Jeune Guitariste Habile De Ses Mains

Je m'appelle Christophe, 22 ans, et je donne régulièrement des cours de guitare depuis quelques années afin de me faire un peu d'argent supplémentaire.

Ce jour-là, je devais rencontrer une nouvelle élève. Je ne savais rien d’elle, si ce n’est qu’elle venait d’avoir 18 ans et qu’elle se prénommait Layla. Après vingt minutes de trajet en voiture, j’arrivai devant chez elle, une jolie maisonnette et sonnai, ma guitare à la main. Rapidement, une ravissante jeune fille vint m’ouvrir. Elle avait des cheveux noirs mi-longs et de beaux yeux verts. Elle portait une tenue très légère constituée d’un simple top blanc à rayures roses et d’un short bleu très court dévoilant de magnifiques jambes bronzées. Ses pieds délicats étaient nus et crus remarquer qu’elle ne portait rien sous son top. Elle m’invita à entrer. La maison était vide, elle m’apprit que sa mère était au travail. Nous montâmes dans sa chambre et nous nous installèrent sur son lit. La leçon se passa sans soucis, elle était débutante mais semblait naturellement douée. Elle était de plus drôle et plutôt charmante. Je ne vis pas l’heure passer, dépassant même le temps prévu d’une dizaine de minutes. Je lui annonçai alors que la leçon était finie et je rangeai ma guitare dans son étui et lui demandai les 15€ de la leçon.

Elle me tendit l’argent d’un air gêné, puis m’avoua qu’elle n’avait pas de quoi payer des leçons hebdomadaires. Je lui dis que c’était fâcheux, que j’avais passé un bon moment mais que je ne pouvais pas travailler gratuitement car j’avais d’autres obligations. Elle prit alors un air très timide et me dit que l’on pourrait peut-être arriver à un arrangement. J’avais du mal à en croire mes oreilles. Elle était adorable, rougissante, et je vis que ses petits tétons pointaient à travers son top. Je ne voulais toutefois pas risquer de faire une bêtise et feint de ne pas comprendre, je lui demandai quel genre d’arrangement. Elle eut l’air encore plus gênée, mais je vis à son regard que ce n’était pas parce qu’elle n’avait pas envie de faire ce qu’elle s’apprêtait à faire, je devinai qu’elle se sentait très attirée par moi et que ce n’était qu’une façon déguisée de me le montrer, mais qu’elle était timide.

Elle s’approcha alors de moi et m’embrassa, plongeant délicatement sa langue dans ma bouche. Je reculai et m’assis sur le lit, l’entraînant avec moi, ses jambes reposant autours des miennes. Ne sachant pas jusqu’où elle était prête à aller, je me contentai de l’embrasser pendant quelques minutes, mais elle finit par prendre ma main droite afin de la poser sur sa fesse. Je compris alors qu’elle était prête à me donner tout ce dont j’aurai envie. N’hésitant plus, je lui enlevai délicatement son top. J’avais eu raison, elle était en effet nue sous son vêtement et je découvris une paire de petits seins magnifiques, parfaitement modelés avec des tétons fermes. Après l’avoir embrassée dans le cou, je m’approchai de ses seins et lui mordillai le mamelon gauche. Elle ne put retenir un petit soupir. Pendant se temps, sa main droite s’aventura au niveau de mon sexe et déboutonna mon pantalon. Elle sortit mon pénis en pleine érection de mon boxer et se mit à le caresser lentement. Je sentis immédiatement que malgré son jeune âge et son air innocent, elle avait déjà une certaine expérience des relations sexuelles et savait satisfaire un homme. Alors que ma bouche remontait pour l’embrasser à nouveau, je glissai ma main dans son short et découvris que là non plus elle ne portait aucun sous-vêtement. Mon index trouva rapidement son sexe déjà humide et caressa doucement son clitoris.

Peu après, elle descendit de mes jambes et s’accroupit devant moi. D’un geste habile, elle me déshabilla de mon jeans et de mon boxer pour rapidement prendre ma verge en bouche. Sa main droite me masturbait d’un geste sûr pendant que sa langue stimulait mon gland. C’était décidément une experte et je dus rapidement l’arrêter afin de ne pas éjaculer dans sa bouche, qui plus est avant d’avoir eu l’occasion de découvrir tout ce qu’elle avait à offrir. D’un geste doux, je l’invitai à ce coucher sur le lit et lui enlevai son short qui était déjà trempé de son jus. J’enlevai mon t-shirt puis plongeai mon visage entre ses jambes.
Ma langue stimulait son clitoris pendant que j’insérai un, puis deux, puis trois doigts dans son vagin qui ne m’offrit aucune résistance, ne semblant attendre que ça. Rapidement, elle se mit à pousser de petits cris étouffés. Je la sentis être prise de spasmes et ce fut l’orgasme. J’arrêtai progressivement mes stimulations et me couchai sur elle, l’embrassant pendant qu’elle se remettait peu à peu. Elle me sourit alors et prit mon sexe afin de l’insérer dans son vagin. Elle m’enserra la taille de ses jambes et accompagna les mouvements de mon bassin avec son abdomen, décuplant notre plaisir. J’allais et venais dans son corps, m’imprégnant de son odeur et de ses formes, ses seins se balançant au rythme de mes coups de reins. Elle s’arrêta et quand je lui demandai ce qui n’allait pas, elle me glissa a l’oreille avec un sourire coquin : « Tu peux me prendre l’anus si tu veux ». N’ayant jamais eu l’occasion d’essayer la sodomie, j’acquiesçai. Pendant qu’elle se retournait pour s’installer à quatre pattes, elle prit dans sa table de nuit un flacon de vaseline dont je badigeonnai mon sexe. Je me plaçai derrière elle et entreprit d’enfoncer lentement ma verge dans son petit trou. Je m’attendais à sentir une résistance et à lui faire mal mais non, son anus m’accueillit presque aussi facilement que son vagin. Cette fille était décidément pleine de surprises. Elle se mit rapidement à pousser des cris de plaisir encore plus intenses qu’auparavant. Elle aimait visiblement beaucoup se faire prendre par derrière.

Au bout de trois minutes, n’y tenant plus, je sortis mon sexe de son anus afin d’éjaculer. Je la vis alors non sans surprise se retourner et prendre ma verge en bouche tout en me masturbant.
« Arrête, lui dis-je, je vais venir. »
Elle continua pourtant, et je ne pus retenir un énorme soupir alors que mon sperme se déversait dans sa bouche en quantité énorme. Je n’avais encore jamais jouit comme cela. Après cela, nous nous affalâmes tout deux, plongés dans un semi comas et je ne me relevai qu’au bout de quelques minutes.
Et me rhabillai, puis repris ma guitare. Sans même prendre la peine de se rhabiller, elle m’accompagna jusqu’au pas de la porte, m’embrassa et me dit « A la semaine prochaine », toujours avec son petit sourire.

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!