Jules Et Les Voisines : « Après Karine La Mère, Il Dépucèle Manon, La Fille. » Épisode 9.

Ce vendredi 13 mars au soir, après avoir lu et relu le mail de Tamara, Jules s’en fit une raison. Dans l’état actuel des choses, désirant rester aussi longtemps en Martinique, elle lui disait par sous-entendus que leur histoire d’amour était bel et bien terminée. Il était très déçu mais pas en colère après elle, il devait désormais vivre sa vie en attendant de retrouver une femme qui lui donnerait son amour. En repensant à Manon qui l’avait passablement excité, ses pulsions sexuelles remontèrent à la surface. Cela faisait une semaine qu’il n’avait pas fait l’amour et ça commençait à faire long. Il avait l’intention d’appeler sa jeune voisine afin qu’elle passe la soirée avec lui, mais il se ravisa au dernier moment.

Le téléphone en main, il appela la seule femme disponible prête à tout moment à se donner à lui, Sandy sa petite caissière favorite. Il ne s’était pas trompé, quelques minutes plus tard, il alla la rejoindre dans la foulée. Cela faisait à peine dix minutes qu’il avait quitté son appartement que Manon venait frapper à sa porte, elle avait pris sa décision et se donnerait à Jules sans retenu cette nuit. Malheureusement, elle trouva porte close, elle en était malheureuse de le savoir probablement dans les bras d’une autre. Elle regrettait à présent de ne pas avoir été suffisamment convaincante le soir même.

Ce n’était que partie remise, mais si Jules n’était pas rentré le samedi, Manon n’avait pas cessé de penser à lui toute la journée, essayant d’établir un nouveau plan d’action pour le séduire. Se disant : « Oui je suis sans doute une salope mais je veux l'être pour lui. Il ne peut pas imaginer le nombre de fois où je me suis masturbée et j'ai crié son nom dans mes moments de plaisirs solitaires. L’imaginant me baiser dans tous les sens et toutes les positions sexuelles possibles. J'ai grave envie qu'il me prenne fort que je mouille ma petite culotte. Je rêve que je saisis son sexe dans ma bouche entièrement et goulûment pour le pomper et me remplir de son sperme.

Je veux le goûter et le laisser me manger le minou. »

Manon était très déterminée et rien ne l’arrêterait cette fois. Le dimanche, Karine en surcroit de travail à l’hôpital était partie de bonne heure, elle avait préparé la veille un petit gâteau au chocolat spécialement pour Jules qui l’aimait beaucoup. Étant passée le samedi soir lui apporter et ne le trouvant pas chez lui, elle était redescendue déçue de ne pas lui avoir laisser. C’était une occasion inespérée pour Manon qui proposa à sa mère de le faire à sa place, cela lui procurait une bonne excuse pour lui rendre visite un dimanche sans que sa mère se doute de quoi que ce soit :
— T’inquiète maman, je lui montrai demain vers midi. Il sera probablement là.

Lorsque Manon s’était levée à dix heures, son premier réflexe fut de regarder par la fenêtre de la cuisine. Voyant la voiture de Jules bien garée sur le parking, elle était totalement rassurée de sa présence. Elle resta toute la matinée à se préparer pour ce grand jour. Après s’être lavée et maquillée légèrement, elle avait passé en revue, toute sa garde-robe. Son choix fut arrêté sur son plus beau string blanc, son débardeur moulant dont le large décolleté dévoilait une grande partie de sa belle poitrine et sa mini-jupe en jean délavé lui arrivant à raz des fesses. Elle se trouvait très sexy en se regardant dans la glace, elle s’admirait devinant l’effet qu’elle pourrait faire lorsque Jules la verrait ainsi vêtue.

Il était midi trente lorsque Manon frappa à la porte de son voisin du dessus, tenant dans ses mains le gâteau préféré de son prof adoré. Sortant de la douche, Jules était en short et en tee-shirt, lorsqu’il ouvrit à son élève qui ne le laissa pas prendre la parole. Elle tendit son visage vers lui afin qu’ils se fasse la bise comme deux amis. Cette fois plus par reflexe que par envie, sans se poser de question, Jules se pencha lui aussi et ils s’embrassèrent sur les joues. Sans attendre d’y être invitée, elle pénétra dans son appartement en toute décontraction, en disant :
— Tiens ! Ma mère l’a fait spécialement pour toi… Oh pardon ! Je vous ai tutoyé Monsieur Pennys.
Dit-elle en mettant sa main devant sa bouche.

Faisant croire qu’elle était désolée, elle avait tenté une approche directe et différente afin de connaitre sa réaction et cela avait apparemment fonctionné, lorsqu’elle entendit sa réponse.
— Ce n’est pas grave Manon tant que nous ne sommes pas au lycée tu peux me dire « tu » et m’appeler « Jules ». Nous n’avons pas un écart d’âge très important et nous nous connaissons bien à présent. Lui avait-il répondu en l’admirant de la tête aux pieds.

Jules la trouva une nouvelle fois sublime dans cette petite tenue super sexy. « Cette petite est vraiment bandante. » Pensa-t-il tout de suite, en lui demandant de poser le gâteau sur la table :
— Ça ne pouvait pas mieux tomber, je n’ai pas encore pris mon petit déjeuner. Tu en veux un morceau ?
— Vous…Tu es gentil mais pour le gâteau, je fais attention à ma ligne mais je prendrais bien un café. Tu veux que je le fasse ?

C’était parti ! Manon se sentait très à l’aise, elle alla à la cuisine, suivi de près par Jules qui lui indiquait où se trouvait les ingrédients. En attendant que le café passe, Manon s’était assise sur le plan de travail balançant ses jambes légèrement écartées, face à jules qui se tenait debout appuyé contre le mur. Ils discutèrent un moment du confinement puis Manon en profita pour dire :
— Tu sais, je m’ennuie chez moi toute seule, je pourrais rester un peu chez toi cet après-midi ?

Jules comprit que Manon posait ses jalons, il voyait l’intérieur de ses cuisses superbes et vit même le petit morceau de tissus blanc de son string. Cela lui apporta une nouvelle pulsion sexuelle, cette petite avait le don de l’exciter. Il n’avait rien de prévu mais l’idée était d’aller rejoindre Sandy :
— J’avais pensé sortir mais si tu veux bien rester, pourquoi pas. Nous pourrons regarder un film.
Le café étant fini, Manon descendit de son perchoir, attrapa la verseuse et remercia Jules :
— T’es super cool ! Viens prendre ton petit déjeuner.


À table, ils s’installèrent face à face, Manon ne le dévorait des yeux et lui souriait en permanence pendant que Jules dévorait sa part de gâteau avec une telle gourmandise qu’il en avait au-dessus des lèvres. Elle se mit à rire, prit une serviette en papier et se pencha au-dessus de table pour lui essuyer le chocolat qu’il avait en guise de moustaches :
— Tu manges comme un cochon. Dit-elle en se moquant de lui.
Penchée ainsi vers lui, son regard se porta immédiatement sur ses seins offerts à sa merci. C’était une pure invitation à la débauche, Manon était si simple et sincère qu’elle le fascinait. Pourtant il avait très envie de prendre ses seins à pleine mains mais une fois encore, il se retint de le faire, il ne voulait pas aller trop vite, elle était si jeune et semblait si fragile. Il lui saisit la main et lui dit :
— J’aime ton naturel et ton attention, tu en es éblouissante.

Manon savait désormais qu’elle avait gagné la partie, elle choisit donc de ne plus le tutoyer franchement et attendrait dorénavant qu’il fasse le premier pas. Elle se doutait qu’avant la fin de l’après-midi, il passerait à l’action :
— Merci Monsieur Pennys.
— Pas tant de Monsieur ! Manon appelle moi donc Jules.
— Bon ! Jules, je débarrasse pendant que vous préparez le DVD.

Quelques minutes plus tard, ils étaient tous les deux installés côte à côte dans le canapé. Après un bon quart d’heure, Manon regardait l’écran sans vraiment se concentrer sur le film. S’apercevant que Jules ne faisait rien, elle lança une petite phrase toute faites espérant le faire réagir :
— Comme je suis bien avec vous Jules.

Le bras de Jules étant posé sur le dossier, il le descendit sur l’épaule Manon et l’attira contre lui. Elle pencha son corps vers lui, sa tête reposant au creux de son épaule :
— Tu seras bien mieux ainsi non ?
— Vous avez de beaux biceps, je peux les toucher ?

Machinalement, Jules de son autre main, lui caressa le visage puis laissa son bras devant lui afin que Manon enserre ses muscles de ses deux mains en s’écriant :
— Vous savez qu’en classe toutes filles regardent vos muscles, j’ai vraiment de la chance car je peux les toucher.
Ils sont très durs.

Le contact de ses mains sur sa peau, faisait son effet, Jules ne savait plus quelle décision prendre, il avait bien commencé en la prenant contre lui mais il appréhendait sa réaction s’il essayait de l’embrasser. Tandis que Manon savait à présent qu’ils ne finiraient jamais le film. D’avoir Manon dans ses bras, Jules commençait à être excité, il se décida enfin de lancer les hostilités, il attrapa une part de gâteau posée sur la table basse, mordit dedans et la reposa. Comme tout à l’heure, il avait de la crème au chocolat sur les moustaches. Manon le regardait disant en riant :
— Je n’ai pas de serviette cette fois.
— Tu peux prendre ta langue pour m’essuyer. Lui dit-il en embrassant ses doigts. Viens !

Son rêve se réalisait enfin, folle de joie, Manon se leva et vint devant Jules qui avait avancé ses fesses sur le rebord du coussin. La prenant par les mains, il lui demanda de faire un tour sur elle-même :
— Tu es belle à croquer Manon, viens qu’attends-tu pour venir m’essuyer.

Connaissant désormais ses réelles intentions, Manon continua son petit jeu. Elle fit mine d’aller chercher un essuie-tout mais fut vite retenu par la main de Jules qui lui dit :
— Non pas comme ça, avec ta langue.
— Mais Monsieur Pennys. Répondit-elle en faisant sa petite ingénue.
— Ne me dis pas que tu n’as pas envie de m’embrasser. Poursuivit-il tout en lui tenant toujours la main.
— Si beaucoup mais…

Il l’attira à lui et Manon se pencha sur lui et lécha doucement cette crème puis leurs bouches et leurs langues ne firent qu’un. Ce baiser tendre et doux se transforma vite en un baiser passionné pour finir par être un baiser sauvage. Ils se mordaient les lèvres, se léchait le visage. Elle s’était accrochée à sa tête, pendant qu’il avait passé ses mains sous sa petite jupe lui triturant les fesses. Ses doigts dans la raie, il pétrissait son petit cul sans retenu :
— Dis-moi Manon ! Tu as vraiment envie de faire l’amour avec moi. Tu en es certaine ? Lui demanda-t-il pour se rassurer.

En regardant la bosse qui pointait contre le tissu de son short, elle montra de son index pointant vers son sexe et lui répondit :
— Oui Monsieur Pennys ! Mais je vois que je ne suis pas la seule, vous aussi non !
À partir de cet instant, Manon se lâcha complètement, elle avait tant attendu ce moment que cela en devenait insupportable. Très excitée d’être si près du but, elle n’avait plus à réfléchir, elle s’accroupit et aidée par Jules, elle baissa son short. Étant nu dessous, elle prit directement son sexe dans la main et le regarda longuement avec une certaine stupéfaction, tellement sa bite ressemblait étrangement à celles des acteurs porno. N’étant pas à sa première fellation, sans attendre sa demande, elle saisit sa belle queue dans une main, approcha sa bouche et commença à le sucer, pendant qu’elle massait ses couilles de l’autre. Elle caressait le gland avec sa langue puis au fur et à mesure, elle avançait sa tête pour glisser ses lèvres le long de sa hampe avant de finir d’avaler entièrement son sexe au fond de sa gorge.

Ces mouvements lents et délicieux faisaient bander Jules de plus belle. Tout en lui maintenant la tête, il gémissait, tout en la regardant faire. Cette petite « coquine » lui plaisait, elle savait si bien s’y prendre, surtout qu’elle ne l’avait pas quitté des yeux, à croire qu’elle regardait les films X. En effet, ceux-ci n’avaient plus aucun secret pour elle. En les visionnant avec attention, elle savait désormais ce que les hommes aimaient faire avec leurs partenaires féminines. Jules allait atteindre le point de non-retour, n’en pouvant plus, il lui demanda d’arrêter :
— Stop Manon ! Sinon je vais éjaculer dans ta bouche.
— Tu sais je veux bien essayer. Lui répondit-elle.
— Attends ! Ça sera pour plus tard. Maintenant viens ! Je vais te faire plaisir à mon tour. Allonge-toi sur le divan.

Jules prit un malin plaisir à la dévêtir, il la trouva splendide malgré une poitrine un peu forte pour son corps bien proportionné. Manon connut cet après-midi-là ce qu’était réellement des préliminaires, son cunnilingus fut magique, elle prit deux orgasmes en moins de trente minutes tellement Jules savait utiliser sa langue et ses doigts. Elle explosa pour la seconde fois lorsqu’il avait pénétré deux doigts dans son anus, pendant qu’il prenait en même temps possession de sa chatte avec le majeur de son autre main et que sa langue suçait son clitoris. Il l’avait littéralement fait grimper aux rideaux, c’était la première fois qu’elle jouissait autant. Lorsqu’il l’avait couché sur le tapis, elle fut dans l’obligation de lui avouer sa virginité :
— Non ! Tu es encore pucelle ? Franchement, je n’aurais jamais cru. Tu vas voir ma puce, je vais faire très attention, ne craint rien et laisse-toi emporter par le plaisir.

Jules désirait que Manon lui demande de la pénétrer, elle avait probablement besoin de temps. Il l’embrassa dans le cou puis aspira un à un les tétons rosés et érigés de la jeune fille. Sa bouche était descendue en léchant toutes les parties de son ventre pendant que sa main caressait l’intérieur de ses cuisses. Manon se pinçait les lèvres en gémissant, elle souleva son bassin en écartant les jambes, comme une invitation silencieuse afin que Jules renouvelle ses caresses buccales de sa petite chatte humide.

La langue du prof se délecta des sécrétions suintant du sexe de sa « petite coquine » qui perdait patience, sa respiration s’accéléra, elle posa ses mains sur la tête de Jules, lorsqu’il aspira son petit bouton rose. À en croire la pression des mains de Manon sur sa tête, il savait qu’elle n’attendait que cela. Doucement, il aspirait, léchait entre les grandes lèvres et recommençait encore et encore indéfiniment, puis sa langue s’immisça dans sa fente de plus en plus mouillée.

Il sentit que le désir montait en elle, c’était un feu ardent qui lui brulait les entrailles, tendant sa chatte à la bouche de son prof adoré, sa tête partit en arrière, elle le serrait très fort par le cou, elle gémissait et haletait sous les aspirations et léchages répétés. De ses doigts, il insistait en tournant son index et son majeur dans sa chatte afin de bien la préparer, elle bougeait son bassin, tout en remuant sa tête de tous les côtés :
— Baise-moi Jules ! Tout de suite ! Je n’en peux plus. L’implora-t-elle.

Le moment était venu, Jules retira son teeshirt, nus tous les deux, Manon allongée à plat dos sur le tapis, il s’agenouilla devant puis passa ses jambes au-dessus de ses épaules en l’attirant vers lui. Sans plus attendre, la verge en pleine érection, Jules posa son gland entièrement décalotté, sur son pubis. Manon frémissait de désir, elle tremblait d’excitation mais pas de peur, elle savait très bien que ce serait une vraie femme à partir de ce jour. Elle n’appréhendait pas la douleur, même si la queue de Jules semblait énorme par rapport à sa petite chatte. Elle voulait tout simplement baiser, être possédée par l’homme qu’elle aimait. Elle s’offrait ainsi à lui, elle en avait tant rêvé qu’elle était heureuse comme jamais elle l’avait été.

Tenant sa verge d’une main sur la fente de sa jeune élève, l’autre continuait de parcourir encore tout son corps, il retardait le moment, il lui léchait les seins et le ventre, tout en laissant sa bite entre les deux grandes lèvres du sexe de la jeune fille. Après un dernier baiser, il écarta bien les jambes de Manon et reposa sa queue pleine de sang sur son bouton, il glissa lentement son gland de bas en haut, entre les lèvres puis sur son clito, il ne la pénétrait pas encore mais la masturbait avec son sexe tout en appuyant de plus en plus, le moment de vérité était proche, mais la sentant un peu contractée, il frottait son gland et tournait tout autour de son bouton rose :
— Vas-y ! Baise-moi Jules ! Qu’attends-tu ?

Ne pouvant plus retarder l’instant magique, délicatement il s’enfonça dans la fente de sa jeune élève qui ne se crispait plus. La moitié de son gland était rentré mais instinctivement, Manon n’était pas assez détendue, Jules lui prit l’arrière de ses cuisses et les souleva, il se pencha un maximum sur elle, elle avait à présent les genoux à la hauteur de sa poitrine, le passage était bien plus aisé et l’entrée de son vagin s’écarta. Il l’embrassa une nouvelle fois pour la rassurer et se rapprocha, après un dernier baiser dans le cou, lui tenant les pieds bien haut de la main gauche, la droite tenant sa verge en ébullition, il la présenta à l’entrée du vagin et d’une seule poussée, il la déflora en s’enfonçant lentement à l’intérieur de sa chatte qui avait attendu si longtemps avant de recevoir le sexe son prof d’anglais.

Manon s’était lâchée, malgré la petite douleur qu’elle avait ressenti au moment de la pénétration, la sensation d’être remplit ainsi par cette belle et grosse queue, lui semblait bien mieux que des doigts. Elle désirait même qu’il aille bien plus profond. De ses mains accrochées aux hanches de son amant, elle essayait de l’attirer à lui. Jules comprit qu’il pouvait continuer à avancer, il lui caressa le visage et s’enfonça encore sous les petits cris de Manon qui sentait le désir monter dans son ventre.

Enfin, il était entièrement entré jusqu’à la garde et remplissait sa chatte, tout était merveilleux pour elle qui gémissait et les va et vient lents et réguliers commencèrent. Puis en ressortant au trois-quarts sa bite, quelques effluves de sang rougissaient sa hampe et perlaient de sa petite chatte. C’était reparti, Jules ne voulant pas lui faire mal, recommença et la pénétra s’en s’enfoncer entièrement mais Manon ne semblait pas encore apprécier, elle voulait bien profond :
— Défonce-moi la chatte mon chéri, plus fort ! plus loin !

Manon n’était pas Tamara, il venait de le découvrir. Pendant de longues minutes, il allait et venait presque sauvagement en suivant les demandes de sa belle et jeune élève qui atteignait enfin son orgasme. Cette « petite coquine » avait du caractère et était née pour se faire baiser. Il retira son préservatif d’un geste brusque et éjacula abondamment sur son ventre. Les premiers jets furent si puissants, qu’elle avait du sperme jusque dans le cou.

L’après-midi avait très bien débuté, elle lui avait sauté au cou en le remerciant et ils s’embrassèrent goulument avant de finir le gâteau. Jules lui demanda si elle prenait un contraceptif, sa réponse étant négative, il devait faire attention. Sachant que côté maladie il était clean, il lui dit qu’il ne mettait pas de préservatif avec les filles sûres mais que si ça la gênait, il mettrait une capote. Manon s’y refusa et lui fit confiance en disant qu’elle prendrait désormais la pilule.

Assis à la cuisine pendant que Manon faisait la vaisselle, il admirait son joli petit cul qu’elle avait laissé libre de tout sous-vêtement. Lorsqu’il lui dit qu’elle avait de belles fesses, elle les remua en disant :
— Viens me les caresser au lieu de me mater.
Manon avait le don de l’exciter, il s’était levé et lui avait trituré le cul pendant qu’elle finissait d’essuyer les couverts. Elle avait également le pouvoir de le faire bander comme un cerf avec sa petite bouche gourmande, lorsqu’elle lui fit une nouvelle fellation devant l’évier. Il l’empoigna avec force par la taille, la souleva et déposa ses fesses sur la table.

Ils avaient une nouvelle fois baiser sauvagement, Manon était une vraie tigresse, elle adorait être prise de la sorte, il en fut très étonné pour une jeune fille qui venait de perdre sa virginité mais elle semblait déjà malgré son âge, tout connaitre sur le plan sexuel, cela lui changeait de Tamara qui ne lui avait pas encore fait de pipe et refusait encore d’être sodomisée.

Manon était restée jusqu’à 22 heures, elle était descendue, juste avant que sa mère revienne. Elle était totalement épuisée de tous les orgasmes que Jules lui avait prodigués. Ils avaient baisé dans toutes les positions et dans tous les endroits de son appartement entre coupés de beaucoup de câlins. Avant de redescendre, Manon s’accrocha au cou de jules et lui à son oreille :
— Je veux être ta salope, je ferai tout ce que tu me demanderas de faire.
Se retrouvant seul, Jules s’interrogeait à ce que sa « petite coquine » lui avait dit. Aurait-il trouvé chaussure à son pied ?
Nous verrons la suite dans un prochain récit.

Chères lectrices et chers lecteurs, merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Si vous aussi, vous avez envie de raconter vos histoires d’amour ou de sexe, contactez-moi par e-mail, avec votre aide, j’écrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!