La Vraie Fin De 'Mon Amant Attitré'

Peut être vous souvenez vous de Michel, le jeune militaire, qui après un vol en hélico, est devenu ‘mon amant attitré ‘il y a une chose que j’ai voulue cacher à Georges …. il est mon amant c’est sur ! car il vient régulièrement, une fois par mois, mais toujours en présence de George, ils me font l’amour ensemble… Je suis accroc de sa bite, de ses mains, de sa langue dont il se sert à merveille, il a tout de suite repéré le fonctionnement de mon corps, et sait comment s’y prendre pour me faire jouir rapidement……. en réalité il a été mon amant une fois, seul à seul, lui et moi ….……..
Un jour ou nous devions, Georges et moi, partir en weekend dans la famille a trois cent kilomètres, j’ai pris mon vendredi après midi pour avoir le temps de préparer la valise et moi-même !! Georges, lui doit arriver vers seize heures pour partir aussitôt.
En tout début d’après midi, je vais prendre ma douche, je finis à peine de me laver ! Le carillon de la porte d’entrée sonne…qui peut bien venir m’embêter à cette heure ci, j’ai du travail !j’enfile vite un kimono en soie qui m’arrive en haut des cuisses, ce n’est pas grave car je n ai pas l’intention d’ouvrir, je vais juste voir au judas.
Michel ?? En treillis militaire, que peut il bien vouloir à cette heure ci ?, devant son insistance à sonner , moi, naïve, je le connais ‘bien’ alors je lui ouvre, malgré ma tenue…. il entre rapidement, referme la porte et me plaque sur le mur, je n’ai même pas le temps de dire ouf, que ses lèvres cherchent les miennes, je les évites, ses mains parcourent mon corps à demi nu, je résiste autant que je peux, car je ne suis pas de taille a luter ! et lui dit – tu es devenu fou que fait tu ? Georges n’est pas là, et je ne fait rien sans lui tu le sais !! – peine perdue, son avant bras bloque le haut de mon corps, une main s’empare de mon sein, l’autre main part a l’attaque de la ceinture de mon kimono, je suis nue devant lui, la main s’insinue entre mes cuisses, que je resserre instinctivement peine perdue, ses doigts ont trouvés l’entrée de ma chatte….

je suis vaincue, mes cuisses s’ouvrent malgré moi, ma bouche cherche sa bouche, ma langue s’enroule autour de la sienne, mes mains défont la ceinture de son pantalon, sa bitte est dure comme de l’acier.
Il prend enfin la parole et me dit – J’ai trop envie, je veux te baiser, tout de suite !!-
Il me soulève une jambe, je dirige son gland a l’entrée de me chatte, il m’épingle au mur comme un papillon, sa queue au plus profond de moi me fait du bien !je m’accroche a son cou, mon autre jambe vient le ceinturer, il me maintient par les fesses, et me laboure le vagin a grands coups de reins.
Tout en me baisant, les pieds entravés par son pantalon, il se dirige vers le couloir ou sont les chambres, je réussie à attr la première poignée de porte de chambre venue, je ne veux pas faire ‘çà’ sur le lit conjugal…
Arrivé devant le lit, il me jette littéralement dessus, ses vêtements volent, sa tête est de suite entre mes cuisses, je l’appuie sur ma moule avec mes mains , sa langue fait des bruits mouillés……que c’est bon l’interdit….
- Je n’en peux plus - vient dans ma chatte, baise moi !! –
- tu l’aimes ma queue, elle te fait du bien, je vais te la défoncer ta chatte –
Par deux fois il m’a prise et faite jouir, avant que je ne reprenne mes esprits et que je ne le mette dehors.
Le remords m’a envahie, mais le mal est fait…j’ai juste eu le temps de repasser devant la glace pour retoucher mon maquillage, et me passer un gant sur les poils pleins de sperme avant que Georges n’arrive.
- tu es prête ma chérie ?? - - oui, nous pouvons partir quand tu veux ! -
La seule chose à laquelle je n’est pas pensée, c’est qu’une fois sortit des grandes agglomérations, lorsque la circulation devient plus fluide sur l’autoroute, Georges conduit prudemment , et ,à pour habitude de s’occuper de ma petite chatte….il commence par caresser ma cuisse de plus en plus haut… pour mettre sa main sur ma motte, il griffe légèrement le tissu du slip ,ce qui à pour effet de faire vibrer mon clitoris et mes lèvres, ensuite la paume masse délicatement le tout, puis enfin il me dit – enlève ta culotte ! – je là fais glisser et là jette sur la planche de bord…avec un petit sourire, car cela me rappelle une fois ou a une barrière de péage un policier a aperçus mon string accroché au rétroviseur, comme un trophée !! Celui-ci nous fait signe de nous garer ! – bonjour, contrôle etc.
, etc. …il prend les papiers en fixant la culotte, fait le tour du véhicule pour venir vérifier les vignettes d’assurances et contrôle technique, en fait c’est mon entre cuisse qu’il contrôle !!
Comme j’ai les jambes rapprochées Georges me dit entre ses dents - écarte, chérie – imperceptiblement mes genoux se séparent, le flic, a les yeux rivés sur ma chatte un temps interminable !! Finalement, il revient à la portière, et dit à Georges - c’est bon allez y ….mais, ATTENTION ! La conduite rapprochée est interdite -
Revenons à l’histoire qui nous intéresse, je jette donc ma petite culotte, et, j’ouvre docilement les cuisses, les fesses au bord du siège, son majeur s’introduit dans mon vagin, afin de le mouiller pour pouvoir mieux caresser mon clitoris, le doit virevolte autour du bouton de chair, je ferme les yeux pour savourer la masturbation.
Sauf, que là, son majeur s’est effectivement introduit dans ma chatte……mais, il marque un temps d’arrêt….il replonge deux doigts …..Les ressort pour les porter à ses narines…. – mais tu t’es faite baiser ma salope !!! Tu a la chatte toute ouverte, et tu sens le sperme….-
Je dois être rouge, je tremble, que va-t-il se passer maintenant….a mon grand étonnement, il ne se passe rien, je n’ai pas répliqué, alors il reprend les caresses sur ma moule jusqu'à me faire jouir. Il ralentit lorsqu’il double un poids lourd, afin de faire profiter le chauffeur de la vue !! Les coups de klaxons fusent, ainsi que les appels de phares ! !
Arrivés sur une rocade pour changer d’autoroute, évidement ; a l’heure qu’il est nous avons droit aux embouteillages, coincés derrière un gros fourgon, sur la fille de gauche, nous n’avançons plus, ou, pas vite !! j ai ouvert ma vitre, il fait chaud, tout a coup, j’entends un coup de sifflet admiratif….’merde ! Sur la file de droite un camion ! Le chauffeur a vite repéré mes cuisses nues, je rabats vite ma jupe, - surement pas !! – dit Georges, et il pose sa main sur ma cuisse et remonte le tissu plus haut qu’il n’était auparavant, et tire sur mon genoux pour ouvrir mes cuisses, le chauffeur peut voir mes poils maintenant ; Ah la salope !! dit-il !! On lui voit la chatte !!-
Après tout, nous sommes isolés aux milieux de centaines de voitures !personne à part ce type, ne peut voir ce qui se passe dans la voiture !!Il n est qu’a deux mètres de moi…
- fait le bander ! – me dit mon mari – sort lui le grand jeu ! –
Comme je ne me sens pas en position de force, je préfère obéir ….

J’avance mes fesses au maximum au bord du siège, ma jupe relevée sur le ventre, ma main droite soulève mon teeshirt et vire le soutien gorge, le mec n’en peut plus !!- houa, la salope, elle me fait bander !!Caresse toi - me dit il !!
Je lui obéi, une main caresse un sein, et de l’autre, j’enfile deux doigts dans ma chatte et les fait bouger comme le ferait une bitte, par contre je ne lève pas les yeux vers le camion !!!!Le poids lourd reste a notre hauteur, même si de son coté la file avance plus vite que la notre !!!
Je me branle lentement, puis je porte mes doigts à ma bouche …. Georges a raison ….je sent encore le sperme que Michel m’a injecté dans le vagin…. - Oh oui va- y, branle toi - dit le mec !!
-Il vient de jouir ! – me dit mon chéri, qui le surveille - tu peux arrêter …pour l’instant !...-
Enfin nous sommes débloqués, et nous accélérons sous les coups de klaxon du mec !!
Le reste du trajet se passe sans encombres, mais arrivés a trente kilomètres de notre destination, Georges remet çà, a nouveau il relève ma jupe, me fait écarter les cuisses et ralentit a chaque fois qu’il double un poids lourd, il détaille le physique de l’homme. …Bientôt son choix est fait, il roule un maximum de temps a la hauteur d'un camion Espagnol, celui-ci en hauteur doit avoir les yeux braqués sur ma chatte encore a l’air
Mon salaud de mari double pour ralentir aussitôt , celui-ci est obligé de nous doubler a son tour, et le manège recommence, le mec fait des appels de phares a ne plus finir…
Une aire de repos approche, Georges met son clignotant pour signaler au poids lourd qu’il va s’arrêter….
Mon mari se dirige directement sur le parking camions, il y a déjà des véhicules. A peine arrêtés, le camion de l’autoroute se gare à notre hauteur.
-tu avais le phantasme de la cabine de camion ??Hé bien je crois que le moment est venu …-
Tu es fou ? Pas ici, je ne veux pas ! - - si j étais toi, je ne dirais pas non …… - me dit il d’un ton qui ne supporte pas d’autres commentaires.

L’espagnol est à ma portière, il n est pas grand, les yeux sur mes cuisses, il fixe ma chatte, Georges descend, et vient ouvrir ma porte, - suis moi - obligée d’obéir….. Le type a compris et ouvre la porte de sa cabine, que c est haut !!Je me cramponne à l’échelle, mais, deux mains passent sous mes fesses nues, les doigts appuient sur les lèvres de ma chatte, et je suis propulsée sur le plancher !! D’autres chauffeurs on vus la scène et se dirigent vers nous !
Les deux hommes me rejoignent, la porte fermée, le mec appuie sur un bouton et des rideaux descendent occultant toutes les vitres.je me retrouve dans la pénombre, très vite allongée sur la couchette, pas une parole n’est échangée, l’étranger, très nerveux, met mes seins a l’air, tout en me passant la main au cul, déjà il me bouffe la moule .Des coups sont frappés aux portes par des mecs regroupés autour du camion !!
J’ai le sentiment de réaliser deux fantasmes en un, celui de la cabine de camion et celui du viol, dans ce réduit qui sent la sueur et cet homme qui se rue sur mon intimité.
Angoissée, j ai de la peine à me concentrer sur ma jouissance, soudain le type se relève, me prend par une main, il s’assied sur le siège passager, et me fait assoir a califourchon sur lui, il guide sa bitte, je me laisse descendre sur ce pic arrogant, je suis vite en contact avec ses couilles, il rythme le coït en me soulevant par les fesses.je me laisse prendre au piquant de la situation, et ressent bientôt du plaisir à me faire manipuler !!
Soudain j’entends la une porte de la cabine s’ouvrir et Georges dire – un seul ……..toi !-
La cabine tangue, un homme est monté, déjà il est derrière moi, ses mains caressent mes fesses, ses doigts partent a la recherche de mon petit trou, prélevant de la mouille a ma chatte j’ai deux doigts dans mon cul qui assouplissent la corole…tout en me doigtant l’inconnu baisse son pantalon…oh non, il ne va pas ….hé bien si, l’homme sur lequel je suis assise écarte ses genoux ce qui fait ouvrir mes deux lobes fessiers, je suis offerte au bon vouloir de celui qui veut mon cul, un gland mafflu cherche mon petit trou et pousse, je me cambre afin de mieux lui offrir ce qu’il cherche et moins souffrir , la douleur surgit, je pousse un cri – GEORGES !! Pas çà !!-
- mais si, tu vas voir, çà va aller, ton petit cul à peut être servit tout à l’heure ??-
- non…… je te le jure ….-
- eh bien, comme çà il ne sera pas jaloux de ta chatte …apprécie cet instant et laisse toi baiser -
Alors je me résigne, et me concentre sur les queues qui m’envahissent, le mauvais moment passé, le plaisir arrive enfin, je sens la jouissance monter en moi, je pousse mon cul a la rencontre des deux queues qui se raidissent et par saccades me remplissent de leurs semences, alors dans un cri de bête blessée je pars moi aussi… ma mouille coule hors de ma chatte, mélangée au sperme encore chaud….
Je me relève en titubant, Georges me tend ma petite culotte – met là de suite – dit il.
Je suis descendue du camion sous les rires des mecs encore présent dehors j’ai la honte de ma vie…….. !
Je n’ai pas eu droit à m’essuyer, j’ai seulement mis un mouchoir en papier entre ma moule et mon cul suintants, et le siège …
Le soir chez les parents j’ai l’impression que tout le monde peut sentir mon odeur de femme baisée…
Mon chéri s’est comporté avec moi comme si rien n’était arrivé, il m’a fait l’amour tendrement ….
La cerise sur le gâteau, est arrivée le lundi matin, de retour a la maison, Georges est prêt a partir travailler lorsque le téléphone sonne, il décroche, et, comme a son habitude met le haut parleur…-allo...- - oui ? - j’ai tout de suite reconnue la voix de Michel, Georges aussi…un nouveau –allo …les transports….. ?- - ah non !!Là tu t’es gouré mon vieux !!!
Et il a raccroché, il m’a fixée longuement avant de partir travailler ....il n’a jamais fait une allusion à ce qui c est passé ce weekend là ………..notre vie sexuelle a repris…. Comme avant !!!

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