Le Hasard Fait Bien Les Choses

Le hasard fait bien les choses. J’ai 52 ans, pas trop mal fait, j’ai conservé un corps svelte, pas de ventre, assez musclé. Marié depuis 30 ans, je mène une vie familiale et professionnelle sans problème. La seule fausse note dans cette vie est que sexuellement avec ma femme ce n’est pas terrible. Très peu de relation, elle ne veut plus pratiquer de fellation, position missionnaire, ca dure 3 mn, elle jouit et rien de plus. Une vie monotone en quelque sorte.
Je pratique le Tennis dans un club pas très loin de chez moi, ça me détend et me permet d’avoir une vie sociale. J’y retrouve beaucoup d’homme de mon âge, seul, ils viennent là pour avoir une vie conviviale, pratiquement tous sont marié, leurs femmes ne les accompagnants pas.
Après des parti acharnés, nous prenons notre douche ensemble, et il n’est pas rare d’entendre des quolibets grivois sur la grosseur du sexe ou sur les fesses rebondies ou autre, aussi bien de tendance homo que hétéro. Nous en rions bien, mais ca en reste que de l’humour. Souvent nous nous retrouvons au bar du club à boire une bière et discutons de chose et d’autres puis chacun rentre chez soi.
Un jour, il était 21h30, ayant oublié ma serviette dans les douches, je retourne rapidement la récupérer, avant de reprendre ma voiture. J’arrive au vestiaire et juste avant d’allumer la lumière je perçois un léger bruit presque imperceptible. Je pensais qu’une personne malveillante s’était cachée dans les vestiaires dans le but de pouvoir ensuite forcer les casiers des membres, certains d’entres nous y laisse parfois de l’argent ou des habits. Ma première réaction fut de repartir et prévenir le gardien du club, mais étant de nature aventureuse, je me suis sans bruit glissé discrètement dans le vestiaire, j’avais repéré d’où venait le bruit et avait l’intention de surprendre la personne. Je m’avançais discrètement jusqu’à la deuxième rangé e de casier et là je me suis retrouvé complètement déconcerté. Il y avait mon ami Bernard avec qui je jouais en double qui, à genou était en train de sucer un autre homme que je connaissais de vue dans le club.

Ils étaient nues tous les deux, l’autre était assis sur le banc et avec ses mains sur la tête de Bernard le faisait monter et descendre à son rythme. J’étais un peu bloqué et ne savait plus quoi faire. Ils ne pouvaient me voir et moi j’étais fasciné par la situation.
Au bout de 5 mn d’un pompage digne d’un film porno, l’autre émis une légère plainte et a éjaculé dans la bouche de mon ami qui apparemment s’est empressé de tout prendre avec envie. Toujours dissimulé entre deux casiers, je m’aperçu que je bandais et avais une impression de honte de les avoir surpris mais en même temps très curieux de voir la suite. Une fois bien nettoyé la queue, il se relevait, il bandait bien, le vasistas des vestiaires permettait de faire entrer l’éclairage du lampadaire de la rue. Il avait un sexe pas très gros, ni très long, mais avec un beau gland qui brillait, l’autre s’est relevé aussi, Bernard a repris la place assise, et je pensais qu’ils allaient inverser les rôles, mais pas du tout. Bernard assis l’autre est venu de dos s’assoir sur lui. C’était la première fois que je voyais un homme se faire sodomiser devant moi. Lentement il descendait sur le sexe de mon ami, une fois bien à fond il se mit à monter et descendre sur la queue dans un rythme de plus en plus rapide. Bernard soufflait assez fort et je le voyais faisais des efforts pour ne pas jouir tout de suite. Il avait placé ses deux mains sur la poitrine de l’autre et titillait ses tétons comme pour une femme. Je l’ai vu se raidir et cambrer le corps je compris qu’il éjaculait dans un orgasme silencieux. L’autre se releva faisant sortir doucement le sexe de Bernard de son cul puis se retournant il l’essuya avec une serviette de toilette et se mis à le sucer. Mais le sexe restait flasque. Je me retirai très silencieusement des lieux et rejoins ma voiture, je démarrai immédiatement, je n’avais pas envie de me faire surprendre.
Quand je rentrai chez moi, après ce spectacle, je sentais monter en moi une vague de désir.
J’ai fait alors des tentatives de charme auprès de mon épouse, mais sans effet….je savais que je n’en tirerai rien. J’allais donc me masturber dans la salle de bains en fantasmant sur ce que j’avais vu et ressenti un étrange plaisir en éjaculant plus que d’habitude.
Les scènes de la soirée me revenait en rêve, mais quand même je n’arrivais pas à me projeter dans ce type de relation. Moi qui ai cherché longtemps à trouver une maitresse avec qui je pouvais satisfaire mes besoins sexuels (sans succès…).
Je retournais au club le samedi après midi suivant, y rencontrant Bernard, je me suis aperçu que je ne pouvais plus le voir de la même manière. Ses vannes sur les femmes quand on se changeait avant d’aller sur le court me paraissaient tomber à plats mais je faisais comme si que…..Le match fini, nous nous sommes dirigés vers la douche, papotant sur les exploits que nous avions réalisé et autres que nous n’avions pas réussi. Dans la douche je ne pouvais pas résister à regarder son sexe, hypnotisé je le regardais de façon incessante et je ne m’aperçu de cela que quand il me dit –« il t’intéresse tant que cela ». Je bafouillais une excuse quelconque faisant celui qui ne comprenait pas. Mais malheureusement, dans ma rêverie je ne m’étais pas aperçu que j’avais une érection monstrueuse et il rajouta –« il va falloir que tu t’astiques pour évacuer tout cela, bon plaisir », et il quitta la douche.
Sur le parking du club, juste avant que je reparte, il me rejoignit pour me lancer à la volée –« mercredi soir on fait une soirée mecs chez Christian, si ça te dit rejoins nous ».
Pourquoi pas ! Surtout que l’ambiance était toujours à la rigolade entre amis.
En rentrant, effectivement, je me suis précipiter dans la salle de bains et je me masturbais pour faire baisser la tension que je ressentais et me suis donner un grand plaisir à me voir éjaculer dans la glace de la salle de bains. Pour la première fois, je fis quelques choses que je n’avais jamais faites, je léchais le sperme recueillis sur ma main.
Le gout n’étais pas désagréable, un peu salé, mais j’appréciais.
J’ai recommençais le lendemain matin, mais cette fois je recueillis tout et l’avalais goulument, j’avais franchi un cap dans mon plaisir sexuel. (A suivre)

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