Prise En Main Par Mon Voisin : Chapitre 6

Une fois le plug en place dans mon anus étroit, mon maître me laisse m'habiller, tanga, soutien-gorge, bas, jupe mi-cuisses, un pull décolleté et il me prépare mes talons de 10 centimètres... Je me trouve ultra-sexy, mais jamais je n'aurais osé sortir comme ça sans lui. Mais Romain me complimente, me met en confiance, et surtout m'excite terriblement.

Nous mangeons calmement chez moi en parlant de tout comme un simple couple, même si le plug se rappelle à moi au moindre de mes mouvements. C'est un peu douloureux, mais je l'avoue, c'est aussi excitant.

Après manger, nous partons, je marche difficilement avec mes talons et le bras de mon maître est le bienvenu pour me tenir. Heureusement, il m'emmène à sa voiture même si je ne sais toujours pas notre destination de l'après-midi.

Je soupçonne mon maître de prendre volontairement tous les ralentisseurs et toutes les bosses de la route pour me faire ressentir mon plug anal. C'est parfois douloureux, je le sens élargir mon anus, mais je sens aussi mon sexe s'humidifier... Moi la jeune femme sage et pudique, je ne reconnais plus mon corps. Après quelques minutes, nous arrivons devant un grand sex-shop bien connu de notre ville. Je regarde mon maître d'un air inquiet, je ne suis jamais allée dans un endroit comme ça.

— Ne t'inquiète pas, ma soumise, nous allons chercher de nouveaux jouets. Je suis bien sûr prêt à répondre à toutes tes questions comme toujours. Mais je te veux obéissante, c'est compris ?
— Oui maître, je t'obéirais, promis.
— Bien, allons-y.

Nous sortons de la voiture et entrons dans le sex-shop. A ma grande surprise, c'est très lumineux, très « joyeux » comme ambiance, alors que j'imaginais ça plus malsain. Je suis un peu rassurée, je souris et jette un regard curieux aux différents rayons. Je remarque deux femmes derrière la caisse qui nous saluent presque amicalement à notre entrée dans le magasin.


Nous faisons le tour des rayons avec mon maître, je regarde, je pose des questions, parfois bêtes, nous rigolons, je me détends vite, par moments, j'oublie même mon plug. Au détour d'un rayon, profitant que personne ne nous voie, mon maître claque mes fesses au travers de ma jupe, faisant immédiatement rentrer plus loin le plug et m'arrachant un petit couinement de surprise... et quelques gouttes de cyprine dans mon tanga. Il me regarde avec un petit sourire de satisfaction et nous continuons notre visite du sex-shop.
En arrivant au rayon bdsm, mon maître me montre les cravaches et les martinets.

— Je vais prendre une cravache et un martinet, je suis sûr que tu auras en besoin ma soumise.
— Je serais toujours obéissante à mon maître.
— Ah bon ? J'ai un doute, je les prends.


Son sourire coquin me fait frémir, d'un côté, je crains ces accessoires et de l'autre, ça m'excite d'être punie par mon maître.

— Nous allons tout de suite tester ton obéissance... Je suis sûr que tu as vu un vibro qui te plais et que tu aimerais tester, je t'ai vue les regarder tout à l'heure. Tu vas prendre celui qui te plaît, tu vas à la caisse, tu dis que tu l'achètes, mais que tu veux le tester tout de suite. C'est un service qu'elles proposent ici, dans une pièce à l'abri des regards.
— Je ne peux pas maître, je suis bien trop timide, je vais passer pour une salope.
— Rappelle-toi, tu as promis d'obéir. Sois tu le fais de toi-même, sois je vais leur demander, mais en plus, tu seras punie.


Je tremble, j'ai honte, je baisse le regard, mais je crains la punition. Je sais qu'il sera intransigeant. Je me dirige au rayon vibro, je choisis un rabbit qui me plaît beaucoup, et je me dirige doucement, honteuse, vers la caisse, mon plug commence à me faire mal à l'anus, je le porte depuis plusieurs heures maintenant, je marche difficilement avec mes talons, heureusement, il n'y a plus d'autres clients pour l'instant.
Je m'approche des deux vendeuses qui discutent entre elles.

— Excusez-moi mesdames, j'aimerais acheter ce vibromasseur, mais il parait qu'on peut le tester avant, je m'excuse de vous demander ça.


Elles me regardent toutes deux, amusées de ma timidité et la plus âgée, qui doit avoir une quarantaine d'années, me dit de la suivre dans une pièce prévue pour ça. Je la suis jusqu'au fond du magasin, je ne peux m'empêcher de regarder ses fesses dans sa jupe aussi courte que la mienne, elles sont plus rondes que les miennes, mais c'est une belle femme qui semble bien conservée. Mon maître nous rejoint, nous entrons dans une petite pièce avec un canapé en cuir rouge, une lumière tamisée, ambiance intime, je suis un peu perdue, je suis le mouvement. La femme s'apprête à fermer la porte derrière nous et à nous laisser avec mon maître.

— Attendez, je pense que ma soumise aura besoin de votre aide pour utiliser ce vibro. Jennyfer, baisse ta jupe, ton tanga et allonge-toi sur le canapé.


Cette phrase de mon maître me glace le sang, il n'est pas sérieux, je ne vais pas me montrer nue devant cette femme et encore moins la laisser me masturber. Bizarrement, elle ne dit rien, elle regarde mon maître avec un léger sourire.

— Jennyfer, tu m'as promis d'obéir. Rassure-toi, je connais un peu Marie qui est ici avec nous, elle sera douce et rien ne sortira de cette pièce. Je suis sûr que tu vas aimer... Obéis ou tu goutteras le martinet... devant elle.


Je suis tremblante, je n'ai jamais été autant gênée, mais j'obéis, comme si mon inconscient en avait envie. Et le pire, c'est de retirer mon tanga et de le voir plein de mouille, je n'ose pas lever les yeux et regarder la vendeuse qui a déballé le vibro. Je m'allonge, je regarde le plafond, j'ai honte de m'exposer ainsi et honte de sentir ma chatte trempée malgré tout et le plug qui ouvre toujours mon anus. Marie se place à genoux entre mes jambes écartées.


— Oh, mais elle est trempée votre belle soumise, elle est très attirante et pas si timide visiblement. Et en plus, je vois que vous avez rempli son cul.
— Oui, mais n'y touchez pas, elle est encore novice à ce niveau. Montrez-lui comment une femme peut en faire jouir une autre.
— Avec plaisir.


Je n'ose pas dire un mot, il parle de moi et de ma chatte trempée, je suis honteuse. La main de Marie se pose sur mon sexe, elle me frôle, caresse doucement, elle est délicate, elle effleure mes lèvres trempées, mon clito déjà sensible. Elle caresse mon clito, le frotte plus fort, intensément, il gonfle de plaisir...

Malgré mon gène, je n'arrive pas à retenir mes gémissements qui l'encouragent à continuer. Marie approche sa bouche et commence à me faire un cunni, même si mon maître fait ça très bien, le cunni de Marie est fantastique, je gémis, je me tortille sous sa langue habille, je me lâche, j'appuie sur sa tête, je veux qu'elle me lèche encore et encore...

Mais elle arrête son cunni et approche le vibro, elle enfonce sans difficulté la partie gode dans mon sexe et les « oreilles » du rabbit se posent sur mon clito. Et lorsqu'elle le met en route...
C'est l'extase, je n'ai jamais utilisé de sex-toys, jamais senti autant de sensation, le plug dans mon anus, les vibrations simultanées dans mon vagin et sur mon clito...
J'espère que la pièce est bien isolée, car je gémis sans retenue, je crie mon plaisir et Marie sait jouer avec cet objet.

— Maître c'est trop bon... Hummm j'adore ! Je vais jouir Maître ! PUTAIN c'est bon !
— Je savais que ça te plairait, laisse-toi aller ma soumise, Marie va te faire jouir.


La vendeuse varie les mouvements du sex-toy et appuie sur les boutons pour les vibrations, c'est trop pour moi, je sens un orgasme immense monter en moi, mon regard se perd, mes pensées aussi, il n'y a qu'un crie qui sort de ma bouche et l'orgasme me met KO.


— Ouuuiiiiiiiiiiii !


Et puis plus rien, un blanc, l'inconscience... Lorsque je reprends mes esprits ,Marie n'est plus là, je n'ai plus le plug dans mon anus, ni le vibro dans le vagin. Romain est là, il me caresse doucement, me câline. Je reprends mes esprits doucement, jamais je n'ai joui comme ça.

— Merci Maître de me faire vivre ça, de me faire découvrir ces plaisirs.
— J'en suis très heureux et tu le mérites ma soumise. Rhabille-toi tranquillement et partons, rassure-toi, je connais bien les deux vendeuses, je suis un client habitué, elles garderont tout ça pour elle.
— Tu as déjà couché avec ?
— Non, elles sont lesbiennes et en couple ensemble.


Nous quittons le sex-shop, les deux femmes nous saluent à notre sortie, rien ne laisse voir aux autres clients ce qui vient de se passer dans cette petite pièce, encore une journée fantastique avec mon maître...

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