Na Leslie Tr 54

Leslie à Paris – P54 – Rencontre avec Hélène, la tante de Laure.

La tante de Laure, explications.
Avec Laure nous sommes invitées à diner chez sa tante Hélène, la sœur de son oncle Michel, veuve de Roger depuis plusieurs années, ce couple dont Laure m’a racontée son aventure de vacances.
Après avoir déménagée de Paris elle habite maintenant dans la région parisienne.
Laure m’a prévenue en me disant :
- Ma tante est toujours une sacrée chaude et même depuis son veuvage elle profite pleinement de la vie et des occasions qui se présentent. D’ailleurs depuis que mon oncle Michel lui à dit que je vis avec une transexuelle elle n’arrête pas de me harceler pour te rencontrer, alors ne soit pas surprise si elle te fait des avances et te propose de l’accompagner pour te demander des conseils sur la décoration de sa chambre, à mon avis ce sera pour autre chose.
- Mais toi, lui dis-je, que feras-tu.
- Oh moi tu sais j’ai l’habitude avec ma tante, après notre aventure avec son homme elle désirait sans cesse que nous fassions l’amour à trois, puis depuis son veuvage elle s’est déjà envoyer deux de mes copines et un copain, alors j’ai l’habitude et en attendant je regarderais la télévision.

Chez Hélène.
Nous sommes arrivées chez la tante de laure, qui nous a accueillies chaleureusement, une très belle femme d’une cinquantaine d’année et souriante, avec en plus beaucoup d’humour.
Après avoir pris l’apéritif, nous somme sommes passées à table, la conversation à très vite tournée sur les aventures de Laure qui se fit une joie d’expliquer ses nouvelles relations à sa tante, répondant aux questions d’Hélène voulant connaître les faits dans les moindres détails.
Puis Hélène posa la question fatidique en disant :
- Et vous ma petite Leslie, parler moi de vos aventures sexuelles !
Je marque un temps, surprise de la question, et Hélène rajoute :
- Donnez moi les détails, car vous savez à mon âge les occasions sont peu nombreuses de me faire rêver.


Je suis un peu gêner, car je n’ai pas l’habitude de parler de mon ambigüité et de mes relations sexuelles, alors je dis :
- Oh, moi vous savez, je n’ai trop rien à dire.
- Ne me dites pas qu’avec Laure vous n’avez pas de relations, et de plus mon frère Michel m’a parlez de vous.
Hélène insiste et j’avoue être l’amante de Laure, sur quoi Hélène me fixant dans les yeux me dit :
- Tu es son amante particulière.
- Oui, comme vous le dites très particulière.
La fin du repas achève le questionnement et après le café, Hélène me propose de visiter sa chambre pour avoir des conseils sur la décoration, tout comme Laure me l’a dit, celle-ci d’ailleurs dit :
- Allez-y toutes les deux, moi je vais regarder la télé.

Avec Hélène.
Je suis donc Hélène jusqu’à sa chambre et sitôt rentrées, Hélène ferme derrière nous la porte en disant :
- Laure à l’habitude ne t’inquiètes pas.
Elle s'est mise devant moi et a posée une main sur mon entrejambes et en me regardant elle à dit :
- Alors petite Leslie, il paraît que tu as une belle queue qui fait jouir les jeunes femmes ?
Puis en s’agenouillant elle rajoute :
- Voyons voir de plus près.
Elle me déshabille et surprise la tante de Laure dit :
- Et bien quel membre et de belle taille.
Prenant mon sexe dans sa bouche elle a commencée a me sucer, de haut en bas, puis se la met dans la bouche faisant tourner sa langue autour, le pied.

Hélène m’a sucée pendant quelques minutes, puis n’en pouvant plus je l’ai installée dans un fauteuil et j’ai plongée ma tête entre ses jambes et je me suis mise à lui lécher le minou et elle se met à hurler, gémit, en disant :
- Oh comme c’est bon, comme tu le fais bien, j’adore.
Et elle se met à dégouliner comme une vraie fontaine.
J’en profite pour passer ma langue sur son anus et au contact de ma langue sur sa rondelle, je sens Hélène frémir, elle apprécie cette caresse, elle arrête un instant de bouger puis entame des mouvements de bassin elle ondule sous ma langue, tout en se cambrant un peu plus m'offrant ainsi un meilleur accès a son petit trou en laissant échapper de petits gémissements.

- Oh, oh mon dieu, soupire Hélène.

Je ne cesse de caresser son petit trou du bout de ma langue, puis j’enfonce la pointe dans le trou entrouvert, faisant redoubler les gémissements d’Hélène.
Mon sexe est maintenant dressé et dur, je me redresse et pénètre Hélène doucement, de plus belle elle pousse des gémissements, sa chatte est chaude et trempée, elle jouit une première fois en me suppliant de ne pas m’arrêter, puis elle me dit :
- Allons sur le lit.
Elle s'allonge sur le lit les reins sur un coussin afin de me présenter sa vulve les jambes bien écartées, je m’installe au milieu, elle est tellement lubrifiée que je m’introduis au fond de sa chatte en une seule poussée et je lui dis :
- Oh ma cochonne comme tu mouilles, t’es une vraie fontaine.
Sa chatte dégouline, je la pénètre par de lents allers et retour, doucement prenant le temps de faire monter en elle la jouissance, après avoir jouit une seconde fois, elle me repousse et s’installe à quatre pattes en levrette, elle me disant :
- Prends-moi ainsi !
Je l’ai prise mon dos collé à elle, elle geint et je lui et dis a l’oreille :
- Tu sais je peux aussi t’enculer.
Hélène se raidie et me dit :
- Non je n'ai jamais offert mon petit trou à quiconque après la mort de mon époux et ta queue bien plus grosse que celle de feu mon homme.
- Ne t'inquiètes pas, lui dis-je, je vais être très douce.
Son œillet est un peu ouvert et détendu, offert prêt à recevoir ma queue, je pose mon gland sur sa rondelle et Hélène frémit au contact comme si elle appréhende cette pénétration, je commence à pousser doucement et à introduire mon gland en elle. Effectivement son cul est bien serré, elle hurle, en disant :
- Non, non arrêtes c’est trop gros !
Mais elle ne se défile pas et reste cambrée les fesses en l’air, comme si inconsciemment elle s’apprête à me recevoir en elle, je pousse encore un peu et mon gland passe sa rondelle, Hélène souffle tandis que je marque une pause, puis sans lui laisser le temps de réfléchir je m’enfonce lentement dans son cul en la faisant gueuler.

Je viens et je vais lentement, m'enfonçant un peu plus à chaque mouvement, c’est étroit et je suis bien serrée peu de temps plus tard son cul absorbe mon sexe entièrement jusqu'à la garde, elle se met à gémir en réclamant encore.
- Oui Leslie, n’aie pas peur c’est trop bon, défonce moi le cul à fond, j’aime trop çà.

Mon sexe glisse maintenant dans son étroit boyau, elle est épinglée sur mon membre qui va et vient en elle, elle délire le cul ouvert en disant :
- Oh ma cochonne comme c'est bon, pourquoi m’en être privée depuis si longtemps.
Elle feule et gémit, des sanglots montent dans sa voix.
- Et dire que j’aime la sodomie, pourquoi, mais pourquoi ? Leslie tu me fais revivre.
Je lui défonce la rondelle de plus en plus vite et de plus en plus fort, j’entre mon sexe au fond de son cul à chaque poussée, elle hurle e laissant échapper par moments de tous petits cris, comme une jeune fille prenant son pied pour la première fois.
Pendant que je l’encule elle ne cesse de se branler le clitoris en passant sa mains sur mes testicules, les prenant parfois bien en main comme pour se rendre comme de leur volume, j’ai agrippé ses hanches et je me suis mis à aller et venir profondément dans son cul afin de la sodomiser le plus profondément possible. Après un bon moment je me suis vidée, plantée au fond de son cul en tenant fermement Hélène par les hanches.

En redescendant nous avons retrouvée Laure devant la télé et j’entends Hélène dire à Laure :
- Leslie m’a cassée le cul, quelle bombe, tu en as de la chance de vivre avec elle, j’espère qu’elle te donne beaucoup de plaisir.
- Ne t’inquiète pas tatie, Leslie est formidable avec moi.
- Alors, termine Hélène, revenez quand vous le désirées, ma porte sera toujours ouverte pour vous et mon cul pour Leslie.

Le retour.
Sur le trajet du retour, dans la voiture Laure me demande :
- T’as cassée le cul de ma tante ?
- Oui pourquoi.

- Elle qui as toujours refusée cette partie à quiconque, hormis son défunt mari, pour une première fois tu as fais très fort Leslie chérie.
- Mais ne t’inquiètes ma petite Laure chérie, il me reste suffisamment d’énergie pour ton petit trou plissé.
- J’ai hâte d’être chez nous, à rajoutée Laure.

A suivre……

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