Ils Ont Fait De Moi Une Pute Soumise...

Mon désir de rencontrer un routier

C’est sur le site de vivastreet que j’ai fait connaissance avec Ed. Facile d’accès et
discret, j’ai fini par passer une annonce assez osée : « cherche homme mur qui me
transformera en salope ».

J’ai eu quelques réponses vulgaires et inintéressantes, d’hommes sans imagination
et pressés. Ma recherche était différente. Je souhaitais un homme mur cérébral et
dominateur. Après quelques échanges de mails et de nombreuses réponses
négatives, Ed me contacta. De la façon la plus crue qu’on puisse oser… « Alors, petite
salope, tu cherches ton maitre… ». La lecture de son message m’incita à lui faire part
de mes désirs les plus intimes. Sans rien savoir de lui, je lui donnai rendez vous dans
le studio que j’occupais dans le haut de Cimiez, un jour ensoleillé du mois d’octobre.

Je luis avais demandé d’être autoritaire avec moi, de me « forcer »…

Bien m’en a pris.

Vers 16 heures, il m’appela sur mon portable et j’avais convenu que j’irai le chercher
au coin de la rue, juste devant une pharmacie.

Je venais de m’être douché, parfumé. Vêtu d’une petite chemise en lin blanc, je passai
rapidement un manteau en daim marron très long et une paire de converses. Excité
de traverser la rue et la résidence presque nu, je retrouvai Ed devant la pharmacie.

Un peu plus petit que moi, il avait tout de l’homme vicieux que j’avais souhaité. 1m65,
85 kilos, une moustache ridicule… L’air profondément vicieux.

Je m’approchai de lui, et, profitant de ce qu’il n’y avait personne dans la rue, me collai
à lui pour prendre sa main et lui dire à l’oreille : « je suis ta petite salope, est ce que je
te plais ? ». L’envie que je lus sur son visage me rendit fou d’excitation. « Viens » lui
dis-je, « fais de moi ton objet, ta pute, ton esclave, je t’appartiens pendant deux heures
».

Je n’en revenais pas d’arriver à me lâcher d’une telle manière d’autant qu’il
s’agissait de ma première expérience… Je passai deux doigts sur sa bouche et lui
demandai de me suivre dans un déhanchement dont je ne me serais jamais cru
capable.

Nous avons traversé la rue et pris la petite impasse qui menait à ma résidence.
Devant un petit parking caché par deux murs de lauriers, je sentis qu’il se rapprochait
de moi. Alors, je décidai de m’appuyer contre le mur dans une position indécente et
passai ma langue sur mes lèvres en le regardant droit dans les yeux. Il s’approcha de
moi à me toucher, doucement, et je sentis son ventre contre le mien. Il attrapa le zip de
mon manteau et le baissa très doucement jusqu’à se rendre compte que je n’avais
pas de caleçon et encore moins de pantalon. Il me fit rapidement tourner en soulevant
mon manteau. Il passa sa main sur mon petit cul vierge, enfonçant très légèrement un
doigt pour sentir mon petit trou. J’avais l’impression d’être ouvert au point qu’il aurait pu
me prendre contre ce mur.

Il n’en fut rien car il me retourna, remonta le zip de mon manteau et me fit avancer vers
mon appartement. Etre touché par un homme aussi laid m’excitait profondément. Je
me promis alors d’être totalement soumis à ses désirs, et plus encore.

Alors que j’ouvrais la porte d’entrée de la résidence, il me traita de pute, de salope, me
promettant de me baiser comme une chienne.

Il fut très surpris que la porte de mon appartement soit la première sur la gauche dans
l’entrée, regrettant de n’avoir pas à prendre l’ascenseur. Je lui dis alors que rien n’était
impossible… Il entra toutefois dans cet appartement tendrement parfumé d’encens
tibétain et dans lequel le soleil rentrait à travers les volets légèrement baissés.

A peine rentré dans le salon, il me colla contre lui, mon dos contre son ventre.

Soufflant, ahanant, il me touchait sans douceur en se frottant contre moi.

Il me poussa vers le bureau et me fit pose un pied sur la chaise, en profitant pour
soulever mon manteau. J’ai tendu mon cul en arrière en écartant les cuisses lorsque
j’ai senti sa langue sur mon petit trou. Il passa une main entre mes jambes et attrapa
mon sexe qu’il tira assez violemment. Bien que ne bandant pas, j’étais fort excité.
Dans le rôle de la femelle, j’attendais qu’il me prenne.

J’attrapai le tube de gel posé sur le bureau et en versai plein ma paume droite. Puis la
passai sur mon cul comme une invitation. Il remonta complètement le manteau sur
mes hanches, m’écarta le cul de ses deux mains et, alors, que j’imaginai déjà son
doigt dans mon cul ouvert qui l’attendait, me claqua la fesse d’u coup sec. Il me
retourne violemment. J’ai les fesses sur le bord du bureau, le sexe qui pend de moins
en moins. Il baisse le zip du manteau qu’il relève et me pince un sein et en prenant ma
bouche goulument. Je l’ouvre totalement et lui lèche le visage tout aussi goulument. «
Je suis ta petite pute, je t’appartiens, baise moi… ».

Je le caresse en enlevant sa chemise alors qu’il baisse son pantalon sur un slip
ridicule. Une fois encore, sa laideur m’excite… J’enlève mon manteau et me colle
contre lui, contre ce ventre énorme et poilu qui dans d’autres circonstances serait un
remède contre l’amour… Je l’embrasse en m’écartant les fesses pour qu’il
comprenne à quel point je lui suis soumis.

Il m’ordonne de me mettre à quatre pattes sur le lit, tête collée à l’oreiller, cul cambré.
Je le supplie de venir me baiser mais je ne gagne que quelques petites claques sur le
cul. Il me fait retourner, mettre à genoux, mais n’a pas besoin de me faire un dessin.
Je prends ses couilles dans ma main droite et engloutit sa queue, de petite taille dans
ma bouche.
En quelques secondes, c’est une belle petite bite toute dure que j’ai
devant moi. Je lui enfile un préservatif en lui embrassant le ventre et lui dit qu’il faut
désormais me satisfaire.

Mon cul n’a servi qu’une fois à ce jour mais je le sais capable de s’ouvrir dans un
moment d’excitation. Je lui demande de me préparer avec du gel, et un ou deux doigts
pour commencer. Il me fait mettre à quatre pattes, et m’enfile immédiatement un doigt.
Je suis à deux doigts de l’orgasme. Il le sent, retire son doigt et me dit : « eh bien petite
salope, on ne va pas perdre de temps, je vais te la fourrer tout de suite ». Bien qu’un
peu angoissé de me prendre son engin, j’écarte les cuisses, soulève mon cul, et le
couvre de cochonneries orales. « Allez, vas y, défonce moi avec ta petite bite, montre
moi que tu es un homme, prend moi, fais moi jouir… Défonce mon cul de petite pute
soumise… Prend moi, défonce moi, balance ton foutre dans mon cul… ».

Enfin, il me prend lentement mais profondément avant de me défoncer en me tenant
par les hanches. Je suis une vraie femelle en chaleur et me jette sur lui pour sentir sa
bite au fond de mon cul. Je jouis intensément malgré ce manque d’une deuxième
queue dans ma bouche. Sa queue se tend au fond de moi et je le sens partir dans un
hurlement. Voila, quel bonheur, je suis à nouveau une petite salope fourrée bien
profond. Gardant sa queue au fond de moi, il s’allonge sur mon dos en m’écrasant. Je
suis soumis. Soumise ? Mais partiellement repue…

Au bout de longues minutes pendant lesquelles il digère son plaisir, sa queue sort de
moi et provoque un manque insoutenable. C’est le moment que je choisis pour rouler
sur lui et l’embrasser à pleine bouche en tortillant du cul à nouveau.

« Tu ne vas quand même pas me laisser dans cet état… tu vas bien me baiser encore
? »

« Ben toi t’es une vraie petite salope.
Si t’en veux encore, je vais t’en donner. Mais on
va changer de crèmerie, tu vas me faire visiter ta résidence… »

Il se lève et se rhabille en un rien de temps, me couvre d’insultes, me promet de me
finir le cul… C’est parfait, j’en redemande. A quelle sauce va-t-il me baiser maintenant
?

« Allez petite pute, enfile un pantalon, une chemise et des chaussures, je vais
m’occuper de ton cas. »

Le temps de mettre un jean délavé assez large une chemise en lin et des baskets
sans chaussettes, de prendre une cigarette, il att les clés de l’appartement et me
dit : « on se casse ».

Je ne sais pas pourquoi mais je n’ai pas peur. Même lorsque nous ressortons de la
résidence, que nous traversons la rue et qu’il me fait monter à l’avant d’un utilitaire de
déménagement.

« Bien ma petite pute, puisqu’on est à Cimiez, on va se promener un peu, on va profiter
du parc… »

Il démarre et m’ordonne d’enlever mon pantalon. Exhiber mon beau corps devant lui
m’excite. Alors qu’il roule, je me caresse, la queue plus dure que jamais. Mais
quelques minutes plus tard, il arrête le camion devant l’entrée principale des arènes. «
Alors ma salope, toujours envie de montrer ton cul ? »… Je réponds oui dans un
souffle, inquiet de devoir sortir à moitié nu même si le jour est presque tombé. « Une
petite pute comme toi, ça se soigne, alors on va faire un petit tour dans le parc, ça
laissera juste le temps à mon frère de venir. Il sera ravi e défoncer un petit trou comme
toi. »

Et bien moi qui voulais être dominé, je suis servi… Je lui demande si son frère est un
gros porc come lui. « Rassure toi salope, tu vas t’en prendre plein le cul… ».

« Allo Jean, c’est Ed. Oui, je suis tombé sur une vraie petite salope qui en veut.
Rapplique donc lui faire sa fête avec moi, on est aux Arènes de Cimiez, il ne te faut que
dix minutes pour nous rejoindre… …oui, nous serons près des ruines, à côté de la
pergola. A tout de suite ! »

« Tu vois ma petite pute, tu vas être servie… Commence par enfiler ce caleçon ». Il me
tend un horrible bout de tissu bleu que je dois mettre à la place de mon jean resté par
terre. Je ressens honte et excitation à sortir ainsi accoutré de l’utilitaire, et encore plus
à croiser les quelques rares promeneurs qui sortent du jardin. Ce gros porc n’hésite
pas à me caresser lorsque nous passons à proximité d’adultes, comme si j’étais sa
petite femme. Enfin, nous arrivons à proximité des ruines. S’étant assuré que
personne n’est trop près de nous, il baisse mon caleçon qu’il me confisque. Ma
chemise, transparente, ne couvre que partiellement mes fesses mais bizarrement,
cela m’excite. Il me fait asseoir sur un banc dont le contact glacé me fait frissonner et
me dit : « Deuxième étape ma salope. Exhibition, suçage pis enculage dans le parc. »

M’ayant obligé à m’accroupir sur le banc, il passe sur mon sexe une grande dose de
gel glacé qui me fait frissonner. Il me masse de plus en plus vite, me réchauffant la
queue et le cul. Se penchant vers moi, il rend ma que dans sa bouche. Je gémis, me
rejette en arrière, et ondule du bassin pour baiser sa bouche de ma queue bien dure.
Alors que je vais jouir, râlant, gigotant en tous sens, il me lâche d’un coup et me dit : «
ce serait trop facile petite salope »…

Il s’asseoit près de moi et me demande de me caresser. C’est alors que son frère
arrive. Il me prend par les cheveux, relève ma têt vers lui et me dit : « T’es belle petite
salope. On va te faire ta fête. Viens Ed, je connais un recoin près des arènes, on va la
baiser ».

Entre ces deux mecs immondes qui ne cessent de me tripoter et de m’exhiber, les
quelques pas que nous avons à faire avant de nous arrêter me mettent en condition.
Je me retrouve à genou avec deux queues dans la bouche. Je prends la main de Ed et
la pose sur la queue de son frère en lui disant ; Allez, ne te gène pas, autant qu’on en
profite tous. » Désappointé, il ne résiste pas me donnant l’impression pour ne pas
dire la certitude qu’ils ont l’habitude de baiser ensemble… Marco me fait allonger dans
l’herbe, remonte mes cuisses et me prend d’un coup. Je connais l’orgasme le plus
extraordinaire de ma vie, ramoné et défoncé violemment, avec une deuxième queue
dans la bouche. Durant vingt minutes, ces deux salauds me baisent dans tous les
sens, m’exhibent, me donnent de petites claques sur les fesses, me giclent dessus.
J’avale leur foutre que je récupère dans mes mains. Puis, je me branle quelques
secondes et gicle sur leur visage. Ils avalent tout en me disant : « c’est ta récompense
petite salope ». Après m’voir palpé, maté, doigté quelques minutes encore, Ed me dit.
« C’est bon petite salope, on va te ramener chez toi ». C’est nu qu’ile me forcent à
retraverser le parc presque vide, en m’insultant et en me promettant de revenir me faire
ma fête.

Ils me laissent enfiler mon manteau lorsqu’ils me déposent sur le parking de ma
résidence et me promettent de revenir bientôt. Je les quitte en leur roulant un énorme
patin à chacun.

Quelques semaines plus tard, je déménageais sans jamais les avoir revus, mais en
ayant souvent imaginé qu’ils sonneraient en pleine nuit…

Si vous êtes de Nice, que vous êtes susceptibles de m’offrir la même aventure,
laissez-moi un message. Petite précision, je ne suis aucunement attiré par les
homos…

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