Marjorie Et Heidi Prises À Toutes Les Sauces Au Restaurant.

Marjorie était resplendissante de beauté. Elle portait une longue robe pourpre au décolleté vertigineux. Le tissu se tendait agréablement sous la pression des deux globes généreux qui mettaient à mal les 2 bretelles reliées à son tour de cou. Le sillon merveilleux entre ses deux seins somptueux rappelait celui d’une vallée. Ce n’était pas la vallée de la mort, non. C’était la vallée du sperme…Si la vallée de la mort manquait d’eau la vallée du sperme qu’offrait le décolleté de Marjorie ne demandait qu’à être arrosée par un liquide bien plus nourrissant et bien plus épais.
Les regards des serveurs et des clients montraient d’ailleurs que les promesses de dons en sperme pour la vallée de Marjorie se seraient concrétisées à 100% !
Marjorie était un véritable appeau à hommes. Nul besoin de son pour cet appeau-là. Il lui suffisait de bouger pour attirer les regards des hommes présents autour d’elle. Ceci dit c’était peut-être même pire quand elle s’arrêtait. Si la moitié des hommes présents bénissait l’apparition de Marjorie dans le restaurant, l’autre moitié bénissait celle de la jeune femme qui l’accompagnait. Sa belle-sœur Heidi.
En effet, tandis que la moitié des regards masculins était focalisée sur la somptueuse poitrine de Marjorie l’autre moitié ne pouvait quitter le visage et surtout les lèvres de Heidi. Se déplaçant avec grâce entre les tables, Heidi était loin de se douter que les hommes qui la dévisageaient avec une telle avidité dans le regard la regardaient comme une cible de concours à éjaculation faciale.
Elle en rougit en passant devant le groupe d’adolescents qui fêtaient l’anniversaire d’un des leurs et qui fixaient ses lèvres comme s’ils allaient lui demander de les utiliser pour souffler d’autres bougies que celles posées sur le gâteau.
Heidi s’était empourprée comme si elle avait voulu assortir son visage à son corset rouge écarlate au décolleté certes moins vertigineux que celui de Marjorie mais qui était tout aussi prometteur question caresses mammaires.


Le dos valait la face. Les regards qui s’étaient focalisés sur le visage de Heidi fixaient maintenant la superbe croupe mise en valeur par une longue jupe noire faussement pudique car elle laissait dépasser les jambes gainées de noir et les escarpins assortis.
Les hommes présents au restaurant n’en revenaient pas. Ils venaient de voir déambuler devant eux deux véritables fantasmes tout en courbes qui se dirigeaient en compagnie de leurs époux vers une table où les attendait un couple de sexagénaire.
Voulant célébrer sa promotion au travail, Marjorie était venue en couple et avait demandé à sa belle sœur Heidi de venir également avec son mari pour rejoindre son patron et son épouse qu’elle comptait remercier.
Marjorie avait choisi le restaurant dans lequel elle avait obtenu sa promotion à la force des lèvres et des seins. L’épouse du patron de Marjorie la remercia de son invitation. Ce qu’elle ignorait c’était qu’il y avait bien longtemps que Marjorie avait remercié son patron. La pauvre femme était loin de se douter que son séducteur de mari profitait se ruinait en pilules pour honorer sa superbe secrétaire et qu’il avait certainement déposé davantage de sperme entre les seins somptueux que le propre mari de Marjorie lui-même.
Marjorie fixa son patron et lui rendit son sourire. Elle se souvenait que pour eux tout avait commencé ici et elle devinait les pensées qui pouvaient bien animer René en cet instant bien précis. Elle avait d’ailleurs dû le soulager trois fois entre ses seins l’après midi même pour éviter qu’il ne la courbe sur son bureau.
Tandis que Marjorie émergeait de ses pensées érotiques René de son côté était aux anges. Marjorie était installée en face de lui et à côté d’elle se tenait sa belle-sœur.
Le patron de Marjorie ne savait plus où donner de la tête tant il était difficile de départager les deux ravissantes jeunes femmes question beauté. Son regard se posait alternativement sur la poitrine de sa jeune secrétaire et sur les lèvres incroyablement sensuelles de sa belle-sœur.
Il n’écoutait pas ce que lui disait Heidi perdu sans ses envies de fellation que lui inspirait la jeune femme. Il mourrait d’envie d’inciter la jeune femme à lui envoyer un CV pour la mettre en concurrence avec Marjorie.
Les seins de Marjorie contre les lèvres de Heidi !
Il aurait donné n’importe quoi pour pouvoir faire la comparaison sur le champ.
Mais les deux jeunes femmes étaient accompagnées de leurs conjoints. Tout comme lui d’ailleurs. Ce qui le ramena à la réalité.
C’est à ce moment là qu’il remarqua le manège des serveurs qui se tenaient à côté de Marjorie et de Heidi. Les deux hommes fixaient la poitrine fabuleuse mise en valeur par le décolleté de la robe pourpre et les lèvres humides de fellatrice de Heidi.
En lui-même il avait d’abord pensé qu’il était tout à fait normal que des jeunes hommes fassent tout pour profiter de la vue imprenable sur les seins somptueux de Marjorie ou sur les lèvres attirantes de Heidi. Mais l’insistance de leur regard l’interpella.
Il faut dire que tout comme Marjorie il ne savait pas que les serveurs les avaient immédiatement reconnu pour avoir visionné à de nombreuses reprises les bandes de vidéo surveillance installées dans les toilettes de l’établissement.
Le souvenir de la superbe poitrine prise d’assaut par son patron hantait le personnel depuis lors. Les commentaires étaient allés bon train et tous avaient regretté de ne pas avoir été à la place du sexagénaire dans les toilettes. Les courbes somptueuses de Marjorie avaient alimenté leurs fantasmes nocturnes et ils avaient tous versé quelques doses de sperme en son honneur à l’occasion de plaisirs hélas solitaires. Mais ce soir la chance semblait leur sourire. Un des serveurs profita d’un moment où le mari de Marjorie s’entretenait avec la femme de son patron pour se pencher et chuchoter à l’oreille de René. Marjorie vit son patron s’empourprer. Elle n’avait pas senti le deuxième serveur se pencher en même temps pour lui murmurer également quelque chose à son oreille.


- Vous portez la même robe que lorsque vous êtes venue la première fois avec votre patron. C’est bien ! Elle vous rend encore plus sexy et çà nous a beaucoup plu quand vous avez défait le haut dans les toilettes. En général c’est plutôt le bas qu’on y défait…

Marjorie s’empourpra à son tour. Elle comprit que l’autre serveur tenait les mêmes propos à son patron. Le serveur poursuivit.

- Le personnel de l’établissement serait enchanté de vous voir rééditer vos exploits de la dernière fois. Mais pas avec votre patron…

Le visage de Marjorie se crispa.

- Que voulez-vous exactement ?

Le serveur sourit.

- La même chose que votre patron…

Résignée, Marjorie ajouta d’une voix hésitante.

- Vous et votre collègue ?

Le silence du serveur ne présageait rien de bon pour Marjorie. Soudain il lui dit :

- Pas tout de suite ma gourmande… A tout seigneur tout honneur. Nous aussi nous avons un patron. Normal qu’il se serve en premier non ? Un peu comme le tien d’ailleurs si on croit ce qu’on a visionné sur les bandes vidéos.

Il détourna son regard en direction de Heidi et ajouta :

- C’est gentil d’avoir amené une copine. Sacré bouche à pipes la garce. Ceci dit quel visage d’ange. Elle doit bien avoir l’habitude de se le faire arroser non ?

- Ce n’est pas une amie c’est ma belle sœur, répondit Marjorie.

Le serveur chuchota à nouveau à l’oreille de Marjorie.

- Extra ! C’est encore mieux. Comme çà on reste en famille…

Marjorie sentit son cœur s’arrêter de battre.

- Ce n’est pas possible voyons !

- Mais si tu vas voir ! Avec des seins aussi bandants que les tiens et des lèvres aussi affriolantes que celles de ta belle-sœur tout est possible !

Après une courte hésitation Marjorie ne put que se résigner. Le serveur lui indiqua ce qu’il attendait d’elle. La jeune femme fixa son patron et y lut une inquiétude qui commençait à l’habiter elle aussi.
Elle se leva et partit en direction des toilettes. Tout absorbé par sa conversation avec la femme du patron de sa femme, le mari de Marjorie ne vit pas sa ravissante épouse s’arrêter à la hauteur du comptoir, se retourner pour jeter un coup d’œil en direction de sa table et disparaître derrière le comptoir en s’agenouillant rapidement.
La seule chose qu’il vit quelques instants plus tard c’était le visage souriant du patron de l’établissement qui s’agrippait étrangement au comptoir.
Ca l’avait d’ailleurs intrigué car jusqu’à présent le patron avait passé la soirée à invectiver ses serveurs. Et soudainement plus rien ! Il se tenait silencieux solidement agrippé au comptoir, un sourire de plus en plus béat aux lèvres. Le mari de Marjorie était loin de soupçonner la cause de ce revirement radical de comportement. Il n’aurait jamais pu se douter que sa femme en était l’origine. Ou plutôt ses lèvres car dès qu’elle s’était agenouillée le patron lui avait imposé une fellation. Et le moins qu’on puisse dire c’est que les lèvres fines de Marjorie accomplissaient leur travail avec une douceur exquise. Le patron commençait à se détendre quand deux de ses serveurs le vinrent le rejoindre. Tout occupé à apprécier le va et vient de Marjorie qui faisait coulisser son sexe entre ses lèvres il ne put rien dire quand ses deux serveurs se postèrent à ses côtés. Il entendit les deux bruits des deux zip et baissa les yeux pour voir les deux membres pointer hors des pantalons. Ses deux serveurs lui sourirent et excité par la tournure que prenaient les évènements il leur rendit leurs sourires.

- Elle est bonne patron ? lui demanda celui qui se tenait à sa gauche.

- Oh que oui ! Allez-y les gars. Ce soir c’est moi qui régale !

Enhardis par les propos de leur patron les deux serveurs prirent chacun une main de Marjorie la forcèrent à empoigner leurs membres déjà raides rien qu’à la vue plongeante qu’ils avaient sur la poitrine incroyablement excitante de la jeune femme. Le patron ricana.

- Vas-y ma belle ! Branle-les pendant que tu me suces !

Résignée, Marjorie entama des lents mouvements de va et vient le long des deux sexes qui commençaient à gonfler de volume entre ses doigts tout en continuant sa fellation. Le mari de Marjorie était de plus en plus intrigué. Les regards des trois hommes derrière le comptoir trahissaient leurs émotions. Il fit part de sa découverte au patron de sa femme qui se retourna. A la vue des trois hommes aux sourires béats il comprit immédiatement que Marjorie n’avait jamais atteint les toilettes et que de toute évidence elle était agenouillée sous le comptoir.
Il essaya de détourner les soupçons du mari de Marjorie.

- A mon avis ils décompressent un peu. Le restaurant est toujours complet donc il est tout à fait normal qu’ils s’octroient des pauses de temps à autres. Ils sont tellement tendus par leurs activités.

Pour l’instant les seules activités qui les tendaient étaient celles des lèvres et des mains de Marjorie qui avait obtenu un résultat plus que correct en moins de cinq minutes. La jeune femme sentit les trois membres palpiter entre ses doigts et entre ses lèvres.

- Maintenant la petite dame va nous montrer ce qu’elle sait faire avec ses superbes seins !

- Maintenant la petite dame elle va nous montrer ce qu’elle sait faire avec ses superbes seins !

Marjorie se crispa.

- Non çà suffit !

Le patron s’énerva.

- Ca suffira quand je le dirai ! Tu veux qu’on diffuse la bande de vidéo surveillance ? Tu faisais moins la mijaurée avec ton patron ma belle…

Marjorie ne dit rien quand elle sentit trois hommes glisser leurs doigts derrière son dos pour dénouer les lanières de sa robe de soirée pourpre. Elle ne dit rien non plus quand ils écartèrent les bretelles de son soutien gorge, libérant ses superbes seins qui n’avaient manifestement nul besoin de soutien pour se tenir droits et fermes. Les yeux rivés sur la poitrine somptueuse, le patron plaça son sexe entre les deux globes bien ronds et fermes.

- Cravate-moi ! Je peux pas enlever mes mains du comptoir. Ton mari pourrait trouver ça louche. Déjà qu’il n’arrête pas de regarder par ici depuis un bon moment.

Marjorie saisit elle-même ses seins et les pressa l’un contre l’autre pour bien enserrer le sexe qui commençait à palpiter. Elle fit monter et descendre son buste le long du membre qui gonflait de volume.

- Attends ma belle, tu dois te sentir bien seule avec nous trois non ?

Intriguée, Marjorie lui demanda :

- Que voulez-vous dire ?

L’homme dont le sexe était entièrement fiché entre ses seins lui sourit.

- Appelle la ravissante dame assise à côté de toi.

- C’est sa belle sœur patron ! Renchérit le serveur que masturbait Marjorie avec sa main droite. Une certaine Heidi !

- Charmant comme prénom. Aussi charmant que ses lèvres. C’est quoi son numéro de portable chérie ? N’oublie pas que j’ai les bandes vidéo. Ca pourrait faire du bruit….

Résignée Marjorie lui communiqua les chiffres qu’il composa.

- Je peux tout de même pas te demander de lâcher mes deux serveurs. Ils ont l’air si bien au chaud entre tes doigts….

Il plaqua le téléphone contre l’oreille droite de Marjorie qui priait pour que Heidi ait oublié son portable chez elle. En voyant la mine déconfite de la jeune femme le patron comprit qu’Heidi venait de répondre.

- Allo Heidi ? C’est Marjo. Tu peux me rejoindre aux toilettes s’il te plait ?
Aussitôt les deux serveurs prirent chacun un couteau pour faire semblant de menacer Marjorie. Moins d’une minute plus tard Heidi passa à proximité du comptoir. Le patron du restaurant l’interpella.

- Heidi ?

La jeune femme s’arrêta en entendant son prénom.

- Viens t’agenouiller derrière le comptoir et ne dis pas un mot sinon …..

Heidi n’eut pas le temps de répondre. Elle baissa les yeux derrière le comptoir et ce qu’elle vit lui glaça le sang. Un spectacle incroyable. Marjorie agenouillée derrière le comptoir, le haut de sa robe rabattu, son soutien gorge au sol, avec le patron qui pressait ses seins l’un contre l’autre pour enserrer son sexe pendant qu’elle masturbait deux autres hommes qui la menaçaient d’un couteau.

- Alors ? tu te décides ? Ta belle-sœur ou tes lèvres ?

Prise de panique Heidi s’agenouilla à son tour derrière le comptoir.

- C’est-y pas beau les gars ? Deux superbes blondes agenouillées devant nous avec leurs maris dans la salle ? Une occasion unique. Faut pas laisser passer çà !

S’adressant à Heidi il lui lança en ricanant :

- J’espère que tu as bien compris la situation belle Heidi ?
Heidi répondit positivement d’un hochement de la tête.

- C’est bien ma belle. Je crois qu’on va bien s’entendre, ajouta le patron qui avait lâché un sein de Marjorie pour passer son index sur le contour des lèvres de Heidi.

- Sacrés lèvres que tu as là on dirait !

Il se tourna vers le serveur qui était à sa droite et lui demanda de s’écarter pour laisser la place à Heidi. Devant l’hésitation du jeune homme il lança en souriant :

- T’inquiètes pas tu vas y goûter aussi après !

Le serveur se décala et laissa la place à Heidi qui s’était rapprochée de Marjorie. Le patron bavait de joie en contemplant Heidi et Marjorie à ses genoux. Il ordonna à Heidi :

- Suces ce qui dépasse des superbes seins de ta belle-sœur !

Heidi se pencha lentement et posa ses lèvres contre le gland turgescent qui trônait fièrement au bout de la tige de chair qui palpitait entre les seins de Marjorie. Le patron du restaurant manqua d’éjaculer sur le champ sous la double caresse des seins fermes et soyeux de Marjorie autour de son sexe et des lèvres incroyablement douces de Heidi contre son gland. Il émit un gémissement sourd couvert par le brouhaha de la salle de restaurant.

- AAArrrggghhhhhh les garces !

Pensant que plus vite elle en aurait fini avec lui plus vite il les libérerait Heidi écarta ses lèvres et les referma autour du sexe qu’elle laissa entrer lentement dans sa bouche. Le patron du restaurant ne comptait pas laisser Heidi et Marjorie s’en tirer à si bon compte.

- J’ai d’autres projets pour vous mes belles ! Ricana-t-il en relevant Heidi par le menton.

Vexée elle lui demanda :

- Mes lèvres ne vous plaisent pas ?

- Oh que si belle Heidi mais tu vas changer mes plans si je te laisse continuer.

- Vos plans ? Quels plans ? demanda Heidi.

- Tais-toi. Ferme ta bouche ou plutôt non. Ouvre-la ! Mais sur le monsieur à côté de moi chérie…

Toujours vexée Heidi s’installa à genoux devant le serveur à la gauche du patron. Le jeune homme se tourna sur sa droite.

- Merci patron ! J’ai jamais eu une femme aussi belle à mes genoux ! Elle va déguster grave la bougresse !

Amusé par l’attitude d’ado en rut de son serveur le patron lui répondit :

- Te gêne pas. Offre-lui une bonne et longue dégustation. La totale mon petit. La totale ! En plus avec ces lèvres ce look de sainte n’y touche je suis sûr qu’elle avale…Je n’ai pas raison ma belle Heidi ?

Heidi rougit et ne répondit pas.

- Vas-y mon petit. Fais-toi plaisir Je veux que tu sois le premier de la soirée à coller la bouche et le visage de cette ravissante créature blonde. Moi je vais repeindre en blanc le cou et les seins de madame pendant ce temps-là….

Enhardi par les encouragements de son patron le serveur agrippa le chignon de Heidi d’une main tandis que de l’autre il empoignait son membre viril qu’il présentait à l’entrée de la bouche de la jeune femme.

- Suce !

C’était bref mais çà avait au moins le mérite d’être clair. Heidi écarta ses lèvres roses de fellatrice accomplie et laissa entrer le membre de son agresseur. Puis elle referma ses lèvres sur la tige palpitante.

- Oh patron vous aviez raison ! Quelle suceuse çà doit être cette Heidi !

Il entama un lent mouvement de va et vient, coulissant entre les lèvres les plus douces qui se soient jamais refermées sur lui à ce jour. A côté de lui le spectacle était tout aussi excitant. Le membre de son patron durcissait et s’allongeait de plus en plus entre les seins de Marjorie qui faisait monter et descendre son buste avec une technique qui en disait long sur ses talents en la matière. Le patron interpella plusieurs de ses serveurs et bientôt quatre d’entre eux vinrent les rejoindre derrière le comptoir. Deux se placèrent de chaque côté de Marjorie et les deux autres se placèrent de chaque côté de Heidi. A présent Heidi et Marjorie étaient aux prises avec six hommes derrière le comptoir. Pour Heidi un dans la bouche et un dans chaque main. Pour Marjorie un entre les seins et un dans chaque main également.

- Plus vite les garces ! Plus vite !

Sous les invectives du patron les deux jeunes femmes se mirent à accélérer leurs mouvements de va et vient et les six hommes se soulagèrent en même temps entre leurs lèvres, leurs seins et leurs doigts. Heidi retira ses doigts englués par l’épaisse semence des deux serveurs qui avaient tissé une véritable toile de sperme avec leurs filaments blancs. Celui qui palpitait encore entre ses lèvres n’était pas en reste. Dans le même temps il s’était déchargé violemment entre les lèvres de la jeune femme, lui remplissant la bouche à grands jets épais chauds et gluants. Il avait passé une main sous le comptoir pour maintenir fermement Heidi par les cheveux pendant qu’il secouait son sexe à l’intérieur de sa bouche pour en extraire ses dernières gouttes de sperme. Nul doute que le mari de Heidi aurait apprécié le spectacle de sa ravissante épouse avec ses mains collées et sa bouche engluée par le sperme bien épais des trois hommes. Pour l’heure un des serveurs tendit une serviette à Heidi pour qu’elle nettoie ses mains.
A côté le spectacle était le même. Marjorie avait également les mains collées par l’épaisse semence des deux serveurs qu’elle avait masturbés. La seule différence résidait dans les épaisses flaques blanches qui collaient son cou et ses seins.

- Vraiment bonne les garces ! Ce serait dommage de s’en arrêter là !

Les quatre serveurs se tournèrent vers leur patron.

- C’est vrai patron !

Les six hommes avaient beau avoir éjaculé ils n’en demeuraient pas moins toujours aussi raides de désir pour les deux ravissante blondes agenouillées devant eux. Le patron décida de passer à autre chose. Il changea de place avec celui qui venait d’engluer la bouche sensuelle d’Heidi. Les deux serveurs qui venaient de coller les doigts de Marjorie firent de même et échangèrent leurs places avec leurs collègues dont s’était occupée Heidi. Le patron était à présent enfoncé jusqu’à la garde dans la bouche de Heidi tandis que celui qu’il avait remplacé pressait les seins de Marjorie l’un contre l’autre pour bien serrer son sexe. Pendant ce temps son collègue à sa droite avait agrippée Marjorie par les cheveux pour la forcer à tourner sa tête vers lui et il s’était enfourné d’un coup sec entre ses lèvres. Ne voulant pas être en reste le troisième serveur entretenait son érection en se masturbant lentement. Au bout d’un moment il agrippa à son tour les cheveux de Marjorie et arracha le doux fourreau qui enveloppait le sexe de son collègue pour envelopper le sien.

- Pour ne pas faire de jaloux elle va nous sucer à tour de rôle. OK ?

Son collègue n’y voyant aucun inconvénient les deux sexes se relayaient entre les lèvres de Marjorie pendant qu’elle faisait monter et descendre son buste le long du sexe du troisième serveur. De leur côté les deux serveurs placés de part et d’autre de leur patron avaient fait la même requête et du coup les trois hommes se relayaient entre les lèvres et les doigts de Heidi. Tout occupés à apprécier les caresses d’Heidi et de Marjorie les six hommes n’avaient pas vu arriver les deux maris à la recherche de leurs épouses. Les deux hommes se tenaient maintenant face à eux de l’autre côté du comptoir. Le mari de Marjorie se risqua le premier.

- Vous n’avez pas vu nos épouses ?

Trop excité par le traitement merveilleux que lui infligeaient les seins de rêves de Marjorie le serveur se concentra quelques secondes avant de répondre.

- Je ne sais pas monsieur. Comment sont-elles ?

- Mon épouse est blonde aux yeux bleus avec une robe de soirée pourpre et un décolleté profond.

Il était loin de se douter que le décolleté profond était la première chose que les trois hommes avaient défait pour profiter au mieux de ses seins somptueux.

- Non je ne crois pas. Répondit le serveur d’une voix saccadée tout en se mordant les lèvres.

- Vous êtes sûr ? ajouta le mari de Marjorie. Elle est ment passée devant vous pour se rendre aux toilettes hors je ne l’y ai pas trouvée.

Le serveur ne pouvait pas répondre sans trahir ce qui se passait derrière le comptoir. En effet au même moment il était en train d’inonder le cou et les seins de la jeune femme. Marjorie pressa encore plus fort ses seins l’un contre l’autre pour extraire les dernières gouttes de sperme du jeune homme. Une fois complètement vidé il sourit au mari de Marjorie.

- Non monsieur je vous le confirme. Je ne l’ai pas vue. Vous pensez bien une femme aussi ravissante. Je ne l’aurai pas loupée.

Absolument pas satisfait de la réponse le mari de Marjorie s’adressa au serveur qui se tenait à la droite du premier.

- Et vous ?

Le serveur attendit d’avoir vidé ses derniers jets de sperme sur le sein gauche de Marjorie pour répondre.

- Pas mieux hélas !

Le troisième se vida sur le sein droit de Marjorie et fournit la même réponse.
Du coup le mari d’Heidi prit la relève et s’approche du patron.

- Ma femme à moi est également blonde aux yeux bleus mais elle porte un corset rouge et une longue jupe noire.

Il avait oublié de parler des lèvres sensuelles de sa femme. Le patron savoura ce moment précis. Tout en déformant les joues d’Heidi il se concentra pour répondre à son mari.

- Non monsieur.

- Vous êtes sûr également ? Renchérit le mari de Heidi.

Cette fois-ci il dut attendre un petit moment avant d’obtenir une réponse. Et pour cause ! Tout en hurlant dans sa tête « Tu veux vraiment savoir où elle est ta femme mon gars ? Elle est en train de se prendre une de ces décharges dans sa ravissante bouche de suceuse. Tiens prends çà ma belle ! A la santé de ton crétin de mari ! le patron était en train de lâcher entre les lèvres de sa femme une quantité de sperme si abondante qu’elle avait du mal à le déglutir. Une fois sa dernière salve de sperme vidée dans la bouche d’Heidi il prit son plus beau sourire pour répondre.

- Comme l’ont déjà dit mes collègues, une aussi belle femme également je ne l’aurais pas loupée !

Ce qu’il n’avait pas loupé c’était le fond de la gorge d’Heidi qu’il avait obstrué sous une épaisse couche de sperme. Elle manqua s’ en avalant le liquide épais et chaud qui engluait son gosier.
Le mari de Heidi se tourna vers les deux autres serveurs de chaque côté du patron.

- Et vous messieurs ?

- Nous aussi on l’aurait pas loupée monsieur ! répondirent-ils d’une seule voix tout comme ils étaient en train de se vider ensemble à grands jets épais et gluants sur le visage d’Heidi.

Les six hommes forcèrent Heidi à se nettoyer mutuellement. Heidi se pencha pour lécher le sperme collé sur le cou et les seins de sa belle–sœur. Puis à son tour Marjorie lécha les filaments blancs qui engluaient le visage de Heidi. Ce n’est qu’après que les hommes leur tendirent des serviettes pour s’essuyer complètement. Les deux femmes effacèrent le maximum de traces blanches laissées par leurs six agresseurs.

- Merci les filles ! Ricana le patron en les libérant….à tout à l’heure…. Enfin pour Marjorie parce que pour toi Heidi ce n’est pas encore fini !

Heidi s’attendait au pire. Le patron sourit.

- Pas d’inquiétude ma belle. Je vais te demander un petit service. On a des enregistrements des ébats de ta ravissante belle-sœur avec son patron dans nos toilettes. Ce qu’on voudrait c’est immortaliser sur bande ta rencontre avec lui dans ces mêmes toilettes. Que tu le remercies à ton tour avec tes lèvres si douces…

- Mais….hésita Heidi.

- Il n’y a pas de mais qui tienne, répondit-il d’une voix autoritaire.

Heidi et Marjorie se rendirent ensuite aux toilettes pour refaire leur maquillage et nettoyer les traces blanches les plus persistantes. Heidi avait du mal avec le sperme qui collait ses sourcils et ses cheveux. Marjorie s’en était mieux sortie car elle avait réussi à nettoyer complètement ses seins et son cou. Une fois remaquillées et après s’être assurées d’avoir effacé toutes les traces laissées par leurs agresseurs les deux jeunes femmes se regardèrent dans les yeux Marjorie était confuse.

- Excuse-moi Heidi de t’avoir entraînée dans cette aventure.

Heidi ne répondit pas. Marjorie rejoignit sa table. Leurs maris avaient été visiblement inquiets durant leur absence. Marjorie rassura le mari d’Heidi et lui dit que sa femme les rejoindrait un peu plus tard. Dans le même temps elle se pencha vers son patron et lui expliqua qu’en fait Heidi l’attendait aux toilettes pour lui dire quelque chose d’important. Sans hésiter il s’excusa auprès des autres et se rendit à son tour aux toilettes. Une surprise des plus agréables l’y attendait. Heidi s’était remaquillée et réajustée. Elle arborait son sourire ravageur qui avait inspiré au patron de Marjorie bien des envies de fellation depuis que sa secrétaire lui avait présentée sa ravissante belle-sœur. Il s’approche d’elle.

- Que vouliez-vous me dire de si important chère madame ?

Remplie d’une honte qu’elle avait de plus en plus de mal à contenir, Heidi verrouilla la porte derrière le patron de Marjorie et s’agenouilla devant lui, levant sa tête vers lui et le fixant avec ce regard qui avait fait fondre tous les hommes devant lesquels elle s’était agenouillé à ce jour.

- Il semblerait que je doive vous remercier tout comme l’a fait me belle sœur…

Il n’eut pas le temps de parler. Heidi avait défait le zip de son pantalon et avait plongé ses deux mains sans l’ouverture. Quelques instants plus tard il sentit les deux mains de la jeune femme entourer son sexe au repos et le sortir délicatement de son pantalon. Il regrettait de ne pas avoir pris ses pilules ce soir ! Heidi esquissa un sourire devant le manque de rigidité de ce qui ressemblait plus à une saucisse qu’à un membre viril. Elle se dit que son calvaire ne durerait pas trop longtemps et qu’elle viendrait rapidement à bout du sexagénaire. C’était sans compter sur le patron de l’établissement qui maudissait le manque de prévoyance de l’homme qui reposait entre les lèvres d’Heidi.

- Ah le con ! Une bouche à pipes pareille à ses pieds prête à lui faire tout ce qu’il veut et il bande comme un serpentin en guimauve ! Et la belle Heidi qui croit qu’elle va s’en sortir aussi facilement… çà m’éneeeeeeeeeeeeerve !

Il trouva rapidement une solution de repli en demandant à un de ses serveurs de descendre aux toilettes de quoi aider le sexagénaire à remonter un peu mieux dans son estime mais surtout entre les lèvres de Heidi…

- Pas tout de suite. Quand je te le dirai. Pour l’instant on va regarder Heidi s’amuser avec cette saucisse molle. Vu la manière avec laquelle elle nous a sucés tout à l’heure je suis persuadé qu’elle va revigorer notre homme en guimauve avec ses superbes lèvres…

Effectivement à sa surprise autant qu’à celle de sa fellatrice, le sexagénaire sentait son membre se rigidifier entre les lèvres d’Heidi. Depuis dix minutes la jeune femme faisait coulisser ses lèvres autour d’une couleuvre de chair qui s’enroulait dans sa bouche tellement elle était molle mais la couleuvre commençait à prendre une consistance de plus en plus proche de celle d’un membre viril. Le sexagénaire retrouva le sourire en même temps que de la rigidité dans son sexe et les yeux d’Heidi commencèrent à échanger leur air moqueur contre un air inquiet. C’est à ce moment-là que la porte s’ouvrit. Le serveur avait utilisé un passe pour pénétrer dans les toilettes. Il s’approcha du sexagénaire et lui tendit trois pilules tout en souriant à Heidi qui avait la bouche pleine du sexe du patron de sa belle-sœur.

- A ce qu’on en voit là-haut madame a vraiment des dons de fellatrice ! Et puis on dirait que çà va mieux pour toi mon salaud ! Tiens ! Prends çà et çà va aller encore beaucoup mieux pour toi. Et beaucoup moins bien pour la dame en revanche…

Le sexagénaire hésita.

- Trois pilules ? D’habitude j’en prends une. Ce n’est pas trop dangereux pour moi au moins ?

Le serveur ricana.

- Avec une pilule on t’a vu défoncer la bouche, les seins, le ventre et les fesses de ta jolie secrétaire alors on espère bien qu’avec trois… Le seul risque c’est pour les mâchoires de la belle Heidi ! Et surtout pour son maquillage….

Le serveur verrouilla la porte derrière lui, laissant Heidi face à son destin. Le patron de Marjorie avait avalé les trois pilules et les effets ne tardèrent pas à s’en faire ressentir. De dur qu’il était devenu après de longues minutes de fellation qui avaient parues interminables à Heidi, le sexe se raidissait de plus en plus et Heidi avait l’impression maintenant d’avoir une barre de fer entre les lèvres. La situation avait évolué dans les toilettes. De dominatrice Heidi était devenue dominée et elle subissait maintenant entre ses lèvres les assauts incroyablement violents du sexagénaire qui défonçait sa bouche comme s’il s’était agi de son ventre.

- Ah tu ricanais tout à l’heure hein petite garce ! Je vais effacer ton sourire moqueur avec ma barre. Prends çà maintenant et dis moi si tu as toujours envie de te moquer !

Heidi n’avait absolument plus envie de se moquer et d’ailleurs même si elle l’avait voulue elle aurait eu du mal à esquisser le moindre sourire avec le membre qui distendait ses lèvres à grands coups de reins désordonnés. L’homme prenait un malin plaisir à déformer ses joues l’une après l’autre tout en la tenant fermement par son chignon. Heidi pensait sentir sa délivrance approcher en sentant les mains se crisper dans ses cheveux et en sentant les jets brûlants envahir sa bouche violemment. Pour accélérer sa délivrance elle avait même plaqué ses mains derrière les fesses de l’homme qui inondait sa bouche pour plaquer son sexe tout au fond de sa gorge, appliquant ses lèvres contre ses boules. Il s’était alors vidé dans un dernier soubresaut et Heidi avait relâché son étreinte pour reprendre sa respiration. Mais l’homme ne l’entendait pas de cette oreille. Il ne lui avait même pas laissé le temps de déglutir tout son sperme que déjà il pilonnait à nouveau sa bouche encore plus aisément, lubrifié par le sperme qui était resté collé contre les parois intérieures de ses joues. Heidi dut le subir jusqu’au bout une deuxième fois, puis une troisième. Le sexagénaire semblait régénérer ses réserves de sperme après chaque éjaculation et Heidi commençait à s’ avec la quantité de liquide épais et gluant qui collait sa langue, l’intérieur de ses joues et sa glotte. Du coup pour la suite le sexagénaire eut autant pitié de Heidi qu’envie de changer de mode éjaculatoire. Au regard rempli de désir du patron de Marjorie Heidi comprit ce qu’il s’apprêtait à faire mais n’eut pas le temps de protester. Elle reçut les jets abondants et violents en grimaçant mais l’homme n’en n’avait cure. Il se vidait à grands jets chauds et épais sur le visage et les cheveux d’Heidi. Heidi était en train de perdre pied. Elle était déstabilisée par l’incongruité de la situation. Sa bouche n’avait encore jamais été besognée avec une telle fougue, même pas par ses premiers jeunes amants. Et elle n’avait encore jamais avalé une aussi importante quantité de sperme lâchée par un seul homme. Mais surtout elle n’avait jamais eu le visage et les cheveux aussi collés par un seul homme. Qui plus est un homme qui allait fêter ses soixante ans d’ici peu. Le sexagénaire se recula pour contempler son œuvre et sourit.

- Remarquable ! Tout simplement remarquable ! Tu suces vraiment comme une reine et ton visage ! Quel régal à arroser…..

Heidi était partagée entre la honte et l’excitation de la situation. Elle se releva, épongea l’importante quantité de sperme sur son visage et ses cheveux avec des serviettes et refit son maquillage. L’homme se réajusta et rejoignit sa table le premier. Heidi suivit quelques instants plus tard. Le repas reprit comme si de rien n’était. Heidi avait pourtant du mal à avaler ses aliments à cause du sperme qui restait collé dans sa gorge.

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