Bonne Amie

Ma compagne a une très bonne amie, toujours d'accord pour aller faire des courses, des boutiques entre femmes, du sport, des activités culturelles, mais car il y a un mais, cette brave
Henriette (pseudo) m'a sacrement surpris un jour en me demandant de venir lui réparer sa tondeuse à gazon qui ne démarrait pas. (son mari est complètement abruti)
En très bonne femme, pas de révision depuis deux ans, bougie complètement usée, filtre à air plein d'herbes, enfin, tondeuse de femme… Apres une bonne heure de démontage / remontage, achat de bougie + filtre, deux coups de ficelle et la tondeuse chante allégrement, des mercis à n'en plus finir et de réflexion en réflexion, je glisse que si elle n’était pas mieux entretenue que la tondeuse les démarrages devaient être difficiles ! Henriette, vexée comme un pou me répond qu'elle démarre au quart de tour, grosse rigolade de ma part lui disant que si le filtre à air était obstrué par les touffes d'herbes ou de poils au choix, les démarrages devaient être plus que laborieux !!! Et là, surprise, notre Henriette se trousse jusqu'au ventre et me répond : avant de causer commence donc par vérifier… Une petite culotte verte très claire et transparente apparait à mes yeux, je reste un peu surpris par sa réaction, ne lui connaissant pas le talent d'exhibitionniste, profitant de quelques poils qui débordent des cotés de sa culotte je lui confirme que mon premier diagnostic était juste : trop de poils pour permettre la respiration du moteur !
Henriette vexée commence à rebaisser sa jupe, je lui dis de ne pas se fâcher et qu'un petit coup de soufflette devrait remettre la mécanique en marche et accompagnant mes paroles je me laisse tomber à ses genoux et lui att les fesses à pleine main pour la tirer à moi et lui embrasser la chatte à pleine bouche. Surprise, elle rouscaille un peu mais ne fait pas un mouvement pour échapper a mes lèvres. Devant sa réaction, je profite de ma position pour lui descendre sa culotte sur les chevilles et la forcer à écarter les cuisses, ma langue se fait inquisitrice et force le passage des grandes lèvres et un de mes doigts profite de sa position pour lui titiller l'anus.

L'assaut a l'air de plaire et je suis obligé de retenir Henriette qui aurait tendance à se laisser tomber au sol. La poussant un peu en arrière, ses jambes buttent sur le bord du canapé et plus de problème, je peux sucer, doigter, tout à mon aise. Les soupirs de plus en plus prononcés d'Henriette m'incitent à sortir Popaul de sa prison et de lui présenter pour une pipe d'enfer. Pour l'entretien des tondeuses elle mérite zéro mais pour les pipes c'est du 10 sur 10 ! Avant de lui lâcher la purée dans la bouche, je recule un peu et m'installe entre ses jambes pour lui fourrer mon instrument au fond de la chatte, grands soupirs et mots assez crus de sa part. Voyant sa bonne volonté à prendre son pied, je retrousse son petit polo pour avoir accès à son soutif et mes mains s'occupent des deux tétons aux pointes longues et d'un marron foncé, les pinçant, les tirants, les mordants… La belle Henriette râle de bonheur et prend son premier pied de façon grandiose, ne voulant pas perdre l'occasion de me la farcir jusqu'au trognon ne sachant pas si l'occasion se représenterai, je décide de me retirer de sa chatte et de lui faire faire un demi tour sur le canapé. Son cul est sublime, bien rond, bien fendu, avec quelques poils qui entourent son petit trou tout fripé. Je me renfile dans sa chatte qui déborde de bon jus et lui tartine le trou du cul avec un peu de mouille. Mon doigt pénètre de plus en plus en profondeur, bientôt rejoint par un deuxième et voila qu’Henriette me dit non, non pas par derrière, ca fait mal, je n'aime pas… Je la caresse un peu sur les fesses, mon autre main s'occupe de son clito et les jérémiades cessent. Profitant de son début de jouissance, je pointe ma bite sur son œillet et commence à pousser doucement, les cris reprennent non, non pas dans le cul je n'aime pas et en disant cela cette cochonne recule de plus en plus pour s'enculer elle même sur mon chibre. Une fois installé dans son intestin, je commence des petits mouvements de va et vient et c'est Henriette qui me demande de l'enculer à fond, de lui défoncer le cul ; ce que je fais avec un grand plaisir et lui lâche au fond du boyau une bonne dose de foutre.
Mon ramollissement provoque une déculade qu'elle met à profit pour me prendre la bite en bouche et lui faire un nettoyage complet. Après cet intermède, nous nous regardons et pensons : pourvu que nos partenaires respectifs ne sachent jamais où peut mener une tondeuse en panne…

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