La Visite De Mon Amant

LES OUVRIERS DU BAR

Il faisait très chaud en ce dimanche de Juillet.
Comme d’habitude, les ouvriers qui travaillaient à la réfection de villas anciennes des années 50 de ce quartier de la ville se retrouvaient dans ce bar pour prendre l’apéritif. Moi même je m’y rendais tous les dimanches matin et je connaissais déjà la plupart des clients.
Oui, il faisait très chaud, aussi je portais uniquement un bermuda ample, sans rien dessous et une chemise colorée.
Je m’étais assis sur une banquette, à côté d’un ouvrier que je connaissais déjà. Il m’expliquait, avec force détails, tous les travaux de réfection qu’il avait entrepris dans une maison qui se trouvait juste en face du bar.
Je l’écoutais avec attention, tout en jetant de temps en temps des regards vers les consommateurs qui buvaient l’apéro, appuyés contre le comptoir. Certains avaient remarqué mon bermuda ample et l’attention qu’ils me portaient commençait à m’exciter. J’ai remarqué que certains avaient une bosse au niveau de la braguette de leurs pantalons et que parfois ils se la touchaient.
Je leur souriais, et je me laissais aller à écarter un peu mes grosses cuisses.

L’ouvrier qui était assis à côté de moi s’en était aperçu et je sentis soudain que sa grosse main me caressait fermement la cuisse sous la table.
Je me laissais faire en souriant et tout en fixant les hommes du comptoir.
Mon voisin s’aperçut très vite de la bosse dans mon bermuda. Je vis que lui aussi était dur et que son sexe était apparemment très gros.
J’écartais encore plus mes cuisses, et je pense que certains consommateurs du comptoir ont pu voir mon sexe entre mes jambes, sous la table.

Mon voisin me proposa de venir voir les travaux dans la maison d’en face. Sa voix était étrange. Il était excité par ses caresses qu’il prodiguait sur ma cuisse avec sa grosse main. Il la glissa même dans mon bermuda et me caressa très discrètement les testicules et puis le bout de mon sexe dur, qui était décalotté, tout mouillé et gluant d’excitation.



Je lui dis, je veux bien visiter et que ça me faisait plaisir de voir son travail.

Alors nous quittâmes le bar, sous les regards de certains consommateurs qui fixaient les braguettes tendues de mon bermuda et du pantalon de l’ouvrier.
Nous entrâmes dans la maison. Au rez-de-chaussée, un ouvrier travaillait pour installer les éléments d’une cuisine. Mon voisin du bar me dit alors que nos allons monter à étage supérieur car il voulait me montrer dans une chambre les finitions qu’il venait de terminer.
Il me fit passer en premier dans les escaliers. J’ai de très grosses fesses, bien larges. L’ouvrier devait aimer regarder mon derrière qui se dandinait devant son visage. Moi, je voulais l’exciter encore plus.

Je m’asseyais sur le lit, un lit usagé dont les ressorts grinçaient sous mon poids. Je m’allongeais. Puis l’ouvrier baissa mon bermuda et mon sexe dur se dressa tout droit vers le plafond. L’ouvrier le décalotta et se mit à lécher la mouille qui se trouvait sur mon gland. Il me branlait délicatement, en me caressant les testicules. Il savait bien faire, il avait l’habitude et manifestement il appréciait beaucoup l’odeur forte de mon sexe.
Il glissa sa grosse main entre mes cuisses et caressa mes testicules, puis il approcha deux doigts de mon anus et le pénétra. Il savait que je n’étais pas vierge, que beaucoup d’hommes étaient déjà passés par cet orifice qui était souple et bien ouvert. Je lui avais déjà dit un soir que j’avais un peu trop bu.

Alors il baissa son pantalon et son slip.
Oui, son sexe était très gros, un gros gland rouge et luisant, que je me m’empressais de sentir, de lécher et de prendre dans ma bouche de cochonne. Je me régalais. Je pris aussi ses gros testicules dans bouche, je les léchais bien, en lui arrachant des soupirs de satisfaction. Puis je le branlais délicatement, du bout de mes doigts.
L’ouvrier était gros, musclé, puissant. Il me faisait penser à un animal.


Il me demanda de me mettre sur le dos, de passer mes jambes sur ses épaules. Il regarda mon anus ouvert, fit un sourire vicieux et y passa sa langue, la fit pénétrer en m’arrachant des cris de jouissance.

J’avais du gel et des préservatifs dans mon bermuda. Je les lui passais. Je sentis le gel froid sur mon anus. Il enfonça ses gros doigts. Il se couvrit avec le préservatif et je sentis que son gros sexe dur forçait mon anus qui s’ouvrait pour bien le recevoir. Il me pénétra avec force, à fond, sans douleur. Je sentis ses testicules lourds frapper mes grosses cuisses. Il faisait des va et viens violents et je gémissais sous ses coups.

Soudain je m’aperçus que l’ouvrier de la cuisine était à la porte de la chambre. Sans doute avait-il été attiré par le bruit des ressorts du lit. Il branlait son gros sexe. L’ouvrier qui me baisait lui fit signe d’approcher. Il approcha son gros sexe de mon visage, je sentis une forte odeur d’urine et de transpiration. Son gland était gros come un abricot, je le léchais avec délice malgré l’odeur et le jus qui suintais de son méat.
Pendant ce temps mon ouvrier me baisait fort, profondément, en poussant des soupirs.

Puis je sentis que l’ouvrier de la cuisine jouissait dans ma bouche. Plusieurs giclées de sperme abondantes me la remplirent. J’avalais ce sperme chaud et gluant avec délice.
Juste à ce moment je sentis le sexe de mon ouvrier vibrer, se contracter et se vider en de puissantes giclées dans le préservatif. Je sentis la chaleur de son sperme dans mon cul.

L’ouvrier téléphona à son collègue qui était resté au bar et lui dit qu’il pouvait venir me baiser. Peu de temps après j’entendis la sonnette de la porte d’entrée et l’ouvrier entra et monta immédiatement dans la chambre. Il se glissa sur le lit qui grinça encore. J’ai écarté mes cuisses, il a sorti son gros sexe de son pantalon. Lui aussi avait un gros gland, bien congestionné. Il le passa sur mes lèvres, je sortis ma langue pour le lécher, pour bien le sentir, le goûter.

Il passa un préservatif et immédiatement il s’enfonça profondément dans mon cul bien ouvert. Il me baisa très fort et a jouis très rapidement.

Nous retournâmes au bar sous les regards des clients qui étaient encore là.
Nous prîmes une bière bien fraîche afin de désaltérer nos bouches qui avaient beaucoup été sollicitées.


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