Vite Fait, Bien Fait

Je tournai la clé, commençai à pousser la porte, elle ne me laissa alors pas le temps
de réagir. Elle accéléra le mouvement d’ouverture, claqua la porte, me saisit par la
cravate et m’attira dans le salon. Elle s’agenouilla devant moi, défit ma braguette et
sortit ma bite du pantalon. Une chance, je n’avais pas de sous-vêtement !
Elle joua quelques instants avec mon engin, puis se mit à le pomper de sa bouche
experte. Elle durcissait lentement. Elle en profita pour la prendre en entier entre
ses lèvres et faire tourner sa langue autour du gland. La sensation était fort
sympathique. Tout en me suçant, elle se déshabillait. J’en profitais aussi pour ôter
veste, cravate et chemise et faire tomber mon pantalon.
En quelques secondes, nous étions nus – ou presque, elle avait gardé ses escarpins à
talons hauts – et elle continuait à faire monter mon érection en me léchant la queue.
Je ne fus pas long à afficher une bite bien raide. Elle continuait à le sucer, et
alternait entre couilles et queues.
« J’ai préparé mon cul pour ce soir, lâcha-t-elle entre deux aspirations de ma verge.
Je te veux dans mon cul. Tu pourras avoir ma chatte demain ou peut-être après mon cul
si tu as encore de la force, finit-elle dans un sourire. »
Je la fis remonter de sa position à genou et plaqua mes lèvres contre les siennes pour
lui rouler une pelle magistrale. La cochonne s’entendait en baiser. Elle faisait
tourner sa langue dans ma bouche avec force salive et vitesse. De mes deux mains, je
lui pétrissais les fesses, pendant que ma bite au garde-à-vous frottait son ventre. De
mon majeur droit, je jouais avec sa rosette. Elle ondulait des fesses avec bonheur,
comme une chatte qui se frotte à votre jambe, en ronronnant.
Elle se détacha de moi, me pris la main et alla s’asseoir sur le canapé. Elle écarta
les cuisses, offrant à ma vue sa chatte et son cul parfaitement épilés.

Ce fut à mon
tour de m’agenouiller devant tant de beauté et de placer ma langue sur ce petit trou
accueillant. Elle plaça ses mains sur ma tête pour me faire bouger avec son plaisir.
Son trou mignon se contractait et se relâchait au rythme de ma langue. A chaque
décontraction, je rentrais ma langue et y déposait un filet de salive.
Au bout de cinq minutes de ce petit jeu, je me relevais et posais mon gland à l’entrée
de ce cul. Elle attendait tellement ce moment, qu’elle poussa son bassin et m’aspira
en une fois. Jamais pénétration sodomique ne fut aussi rapide. J’étais entièrement
dans son cul et elle commença à onduler, alors qu’elle fermait les yeux et semblait
dans un de ses transes sexuelles que j’appréciais tant.
J’allais et venais dans son cul avec autant de facilité que dans sa chatte. Je voyais
ma queue rentrer et sortir, encerclé de sa rondelle merveilleusement dilatée. Le bruit
que faisait mon sexe dans son anus était délicieusement pervers et amplifiait le
plaisir de la sodomie. Elle était aux anges, se caressant tantôt les seins, tantôt la
chatte. Son orgasme surgit comme une lame de fond. Son cul se contracta, enserrant si
fort ma queue que je ne pouvais plus bouger. Puis des vagues de spasmes contractait et
relâchait ma queue. La dernière m’expulsa hors d’elle. Ma bite hors de son écrin anal
éjecta un long jet de sperme qui lui atterri sur les seins.
Je fus, à mon tour, saisi d’un orgasme puissant, déchargeant de longs jets de foutres
sur son corps. Elle étalait ma jute sur son corps, sans aucune retenu, léchant ses
doigts, se délectant de ma semence. Ma queue complètement asséchée, elle me prit par
le coup et fourra sa langue dans ma bouche. Son baiser avait le gout de mon sperme et
je profitais pleinement de ce moment de bonheur partagé. Nous nous embrassâmes de
longues minutes, caressant nos corps satisfaits de tant de jouissance.

Elle retira sa langue de ma bouche, pris mes bourses dans sa main gauche et d’une voix
qui ne laissait pas planer le doute me demanda : « tu as encore du jus pour me baiser
? » Rien que la question déclencha une nouvelle érection.

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