posé sa main sur son ventre, elle a senti cette main sèche et calleuse et elle s’est tendu, il lui a caressé tout en repassant sur sa poitrine. Il est ensuite descendu sur sa cuisse, il a saisi l’élastique de sa culotte et la tiré, ma femme a levé ses fesses, il lui a retiré sans résistance, laissant apparaitre sa toison brune et sa vulve.

Elle était maintenant nue devant ce vieil homme repoussant, j’étais sur excité.
Il a de nouveau caressé son ventre, les doigts de l’ancien étaient squelettiques et rugueux les ongles longs et noirs. Après avoir vigoureusement peloté les seins de Stéphanie il est tendrement descendu sur son nombril marquant une infime pause avant de s’insinuer dans sa brune toison, il a parcouru son chemin engageant le majeur entre les lèvres de ma chérie.

J’ai vu son corps se tendre, les lèvres entrouvertes elle a émis un petit gémissement, qui c’est amplifié quand il a commencé les va et vient entre ses lèvres marquant une pose de temps à autre sur son clitoris, son doigt humidifié par les allers retours, il a entrepris l’exploration de son vagin, il a rentré son majeur doucement phalange par phalange tout en regardant Stéphanie courbée le dos.

Son doigt sortait et rentrait à vitesse régulière, de l’autre main il a recommencé a palper ses seins, il avait la bouche ouverte la langue sortie, ce petit vieux la queue tendu en train de masturber ma belle jeune femme, j’étais sur excité.
Après quelques minute il a entreprit de lui insérer un deuxième doigt dans le vagin trempé, il n’y a eut aucune résistance, tout en la masturbant il a fait pivoter sa main pour en introduire un troisième, elle a commencé à émettre de la douleur.

- Non non, haaa haa !!!

Je l’ai laissé faire.

- Ne vous inquiétez pas ma petite sa va rentrez. Lui dit-il.

En effet les trois doigts étaient à l’intérieur, il a immédiatement imposé un rythme rapide et profond tout en tournant sa main, elle avait la bouche grande ouverte prise de spasmes, elle émettait des cris de plus en plus fort je ne l’avais jamais vu dans cette état, incroyable se papy.

Il a intimé ce rythme pendant plus d’une minute pour ensuite retirer sa main d’un seul coup, elle est retombé dans son siège de tout son poids, en sueur, le cœur sortant de la poitrine, elle avait beaucoup de mal a retrouvé sa respiration.
J’étais abasourdi par ce que je venais d’assister, moi qui faisait attention à ne pas la brusquer.

- Je pense que j’ai fait plaisir à votre dame, j’espère qu’elle va me faire plaisir ???

C’est mots dit, il s’est reculé d’un pas et a saisi les bretelles de sa salopette pour la laissé tomber sur ses bottes, sans demander il a ouvert la portière, il était devant Stéphanie en chemise à carreaux la salopette aux pieds, ses jambes étaient comme ses mains toutes maigres avec par endroit des ecchymoses, il s’est approché de Stéphanie, lui a saisi la main sans rencontrer de résistance de l’autre main il a baissé complètement son slip qui devait être blanc à une certaine époque, levant sa chemise il a approché la main de Stéphanie de sa verge de nouveau molle, il a refermé sa main dessus et a commencé à se masturbé, après quelques secondes le mollusque a reprit de la vigueur.
Après avoir établi le rythme le papy a retiré sa main, avec étonnement je voyais ma femme en train de masturber un autre homme, qui plus est un vieil homme repoussant, je pouvais voir de gros boutons sur ses testicules, sur cette petite tige maintenant raide trônait un gros gland violacé.

Je faisais se constat tout en me masturbant frénétiquement.
Pendant la masturbation il a recommencé à la toucher sur tout le corps, passant son doigt, constatant le vagin toujours trempé, lui malaxant les seins sans relâche.
D’une main Stéphanie masturbait la queue raide de notre papy de l’autre elle lui tripotait les testicules, elle a accéléré le rythme et le papy c’est rapproché devant son visage saisissant fortement le sein de ma chérie, je le voyais les jambes tendues et tremblantes.

- Je sens que sa vient continue ma cochonne !!!

Il s’est rapproché d’un coup et a éjaculé sur le visage de ma belle, elle avait du sperme jaunâtre sur les lèvres et cela lui pendait sous le menton.

- Nettoyez vos lèvres ma chère.

Elle a commencé à lever le bras.

- Non, avec votre langue.

Après quelques seconde d’hésitation et voyant le papy la fixer, elle a ouvert la bouche en faisant le tour avec sa langue maintenant humecté de sa semence et avalant le sperme.

Je me suis moi-même vidé voyant cette langue enduite de sperme.

Tout en se rhabillant il nous a remercié pour cette cure de jeunesse et il m’a demandé de venir le voir à l’écart.

- Vous voulez me demander quelques choses ?

- Oui, la prochaine fois… Pourrais-je rester seul avec votre femme ?

- Euuuu… Je ne sais pas, je vais devoir lui demander. La prochaine fois que l’on vient vous aurez votre réponse.

- Très bien, merci encore.

Stéphanie était en train de se revêtir dans le silence, je ne savais quoi dire ? Je ne voulais pas lui demander maintenant par peur qu’elle ne souhaite pas continuer l’expérience.
Nous avons repris la route, après quelques kilomètres silencieux je lui ai demandé :

- Sa va, tu n’es pas trop dégouté qu’il t’a touché.

- Non sa va, j’ai pris du plaisir et je vous en ai donné à tout les deux.

- Oui en effet.

J’étais soulagé qu’elle apprécie cette nouvelle journée d’exhibition.
J’étais toujours sous le choque de ce à quoi je venais d’assister, la soumissions de ma femme à se papy.

- Si tu veux on peut arrêter, je comprendrai, cette homme t’a obligé à faire des choses que tu ne souhaitais pas.

- Certes j’ai eut de la réticence pour certain acte, mais il m’à à comprendre que j’aimais ça.

- OK, mais sache qu’à tout moment on peut arrêter cela.

- Oui je sais, je t’aime.

Nous sommes rentré à la maison, je pensais déjà à ce prochain dimanche.
Pendant la semaine j’ai évoqué l’idée de sortir de la voiture pour la prochaine expérience afin de répondre à la demande de l’ancien.

Elle n’était pas contre mais on ne devait pas être à la vue de tout le monde.
Avec satisfaction la semaine est passée vite, nous sommes en direction de la route ou ma petite femme s’offre depuis quelques semaines. Elle porte un pantalon en toile ainsi qu’un chemisier avec des sous vêtements blancs dentelles.

Je fais le pas pendant la route concernant la demande du papy :

- Cela te dérangerait de rester seul avec le papy cette après-midi ?

- Tu ne veux pas rester avec moi ?

Je sentais une certaine appréhension dans sa réponse.

- Si, bien sur, mais a distance, lui donnant l’impression que je t’offre complètement à lui, je ne te lâcherais pas des yeux.

- Très bien, OK.

Nous sommes arrivés au lieu habituel et à notre étonnement le papy était déjà la, se levant d’une souche voyant notre voiture approcher.
J’ai stoppé la voiture laissant le moteur tourner. Le papy a compris que je laissais Stéphanie avec lui.

- Bon c’est toujours OK, je te laisse avec lui ?

- Tu restes à proximité ??!!

- Oui, promis.

Stéphanie ma fait un baisé et est descendu, le papy ma fait un signe de la main, me remerciant. J’ai fait demi-tour m’éloignant avec la voiture, roulant doucement, j’ai estimé qu’il ne pouvait plus entendre la voiture, je me suis garé et je me suis empressé de rejoindre les lieux.

Arrivé sur place je ne les voyais pas, je suis rentré dans la forêt et je les ai aperçu derrière les arbres, ne pouvant les voir correctement et surtout les entendre, c’est Stéphanie qui ma raconté leurs dialogues et les gestes proches.

Le temps que je trouve à garer la voiture, ils ont discuté sur le chemin.

- Vous êtes superbe ma jolie dans ce pantalon.

- Merci monsieur, je m’appel Stéphanie.

- Enchanté mademoiselle Stéphanie, je me prénomme André. Suivez-moi on va rentrer un peu dans le bois, n’ayez crainte.

Papy André était habillé comme d’habitude avec une salopette bleu foncée une paire de botte, la chemise semblait neuve ou rarement porté.

Il a conduit Stéphanie prêt d’un gros arbre à l’abri de la route, j’ai réussi à me rapprocher, je pouvais les mater comme un bon voyeur.

- Ma petite mettez-vous face à l’arbre s’il vous plait, les mains au dessus de la tête posées sur l’écorce et écartez les jambes.

- Vous êtes gendarme Mr André ?

- C’est vous la délinquante, pressez-vous.

Stéphanie s’est exécutée et positionnée, papy a posé ses mains sur les hanches de ma chérie, il est remonté dans son dos continuant sa fouille sur ses bras. Il est revenu sur ses hanches pour descendre sur chaque jambe.

- Je n’ai pas confiance, je vais approfondir mes investigations, votre mari va apprécier je pense.

Il savait que je l’épiais et sa l’excitait d’autant plus.

Mr André a positionné ses mains de nouveau sur les hanches de Stéphanie, mais cette fois ses mains se sont immiscées sous son chemisier, ma chérie s’est tendu au contact des mains froides et calleuses de notre papy.

Il a remonté doucement sur ses côtes pour passer sur les bonnets de son soutien gorge, pelotant ses seins vigoureusement tout en positionnant son bas ventre sur les fesses de ma chérie.

Elle sentait la petite tige tendu entre ses fesses.

Les mains de notre papy ont quitté la poitrine de Stéphanie et se sont posées sur le bouton de son pantalon, il a défait le bouton.

- Non Mr André, je ne veux pas le retirer, on pourrait me voir !
Papy a posé sa main sur la fesse de ma chérie, la frottant doucement, il lui a expliqué :

- Ne vous inquiétez pas ma chère, vous ne craignez rien ici, il n’y a personne. Vous me faites confiance ?

- Heuuu… Oui Mr André. La voie inquiète.

Il a lâché son pantalon, le laissant tomber sur ses chevilles. Il s’est reculé.

- Retirez votre chemisier maintenant.

- Mais Mr…

- Pressez vous, obéissez !!

Stéphanie a comprise dans ce changement de ton qu’il voulait la dominer et ne sachant quoi faire elle a obéi à Mr André, elle a déboutonné son chemisier doucement pour garder notre papy en ébullition.

- Voila c’est bien, posez votre pantalon et votre chemisier sur cette branche et repositionnez-vous sur l’arbre.

Ma chérie était de nouveau face à l’arbre les mains au dessus de la tête, posé sur l’écorce.

Papy c’est approché, il a saisi son soutien gorge et la dégrafé.

- Retirez-le et posez-le avec vos affaires.

Une fois ma chérie de nouveau face à l’arbre, papy André est venu se collant à elle. Elle a senti sa peau froide sur ses fesses, en effet il avait tombé la salopette sur les bottes ainsi que son slip. Il a positionné sa petite queue tendue entre les fesses de Stéphanie et ses mains on saisie ses gros seins.

Stéphanie a serré les fesses, masturbant notre papy sur le tissu de sa culotte.
Je voyais Stéphanie qui regardait de temps à autre autour d’elle, pour ne pas être surprise ou pire, filmée nue par des promeneurs.

Après quelques minutes papy a enfin lâché c’est seins pour venir caresser son ventre et immiscer une main dans sa culotte, il tournait ses doigts dans sa toison brune, son majeur a écarté les lèvres de sa vulve.

- Mais c’est humide tout cela, vous aimez vous montrez nu aux inconnus dans les bois ?
Il a rentré sa main vigoureusement dans sa culotte et avec la même vigueur il la masturbait.

- Alors vous aimez vous montrez à poils aux inconnus ?

- Oui Monsieur.

Papy c’est reculé.

- Retirez votre culotte et retournez-vous!.

Stéphanie était maintenant nue devant papy André.

Maintenant touchez vous devant tous le monde.

Elle a commencé à peloter ses seins, sa main gauche est descendue entre ses cuisses.

Papy se masturbait devant cette jeune femme qui lui obéissait.

Tout en regardant autour de moi j’ai moi-même sortit mon pénis, me masturbant en regardant le spectacle.

Après quelques minutes il s’est approché de Stéphanie.

- Prenez-moi la queue.

Elle a prise son pénis pour le masturber doucement. Papy a introduit sa main entre c’est cuisses, il jouait avec son clitoris, il a positionné son doigt à l’entrée de son vagin, le rentrant entièrement à l’intérieur. Stéphanie avait la tête en arrière les yeux fermées la bouche légèrement ouverte.

J’avais mon membre tendu entre les mains, en plein bois regardant ma femme se faire toucher par un septuagénaire.

Il a rentré un deuxième doigt et a accéléré le pistonnage et c’est la que j’ai entendu d’où
j’étais :

- HAAAaaa… Haaa.. Ha…

Il la faisait jouir avec c’est 2 doigts.

- Ben alors ma chère vous n’êtes pas très discrète.
Sur c’est mots il a de nouveau accéléré la pénétration.

- HA HA HA HAAAA… Haaa…

Papy a retiré ses doigts trempés, les frottant sur la toison de ma chérie.

- Je vous ai donné un grand plaisir maintenant vous allez vous occuper de moi. Agenouillez vous devant ma queue.

Je voyais Stéphanie bouger face à lui et elle semblait très mal alaise et tout à coup je l’ai vu poser un genou à terre, elle ne va tout de même pas… !!?? J’avais la queue dure comme du chêne. Elle était maintenant à genoux face à la queue du papy.

- A présent sucez-moi.

Elle n’a pas osé s’opposer, elle voyait cette petite queue tendue entre ses doigts surmonté d’un gland violacé, des testicules parsemés de poils blancs et de boutons.
Son cœur c’est levé quand elle a approché, l’odeur d’urine était très forte, elle voyait ce slip taché.

- Allez !! Ne me faites pas attendre.

Elle s’est approchée ouvrant la bouche, ses lèvres se sont refermées sur le gland du papy qui a fermé ses yeux.

Je ne pense pas qu’ils m’ont entendu mais je n’ai pas pu m’en empêcher :

- LA SALOPE !!! Elle suce le vieux !

Sur c’est mots j’ai éjaculé voyant ma chérie suçant cette vieille queue, quelle extase.
Reprenant mon souffle je voyais Stéphanie faire le tour son gland avec sa langue, pour ensuite avaler totalement sa queue, passer sa langue sur c’est couilles fripées, je restais tendu au vue de ce spectacle.

Papy a positionné sa main sur la tête de Stéphanie pour lui faire accélérer le rythme, lui a saisi un sein et se na pas pris longtemps pour le voir se figer, les fesses contractées, déversant son sperme dans la gorge de ma chérie.

- HAAAAaaaaa !!! C’est bon, vous savez y faire.

Voyant les grimaces qu’elle faisait, elle n’a pas apprécié cette surprise.

- Maintenant avalez… C’est bien ma petite.

Il a nettoyé sa queue sur c’est lèvres et c’est reculé pour se rhabiller en remerciant Stéphanie pour ce moment formidable. Elle s’est relevée en se lavant la bouche avec le dos de la main. Pendant qu’elle remettait sa culotte, papy lui a saisi un sein en la remerciant de nouveau et c’est éloigné dans le chemin.
J’ai tout de suite rejoins ma chérie qui se rhabillais.

- Tout va bien Stéphanie ???

- Oui sa va, appart l’odeur tenace de pisse qui me reste incrustée dans les narines.

Nous avons rejoint la voiture et elle m’a avoué que le côté sale l’avait dans un premier temps repoussé puis excité, je lui ai à mon tour avoué que de la voir prendre en bouche cette vieille queue m’avait fait exploser.

Cela faisait 5 min qu’on roulait quand Stéphanie ma expliqué que Mr André, j’étais étonné comment elle le nommait.

- Mr André ma demandé de m’offrir à d’autre que lui et que tu devais prendre des photos pour lui montrer ma soumission.

- OK, tu as une idée ?

- Non, mais on devrait trouver.

Voila. Ce que je voulais c’est réalisé, elle était totalement soumise, mais pas à moi, mais à un papy de plus 70 ans.

Durant la semaine Stéphanie ma envoyé un sms de son travail : « J’ai trouvé, à ce soir ».

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