La Pdg.

Lorsqu’il entra dans le bureau de sa PDG, elle lisait un dossier, assise à son bureau, ses cheveux brun attaché en chignon, ses yeux vert caché derrière de petites lunettes rectangulaires. Alors qu’il prit place sur l’une des chaises en face du bureau, elle se leva, fit le tour du bureau et se posta devant lui, les bras croisés. Ce vendredi-là, elle portait un top blanc avec un col en v, un blazer noir avec des manches ¾, un jeans slim bleu nuit qui s’arrêtait au-dessus de ses chevilles et une paire d’escarpin noir brillant, sa tenue soulignait sa silhouette élancée et ses courbes séductrices. Elle le fixa quelque secondes avant de dire : « Vos résultat de ce trimestre sont très en dessous de votre moyenne, ou même du quota exigé dans cette entreprises, vous avez intérêt à vous ressaisir, sinon je serais obligée de me séparer de vous. » il laissa échapper une moue de gêne face à cette remarque, il savait qu’il avait des ventes moins bonnes dernièrement mais pas à ce point-là, il se ressaisit et répondit : « j’ai toujours eu les meilleurs résultats de mon secteur, mais en ce moment j’ai quelque problèmes personnels qui… », « Je m’en fiche ! » L’interrompit-elle. « J’ai créé cette entreprise, ma société et moi avons une réputation d’excellence, si vous n’êtes pas capable de vous donner à 100%, restez chez vous ! » ajoutât elle. Cette dernière remarque l’énerva au plus haut point, « après toutes ces années de travail, elle me traite comme un chien sans la moindre compassion », se dit-il. En colère, il se leva et tenta une fois encore de s’expliquer, mais elle refusa de l’entendre. Alors que la discussion continuait, le ton monta entre les deux, jusqu’au moment où, prit d’une rage folle et perdant le contrôle de lui-même, il empoigna sa directrice, la poussa sur le bureau et lui donna une clac sur les fesses en disant « puisque vous vous comportez comme une pourrie-gâtée, je vais vous traiter comme tel ! ». Ce n’est quand s’entendant prononcer ces mots qu’il se rendit compte de ce qu’il venait de faire, pas le temps de réfléchir, il se contenta de partir comme si de rien n’était.



Le lundi suivant, alors qu’il mettait à jours son cv et priait pour que son ex-patronne ne porte pas plainte après la fessée qu’il lui avait mis, sa réflexion fut interrompue par son téléphone qui sonnait. Il regarda le numéro affiché sur l’écran. C’était celui de son ancienne entreprise. Il hésita une seconde avant de décrocher. C’était la standardiste, elle lui demanda pourquoi il était en retard, étonné, il bredouilla une excuse et se mit en route les plus vite possible pour se rendre au travail. Arrivé sur place, tout semblait normal, il ne comprenait pas ce qui se passait, sa patronne n’avait rien dit ? Comment pouvait-elle le laisser continuer à travailler ici ? Tant de question se bousculait dans sa tête mais il fit bonne figure et se comporta comme si de rien n’était. Comme à son habitude, vers 13 heures il sorti manger un sandwich dans le petit café du coin de la rue, et comme à chaque fois, lorsqu’il retourna à son poste après manger, il croisa la PDG dans l’ascenseur, il fit semblant de rien et lui dit bonjour, pas de réponse. Une forme de gêne et tension régnait entre les deux. Chaque jour en revenant de son déjeuner, il croisa sa patronne dans l’ascenseur, la gêne qu’il y avait entre les deux se transformait de plus en plus en tension, une tension mêlée d’animosité et de sensualité.

Vendredi, une semaine jour pour jour depuis qu’il avait levé la main sur sa patronne, dans l’ascenseur qu’ils partageaient avec elle après le déjeuner, la tension était si forte qu’il l’aurait cru palpable mais la PDG ne dit toujours rien. À peine assis à son bureau, il reçut un email de sa PDG, « 18h, dans mon bureau. » rien de plus, « merde je suis foutu » pensa-t-il.

L’heure était venue, il faisait déjà nuit dehors, il se tenait devant la porte du bureau depuis plusieurs seconde quand il prit son courage à deux mains et frappa à la porte. Persuadé qu’il allait être viré, il regardait ses chaussures jusqu’à ce que la porte s’ouvre et qu’il entende la voix de sa patronne : « entrez.
», il fut étonné du ton doux avec lequel elle parlait, il releva doucement la tête pour la voir debout tenant la porte ouverte. Elle portait des bottes noir qui lui arrivé aux ¾ de ses mollets, ses longues jambes fines étaient couvertes de bas noir, la vision de ses jambes interminables était interrompue par le blanc de sa jupe crayon qui s’arrêtait 5 centimètres au-dessus des genoux, un chemisier ample en satin noir couvrait son torse, les quelque bouton du haut ouvert et l’amplitude laissaient entrevoir les courbes cachées dessous, ses long cheveux brun tombaient sur chaque épaule et s’arrêtaient à mi-chemin entre sa clavicule et le bout de ses seins, ses beaux yeux verts n'étaient caché par aucune perds de lunettesa. Un visage plus doux qu’a son accoutumée, elle répéta d’un ton toujours aussi doux : « entrez. », il avança, perplexe. Elle referma la porte derrière lui et se dirigeât vers le bureau, il la suivit, elle se tenait à quelque mètres de lui, côté de son bureau quand elle dit : « Ce que vous avez fait la vendredi derniers, personne n’avez jamais osé… », elle marqua une pause, les idées se bousculèrent dans la tête de l’employé, il s’apprêtait à dire quelque chose quand elle reprit : « je veux que vous recommenciez… ». Elle se pencha en avant, les avant-bras à plat sur le bureau en verre, les jambes droites, le dos légèrement cambré, regardant devant elle, il la regarda avec surprise et admira ses somptueuses formes. Après quelques secondes, elle tourna la tête et demanda : « alors ? », il se ressaisit, approcha timidement et frappa, elle n’eut aucune réaction, il frappa encore. Elle regarda par-dessus son épaule et dit « comme vendredi derniers. », le coup suivant fut plus violent, elle ne put retenir un petit gémissement de plaisir et de surprise lorsqu’elle senti la morsure de la claque sur sa peau, « encore. » demanda-t-elle. Il frappa encore, mais cette fois, sur l’autre fesse, la sensation de brulure provoquée par la claque sur cette fesse vierge de toute violence fit comme une décharge dans tout le corps de la PDG qui ne put s’empêcher de laisser s’échapper un gémissement mêlant excitation, douleur et plaisir.
Avec chaque fessée, le corps de la PDG trembla un peu plus et ses gémissements contenaient de moins en moins de douleur et de plus en plus de plaisir, la fessée dura jusqu’à ce que la main de l’employé s’engourdie, alors qu’il voulait arrêter, elle demanda : « encore, s’il vous plait », il continua jusqu’à ce qu’il voit le corps de la PDG se contracté de plaisir, elle senti ses doigts se contracté sur le verre de son bureau et faillit tomber quand l’une de ses jambes se contracta de plaisir.

Elle resta pliée sur son bureau quelques minutes avant de s’installer dans son fauteuil, elle avait la tête embrumée, jamais elle n’aurait cru prendre autant de plaisir de cette manière, mais les faits étaient là. Elle sentait encore son fessier brûler mais plus rien n’avait d’importance, elle ferma les yeux et passa ses mains dans ses cheveux tout en se mordillant la lèvre inférieure. Quant à lui, bien qu’excité, il restait perplexe face à cette situation, après un moment d’hésitation il décida de rentrer chez lui et il partit. Le lundi matin, il reçut un email de la PDG : « vendredi, 18h dans mon bureau. » rien de plus.

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