La Vie Commence À 50 Ans !

Depuis pas mal de temps je visite régulièrement les sites web homos ou transsexuels. J’ai pu remarquer que cette forme de sexualité m’excite beaucoup et je fantasme très souvent en me masturbant.

J’ai connu quelques petites expériences homosexuelles (dont une très soft dans ma petite adolescence avec un ami ado), du genre petite masturbation entre amis.

Le garçon de la plage.
Un jour de l’été 1998, lors de vacances, sur une plage ensoleillée, je me suis approché de l’endroit habituellement fréquenté par les nudistes. J’appréciais de pouvoir regarder tous ces corps offerts au chaud soleil de l’été. Je m’aperçus que je regardais avec insistance le sexe des hommes, essayant d’imaginer ce même sexe en érection.
Donc, je me suis mêlé aux nudistes, mais je n’ai pas osé enlever mon maillot de bain devant tout ce monde, encore taraudé par ma timidité. Alors, je suis monté un peu sur la dune afin de me dissimuler derrière un bouquet d’hoyas. Cette position dominante me permettait de jouir du spectacle des gens nus déambulant sur la plage tout en étant moi-même exposé aux chauds rayons du soleil sur ma peau.
Je décidais donc d’ôter mon maillot et d’offrir ma peau encore blanche aux ardeurs du soleil d’été. Quelle douce sensation sur mon sexe, mêlant à la fois la chaleur du soleil et la fraîcheur de la brise.
J’ouvris un livre et me plongeais dans la lecture de ce roman dont certains passages étaient plus que grivois. Occupé à lire le récit, j’eus une belle érection provoquée par mon imaginaire et celui de l’auteur. Je pensais à ce moment là qu’une expérience homosexuelle – soft - me tenterait. Il faisait chaud, il y avait plein de corps nus autour de moi ou à portée de regard. Je pensais : « je suis seul, disponible, demandeur. Si l’occasion se présente, pourquoi ne pas la saisir ? »
J’en étais là de mes réflexions et je ne remarquais pas immédiatement la présence près de moi d’un homme que j’aperçus en me retournant.

Surprise, ce bel homme apparemment quadragénaire, bien bronzé intégralement, se tenait à 5 ou 6 mètres de moi, arborant un sexe de belle taille en érection. La surprise eut raison de la mienne … mais je commençais à comprendre son appel. Mais l’endroit où je me trouvais, bien qu’un peu dissimulé était très proche de la plage. Je ne tenais pas à me faire prendre en flagrant délit d’attentat à la pudeur. Alors je remis mon maillot, ramassais mes affaires et descendis la dune à l’opposé de la plage, vers l’endroit où elle rejoint la forêt côtière. Du coin de l’œil, j’observais que l’homme m’emboîtait le pas, son sexe battant au rythme de sa marche.
Après quelques dizaines de mètres de marche, je trouvais un endroit un peu dissimulé par un arbuste. J’y étendis ma serviette et je m’allongeais. L’homme me rejoignit aussitôt et tomba à genoux à côté de moi. Il commença à caresser mon torse velu, mes seins qui sont très sensibles tout en veillant à ce que personne ne nous dérange. Ses caresses se firent plus précises et atteignirent mon sexe encore sous mon maillot. Je n’avais pas encore d’érection, troublé par cette situation nouvelle pour moi. Il descendit mon maillot et s’empara de mon sexe encore flageolant. Il me caressa, me masturba, finissant par obtenir une érection. Ses mains tentèrent d’atteindre mon anus, mais je lui refusai cet accès. Je n’y étais pas prêt. Il respecta mon refus et se concentra sur ma verge qu’il masturba un long moment. Tout ceci se faisait sans avoir échangé une seule parole, pas un mot. Uniquement des regards. Au bout d’un moment de masturbation rapide, j’éculais dans sa main. Il se tenait toujours à genoux près de moi et se masturbait vigoureusement. Je pris ma serviette pour essuyer mon sexe, et là, premiers mots – et derniers d’ailleurs – il me dit : « branle-moi ! ». Je pris son sexe dans mes doigts – pas la main entière, je n’osais pas, et je commençais à le masturber. Il devait être prêt, car au bout de quelques secondes seulement, il éjacula, son sperme se moulant en perles nacrées dans le sable chaud.

Il remit son maillot, je ramassai mes affaires et nous nous séparâmes sans un mot, chacun dans la direction opposée de l’autre. Drôle de relation …
De retour dans le camping où m’attendais ma compagne de l’époque, je courus à la douche et je me masturbais sous l’eau chaude en repensant à ce que je venais de vivre. J’étais excité comme un fou.
Je n’ai jamais raconté cette petite expérience à ma compagne, connaissant sa jalousie de tigresse. En revanche, ma compagne actuelle est informée. Ça n’a pas eu l’air de la déranger, mais sans plus.

Les jouets.
Voulant tenter la sodomie, j’ai acquis quelques jouets, plugs et vibros, gode-ceinture, afin de les essayer moi-même. Le résultat fut surprenant. J’adore ça ! Les délicieuses sensations d’un vibro à pleine vitesse dans mon anus venant titiller ma prostate me conduisent très vite à la jouissance. J’ai même testé le gode ceinture avec une amie libertine qui, à ma demande, s’en équipa et me sodomisa à plusieurs reprises. Nous avons testé ainsi différentes variantes de jeux (elle me sodomisant tout en me pratiquant une fellation – génial -, moi la sodomisant avec le gode dans son sexe, ou l’inverse, etc.)
Toutes ces pratiques me plaisent bien, ce qui m’encouragea à tester autre chose et vivre certains de mes fantasmes. Parmi ceux-ci, figurait celui d’une sodomie faciale pratiquée par un transsexuel qui me masturberait simultanément.

Les dames d’Amsterdam
A l’orée de mes 51 ans, j’ai eu l’occasion dernièrement de passer quelques jours à Amsterdam où j’étais seul et libre. J’avais la ferme intention de tenter, soit l’expérience de la prostituée (féminine), soit celle du transsexuel. Donc un soir je déambule dans le « quartier rouge » en recherche d’endroits où trouver des transsexuels. Je déambulais dans les petites rues en matant toutes ces jolies femmes en vitrine, c’était très alléchant. Je m’approchais de l’une d’elles qui me faisait un petit signe racoleur et lui demandais si elle était un « ladyboy ».
Elle me répondit que non et me désigna l’autre côté de la rue. Je m’approchais d’une vitrine ou un trans me racolait, voyant en moi une poignée d’euros potentiels. Il était grand avec de gros seins siliconés et un large postérieur. Je lui demandais s’il était un « ladyboy » il me répondit en laissant dépasser le prépuce de son sexe de son string blanc. Nous parlons du tarif pour sa prestation –qu’au départ je croyais complète- et il me demanda d’ouvrir mon jean et de baisser mon boxer. Je lui indiquais que je souhaitais lui faire une fellation pour le prix. Pour moi c’était une grande première, mais j’avais l’occasion de tenter certaines choses qui me seraient impossibles dans ma province, alors je fonçais. Dès que mon sexe fut à l’extérieur, il s’en empara pour une fellation d’anthologie après y avoir placé un préservatif. J’avais l’impression d’être aspiré par une machine. Il était très efficace, mais j’étais encore troublé par cette situation inhabituelle pour moi et je ne parvenais pas à avoir une érection digne de ce nom. Très vite il grimpa sur son lit, baissa son string, se plaça un préservatif et me mit son sexe devant les yeux en me priant de le sucer. Ce que je fis - certainement très maladroitement. Il était assez petit et tout mou. Moi qui espérais secrètement un sexe bien tendu comme ceux que je voyais sur le web, j’en étais pour mes frais. Cela dura quelques secondes, puis il se plaça derrière moi et me masturba avec une grande vitesse d’exécution ce qui me fit éjaculer assez vite. C’était la première fois que j’éjaculais sans avoir une érection totale. Il ôta mon préservatif, me donna une feuille de papier absorbant pour me nettoyer et partit dans son petit cabinet de toilette pour se refaire une beauté en me disant « Bye-bye, baby, you can go, now ! ». Le tout n’avait pas duré 5 minutes !
Je restais là quelques secondes, surpris par cette rapidité, le sexe à l’air, le pantalon sur les chevilles. Je remballais le tout, m’en alla, un peu dépité et déçu quand même par ce premier contact.

Le lendemain, je décidais que je n’en resterai pas là et me remis en quête d’un hôte pour la soirée. Je portais mon choix sur une (un ?) équatorienne magnifique, de 30 ans, beaucoup plus femme qu’homme. Comme la veille, nous parlons tarif et prestations. Là je l’informe que je souhaite tout : sucer et être sucé, 69, sodomiser et être sodomisé. Très gentille, elle me prie de me déshabiller et de poser mes vêtements sur une chaise et me fit m’allonger sur son lit. Elle me caressa lentement et mis un préservatif sur mon sexe. Elle était très douce et gentille, à l’inverse de celle de la veille qui m’a expédié en 5 mn. J’avais son sexe à hauteur des yeux. Je le caressais de la main, mais je ne voulais pas le sucer sans préservatif. Elle en mit un sur son sexe et se positionna en 69. Elle me suça doucement, faisant monter mon érection lentement. Je pris son sexe dans ma bouche et commençais à le sucer. Il demeurait assez mou et ça me décevait un peu. Je m’appliquais et le suçai de plus en plus fort en l’avalant complètement. Sa fellation était moins énergique que celle de sa collègue de la veille, mais avait le mérite d’être progressive faisant monter mon plaisir. Après quelques minutes de ce traitement durant lequel elle caressa mes tétons, mon anus, enfin tout quoi, elle entreprit de me sodomiser en faciale. Mon fantasme ! Elle vint se placer entre mes jambes, mis mes mollets sur ses épaules, me suça un peu, me masturba beaucoup, badigeonna mon anus de lubrifiant et présenta sa verge à l’entrée de mon anus. Là, je lui recommandais d’y aller doucement, car il s’agissait d’une première pour moi. Elle acquiesça et respecta mon avertissement : si je disais « attends » elle s’arrêtait momentanément, si je disais « stop » on arrêtait la sodomie. Elle forçat mon anus doucement et entra lentement. La douleur fit son apparition et je lui dis « attends ». Elle s’arrêta quelques instants, jusqu’à ce que je lui donne mon accord pour continuer. Elle continua sa progression et la douleur s’estompa doucement. Au bout d’un moment, je poussais mon bassin vers elle car j’en voulais plus. Mais elle était déjà toute entière en moi. Délicieuse sensation ! Beaucoup plus douce qu’avec les godes. Moins de sensations mais moins de douleurs. Puis elle commença ses va-et-vient tout en me masturbant, pilonnant mon anus qui en redemandait. A un moment elle stoppa son pilonnage, souhaitant un peu de répit car elle était prête à jouir dans mon trou. J’aurai bien voulu, mais j’ai compris qu’elle exerçait son métier et avait sans doute d’autres demandes du même type à assouvir durant sa nuit. Donc je ne pouvais exiger ça d’elle. Elle continua un moment, puis c’est moi qui arrêta pour lui dire « maintenant je veux te sodomiser ! ». Je la mis en levrette et entrepris d’entrer dans son anus. Elle avait un cul magnifique, un des plus beaux que j’aie pu contempler. Certainement plus beau que bien des fessiers féminins ! J’entrais dans son anus sans difficulté et commençais à la sodomiser lentement – je ne tenais pas à jouir trop vite car j’étais en plein dans mon fantasme et très excité. Après quelques minutes, j’éjaculais en elle en un orgasme puissant et long. Je restais là, dans son anus, pendant quelques instants durant lesquels je caressais son dos magnifique, bronzé et musclé.
Elle me nettoya mon sexe avec beaucoup de délicatesse et nous restâmes encore quelques minutes à parler de choses et d’autres pendant que je me rhabillais. Elle accepta un « French kiss » ce que les prostituées n’acceptent en général pas facilement. Je n’ai pas été plus choqué que ça. J’embrassais un homme après tout ! Mais tellement belle (beau ?) que c’en était devenu une femme !
Je la quittais avec regret, tellement le moment passé en sa compagnie avait été non seulement agréable mais aussi intime et respectueux l’un pour l’autre. Merci Marciella. Je reviendrai certainement à Amsterdam, te voir si tu y es encore.
Cette expérience nourrit aujourd’hui encore mes fantasmes les plus hards et je ne désespère pas d’en tenter une nouvelle. Peut-être gay cette fois…

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