Eetre Fidele

ETRE FIDELE, je le pensais...
Le dimanche, mon fils était chez ses grands parents avec beaucoup d’autres petits et je n’aurai à aller le chercher que très tard vers 20 heures. Epuisée, je suis restée au lit assez tard.
Quand je me lève, je découvre sur mes genoux des traces de blessures semblables à celles que l’on voit sur ceux d’s turbulents qui tombent en jouant. Mais sur des genoux de femmes, ce sont plutôt celles de levrettes chaudes ou d’enculades incontrôlées.
Les blessures sur mes fesses sont plus profondes et plus humiliantes et comment pourrai-je les montrer à un médecin ? surtout pas le mien qui n’arrête pas de me draguer… le plus correct serait de voir une femme médecin, mais quel regard susciterai-je ?
Lundi matin, je porte les habits que portait Marjana la première fois, et après avoir déposé mon fils à l’école, je cherche un médecin dans un quartier populaire. Quand mon arrive sa secrétaire me demande ce que j’ai, je réponds que c’est pour un certificat médical.
Devant le médecin, je baisse la tête humiliée et explique que j’ai été battue durement en lui montrant mes genoux et lui explique que j’ai été fessée avec un tuyau et que mes fesses sont écorchées…
-je comprends parfaitement, mais pour témoigner de votre état, je dois voir ce que vous avez subi…
-mais, docteur, je ne porte pas de…
-oui… oui… venez dans la salle d’auscultation, dit-il en ouvrant une porte, ne craignez rien, madame… je suis médecin.
M’emmenant près de la table, il baisse mon torse en avant et tout en tenant mon cou me demande de montrer mes fesses.
-mais il vous a abimée, il devait être en colère, celui-là ?
-oui… il est jaloux…
-et qu’a fait cette belle poupée pour mériter cela? Et sur ces petites fesses…. Dis-moi ? demanda-t-il en me pinçant un téton.
-une bêtise, je sais…
-et tu en referais ?
-avec des fesses pareilles ? c’est fini…
-je peux réparer tout ça nickel, mais c’est cher…
-combien ?
-quelques bêtises, et quelques avances dit-il en souriant.


-sans douleur, ni traces ? dis-je en baissant la tête.
Il alla vers la porte et tourna la clef. Il m’embrasse, et je garde les dents serrées. Mais, quand il prend un téton entre ses doigts, je laisse sa langue investir ma bouche qu’il explore soigneusement en me faisant trembler. Il me demande de le faire jouir. Je me baisse, mouille son gland dans ma bouche, puis fais coulisser ma main dessus.
-mais pourquoi tu ne veux pas sucer ?
-nous n’en sommes qu’à la première avance…
-et alors ?
-mes genoux sont encore…
-oh, pardon dit-il en reprenant ma bouche.
Croyant qu’il s’en contenterait, j’y mis beaucoup d’application alors que je sens son membre durcir contre ventre, et commence à mouiller.
Il me prend par les aisselles et me lève un peu, et je sens son chibre me pénétrer doucement, mais profondément. Je passai mes jambes autour de son bassin et je le sentis coulisser en moi, à un rythme de plus en plus rapide. Enfin, nous jouissons tous les deux, son sperme m’inonde alors qu’il me tient toujours par les aisselles et que mes jambes sont autour de son bassin.
-accroche-toi à mon cou, ma belle.
Alors que je lui fais des petites bises sur le cou, je le sens appliquer une pommade froide sur toutes mes fesses. Son sexe recommence à durcir, mais il reprend mes aisselles et me lève vers le haut. Quand je suis debout, il me passe un large pansement autour des fesses.
-essaie de le garder jusqu’à demain, tu peux te rhabiller, et ne touche pas à tes genoux…
En voyant l’heure dans son bureau, je vois que j’ai juste le temps de récupérer mon fils.
Dans la soirée, mon mari m’appel de l’hôtel où il passe sa semaine de miel avec Marjana. Il me parle de fidélité alors que, d’après le rythme de ses paroles, je devine que sa femme du moment s’excite au bout de sa queue.
Quand je lui demande de me la passer, il prétend qu’elle dort et me promet de le faire le lendemain.
-allez, bonne nuit ma pute
-avec mes douleurs de fesses, merci.

A SUIVRE

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