L'Étalon

Depuis tout petit, les gens me trouvent irrésistible. Je ne sais pas pourquoi : je plais aux femmes en général. Je suis gâté par la nature, coté bite je suis normal, enfin je crois. Par contre depuis que j'ai baisé la première fois, vers 17 ans, la jeune femme qui était ma partenaire d'un soir était plus que satisfaite : je la faisais jouir sans arrêt plusieurs fois de suite et moi je ne jouissais qu'une seule fois, mais fortement. Je lui remplissais son vagin en entier. Comme c'était ma première fois, je voulais aller plus loin et lui proposais de la sodomiser (ce n'est pas ce mot que j'employais) C'est avec une joie non dissimulée qu'elle me donnait son cul. Cette fois encore elle jouissait énormément et je ne lâchais mon sperme que longtemps après.
Je crois que c'est elle qui m'a donné la réputation d'un bon baiseur. Je la voyais une fois par semaine, quand son mari était absent et je la fourrais toujours avec joie. A présent je devenais plus demandeur de différence : Elle pratiquait enfin des fellations d'une façon qui me faisait bander encore plus. Elle avalait mon sperme avec délice. Un jour, elle me demandait de lui sucer le clitoris : elle était couchée sur le dos, sur son lit et en écartant bien ses jambes, je pouvais voir sa moule en entier. Son bouton était assez gros. Je le prenais dans la bouche et le léchais. Elle se tordait dans tous les sens avant de jouir.
Un jour elle partait de la ville et je me retrouvais seul. Pour pallier son absence, je me branlais souvent. Ce que je ne savais pas c'est qu'elle m'avait recommandé à des amies. C'est ainsi que je rencontrais souvent des femmes de son âge à qui je donnais le plus de jouissance possible.
C'est bien jolis les femmes en guette de sexe, je voulais enfin baiser une fille de mon âge. Je trouvais enfin une jeune femme qui me plaisait bien. Elle était assez grande et blonde comme les blés. Je ne parle pas du reste qui m'excitait. Je la draguais et sans trop forcer je la mettais dans on lit.

Je pensais avoir affaire à une débutante alors qu'elle était plutôt dissolue.
Avec elle nous baisions pratiquement tous les jours à chaque fois plus fort. Elle aimait les orgasmes en série et devenait de plus en plus gourmande. Le premier jour je l'a baisais et aussitôt après ma jouissance et après ses multiples jouissances elle se mettait en levrette et me demandais de l'enculer. Ensuite, sans attendre que je jouisse en elle, elle se tournait, se mettait sur le dos, ouvrait en grand ses cuisses pour que je vois bien son con, et sans scrupule me montrait simplement comment elle se branlait. Si j'avais déjà joui dans son vagin, je n'avais pas jouis dans son anus. Le fait de la voir se masturber me donnait l'envie de la prendre. Pas question, elle voulait voir comment je me masturbais. Je prenais ma queue en main et mes mouvements de vas et viens devant elle devenaient de l'exhibition. Elle avait les yeux rivés sur ma bite et ses mouvements sur son bouton devenaient de plus en plus rapides jusqu'à son orgasme : elle jouissait en serrant les jambes et gardant une main bien serrée sur son con. Elle me regardait toujours : sa jouissance ne m'avait pas fait l'effet qu'elle escomptait.
Elle voulait encore jouir. Elle me couchait sur le dos et m'enjambais pour se retourner et venir prendre ma pine dans la bouche. Elle était douée pour la fellation. Cette fois si je la faisais jouir encore, elle réussissait à me faire partir. Mon sperme partait au fond de sa bouche. Elle en avalait la moitié, gardait l'autre partie et venait m'embrasser pour partager avec moi et sa cyprine et mon sperme.
J'avoue que le mélange des deux était agréable. Elle désirait depuis plusieurs semaine faire l'amour en trio, au début avec un autre homme, devant moi, pour se faire mettre à la fois par les deux trous.
C'est elle qui un soir me disait qu'elle avait levé un autre homme, qu'elle avait baisé une fois avec lui et qu'il était d'accord pour la baiser avec moi. J'étais étonné de sa facilité à ce donner au premier venu comme ça, rien que pour avoir une autre bite.
Le lendemain nous allions chez ce deuxième amant que je ne trouvais pas formidable. Je me trompais sur ses qualités de baise : d'abord il avait une bite énorme par rapport à la mienne et ensuite, c'était à mon avantage, il jouissait bien plus vite. Nous étions vite à poils. Elle ne cherchait pas l'affection, elle ne cherchait qu'à prendre son pied.
C'est l'autre qui avait droit à son con, le premier. Je la voyais jouir en me branlant. Les couilles de l'autre se vidaient assez vite. Elle me demandait de la baiser à mon tour. Excité comme je l'étais je ne faisais même pas attention que son con était déjà plein du sperme de l'autre. Je baisais cette salope qui prenait son pied. Comme souvent je ne jouissais pas encore. L'autre amant recommençait à bander. J’admirais sa queue. Je me couchais à moitié sur le dos.
Elle venait se fourrer elle même, donnait quelques coups de rein et écartais bien ses fesses pour donner son cul. L'autre rentrait facilement tellement elle s'était bien mouiller le cul avec sa cyprine.
Elle assurait elle même les mouvements de vas et viens et partait dans des jouissances sans nom. Si le deuxième homme se retirait après avoir jouit, je restais encore en elle. Elle demandait au troisième larron de lui rentrer presque la main entière dans le cul ! Je me demandais comment elle pouvait supporter cette intrusion. Elle jouissait sans arrêt jusqu'à ce qu’à mon tour je jouisse.
Satisfaite elle désirait essayer désormais avec une fille. Elle voulait je trouve moi même celle qui ferait l'affaire. J'avais une vieille copine qui peut-être voulait bien. Je la rencontrais, la baisait et lui posait la question de savoir si......... Elle acceptais volontiers, elle était bisexuelle et aimait autant les filles que les garçon, sinon plus.
Le lendemain nous étions donc trois. Les filles pouvaient baiser entre elle et je devant les satisfaire aussi. C'était plus facile que je le pensais. Dès le début j'étais hors jeu: les deux demoiselles s'entendaient à merveille pour jouir: elles commençaient par un très long baiser, baiser qui descendait vite vers le bas ventre pour finir sur les clitoris.
Leurs 69 durait, durait longtemps. Je bandais et voulais en baiser au moins une. Elles ne voulaient pas de moi. Alors je me branlais en les regardant. Finalement elles cessaient leur amours lesbiens et demandaient maintenant une bite dans le cou ou le cul, ça leur était égal. Je commençais par mon amante habituelle : je savais qu'elle jouirait vite. Je la baisais en levrette. Notre amie, toujours attirée par un con venait se mettre dessous et la suçais pendant la durée de notre petite baise. Enfin je sentais mon habituelle jouir de mes cour de bite et de la langue qui la léchait.
Au tour de l'autre fille. Je n’hésitais pas une seule seconde : je voulais son cul, rien que son cul. Elle était assez mouillée pour je la sodomise. Cette pratique lui convenait et elle jouissait en même temps que moi. Tout mon sperme était dans son cul. Il y en avait tellement qu'il coulait entre ses jambes. Ce n'était pas perdu pour tout le monde : il était léché et avalé par ma compagne.
La prochaine fois elle voudra participer à une méga partouze.

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