La Belle Collègue De Mon Epouse

Elle était très très belle la collègue de mon épouse, genre italienne, chevelure sauvage d’un noir très foncé, des yeux fuyants, un très joli sourire, un magnifique visage. Chaque fois que je l’ai rencontrée elle avait toujours ce visage angélique d’une petite fille perdue n’osant pas trop lever les yeux de peur de rencontrer un regard.
Pourtant si elle pouvait deviner le mien elle aurait bien compris que je la surveillai et même je la déshabillai du regard.
Toujours élégante sans être provocante mais elle cachait à première vue de sacrés appâts. Sa poitrine haute et magnifiquement galbée devait être à la mesure de ses superbes jambes qui n’en finissaient pas de monter vers certainement un très joli mont de venus qui devait c’est sur être très agréable à regarder et peut être plus même. Elle vivait en célibataire chez ses parents et plusieurs fois on s’est posé la question de savoir comment une si jolie fille pouvait vivre seule sans aucune compagnie. A chaque fois que je la rencontrais sur le lieu de travail elle portait une blouse blanche qui mettait encore plus en valeur sa beauté naturelle : tant la lourdeur de ses seins que les formes pleines de sa magnifique croupe. J’étais donc sous le charme mais je dois bien l’avouer je ne suis pas du genre coureur et mon épouse plusieurs fois me faisait remarquer que je regardais peut être un peu trop sa collègue. Je répondais négativement mais je dois bien l’avouer, je pensais étrangement à son regard, à ses seins, bref à son corps et elle me faisait effectivement bander !!!
Un jour je me rends à la piscine près de chez moi et après avoir fait quelques traversées je la vis arriver au même endroit que moi : seule, magnifique en maillot de bain une pièce. On aurait dit qu’elle possédait une deuxième peau tellement le maillot lui collait la peau à ravir. M’approchant d’elle pour la saluer, je ne pus m’empêcher de la regarder. Quelle superbe fille elle faisait, j’en restais baba et il m’était difficile de ne pas lui montrer le désir qui venait de s’emparer de moi.

J’ai réussi à me contrôler mais je voyais bien que mes voisins coquins se régalaient de cette beauté et ne se gênaient pas pour la mater et certainement la désirer. Après quelque propos anodins nous fîmes quelques traversées ensemble car elle était également très bonne nageuse. Elle n’était pas du tout farouche et du coin de l’œil lorsque nous sommes sortis de l’eau j’ai pu constater brièvement mais suffisamment pour m’exciter que c’était une vrai brune car une grosse touffe de poils noirs s’était échappée de son entre-jambe. Elle a surpris mon regard et a baisse les yeux non sans avoir souri. Quel délice, quelle belle fille, j’en étais sans m’en rendre compte revenu à ma plus tendre jeunesse à surveiller les femmes en maillot de bains espérant apercevoir un sein qui sortait ou quelques poils qui s’échappaient du maillot.
Nous décidâmes de quitter les lieux et d’aller nous dévêtir. Les cabines de douche étant mixte je me suis tout naturellement installé à coté de la sienne et s’est à ce moment que je m’aperçus que les cloisons avaient été ici et là percées de petits trous. Non, je n’allais pas me livrer à ce genre d’exercice, faire le voyeur comme au temps de mon adolescence… Et pourquoi pas c’était peut-être la seule et unique fois où je pouvais profiter de ce spectacle et de le graver à jamais dans mon esprit. Il ne fallait pas réfléchir trop longtemps car déjà j’entendais qu’elle finissait de se sécher. Tans pis je me lançais, je m’approchais d’un petit orifice et là bien sur ma voisine commençait à se dévêtir .Elle avait retiré délicatement les deux bretelles de son maillot de bain bleu et elle commençait à faire sortir ses deux très beaux seins de son bustier. Quel spectacle, ses deux gros tétons à quelques centimètres de moi, je rêvais ! Mais non, elle continua, tout doucement comme si elle se doutait de mon regard envieux, a baisser son maillot laissant apparaitre maintenant son joli ventre un petit peu bombé et enfin son étonnante pilosité noire comme ses cheveux.
Elle était extrêmement poilue naturellement, ca partait dans tous les sens, ca remontait même légèrement jusqu’au nombril... Jamais je n’avais vu une fille aussi poilue, aussi noire, elle était nue presque devant moi et elle ne s’habillait pas, elle se tournait prenant sa serviette se séchant et se soupesant les seins faisant passer la serviette entre ses cuisses se tournant me laissant voir son magnifique cul. Et moi je regardais et je bandais comme un taureau qui n’a pas vu la femelle depuis longtemps. Elle continuait à s’inspecter, la garce se passait nonchalamment les doigts dans son épaisse fourrure noire. N’y tenant plus, je me branlais, oui je me branlais comme au bon vieux temps et il n’a pas fallu longtemps pour que la cloison reçoive mon jet de sperme puissant. Elle se rhabillait maintenant agrafant son joli soutien gorge rose et enfilant sa petite culotte rose en dentelle. J’eu encore la vision de sa grosse chatte très poilue, elle rentra dans une combinaison qui la moulait merveilleusement. Une petite robe blanche finit de la vêtir et moi j'étais toujours là comme un puceau à la surveiller. Elle sortit de la cabine et me demanda où j’en étais… Si elle savait la salope que j’en étais encore à bander à cause d’elle ! Je me vêtis, je sortis le visage légèrement rouge, ce qu’elle me dit d’ailleurs, mais c’était à mon tour de ne plus oser la regarder car maintenant la collègue de ma femme à chaque fois que je la voie est nue devant moi ! C’était une expérience de jeune qui ne m’a pas déplut mais malheureusement elle a quitté la région et je suis sur qu’elle doit rendre les hommes heureux en tout cas pour moi ce le fut et son image est encore présente dans ma tête.

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