Couple Magrebin À Paris (Chapitre 7)

Chapitre 7
J'étais littéralement en état de choc. Je venais juste d'être de regarder ma femme se faire prendre par son puissant amant italien. Frédérico en avait fini avec elle à présent. Presque paresseusement, dégageant une confiance en lui toute masculine, il retira de ma femme son pénis encore gonflé et luisant.
Malgré moi j'avais l'œil attiré par cette scène, observant les épaisses gouttes de sperme sur son prépuce humide, alors qu'il ressortait du corps superbe de Nadia.
Quand il se leva, laissant ma femme allongée sur notre lit nuptial, son membre se balança en l'air devant lui, encore aux trois-quarts en érection. Il savourait visiblement la liberté de son sexe, qui à moi m'était refusée, mon pénis étant étroitement serré dans son étroite gaine.
J'eus soudain la pensée terrifiante que cette gaine avait peut-être été une idée de Fredi, et probablement la ceinture également, qui emprisonnait mes poignets devant moi. J'étais ligoté comme du saucisson, et j'avais le sentiment d'être destiné à l'abattoir. Chaque muscle de mon corps était tétanisé sous le choc. Je sentais ma tête légère, comme si j'allais m'évanouir à tout moment.
Nadia émit un petit gémissement de satisfaction, épuisée. Ce bruit me fit détourner mes yeux du phallus de Frédérico pour porter mon regard vers le corps de cette femme qui était légalement la mienne, mais dont j'étais devenu maintenant l'esclave.
Elle était allongée sur le dos, avec ses superbes cuisses satinées écartées sans aucune pudeur. Comme je la regardai elle bougea légèrement, et une traînée de semence coula doucement en sortant de son intimité, glissant des lèvres de son sexe vers le lit.
Le regard de Fredi avait suivi le mien et il éclata bruyamment de rire. Alors, pour la première fois il s'adressa à moi au lieu de Nadia. "Il me semble que tu es parfaitement à ta place, n'est ce pas ?" me dit-il en souriant avec ostentation. "J'ai toujours rêvé de baiser la femme d'un jeune marié, et maintenant c'est fait ! Je n'ai jamais compris pourquoi les femmes s'embêtent à se marier avec des tapettes comme toi.

Ce doit être pour l'argent, ou la sécurité je suppose. Hé bien, elle ne sera plus jamais satisfaite par une petite bite comme la tienne, maintenant, tu comprends ? Je lui ai montré ce que c'est d'être réellement prise par un homme, un vrai. Elle ne voudra plus jamais de tes efforts pathétiques !"
Je n'osais prononcer un mot. Fredi était large d'épaules, et semblait fort et musclé. J'avais mes poignets entravés. Il venait juste de baiser ma femme sous mes yeux, et je n'avais pas réagi. Je n'étais pas près de tenter quelque chose à la légère maintenant.
J'étais toujours hébété, quand cet homme puissant, totalement nu, s'approcha vers moi et me souleva de la chaise, me tirant à lui, et m'embrassa avec force sur les lèvres.
Je tentai de lutter pour m'échapper, mais toute résistance était inutile. Un seul bras avait suffi à Fredi pour me porter dans son étreinte d'acier. Ce que je ressentis lorsque ses lèvres se rivèrent aux miennes, n'était ni de l'excitation ni du dégoût, mais seulement de la peur à l'état pur !
Au même instant je sentis sa main libre se promener entre mes jambes, sur ma gaine, tâtant la petite bosse que formait mon pénis comprimé. Il caressa vigoureusement mon sexe emprisonné pendant quelques secondes, puis me lâcha. Je tombai à genoux. J'avais l'impression que le monde s'était écroulé autour de moi.
A la limite de la conscience, j'entendis Nadia dire : "laisse-le tranquille, Fredi. Tu m'as promis que tu ne lui ferais pas de mal.'
"Je ne suis pas en train de te faire mal, n'est-ce pas ma petite chienne ?" roucoula Fredi. "Ne t'inquiète pas, je ne suis pas homosexuel, et je ne vais pas te violer, mais tu dois me montrer que tu acceptes le droit que j'ai de baiser ta femme quand j'en ai envie. Tu sais, le mâle dominant, ce genre de choses. Non... Peut-être que tu ne connais pas, mais tu apprendras vite !"
En disant cela, Fredi me rapprocha de lui à nouveau. Son pénis s'était détendu à la moitié de sa taille maximum à présent.
Il pendait devant ce qu'une femme qualifierait sans aucun doute de testicules bien fournis. Avec horreur je m'aperçus qu'en étant tombé à genoux, ma bouche était maintenant à 5 centimètres de son sexe.
"Suce-moi," ordonna Fredi. "Prends ma bite dans ta mignonne petite bouche et suce-moi. C'est ton devoir, en tant que mari de Nadia, tu sais ! Tu vas devoir apprendre à nettoyer et à astiquer la bite de son amant pour elle. Lèche mon pénis, et quand il sera dur à nouveau, nous verrons ce que Nadia voudra faire avec, d'accord ?"
Je commençai à trembler. J'étais à bout de nerf. "Attention Fredi," dit doucement Nadia.
"Ecoute mon petit," répondit Fredi, "je ne vais pas te faire du mal. Je ne vais pas te forcer à faire quoi que ce soit que tu ne veuilles pas. Regarde, je te laisse même partir si tu veux."
Disant cela, il se pencha en avant et, avec un geste sec, défit la boucle de la ceinture emprisonnant mes poignets. J'étais libre !
"Merci Fredi," remercia Nadia. Elle se leva, et, après avoir fouillé dans un tiroir un moment, enfila une petite culotte de dentelle rouge et un soutien-gorge assorti. J'osais difficilement la regarder à présent. J'avais l'impression d'avoir perdu même le droit de voir le corps de ma propre femme.
"Tu es toujours mon mari," l'entendis-je dire. "Regarde-moi !"
J'obéis. J'avais les larmes aux yeux, mais j'étais tellement épuisé nerveusement que je ne pouvais plus réellement pleurer.
"Dis-moi que tu m'aimes" commanda-t-elle. Je le fis, avec une voix étranglée et haut perchée que je ne reconnus même pas. "Encore !"
"Je t'aime Nadia," parvins-je à articuler. "Je t'aimerai et t'adorerai toujours, et je te servirai toujours."
"Voilà qui est mieux," dit-elle. Puis elle vint vers moi et s'agenouilla à côté de moi. Doucement elle pressa un de ses seins sur ma bouche.
"Suce-le," ordonna-t-elle. "Mets tes bras autour de moi. Tiens-moi, et lèche mon sein."
Sans trop me rendre compte de ce que j'étais en train de faire, et tout en sachant que chaque moment qui passait me rendait à chaque fois plus dépendant d'elle, j'obéis.
Je passai mes bras autour des épaules de Nadia, et elle me fit glisser sur mon dos comme un bébé, comme si elle allait m'allaiter.
Me maintenant sur ses cuisses, elle me permit de lui lécher le sein à travers son soutien-gorge. Puis elle fit glisser le téton pour le sortir et le poussa dans ma bouche. Pendant cinq bonnes minutes je la suçais ainsi doucement.
Petit à petit je reprenais mes esprits. Je me sentais toujours perturbé, mais maintenant au lieu d'être effrayé je commençais à ressentir un sentiment de réconfort et de sécurité. Un poids énorme venait de libérer mon esprit : Nadia m'aimait réellement.
Ensuite, avec sa main libre, Nadia commença à caresser doucement mon entre jambes, ce qui me calma encore plus. Bien sûr, je n'avais aucune possibilité de jouir si elle ne me retirait pas ma gaine, mais le désir commença à m'envahir.
Durant tout ce temps Fredi était resté debout à côté de Nadia. Puis elle me fit m'asseoir à nouveau et se mit à caresser le pénis de Fredi.
Je faisais maintenant face à Nadia, qui était assise les jambes croisées sur mes genoux, avec Frédérico debout au-dessus de nous. Une fois de plus Nadia me poussa en avant et mit son superbe sein entre mes lèvres, de nouveau à travers son soutien-gorge.
Après à peine une vingtaine de secondes Nadia empoigna de sa main le sexe pendant de Fredi. J'observais les yeux grands ouverts la façon dont elle manipulait son prépuce d'avant en arrière, à seulement quelques centimètres de moi. Petit à petit son pénis commença à retrouver de la vigueur.
Pendant ce temps Nadia me maintenait la tête afin que je continue à sucer son sein.
Avant que la tige de Fredi ne se redresse trop, avec son autre main elle commença à la rapprocher de moi. Lentement elle frotta le pénis de haut en bas sur le tissu doux de son soutien-gorge, d'abord sur le sein le plus éloigné, puis faisant passer le membre grandissant sur le même sein que celui que j'étais en train de sucer.
Maintenant son sexe n'était plus qu'à deux centimètres de mes lèvres, posant son empreinte sur le sein.

"Souviens-toi," me dit Nadia. "Fredi ne mentait pas. Nous ne voulons pas te forcer à faire quoi que ce soit que tu ne veuilles pas. Mais tu m'aimes, et je veux que tu suces la bite de Fredi pour me prouver combien tu m'aimes ! Cela sera pour moi un spectacle incroyablement érotique si tu le fais. Je veux te voir sucer Fredi pour moi. Mais je veux que tu ais envie de le faire, chéri. Tu verras, c'est vraiment extrêmement agréable de faire ça. Tu peux me croire, j'ai essayé moi-même. Je vais maintenant mettre la bite de Fredi dans ta bouche. Si tu continues à lécher mon sein cela signifie que tu es d'accord pour le sucer, d'accord ?"
J'étais réduit à l'impuissance. Je ne pouvais rejeter la demande de Nadia car je ne pouvais m'arrêter de téter ses seins. Je pus voir le pouce et les ongles vernis des doigts de Nadia s'emparer du sexe de Fredi.
Des secondes passèrent, et je ne pouvais m'arrêter de sucer. Elle amena le pénis de son amant juste sur ma bouche. Puis elle le fit s'éloigner du sein, et je me retrouvai en train de lécher un phallus en érection.
Nadia bougea légèrement et prit ma tête dans ses mains. J'avais maintenant un membre épais et lourd, humide de ma propre salive, qui allait et venait entre mes lèvres.
"C'est bien mon garçon," dit Nadia pour m'encourager.
Fredi commençait à prendre du plaisir. Ses mouvements allaient plus profond à présent, jusqu'à ce que sa hampe vienne pénétrer le haut de ma gorge à chaque fois qu'il poussait plus fort. J'étais hébété, mais Nadia me rappela à l'ordre en m'ordonnant de sucer et lécher le sexe de son amant, ce que je continuai de faire.
Avant que je ne me rende compte ce qui était en train d'arriver, Fredi fut prêt à jouir. Ses poussées profondes amenaient ses testicules jusque sur mes lèvres à présent. Nadia maintenait ma tête fermement.
Puis Fredi se mit à crier : "oui, Nadia oui ! Tiens-le, je vais me le faire !"
Encore trois coups forts et rapides, puis Fredi maintint son sexe en position. Ma mâchoire était douloureuse après avoir été e si longtemps, et je frémis de peur quand son phallus puissant commença à trembler dans ma bouche. Son sexe bloquait ma gorge et je pouvais difficilement respirer, et je me rendis vaguement compte qu'il était en train d'éjaculer.
Au début je ne sentis rien, mais quand après une minute il se retira, le goût salé et acre de son sperme resta sur ma langue. Il venait réellement de me baiser par la bouche.
Nadia relâcha ma tête et tourna autour de moi pour me regarder dans les yeux. Je venais d'être rempli par la semence d'un autre homme pour elle. Doucement, elle m'embrassa sur les lèvres, sa langue s'agitant pour savourer le jus d'un vrai mâle. Je notai que ses tétons étaient durs comme du bois comme elle joignait sa langue à la mienne, goûtant avec moi la semence de Fredi.
Quand elle se retira je vis une lueur de triomphe dans ses yeux. Elle me récompensa pour ma soumission à ses désirs par la permission d'enlever enfin ma gaine.
Nadia m'expliqua que ce serait une faveur très rare pour moi, mais vu les circonstances elle était sûre que cela ne poserait pas de problème à Fredi. Elle me donna sa petite culotte et me demanda de la mettre dans ma bouche et la sucer.
Puis elle m'ordonna de me masturber devant elle et Fredi.
J'obéis, et rapidement une grosse giclée de sperme jaillit dans ma main. J'aurais aimé pouvoir utiliser le soutien-gorge de Nadia pour me masturber avec, mais ce plaisir me fut refusé.
Bien sûr, du liquide commença à couler de ma main, et Nadia m'ordonna alors de la frotter contre moi, puis d'aller prendre une douche, avant de remettre une gaine propre.
Durant le reste de la nuit je dormis sur le sol, à côté du lit de Nadia et Fredi. Fredi ligota à nouveau mes mains pour m'empêcher de me masturber pendant la nuit.
Au matin quand je m’éveillais ce fut pour entendre les bruits d'un Frédérico de nouveau en rut, pénétrant Nadia profondément et longuement.
Je ne pouvais rien faire d'autre que de rester allongé là, à écouter, et imaginer cet homme faisant jouir ma femme avec son sexe. Je ne cherchais même plus à imaginer d'essayer de l'arrêter. Après tout j'étais devenu sa chose il m'avait pris par la bouche, répandu son sperme le long de ma gorge, et il restait probablement des restes de sa semence dans mon estomac !
Je lui appartenais, de la même manière que Nadia était en son pouvoir.
Quand enfin il partit pour regagner sa chambre, j'étais presque triste de voir l'amant de Nadia nous quitter. Elle était de si bonne humeur d'avoir été comblée ainsi par cet homme, qu'elle m'autorisa à libérer mes poignets, puis à venir me pelotonner contre elle dans le lit pendant une heure, avant un petit déjeuner très tardif.
Bien sûr je dus garder la gaine, mais Nadia caressa mon sexe emprisonné à travers le tissu, et cela me combla. Je venais d'être mis à l'épreuve pour prouver mon amour à cette femme, et j'avais réussi. Maintenant elle pourrait faire de moi ce qu'elle voudrait, j'étais sûr que je le supporterai.
Qu'est-ce qui ce passerait après notre retour en France ? Est-ce qu'elle raconterait à nos amis la façon dont s'était passé notre voyage de noces ? Je me blottis contre les seins tièdes de Nadia et me mis à rêver à la longue vie d'esclavage qui m'attendait maintenant.
FIN

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