Mon Aventure Avec Louise

Cela faisait maintenant 1 mois que Louise ma correspondante s’était installée chez moi. Cette belle Anglaise était arrivée dans l’idée de passer quelques mois à Paris, le temps d’épuiser l’argent qu’elle gagnait par ses petits boulots de serveuse.

Je lui avais généreusement d'abord proposé l’hébergement le temps qu’elle trouve une autre solution. Mais bien sûr maintenant il n’était désormais plus question qu’elle recherche une chambre d'hôtel.

Même si nous avions fait semblant d’y croire au début, la cohabitation n’était pas évidente. Nous savions que nous ne nous étions pas trouvé d’affinités particulières pour vivre ensemble durant mon premier séjour en Angleterre où nous nous étions connus, mais cette fois le contexte était différent, nous n’étions maintenant que tous les deux dans un Paris estival, c’est-à-dire désert, étouffant et ennuyeux.

Ce soir là, épuisée par l’escalade de la Butte Montmartre qu’elle avait fait dans la journée, Louise s’était endormie contre moi, après que j’aie méticuleusement massé ses pieds douloureux. La chaleur l’avait réveillée, elle avait vaguement ronchonné en anglais, puis s’était levée pour aller boire un verre d'eau.

De retour, elle s’était calée de nouveau contre moi, et s’était mise à se frotter contre ma peau en tentant de retrouver le sommeil. Une idée qu’elle semblait peu à peu abandonner au fur et à mesure qu’elle déposait de chauds baisers sur mon épaule puis sur mon torse.

J’avais ouvert les yeux et je la voyais très distinctement. Ma main la caressait mais elle ne me détacha pas un regard. Ses yeux restaient fermés alors que ses lèvres continuaient à parcourir mon torse.

Comme une goutte de rosée sur un brin d’herbe, sa main avait roulé jusqu’entre mes cuisses, tant et si bien que mon sexe s’était dressé avant même qu’elle ne l’ait pris en bouche.

Elle se contenta de quelques baisers et coups de langue, avant de me monter dessus.

Tous deux à moitié somnolents, nous étions dans une sorte d’ambiance irréelle.

Elle me chevauchait, les yeux toujours fermés. Sa chemise de pyjama, que j’avais trouvé un peu rigolote et grotesque, était déboutonnée de haut en bas, mettant désormais en valeur un corps irrésistiblement et excitant.

Ses seins superbes s’y cachaient, un peu trop petits. Ils dansaient harmonieusement.

La chaleur avait disparu. Seul emplissait la pièce la respiration profonde de Louise, murmurant de temps en temps quelques mots anglais qui m’échappaient.

La danse de nos corps était tout à fait naturelle, comme si nous l’avions répétée des centaines de fois. C’était une cadence très lente et très tendre, elle avait simplement accéléré légèrement les allers-venues quand son orgasme était venu, puis s’était allongée sur moi et nous nous étions endormis sans un mot.

Depuis un mois qu’elle vivait chez moi. Notre relation, avait peu évolué. Elle gardait la touche irréelle, de cette nuit. Et pour cause, nous ne nous voyions finalement que peu, et parlions encore moins.

Le jour je travaillais et elle s’occupait comme une véritable Touriste.

Quand je rentrais le soir, elle avait commencé son service dans un bar du 9ème arrondissement. Elle rentrait vers 2 ou 3 heures, et nous faisions l’amour jusqu’à ce que le sommeil nous prenne.

Certains soirs, il arrivait qu’elle ne rentre pas, elle passait la nuit chez le client du bar qui l’avait collé toute la soirée et qui pour une fois ne lui déplaisait pas trop.

La plupart de nos échanges étaient intuitifs. Même le lendemain de notre première nuit, nous n’en avions quasiment pas parlé, comme si ça avait été une chose tout à fait normale, et comme si cela devait arriver.

Le socle de notre relation était manifestement sexuel, et cela nous convenait parfaitement nous savions que nos caractères auraient de toute façon peu de chance de se supporter.


Les weekend-ends, nous ressemblions un peu plus à un vrai couple, sauf le samedi, que nous réservions à nos loisirs personnels distinctifs, ce qui n’interdisait pas qu’on les passe ensemble.

Le dimanche, après avoir fait l’amour toute la matinée, nous sortions. Nous discutions de sujets divers, que nous rendions intéressants.

J’aimais bien le dimanche. Le premier levé réveillait délicatement l’autre par de petites attentions buccales. Louise, quand elle le voulait bien, faisait des câlins d’une qualité incroyable, mais là où elle était véritablement experte, c’était dans l’art de faire semblant de dormir plus longtemps que moi !

Elle s’étirait, gémissait, se retournait en faisant froisser nos draps afin d’attirer mon attention.

J’enfouissais mon visage dans son ventre chaud et généreux, mes ongles griffant tendrement l’intérieur de se cuisses, et quand je sentais que l’impatience de Louise atteignait ses limites, je commençais enfin à réveiller son clitoris de la pointe de ma langue.

La dormeuse s’installait plus confortablement et passait ses doigts dans mes cheveux, guidant les passages de ma bouche sur son vagin.

Elle ne tardait pas soupirer son plaisir, qui lui faisait irrémédiablement resserrer ma tête dans l’étau de ses cuisses bouillonnantes.

Ces matinées étaient aussi l’occasion pour moi d’admirer son corps lorsqu’elle dormait, où lorsqu’elle posait pour moi.

Elle était avec un physique très maternel, jolie seins bien fermes, une peau bien dorée pour une anglaise, qui santée bon. Sa beauté était d’autant plus fascinante qu’elle était éphémère.

Je sentais pleinement qu’il fallait cueillir ce fruit tant qu’il était jeune, car elle avait l’un de ces corps qui perdent rapidement leur fermeté avec l’âge.

Il était évident que d’ici 10 à 15 ans, ses seins commenceraient à faner et que son embonpoint aurait perdu de son charme.
Et je dois dire que j’en profitais un maximum.

J’étais béni car pas une seule fois de ce séjour, elle ne m’avait fait une de ces terribles crises hystériques, que j’avais pu observer des dizaines de fois auparavant en Angleterre.

Notre grande activité sexuelle était probablement la condition nécessaire pour qu’elle trouve son équilibre.

A la fin de l’été, elle avait lâché son job de serveuse. Je crois que son patron l’avait renvoyée après qu’elle ait refuser de coucher avec lui, déçu elle décide de retourner en Angleterre.

Nous avions préparé paisiblement ses bagages l’après-midi, après notre dernière matinée typiquement dominicale.

Le réveil était un peu difficile. Je ne faisais que commencer à réaliser le plaisir que j’avais à l’avoir près de moi. En même temps nous ne voulions, d’un commun accord, aucune suite à cette aventure.

Une fois la valise bouclée, Louise regarda autour d’elle en soufflant. Quand elle vit qu’il restait encore une heure avant son départ, elle se déshabilla en me présentant son derrière.

J’étais assis sur le bord de mon lit. Me tournant le dos, elle s’était assise sur mon sexe, jambes de part et d’autre de mes cuisses. Penchée en avant, elle s’appuyait sur sa grosse valise, qui trônait devant le lit.

Pour cette ultime pénétration, elle semblait vouloir quelque chose de plus violent. Je la pénétrais vigoureusement, maintenant sa taille d’une main, caressant ses seins de l’autre, et elle renforçait encore cette vigueur en écrasant son cul par à-coups contre mon ventre.

Elle gémissait plus fort que d’habitude et plus nerveusement aussi. Sans doute était elle angoissée par son voyage de retour, ou peut-être, comme moi, avait-elle conscience qu’elle allait perdre le confort d’une relation stable.

Toujours est-il qu’elle gigotait de façon de plus en plus incontrôlée. La valise qui la soutenait avait basculé, ce qui nous avait contraint à changer de position.
Je m’étais relevé sur les jambes, et mes bras soulevaient ses mollets tandis qu’elle s’appuyait désormais à bout de bras sur le sol.

Nous sentions que le moment approchait. Je cognais de plus en plus rapidement et brusquement contre son cul. Ses seins s’entrechoquaient. Je m’empêchais de lui sortir des mots un peu crus jusqu’à ce qu’elle se remette à hurler en anglais ce qui ne devait pas être de la poésie, puis elle poussa un long cri au moment fatidique, dont le voisinage dû certainement profiter.

J’étais retombé en arrière sur mon lit, tandis qu’elle gisait par terre, essoufflée. Comme elle le faisait de temps en temps, elle s’était glissée jusqu’à mon sexe, que l’érection était en train de quitter, et s’était mise à le suçoter et le lécher, pour finir d’en extraire le jus, et pour prolonger son plaisir de le voir rouge et gonflé.

Une fois nos esprits retrouvés, elle remonta sa culotte, se remaquilla, et rassembla ses affaires. Sur le pas de ma porte, nous nous dîmes au revoir d’un simple baiser, comme quand elle était arrivée, et elle rentra chez elle à Londres.

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