Fable - Chap.2
Bonsoir,
Voici la suite de notre aventure avec Isabeau. En espérant qu'elle vous plaise.
Les prochains chapitres sont en cours d'écriture.
Bonne lecture à vous ;)
FABLE - Chapitre 2
Un cliquetis au loin se fait entendre.
Je sors de mes rêves.
Une clef tourne dans la serrure.
Je me redresse brusquement et remets en place ma robe. Lesprit encore brumeux et le souffle saccadé, jessaie de me tenir droite et imperturbable. La panique commence à menvahir. Et si ce nétait pas mon Intendant ? Et si quelquun dautre me découvrait ici ? Que dirait-on ? Que se passerait-il ?
Je vois alors Gaston passer la porte, puis la refermer. Il savance vers moi avec un sourire timide.
- Jose espérer ne pas vous avoir trop fait attendre, princesse Isabeau. Je regrette davoir dû vous laisser seule, mais il fallait que je règle certaines affaires avant tout.
Comment vous sentez-vous ?
Dès linstant où il était apparu, son parfum envahit la pièce.
Son regard et son attitude, à la fois engageante et précautionneuse, fit retomber mon stress.
- Jai cru mourir de peur en entendant la porte souvrir.
Il savança vers moi et posa un genou à terre. Il prit mes mains que je tenais jointes devant moi. Ses yeux achevèrent de me calmer. Je me sentais complétement détendue.
- Je suis sincèrement désolé de vous avoir fait peur. Tout va bien à présent, je suis avec vous.
- Oui, avec vous, je sais que tout ira bien.
Javais prononcé ces mots sans réfléchir et cela me fit rougir. Je détournai la tête, comme pour échapper à son emprise. Il posa alors sa main sur ma joue. Sa main était douce et chaude. Je mis alors ma main sur la sienne, comme pour apprécier plus encore ce moment.
Je ne voulais plus quil séchappe.
Il redressa ma tête et avançait lentement son visage près du mien. Mon cur saccéléra.
Ses yeux me fixaient intensément.
Cet instant semblait infini. Je le sentais si proche de moi et pourtant si loin.
Puis ce fut un feu dartifice.
Ses lèvres vinrent se poser sur les miennes.
Un champ de coquelicot se dessinait autour de moi. Le parfum qui sen dégageait menivrait. Le soleil caressait ma peau de ses rayons tandis que la brise venait faire danser sur ma joue quelques-uns de mes cheveux. Cétait merveilleux. Ce baiser était tel quon pouvait lespérer.
Puis sa langue vint chercher la mienne.
Une décharge électrique parcourut mon corps. Je lâchais la main de Gaston, qui se tenait toujours sur ma joue, pour la passer derrière lui. Jessayais de le maintenir de mes mains, tant cétait délicieux. Mais il ne semblait fort heureusement pas décidé à me laisser.
Tout en membrassant, il se leva, mobligeant à faire de même. Ses mains étaient descendues le long de mes hanches et me maintenaient contre lui. Je fis glisser les miennes sur son dos, que je sentais musclé au travers de ses vêtements.
Puis il lâcha ma bouche pour aller embrasser mon cou. Une nouvelle fois, une petite décharge électrique mempêcha de riposter.
Sans que je men aperçoive, il avait réussi à atteindre les attaches de ma robe, quil fit glisser, me révélant à lui, entièrement nue.
Cela métait à présent égal. Au contraire, je souhaitais plus que tout quil me voie et quil me désire.
Il me regardait, détaillant chacune de mes courbes. Je lui souris et vint de nouveau lembrasser. Je lui soupirai :
- A vous, à présent.
Sans me quitter des yeux, il commença à ôter ses habits. Il se révéla rapidement à moi. Il était incroyablement beau mais surtout, je restais figée devant son membre dressé.
- Par Dieu, chuchotais-je.
Javais déjà entendu des histoires sur les hommes et de quelle façon il était fait, mais je naurais jamais imaginé que ce puisse être aussi
aussi
Absorbée par ce mât, je finis par masseoir sur le bord du lit, réfléchissant à léventualité quil entre en moi.
Il caressa ma joue, plaçant son membre à quelques centimètres de mon visage.
- Nayez crainte, princesse. Tout ira bien. Je puis vous lassurer.
Son sexe mapparaissait si imposant, et pourtant, je le désirais. Braqué devant moi, je voulais le toucher. Ma main se dirigea vers lui et se posa dessus. Il était chaud, presque brulant. Je le sentais pulser sous mes doigts. Je le caressais lentement comme pour prendre la mesure de ce qui mattendait. Son odeur mintriguait. Elle nétait pas désagréable, au contraire. Elle me captivait. Je sentais ses effluves métourdir, mintimant de goûter ce qui se présentait à moi. Je ne pouvais résister.
Ma bouche souvrit légèrement pour glisser ma langue sur ce que moffrait Gaston.
Je sentis les mains de Gaston se poser sur ma tête, et, sans que je ne réalise son intention, il fit glisser son membre dans ma bouche. Il poussa un soupir de satisfaction.
Sans attendre, il commença des va-et-vient. Son sexe était dur et passait difficilement entre mes lèvres. Il forçait ma bouche, mais malgré mes tentatives pour le repousser, il ne faiblissait pas. Je sentais son sexe taper sur le fond de ma langue, manquant par moment de m. Il ne me laissait que peu de répit et je dû apprendre rapidement à quel moment reprendre souffle pour ne pas défaillir.
Ses battements répétés couplés au goût étrangement excitant de son sexe finirent par me soumettre entièrement. Mes mains sétaient posées sur larrière de ses cuisses et je le laissais user de moi comme il le souhaitait. Je sentais mon sexe humide frémir denvie. Je le désirais ardemment.
Il en profita pour placer sa jambe sur le lit, et se faisant, vint forcer plus encore dans ma gorge. Il poussait des râles de plus en plus forts. Je me sentais incapable de résister. Il me libéra puis revint à la charge une nouvelle fois, senfonçant un peu plus encore.
Ma bouche grande ouverte, la langue tendue, je pressais en avant pour engloutir ce bâton de bonheur. Gaston me maintenait la tête mais consentit à me donner ce que je souhaitais.
Je me retrouvais de nouveau emplit de tout ce membre que je sentais de plus en plus dur. Gaston accéléra les mouvements. Je sentis gonfler son membre et exploser en de puissants jets qui inondèrent ma bouche, et glissèrent dans ma gorge. Incapable de mextraire, je le laissai se vider entièrement en moi, avalant ce quil moffrait.
Il se retira et sallongea sur le lit, me laissant dans la bouche comme un goût dinachevé. Je me sentais heureuse davoir satisfaite Gontran, mais quelque peu frustrée.
Je vins mallonger près de lui, encore brulante de désir
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