Le Pensionnaire De Maman

Le pensionnaire de maman


(Voici le récit que ma mère m’a raconté concernant une série d’évènements de sa vie qui l’ont marqué. Ce récit est l’intégrale de ce qu’une mère a raconté à son fils. C’est pourquoi, j’utilise le terme Maman tout au long de ce récit)

Sylvain, un grand gaillard à la chevelure blondasse était venu de nulle part. Enfin, c’est le peu que nous savions de lui parce qu’en réalité, il avait toujours éludé la question que nous lui posions à savoir d’où il venait et où il était né. Invariablement, il nous répondait :

- Quelle importance tout cela peut-il avoir, que je provienne de Montréal ou de Fredericton ? Qu’est-ce que cela changerait ? Je suis moi et je proviens de nulle part. Je suis comme un nomade et je suis chez-moi partout où je pose mes valises.

Il était journaliste à la pige et toutes ses journées étaient consacrées à fouiller sur le net à la recherche de nouvelles scabreuses ou de faits scientifiques innovateurs. De là, il entrait en communication avec les personnes concernées et élaborait des articles que tous les journaux s’arrachaient.

Depuis deux mois, maman l’hébergeait dans sa maison de chambre et pension. Comme maman habitait un tout petit village en bordure de Trois-Rivières, les pensionnaires se faisaient rares, si bien que Sylvain se retrouva seul pensionnaire au sein de la grande maison de maman pendant plus de six mois.

Les deux premiers mois à partir de son arrivée s’étaient bien passés et Sylvain s’avérait un bon garçon, si bien que maman avait appris à l’apprécier et elle était presque devenue confidente auprès de ce jeune homme. Mais voilà, comme il passait plus de douze heures par jour au travail dans sa chambre, maman se retrouvait trop souvent seule à son goût dans sa grande maison.

Un bon jour, elle lui demanda :

- Sylvain, pourquoi ne pas utiliser ton ordinateur portable et venir t’installer dans la cuisine.

Je te laisserais tout un bout de la table et moi, cela ne m’incommoderait pas du tout. De plus, les fenêtres de la cuisine sont plus grandes et donnent sur le fleuve. Ce serait moins triste que dans ta chambre et surtout, plus éclairé.

Sylvain accepta en ce sens qu’il lui expliqua qu’il devait souvent travailler de façon très concentrée et que de se retrouver dans la cuisine pouvait parfois le déranger, mais il lui promit s’essayer quand même.

Or le lendemain qu’il se fut installé sur le bout de la table dans la cuisine, il reçut des commandes pour des articles à concevoir sur des stars du porno.

Dès la première entrevue par internet que Sylvain obtint, il se mit en ligne avec une supposée star du XXX et c’est sur un module de chat privé que l’interview se déroula.

La donzelle bien délurée avait activé sa webcam et pendant toute l’entrevue, elle procéda à un déshabillage en règle et même pire, elle s’empara d’un gigantesque vibrateur et entreprit de se masturber devant sa webcam tout en répondant aux questions de Sylvain.

Maman qui devait passer souvent derrière Sylvain aperçut dans un premier temps la fille qui venait de dénuder ses seins. Du coup, elle fut proprement scandalisée, mais n’osa donner son opinion de crainte de déranger Sylvain dans son travail.

Mais lorsque la donzelle entreprit de s’enfiler un gigantesque vibrateur dans l’entrecuisse, maman n’y tient plus et elle demanda à Sylvain :

- Je m’excuse Sylvain, mais qu’est-ce qu’elle fait là, la fille.

Sylvain un peu mal à l’aise lui répondit :

Je procède à une entrevue pour un magasine porno et la fille a choisie de s’amuser devant sa webcam tout en répondant à mes questions.

Maman de plus en plus intriguée osa lui demander.

- Mais qu’est-ce qu’elle fait là avec ce drôle de machin ?

Sylvain de lui répondre un peu agacé :

- Ma chère madame, cette femme est en train de s’envoyer en l’air avec un vibrateur.
Elle se masturbe la chatte, ma chère madame.

- Ho !

Maman devint toute rouge et s’en retourna à son évier pour compléter ses tartes aux pommes. Elle était vraiment ébranlée et ne pouvait croire qu’une fille pouvait faire cela le plus simplement du monde devant un parfait étranger. N’y tenant plus, elle se tourna vers Sylvain et lui demanda :

- Excusez-moi de vous déranger encore mon pauvre garçon, mais je suis vraiment intriguée et je dois dire : scandalisée. Est-ce qu’elle s’est rhabillée la fille.

Sylvain lui répondit avec un sourire platonique :

- Ho que non ! Maintenant elle essaie un autre vibrateur. Madame, c’est une putain de première classe et pour elle, de se masturber devant un parfait étranger, c’est comme pour nous l’équivalent de manger un sucre à la crème. Cela fait partie de l’ordinaire de son existence. Tiens, elle a décidé de masturber son anus en même temps que sa chatte.

Maman ouvrit la bouche si grande que le pauvre Sylvain dut lui dire :

- Je m’excuse. Je vais aller continuer cette entrevue dans ma chambre. Excusez-moi encore madame.

Maman lui dit alors :

- Mais non restez là, je vous en prie. Je ne me mêle pas de mes affaires C’est ce que vous venez de dire au sujet de la fille qui se masturberait le trou du cul qui me surprend. Je ne savais pas que les hommes pouvaient aimer le faire par le cul. Est-ce que je peux aller voir ?

Sylvain lui répondit simplement :

- Si moi je peux la voir faire, vous pouvez la voir aussi. Je n’ai pas ouvert ma webcam, si bien qu’elle ne sait même pas qui je suis. Venez, madame Agnès, elle ne vous verra pas.

Maman se plaça derrière Sylvain et celui-ci agrandit l’image de la webcam. La fille s’était couchée sur un petite table, un vibrateur bien enfoncé dans son vagin et d’une main, elle se défonçait le cul avec un vibrateur plus petite en diamètre, mais tout aussi long que celui qu’elle avait de planté dans la chatte

Pendant quelques minutes, maman regarda la fille s’envoyer en l’air et celle-ci parfois abandonnait ses vibrateurs pour répondre aux questions de Sylvain.


Maman devint de plus en plus ébranlée de voir un spectacle aussi impudique. Elle échappa :

- Dis donc, une de mes filles m’a déjà offert de me procurer un de ces bidules quelques années après que mon mari soit décédé et je regrette presque de ne pas avoir accepté sa proposition. La fille, elle semble jouir beaucoup avec ces engins. Moi, cela fait quinze ans que je n’aie pas eu de plaisir comme cela.

Soudain, comme Sylvain ne répondait pas, elle réalisa qu’elle venait de dévoiler des petits secrets bien féminins sur ses désirs.

Sylvain se retourna et lui dit en blaguant :

- Cet après-midi, il faut que je me rende en ville. Je vais au bureau du journal : Vivre Pleinement. Ils me doivent deux articles et je vais chercher mon chèque qui serait prêt. Si vous voulez, montez avec moi et je vous conduirais à un sex-shop qui est juste à côté du bureau du journal. Vous pourrez trouver tout ce que vous voulez et recommencer à connaître ces plaisirs que vous donnaient votre époux.

Maman refusa vertement et retourna à ses tartes aux pommes, plus rouge que jamais.

Vers deux heures de l’après-midi, Sylvain annonça à maman qu’il partait pour la ville et offrit à maman de lui faire des commissions si elle avait besoin de quoique ce soit.

À la grande surprise de Sylvain, maman ouvrit un panneau d’armoire et en sortit un billet de cent dollars. Elle le posa sur la table et en se tournant face à l’évier, comme pour ne pas montrer son visage embarrassé alors, elle dit à Sylvain :

- Je suis trop gênée pour y aller moi-même. Pouvez-vous m’amener un bidule pour… enfin, vous savez ce que je veux dire… pour faire ce que la fille faisait. Voilà.

Sans dire un mot, Sylvain partit pour la ville et lorsqu’il revint, il déposa sur la table une toute petite boîte ainsi qu’une facture et le change du cent dollars de maman.

Il ne lui dit que :

- Voilà. La vendeuse m’a expliqué que vous pourriez installer facilement ce bidule là où il faut.
Vous remettez votre culotte et vous attachez le module de commande à votre ceinture. Quand vous aurez envie de… plaisir, vous le déclenchez et soyez assurée que les orteils vont vous friser, même quand vous êtes en train de faire la vaisselle.

Maman ramassa le tout et s’enfuit presque dans sa chambre tant elle était gênée. Avant d’entrer dans sa chambre, elle demanda à Sylvain d’un ton presque suppliant :

- Je compte sur vous pour que vous ne racontiez pas cela à personne s’il vous plaît. Et surtout pas à mes s. Mes filles se moqueraient de moi, pas à peu près.

Au cours de la soirée, Sylvain entra en communication avec un acteur du porno et entreprit de l’interviewer en direct. Maman se trouvait au salon et regardait un de ses téléromans. Soudain, elle entendit Sylvain qui parlait en direct dire avec l’acteur :

- Bien, ce n’est pas nécessaire que tu enfile ta copine devant moi. Fais comme tu veux, mais continue à répondre à mes questions.

Maman se raidit en entendant cela et elle demanda à Sylvain :

- Il va… ils vont le faire devant toi ?

Sylvain répondit simplement :

- Bien sûr, ce sont des gens du porno. Pour eux, c’est comme de manger une salade. D’ailleurs, sa copine a commencé à se déshabiller.

Maman s’empressa de venir prendre place derrière Sylvain et regarda ce qui se passait sur l’écran, les yeux agrandis par la surprise. En effet, la fille avait retiré son bustier et laissait ses boules gigantesques en proie à la bouche et aux mains du gars. Un noir bien baraqué et c’est peu dire. Dix pouces de queue au moins.

Maman regarda faire les deux amants un moment et soudain la fille se baissa pour tenter de mettre le pénis du gars dans sa bouche. Elle le suçait et le gars semblait apprécier tout en répondant aux questions de Sylvain.

Ce fut sans doute la première fois que maman parla ouvertement de sexe en disant à Sylvain :

- Tu sais, j’ai toujours voulu faire cela à mon mari. J’aurais voulu le sentir avoir du plaisir dans ma bouche et je l’aurais tout avalé, mais il était bien trop scrupuleux pour cela et il disait que j’étais une putain de vouloir faire ces choses. Comme il disait : seules les putains font cela et j’avais alors toutes les peines du monde, juste pour lui caresser la queue. Dieu sais combien j’aurais aimé avoir sa queue dans ma bouche et faire comme cette fille et le sucer.

Sylvain se retourna et demanda à maman :

- Avez-vous inséré vos boules Winja ?

Maman faillit s’évanouir et lui répondit en balbutiant.

- Heu ! Non. Je suis bien trop gênée.

Sylvain lui dit alors :

- Attendez une minute, je finis cette entrevue et je vous explique comment cela marche.

Maman émit un son de surprise tant elle demeura consternée de voir ce qui se passait sur l’écran de l’ordinateur. Le gars avait lubrifié son pénis et il s’apprêtait à l’enfoncer dans la chatte de la petite dame latino-américaine.

Maman émit dans un souffle presque coupé :

- Elle ne pourra jamais recevoir un tel engin. C’est impossible.

Le noir fit entrer son gland de pénis et se cambra légèrement pour donner un coup de rein si fort que tout son pénis disparut dans le sexe de la fille. La fille émit un rauque sourd et bascula sa tête par en arrière comme pour mieux indiquer à son amant qu’elle appréciait ce sexe en elle.

Maman dit à Sylvain :

- Hé ! Il va la défoncer avec un pareil engin. La pauvre, cela doit faire mal.

Quelques minutes plus tard, le gars annonça à Sylvain qu’il allait décharger et s’excusa de le laisser en attente.

Maman qui n’avait pas dit un mot depuis que le gars avait commencé à fourrer la fille, dit à Sylvain :

- Il veut décharger dans la fille et il n’a pas mis de condom.

Sur l’écran, le gars jouissait, la fille hurlait de plaisir en se tordant voluptueusement et Sylvain ferma le chat. Le show était terminé. Maman était demeurée toute transie de voir un tel spectacle et ne pouvait plus parler tant elle était ébranlée.

Sylvain lui dit alors :

- Allez chercher les boules Winja que je vous ai procuré. Je vais vous expliquer comment les installer et comment ça marche. Si vous avez un pyjama ce serait mieux. Allez ma chère, il est temps pour vous de connaître certains petits plaisirs bien spéciaux.

Maman entra dans sa chambre et enfila un ensemble de pyjama pour revenir trouver Sylvain dans la cuisine en tenant du bout des doigts, la petite boîte aux scandales érotiques

Sylvain posa la boîte sur la table et l’ouvrit. Il installa les deux batteries dans le module de commande et l’attacha à la ceinture de maman puis il lui dit :

- Allez dans votre chambre et en utilisant ce petit tube de lubrifiant, vous en enduisez les deux boules que voilà. Ensuite, vous les insérez dans votre vagin, le plus profondément possible quand ce sera fait, revenez me retrouver. Je vous expliquerais comment vous procurer du plaisir avec ce petit jeu de boules.

Deux minutes plus tard, maman se présenta devant Sylvain en serrant un peu les jambes, elle était très confuse et gênée comme elle ne l’avait jamais été.

Sylvain lui demanda alors d’un ton neutre :

- Est-ce que vous avez enfoncé les deux boules bien profondément ?

Maman lui répondit en balbutiant presque :

- Oui, mais on dirait que les boules veulent ressortir toute seules quand je suis debout.

Sylvain lui expliqua alors :

- Allez vous installer dans un fauteuil au salon et je vous explique l’étape deux.

Maman s’en alla s’installer dans un fauteuil avec tant de rouge aux joues qu’elle en faisait pitié. Sylvain lui dit alors :

- Je me retourne et maintenant rentrez les encore plus profondément. Quand vous les aurez poussées comme il faut, serrez les cuisses bien fortement. Vous me direz quand vous serez prête.

Quelques secondes plus tard, maman lui dit :

- C’est fait, que dois-je faire maintenant ?

Sylvain se pencha sur elle en souriant et actionna le module de commande en lui disant :

- Serrez les cuisses encore plus ma chère petite madame.

Maman se renversa la tête par en arrière tant elle fut surprise par le mouvement que les boules effectuaient dans son sexe. Un ronronnement étrange se produisit dans son bas ventre. C’était les boules qui s’entrechoquaient entre elles tout en vibrant avec ferveur. Sylvain toucha encore au module de commande et poussa le bouton en deuxième vitesse.

Ce fut infernal, ce qui se produisit dans le sexe de maman. Soudain, après moins de deux minutes, elle renversa la tête encore plus par en arrière et raidit ses jambes tout en poussant un long souffle :

Hoooooooooooooooo.

Elle jouissait et ne pouvait plus s’arrêter de jouir. Elle était gênée certes de jouir ainsi devant un parfait étranger et pourtant, elle ne pouvait plus s’arrêter. Elle aurait voulu que ce plaisir sauvage qui ravageait son bas-ventre dure éternellement. Elle avait soixante dix ans alors et cela faisait plus de quinze ans qu’elle n’avait pas connu de plaisir et maintenant, elle ne pouvait plus qu’apprécier enfin ce divin plaisir.

Quand ces hooo eurent un peu diminués, Sylvain referma le module de commande. Maman demeura longtemps les cuisses serrées à regarder dans le vide, submergée de plaisir. Enfin, elle se leva avec des larmes aux yeux pour dire à Sylvain :

C’est fou, même mon mari n’aurait pas eu autant d’attention à mon égard. Je me sauve dans ma chambre et je vais enlever cet engin diabolique. Sinon, je vais mourir de plaisir ce soir.

Sylvain lui posa une main sur l’épaule et toucha à nouveau au module de commande. Il venait de l’actionner à son maximum. Un bruit infernal se fit dans le bas ventre de maman et elle serra les cuisses comme jamais elle ne l’avait fait. Elle se laissa retomber sur le fauteuil, incapable de résister au plaisir intense qui ravageait son sexe.

Un Haaaaaaaaaaaaa très prononcé suivit d’un Hoooooooooooooo suivit. Elle jouissait encore et encore. Sylvain lui dit alors :

- Je retourne à mon ordinateur. Vous n’avez qu’à le refermer quand vous jugerez que vous avez assez jouie. Pendant la journée, installez-le et enfilez une petite culotte bien serrée pour éviter que les boules ne ressortent toutes seules. Vous pourrez alors déclencher le petit module de commande quand vous le voudrez.

Et Sylvain, en arborant un grand sourire continua :

- Je gage qu’en faisant la vaisselle, vous n’avez jamais jouie. Maintenant, vous pourrez jouir partout où cela vous tentera. Il va juste vous falloir penser à vous acheter des piles de petites culottes si vous adoptez l’idée d’installer ces boules souvent, parce que vous allez vous promener dans la maison avec des petites culottes toutes détrempées comme celle que vous avez maintenant.

Pendant un autre cinq minutes, maman laissa les boules ravager son sexe, elle poussait souvent des Hoooooooooooooooooooooo prolongés et elle se résigna enfin à fermer le module de commande. Une longue minute suivit en silence avant qu’elle ne dise à Sylvain :

- Je vais aller dans ma chambre pour enlever ce divin appareil. Merci Sylvain. Lorsqu’elle voulut se rendre à sa chambre, ses jambes flageolaient sous elle tant elle avait vécu de sensations jouissives. Finalement, elle parvint à se rendre à sa chambre et lorsqu’elle revint, ce fut pour donner un baiser sur la joue de Sylvain en lui disant :

- Je suis épuisée et je vais aller me coucher. Je suis totalement épuisée. Merci Sylvain vous êtes un ange.

Sylvain se leva et lui dit :

- Vous vous souvenez du noir avec sa queue de dix pouces ?

- Ho que si ! Il en avait une du genre qu’on ne peut oublier.

Sylvain dit à maman alors :

- J’en ai une aussi longue et un peu plus grosse en diamètre. Mouillée comme vous l’êtes, vous n’aurez pas de peine à toute la prendre dans votre sexe.

Maman stupéfaite ne parvint pas à répondre. Elle aurait voulu protester et pourtant au seul contact des mains de Sylvain sur ses épaules alors qu’il la poussa gentiment vers sa chambre à coucher, elle lui sourit timidement en lui disant :

- Aussi grosse vous dites ? Ho !

Sylvain lu répondit :

- Oui plus grosse et au moins un demi-pouce de plus que la queue de l’étalon que vous venez de voir en train de mettre la jeune madame.

Finalement, elle ne s’opposa pas davantage et pour la première fois de sa vie, elle reçût un pénis gigantesque dans son bas-ventre. La seule chose que Sylvain lui dit en la prenant et qui la surprit vraiment, ce fut quand Sylvain lui annonça :

- Je n’ai pas mis de condom et je vais décharger madame Agnès. Tenez, prenez tout ça dans votre sexe. Je joui madame.

Et maman reçut la plus magistrale décharge qu’elle n’avait jamais reçue dans le creux de ses reins. Elle ressentit de longues giclées issues du plaisir de cet homme presqu’inconnu d’elle, heurter sa chair au plus profond de son sexe. C’était le deuxième homme dans sa vie qui lui faisait l’amour et elle aurait voulu redevenir jeune fille tant elle apprécia le divin plaisir que lui donna sans compter Sylvain, son pensionnaire.

Le lendemain matin, maman se leva et fut un peu surprise de voir que Sylvain était déjà sur son ordinateur et interviewais une autre jeune femme de la porno. Elle s’approcha de lui et lui posa les mains sur les épaules pour lui dire en apposant un baiser dans ses cheveux :

- Merci jeune homme. Toute la nuit, je suis resté avec l’impression que votre pénis était encore en moi, tant il est gros et qu’il m’a dilaté les parois vaginales. Est-ce que je peux te demander un autre petit service?

Sylvain se retourna et lui répondit :

- Mais faites donc, madame, demandez et je ferais en sorte d’essayer de répondre à vos désirs ou besoins.

Maman lui expliqua alors :

- Toute ma vie de conjointe, j’ai rêvé de sucer mon mari et de recevoir sa décharge dans ma bouche et toujours, il m’a refusé ce plaisir. Je t’ai senti décharger dans mon sexe hier-soir et je voudrais que tu me décharges dans la bouche. Je veux connaître ce plaisir au moins une fois dans mon existence.

Sylvain lui répondit avec enthousiasme :

- Allez enfiler vos petites boules dans votre petite chatte, chère madame et revenez ici. Je n’ai jamais déchargé dans la bouche d’une femme, alors, si vous voulez me prêter votre bouche pour recevoir mon plaisir, sachez que cela me fera le plus grand des plaisirs.

Maman se dirigeait vers sa chambre à coucher quand elle entendit Sylvain lui dire :

- Heu ! à bien y penser, attendez-moi, je ferme mon entrevue et c’est moi qui vais vous enfoncer vos boules Winja avec mon pénis. Ensuite, on actionne le module de commande et vous me la sucez. Vous me faites bander ma chère madame et je crois bien que je vais vous la farcir comme il faut encore une fois, mais après que vous m’aurez sucé bien sûr.

Quand l’été fut consommé, Sylvain partit vers un autre Home, mais à l’étranger, en nomade qu’il était. Maman était devenue si jolie, si épanouie au cours de cet été, que j’en demeurais consterné.

Si j’ai appris cette tranche intime de la vie de maman, c’est qu’un jour, elle se sentit obligée de me raconter ses aventures avec Sylvain et pour cause :

Une de ses boules Winja avait cessé de fonctionner et elle voulait en ravoir des neuves. Je lui en ai procuré, mais un ensemble un peu plus gros, assorti d’un de ces vibrateurs à faire pâmer une pucelle.

Extrait de l’un de mes livres. J. V.

J’aimerais connaître votre opinion sur ce récit, d’autant plus que d’autres suivront selon les intérêts des lecteurs.

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