Na Leslie Tr 51

Leslie à Paris – P51 - Les confidences de Caroline.

Les confidences de Caroline.
Avec Caroline nous venons de faire l’amour et maintenant elle repose dans mes bras, la tête posée sur ma poitrine, d’une main elle me caresse le sexe en me parlant de ses souvenirs, je l’écoute attentivement en me laissant tendrement caressée.

« A cette époque je n’étais encore qu’une jeune transexuelle et mes aventures ne se passaient pas toujours très bien, les hommes profitant de ma jeunesse pour assouvir leur envie de sexe et sodomiser une jeune transexuelle, car peu importe que j’ai un sexe masculin ils désiraient seulement forcer mon petit anneau serré.
Cette période ne me plaisait guère et les expériences sexuelles qui se répétaient ne me donnaient aucun plaisir mes amants jouissant en moi avant que je trouve un peu de plaisir dans le rapport ?
A cette même époque je me souviens alors que je venais juste de m’installée dans mon petit studio il a fallut que je règle des problèmes de plomberie et il à fallut que je fasse appel à un dépanneur.
J'ai donc appelée un dépanneur pour venir en urgence réparer mon problème de fuite et rendez vous fut pris pour l'après midi même.
J’ai profitée de la matinée pour prendre un bain et me préparer, j'étais en robe noire moulante et plutôt courte avec jolis bas de soie noire et un string mais laissant mes seins libres sous ma robe.

Vers 14h00 la sonnerie de la porte d'entré à retentie, et j’ai été ouvrir pour découvrir un beau jeune homme brun et athlétique. Jonchée sur mes talons hauts, je l'ai invité entrer et à me suivre dans la salle de bains pour voir et commencer au plus vite les réparations.
Mon réparateur une fois dans la salle de bains constate les dégâts et se met aussitôt à l’ouvrage, d’humeur enjoué il fait son travail avec application et sérieux tout en me posant des questions :
- Vous habitez toute seule ?
- Oui et je viens juste d’emménager, lui dis-je.


- Eh bien vous n’avez pas de chance, me dit-il.
En me regardant avec ses beaux yeux bleus plantés dans les miens, un frisson parcoure mon corps et mon dépanneur s’aperçois de mon désarroi et réplique :
Voyons petite demoiselle il ne faut pas être troublé de la sorte quand je vous regarde.
C’est que je n’ai pas l’habitude d’être seule en compagnie d’un bel homme et en plus dans l’intimité de ma salle de bains. Mon jeune dépanneur ne se démonte pas et continue son ouvrage, en me disant :
- Moi c’est Olivier et vous ?
- Caroline.
Vous imaginez un peu la scène, mon dépanneur assis au sol près du lavabo entrain d’effec des réparations sur la tuyauterie de mon lavabo tout en me posant des questions et moi debout le regardant, troublée lui répondant en commençant à bander, sans réfléchir et comprendre ce qu'il m'arrivait je l’ai enjambée pour aller m’asseoir sur le bord de la baignoire car la tête me tournait les désirs montaient en moi, je voulais m’asseoir un peu, mais je me suis retrouvée devant lui les cuisses écartées.
Le regard plongé sur mon entre jambe il souriait en voyant mon état, je bandais et je pense qu’il a vu mon état car mon sexe était sortit de mon string au moment où je l’ai enjambé, et maintenant assise sur le bord de la baignoire il a une vue imprenable sur mon intimité en érection.
Joli, me dit Olivier, vraiment joli et pas banal pour une jolie fille comme toi.
- Il avait découvert mon sexe et me le faisait comprendre et cela n’avait pas l’air de lui déplaire.

La réparation une fois terminée il s’est relevé, nous étions encore tous les deux dans la salle de bains, et je n’avais pas bougée toujours assise su le bord de la baignoire, Olivier me regarde et me dit :
- Tu sais que tu es très mignonne !
Je ne réponds rien tant je suis sous le charme de ce beau jeune homme.
Sans me laisser un instant de réflexion il me relève et me saisit par les hanches pour plaquer contre le mur, le ventre contre le carrelage, je me débats un instant en vain mais sans grande conviction, il est plaqué contre moi et me prend la tête pour la tourner vers lui et prendre ma bouche de ses lèvres, nos langues se rencontre et je ne résiste plus.

Alors Olivier plaque une main sur les fesses en me disant :
- Et en plus tu as vraiment un beau petit cul pour une petite transexuelle !
Il relève ma robe jusqu’au hanches et cherche à introduire sa main sous le petit bout de tissus qui cache mon intimité. J'ai crié simplement criée :
- Oh non !
Mais sa main en passant dans mon string pour rechercher mon anus eue vite fait de me faire taire.
Son souffle chaud sur ma nuque me faisait perdre la tête tandis que je l’entendais dire :
- Oh jolie petite Caroline j’ai trop envie de ton petit cul !
En quelques seconde je me suis retrouvé appuyée sur le bord de la baignoire, la jupe relevée sur les hanches et le string aux chevilles, je bandais fort compte tenu de la situation, mon dépanneur alors me dit :
- Oui, bande ma petite trans, j’adore faire l’amour au petite transexuelle comme toi qui bande pour moi et en plus particulièrement si elles ont un petit cul serré !
Il bandait comme un taureau, regardant dans la glace au dessus du lavabo j’ai vu son sexe trapu dressé près à l’assaut le gland circoncis le rendait plus agressif et plus beau aussi, cette verge veiné me donnait envie, alors il attrapa le tube de gel qui était posé sur la tablette du lavabo et m’enduisit la rondelle en enfonçant un doigt dans mon petit trou en disant :
- Oh ! Il est bien serré ce petit cul.
Après s’être à son tour enduit le sexe de gel il a positionné son gland sur ma rondelle il s’est mis à pousser son sexe entièrement en moi d’un coup de hanches, la pénétration fut violente et me fit crier, puis il se ruât en moi comme un forcené en me tenant par les hanches. Il me dominait et je me laissais sodomiser avec délices, c’était la première fois qu’un homme me procurait autant de plaisir, le plaisir montait en moi me faisant gémir.
Il m'a enculé ainsi durant une bonne dizaine de minutes avant de sortir de mon trou pour jouir sur le bas de mon dos en grognant et en disant :
- Oh ma petite chérie, ton petit cul est génial !
Je me suis entendue dire dans un souffle :
- Encore !

Il n’avait pas débandé et s’est renfoncé en moi pour m’enculer à nouveau me faisant crier de bonheur, j’adorais cette façon non prévue de me prendre, une nouvelle fois il s’enfonça en moi pour mieux ressortir mais plus lentement cette fois comme s’il faisait l’amour à une femme.

Plus il rentrait en moi et plus je me sentais femme et plus il sortait et plus je regrettais de ne pas en être une, mais le plaisir montait et pour la première fois j’allais jouir du cul, maintenant j’allais au devant de ses assauts et resserrais mon muscle anal autour de sa verge le faisant à chaque fois gémir de plaisir.
Il me sodomisa ainsi pendant près d’une demi-heure, sans faiblir et mon trou commençait à chauffer, soudain je sentis qu’il allait jouir et voulu se retirer, alors je l’ai retenue en moi par les hanches l’enfonçant en moi au plus profond de mon intimité pour sentir sa jouissance me remplir les entrailles.
J’ai ressentis ses giclées quand il à jouit et cela me rendit heureuse et je jouis à mon tour.
En se retirant il m’a demandé :
- Ca t’a plus ?
Je n'ai rien répondue encore sous le choc de cette relation soudaine, me contentant juste de hocher la tête par l’affirmatif et de me rajuster, ne comprenant pas ce qui venait de m’arriver en me faisant enculée par ce dépanneur et en avoir jouis. Après l’avoir payée il s’en alla en disant :
- Dès que tu as un problème appelle moi je serais ravi de venir te dépanner et même sans raison je viendrais.

Après cet épisode je me suis abandonnée chaque soir au plaisir en repensant à cet instant, me masturbant et en me sodomisant avec mon gode en pensant que j’aimerais bien que cela se reproduise, sans préparation et avec la même fougue de la première fois, mais durant ces séances de plaisir solitaire je ne retrouvais pas les sensations de cette relation et le manque commençait à me peser.

Un matin, n’en pouvant plus j’ai appelé mon dépanneur pour lui demandé de passer me voir, mais je suis tombé sur son répondeur, alors je lui ai laissée un message lui précisant que j’avais un problème de tuyauterie présentant les mêmes symptômes que la dernière fois et qu’il faudrait me dépanner en urgence.
Puis avec cet homme dans la tête, je me suis douchée en me caressant, l'envie était trop forte de le revoir de le sentir près de moi, je me suis sodomisée pour être prête et je suis sortie de la douche, après m’être séchée je suis restée nue, juste avec une culotte pour cacher mon sexe.


Il s’est passé à peine une heure après mon coup de téléphone et son arrivée à fait battre mon cœur comme jamais, j'étais dans un état indescriptible et je crois que j’étais prête à tout accepter de mon bel Olivier.
Lorsque nos regards se sont croisés une fièvre m'a envahit, son regard provocateur et son sourire ont eus raison de moi, j’ai ressentie une boule dans mon estomac.
Olivier m’à prit dans ses bras pour m’embrasser en me collant ses mains sur mes fesses, nos lèvres se sont collées et nos bouches se sont ouvertes pour que nos langues se trouvent et se mélangent, le désir montait en moi et mon esprit chavirait. Tout en m’embrassant ses mains se sont frayées un chemin sous le bout de tissu qui me servait de culotte, lune rentrant dans la raie de mes fesse et l’autre se refermant sur mon sexe bander, Olivier me dit :
- Mais dis donc tu bandes !
- Ohhh, Olivier, ohhh.
J'étais aux anges, le sexe enserré dans la main virile d’Olivier et la rondelle visité par un doigt de son autre main, je restais là sans bouger profitant des caresses, en position contre mon amant et creusant les reins pour offrir ma croupe avec plaisir.

- Caroline suces moi, me demanda Olivier en se défaisant.
Je me suis retrouvée alors à genoux et je me suis mise à lécher cette queue veinée, imposante et bien dure, puis entrouvrant les lèvres je l’ai prit ce sexe en bouche, il m’a prit la tête entre ses mains pour m’imprimer des mouvements de va et vient lents mais très profond.
Puis il m’a relevée et m’a positionnée sur la table, la poitrine sur la table et la croupe offert, il m’a léché l’anus un moment pour me préparer et j’ai encore ressentie du plaisir, puis il s’est redressé et m’à rentré son sexe en moi, j’ai lâchée un long gémissement lorsque j'ai sentie son sexe en moi allongée sur la table et les jambes écartées tendant la croupe pour mieux m'offrir, Olivier m’enculait et j’aimais ça.
Il grognait tout en me besognant l’anus, s'enfonçant au plus profond de moi, je gémissais de plus belle me laissant aller aux assauts d’Olivier.
- Caroline j’adore ton cul ! Me dit-il.
Je me cambrais de plus belle sur la table, je criais en lui disant :
- Ohhh, Olivier encules moi, oui j’adore.
Je gueulais mon plaisir en m'abandonnant à lui, puis j'ai sentie la jouissance monter, j'ai serrée les dents laissant échapper de longs soupirs aigus, Olivier s’est laissé aller et à jouis au fond de mon cul en poussant un long râle de plaisir.
Je suis resté quelques minutes amorphes tandis qu’il restait planté dans ma rondelle, je sentais les frémissements de son sexe en moi et j’aimais ça.
Plus tard il m’a quitté et j’ai ressentit un grand vide, d’un seul coup je me sentais délaissée et légèrement perdue, mais j’ai entendue Olivier me demander :
- Caro, tu veux que je repasse ce soir ?
- Ohhh oui ! Je le désire vraiment.
C’est comme cela qu’Olivier est repassé le soir et nous avons fait l’amour, j’ai été prise comme jamais et j’ai jouis de nombreuses fois et Olivier est resté dormir à la maison.
D’ailleurs il a été mon amant pendant plus d’un an, jusqu’au jour ou nos chemins se sont séparés.

A suivre……

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