Le Téléphone

LE TÉLÉPHONE
23 heures; je commençais à somnoler et je me disais qu’il était temps de me mettre au lit. J’avais décidé pour une fois de me lever tôt pour régler quelques problèmes professionnels urgents. Depuis que Soussou, le grand amour de ma vie, était partie, je n’avais plus le cœur à grand-chose, surtout pas au travail. Les problèmes commençaient donc à s’accumuler et les risques de répercussions négatives sur mes affaires étaient réels.
Je décidais donc de me reprendre en main dès le lendemain. Cette bonne décision prise, je me mis au lit pour attendre un sommeil qui me fuyait depuis maintenant un mois, date maudite du déménagement de ma dulcinée. Vers 23 heures 30, mon portable se mit à sonner. Je sursautai. J’ai toujours eu peur des appels téléphoniques de nuit; généralement, ils sont porteurs de mauvaises nouvelles. Je ne connaissais pas le numéro de la personne qui m’appelait ; d’ailleurs il était masqué.
- Allo ! Oui !
Silence sur la ligne. J’insistais.
- Allo ! Allo !
Toujours rien. Je raccrochai, pensant qu’il s’agissait d’une erreur. Moins d’une minute après, le téléphone se remit à sonner et je m’empressais de répondre. J’entendais distinctement la respiration de mon correspondant. Mais toujours pas un mot.
- Arrêtez, le manège ! criai-je un peu énervé.
Et soudain, une voix féminine, rauque et presque inaudible, se fit entendre.
- Allo, bonsoir ! Tu ne me reconnais certainement pas ; mais moi je te connais très bien. Je connais ton nom et je sais où tu habites et où tu travailles. Je sais pratiquement tout de toi.
Pris au dépourvu, je ne sus quoi répondre à cette voix dans la nuit. Imperturbable, elle continua toujours aussi doucement :
- Tu es grand, fort, viril et tu me plais beaucoup. Je voudrais devenir ta petite amie de la nuit. Qu’en penses-tu ?
Je ne répondis toujours rien, estomaqué que j’étais. Je réfléchissais à toute vitesse pour comprendre la situation et lui trouver une parade qui me mettrait à mon avantage.

J’avais souvent dragué au téléphone des femmes qui me plaisaient, mais je n’y allais jamais aussi franchement, au risque de faire fuir ma proie. Celle-là y allait au culot. Je soupçonnais une blague d’une de mes anciennes conquêtes; mais j’avais beau chercher, cette voix m’était parfaitement inconnue.
- Je te connais ? lui répondis-je enfin, de manière à gagner du temps, la faire parler et essayer de si la personne.
- On s’est déjà rencontré plusieurs fois, mais tu n’as jamais fait attention à moi. Tu étais toujours trop occupé avec d’autres femmes. Je sais qu’aujourd’hui tu es libre; je suis sûr que tu flasheras sur moi, et peut être même que tu tomberas amoureux de moi, dès que tu me verras. J’ai trente ans et je suis ce que les hommes appellent un bon coup ; je suis super bandante.
- Tu es célibataire lui dis-je ?
- Non, je suis mariée et j’aime mon mari qui est un homme bien et qui me satisfait sur tous les plans, sauf sexuellement. Dans ce domaine, ce n’est vraiment pas le nirvana ! J’ai des besoins sexuels énormes; je crois bien que je suis une nymphomane. Il me faut un homme comme toi, fort, viril et pervers, quand il s’agit de baiser. Tu es intéressé ?
- Peut-être ! », répondis-je. Mais il faut d’abord que tu me dises comment tu t’appelles.
- Disons Sarah », fit-elle.
Je sus tout de suite qu’il ne s’agissait pas de son vrai prénom et qu’elle n’avait nullement l’intention, de me dire qui elle était vraiment. D’évidence, il s’agissait d’un de ces nombreux cas de femmes ou filles, insatisfaites de leur vie amoureuse réelle (pour celles qui en ont) et qui cherchent à pimenter leurs nuits solitaires par des relations virtuelles au téléphone. La jouissance sexuelle est atteinte grâce au verbe libre et cru, accompagné de caresses auto appliquées et de masturbation. (C’est le principe même du téléphone rose).
J’étais convaincu que ma correspondante me connaissait réellement. Il ne s’agissait pas d’un appel fait au hasard.
Cette femme, n’était pas allée à la « pêche à la ligne» en formant un numéro au hasard et en recommençant jusqu’à tomber sur le bon poisson. Non c’était bien moi qui étais visé, pour une raison que j’ignorais encore. Et ce n’était pas seulement pour passer un moment agréable avec moi. Je savais aussi qu’elle ne chercherait aucunement à se montrer à moi et qu’elle voudra toujours rester inconnue. Si je voulais un jour la rencontrer et la connaître, il me faudrait beaucoup de patience et surtout la convaincre qu’elle ne risquait absolument rien de ma part, qui nuirait à son foyer.
- Tu as des s ? lui demandai-je.
- Deux ! Une fille, un garçon ! Ils vont déjà à l’école.
- Je vais te dire ce que je pense, répliquai-je. Effectivement tu dois être sexuellement insatisfaite et tu cherches un moyen d’apaiser ta soif de sexe sans nuire à ton foyer. Mais je ne crois pas que tu es prête à sauter le pas et à venir me rejoindre pour vivre une aventure amoureuse avec moi. Tu veux en rester à une relation lointaine et virtuelle par l’intermédiaire du téléphone. Cela ne m’intéresse pas trop, bien que je sois très intéressé de connaître tes fantasmes sexuels. N’ai-je pas raison ?
- Tu es très perspicace » répondit-elle. Tu as tout de suite compris le topo. C’est vrai que je veux vivre une aventure sexuelle torride avec un homme comme toi. Mais je n’ose pas encore franchir le pas, de peur de détruire ma famille et de rendre malheureux mon mari.
- Pourquoi ton mari n’est pas avec toi cette nuit ? questionnai-je.
- Il est en mission dans le grand sud. Il travaille dans une compagnie pétrolière et régulièrement, il va en mission de contrôle dans les bases de sa compagnie. Je suis régulièrement seule dans cette immense chambre à coucher. Je passe beaucoup de temps à imaginer les nuits torrides que j’aurais pu passer avec un ou même plusieurs amants. J’ai plein de fantasmes. Tu ne veux pas fantasmer en ma compagnie ?
- On peut toujours essayer, lui dis-je.
Dis-moi d’abord comment tu es physiquement.
- J’ai tout ce qu’il faut pour donner du plaisir à un homme. Je suis grande, avec un corps plantureux ; de longues jambes pleines ; des genoux et de cuisses qui te feront bander, uniquement en les regardant ; des fesses bien rondes, fermes et bombées ; une poitrine forte et de gros seins encore très fermes malgré mes deux grossesses ; une grande bouche avec des lèvres charnues, faites pour sucer ; des grands yeux marron, coquins et provocants.
- Tu es entrain de me décrire uns star de cinéma ! Il est impossible que tu sois tout cela à la fois.
- Je t’assure que suis réellement comme cela ; belle et désirable. Je voudrais que tu me dises au téléphone, tout ce que tu me feras quand je te demanderai de me rejoindre ici dans cette chambre. J’aimerais t’entendre me dire tout ce que tu comptes me faire pour m’emmener au septième ciel. Sexuellement, je suis une femme totalement soumise qui a besoin d’un homme qui la domine et qui la pousse à faire exactement tout ce qu’il veut. J’ai la mentalité d’une chienne, toujours en chaleur.
Bien qu’un peu décontenancé par ce franc-parler, je commençais à sentir mes sens se réveiller et mon désir de faire l’amour poindre à l’horizon. J’ai donc décidé de jouer le jeu de l’amour virtuel ; au moins un moment.
- Attends moi, j’arrive, lui dis-je pour commencer le jeu. Je suis devant la porte d’entrée de ton appartement ; je frappe discrètement et tu m’ouvres très vite la porte ; j’entre rapidement et tu fermes derrière moi. Tu m’attends en tenue de nuit très légère et sexy. Tu es aussi belle que tu me l’as affirmé tantôt. Tu me dis à l’oreille de ne pas faire trop de bruit, à cause des s qui dorment dans leur chambre. Nous allons vers la chambre ; tu me devances en balançant ton superbe cul, manière déjà de mettre la pression sur mes sens. Je commence déjà à bander en te regardant marcher devant moi. Arrivés dans la chambre, tu te retournes pour me montrer plus longuement ton corps sous la chemise de nuit transparente, très courte et très moulante.

- Oui, très courte et transparente ! me coupa-t-elle, pour s’introduire dans l’histoire que je nous inventais. Et en plus je n’ai rien en dessous, si ce n’est un string. Mes seins sont nus et bougent au dessous du tissus de la robe ; tu as déjà envie de les tripoter, tant ils t’excitent. Je te prends la main et la pose sur ma poitrine pour que tu malaxes mes seins. Tu t’exécutes et tu commences à me pétrir un sein, puis l’autre en jouant avec mes tétons. Cela m’excite au point que j’ai déjà envie de gémir. Surtout que ta deuxième main est allée déjà se fourrer entre mes cuisses. Elle commence à farfouiller à l’intérieur de mon string pour aller directement à la rencontre de ma chatte. Tu as vu, elle est déjà très mouillée ! J’aime être tripotée par la main d’un homme. Je te demandes de faire rentrer deux doigts dans ma chatte et de me caresser.
- Non ! Pas encore ! Je te masturberai après ! Je veux d’abord connaître ta bouche ! Je veux que tu sortes mon gourdin de mon pantalon pour l’admirer ! Il te plait n’est-ce pas ! Il est comme tu l’imaginais, long, gros et dur comme de la pierre ! Caresse-le vite ! Tu n’arrives pas à l’entourer avec une seule main ! Mets-toi à genoux et suce-le ! Ouvre très grand ta bouche et fais-y entrer le gland ; ouvre-la encore plus grand pour que le gland y pénètre ; titille-le avec la langue pour l’exciter encore plus ; joue avec lui en l’enroulant avec ta langue et en le léchant ; oui comme cela ; pousse ta tête en avant pour qu’il pénètre plus au fond, jusqu’à la gorge. Tu as un petit hoquet, mais tu gardes mon engin au fond de ta gorge pour que ta bouche s’habitue à ses dimensions énormes. Je commence à faire le va-et-vient, d’abord doucement puis plus franchement; je te tiens la tête fermement pour que mon zob reste à l’intérieur de ta bouche. Tu entends les petits gémissements que je pousse tellement cela me plait ? Je te demande d’utiliser ta langue pour accroître mon plaisir. »
« Chaque fois que mon gland passe à proximité de ta langue, tu le lèches et le titilles ; et chaque fois cela augmente mon plaisir. Tu aimes contenter l’homme que tu suces Tu aimes faire tout ce qui lui plait et ce qu’il t’ordonne de faire. Et déjà je sens tout le plaisir que tu vas prendre à recevoir le sperme qui va envahir ta bouche quand j’éjaculerai dedans. »
« En même temps que tu me suces, tu caresses mes couilles qui sont devenues dures comme de la pierre. Continue comme cela, sans t’arrêter. Tu sens que je vais jouir et répandre ma semence dans ta gorge et ta bouche. Je pousse un long râle de plaisir et je lâche au fond de ta gorge une première giclée d’un liquide épais, chaud et abondant. Mon sperme est tellement abondant que tu étouffes en l’avalant. Mais tu réussis à tout avaler d’un coup. Je continue le mouvement de va et vient je t’envoie encore trois ou quatre autres giclées qui viennent tapisser le fond de ta bouche. Tu avales tout. »
- Oui j’ai tout avalé et je garde encore maintenant le goût étrange de ton sperme dans ma bouche ! répond-elle, toute essoufflée.
Pour garder l’ambiance et maintenir l’excitation à son paroxysme, je reprends mon soliloque.
- Tu as aimé mon jus, salope ! Ce n’est qu’un aperçu de tout le sperme avec lequel je vais t’ensemencer ! Tu suces comme une déesse ! Voyons voir, ce que tu sais faire avec tes fesses et ton cul. Mets-toi vite à quatre pattes que je mate ton superbe cul ! Mon Dieu ce qu’il est gros et tentant. Je vais tout de suite t’enculer ! Ne dis surtout pas non ; je sais que tu as toujours voulu te faire défoncer le fion par une grosse bite ! C’est le moment ! Voila je me positionne, à genoux, derrière toi et je t’ouvre largement les fesses d’une main ; de l’autre je vais cueillir un peu du liquide visqueux qui tapisse l’intérieur de ta chatte et vais lubrifier avec l’entrée de ton cul. J’essaie de forcer l’anneau en y faisant entrer un doigt; j’y arrive difficilement, tant l’anneau est serré; tu es donc encore vierge de ton cul !
- Oui je suis encore vierge de ce côté-là ; va chercher encore un peu de jus dans ma chatte et continue à lubrifier l’anus ; voila comme cela ! Fait rentrer un doigt maintenant ; comme çà, oui ! Essaie d’élargir le trou pour que ton engin puise y entrer sans faire trop de dégâts ! Enfile-moi maintenant ! Mets-moi ton gros zob dans le cul ! Vas-y pousse, défonce-moi le cul ! Aie ! Ça fait mal ! Continue, va jusqu’au fond ! Fais le ressortit par la bouche ! C’est bon ! Plus vite le mouvement de va et vient ! Caresse-moi la moule en même temps ! Je veux jouir avec toi ! C’est bien comme ça, enfonce tes doigts plus profondément dans mon vagin ! Tu sens comme ils rencontrent ton zob à travers la paroi du vagin ; Ahhh ! C’est délicieux ! J’adore être baisée comme ça par un gros salaud, par derrière et par devant en même temps ! La prochaine fois on utilisera un gode pour une double pénétration ! J’aime quand mes deux trous son fourrés en même temps ! Oh maman, je vais jouir ! Je vais jouir comme une chienne ! Je suis une chienne ! Je veux être baisée comme une chienne ! Déverse ton sperme dans mon cul, en même temps que moi je décharge sur ta main. Ahhhhhhh ! C’est bonnnnnnnnnn ! Donne-moi ta queue, je vais la sucer pour la nettoyer ! Tu adores ça, n’est-ce pas ? Une chienne qui te suce ton zob encore rempli du produit du ramonage de son cul !
- Allons sur le lit nous reposer un peu ; je veux que tu enlèves ta robe totalement et que tu t’allonges en travers du lit, les genoux relevés jusque sur ta poitrine. Je veux que tu restes comme ça en exposant en même temps ta vulve et ton anus à mes yeux. Je vais te rendre la pareille en te suçant la chatte.
- Oui je vais adorer cela ! Vas-y plonge ta tête entre mes cuisses et pose ta bouche sur mes grandes lèvres. Tu sens ma chatte est encore toute mouillée. C’est divin ! C’est paradisiaque ! Tu écartes les grandes lèvres pour découvrir les petites lèvres et l’entrée du vagin. Tu y glisses la langue en même temps que tu me suces le clito. Tu sens comme j’aime ça ! Tu entends mes gémissements de plaisir ! Tu sens les mouvements des mes hanches qui se soulèvent au rythme de tes coups de langue et de bouche ! Tu sens comme j’adore ça ! Je ne vais pas tarder à jouir et à décharger dans ta bouche !
« J’adore ta langue qui farfouille dans mon vagin et qui va me faire hurler de plaisir ! Ta bouche sur mon clito me donne des frisons sur tout le corps. Il ne manque qu’un doigt dans l’anus pour que tout soit parfait. Oui ! Comme cela ! C’est bien ! Ajoutes-y encore un doigt ! Mon cul est maintenant trop ouvert pour se contenter d’un seul doigt ! Fait les tourner dedans ! Fait leur faire un mouvement de va et vient ! C’est le paradis ! Je vais décharger ! C’est bon ! Bon ! Bon ! Bois ! Bois ! Ne laisse aucune goutte s’échapper ! Donne m’en un peu dans ma bouche ! Je veux goûter à mon miel ! Tu es merveilleux ! »
- Tu as réveillé mes sens engourdis avec tes cris de chienne ! Tu as vu, mon engin est encore tout raide ! Il veut retourner à la fête ! Il veut te prendre à la levrette pour son seul plaisir ! Alors mets-toi vite en position pour que je t’enfile ! Voila comme ça, plus haut les fesses pour qu’elles soient au niveau de mon gland ! Oui comme ça ! Tu sens mon membre sur ta vulve ? Tu sens toute son excitation ?
- Oui, il est insatiable ! Enfonce le dans le trou ! Att moi les nichons en même temps et pétris les pendant que tu me fourres la chatte ! J’adore ta grosse bite ; elle me remplit tout le vagin ! Elle me fera mourir de plaisir ! Vas-y plus fort ! Encore plus fort ! Défonce-moi la vulve ! Fais-moi mal ! Continue, baise-moi comme une chienne ! Je suis ta chienne ! J’aime être chienne…chienne….chienne ! Je jouis ! Je décharge ! Envois-moi ton foutre ! Ton foutre ! Ton foutre ! Ton foutre !...Je t’aime !
- C’est comme cela que tu voudrais faire l’amour avec moi ? lui dis-je après avoir repris un peu mes esprits.
- Oui, j’ai beaucoup aimé cela. J’ai joui plusieurs fois en me masturbant. C’était divin. J’aimerai recommencer demain !
- Tu es folle ! Je ne vais tout de même pas passer mes nuits à me masturber parce qu’une chienne de nymphomane y prend du plaisir. J’aime trop les femmes et le plaisir pour me contenter de relations sexuelles virtuelles.
- Je t’en prie, ne me rejettes pas ! Une de ces nuits je t’accueillerais réellement chez moi et tu ne le regretteras pas. Mais pour le moment je ne veux prendre du plaisir que comme cela ; en imaginant chaque fois une situation différente ; un scénario différent. Je veux que nous jouions des rôles différents chaque fois ; et je sais que tu es doué pour cela. Tu me l’as prouvé cette nuit : tu es parti au quart de tour, sans aucune préparation. Allez Bonne nuit et à demain !
Et elle raccrocha sans autre forme de procès ; me laissant pensif et bien décidé à mettre un terme à cette mascarade. Le lendemain si elle appelle, je ne décrocherais pas ; c’est décidé. Et effectivement elle rappela le lendemain à la même heure. Et malgré toutes les promesses que je m’étais faites de ne pas lui répondre, je ne laissais pas sonner le téléphone plus de trois fois et je répondis
- Allo ! C’est toi Sarah ?
- Sarah ? Non moi c’est Nadia ! C’est qui Sarah ?
La voix était la même, mais le prénom a changé. Qu’à cela ne tienne. Recommençons la parodie.
- Nadia ? Je ne connais pas de Nadia. Que veux-tu ?
- Baiser avec toi !
- Ah bon, tu veux baiser avec moi ? Où et quand ?
- Chez toi et tout de suite !
- A ta voix on dirait que tu ne fais pas plus de dix huit ans !
- Presque vingt ans ! Et si tu veux en savoir plus, je suis encore vierge de partout ! J’ai envie de perdre mes pucelages, là maintenant avec toi ! J’aime trop l’amour pour attendre de me marier pour baiser ! Je suis sur le palier ; ouvre moi la porte tout de suite, sinon le premier homme qui passera me sautera dessus ! Je suis presque nue !
- Entre vite ! Tu n’es pas aussi nue que tu le dis ! Tu as une jupe, certes courte et légère, et un tee-shirt moulant.
- Si !je suis nue; regarde sous ma jupe, je n’ai pas mis de culotte !
- C’est vrai, tu as le cul totalement nu ! Laisse-moi voir ! Tu es totalement épilée ! C’est magnifique ! J’adore les chattes sans poils, bien gonflées et brillantes comme la tienne! Tu me fais déjà bander comme un âne ! Regarde comme mon pantalon est gonflé; l’engin a envie de sortir pour aller s’engouffrer dans ta chatte.
- Attend je vais le libérer ! Oh là là ! Ce n’est pas un sexe ! C’est un marteau pilon ! Tu vas me en me dépucelant avec cet engin là ! Je n’arrive même pas à l’entourer avec une main pour le masturber ! Caresse-moi la chatte pendant que je te masturbe !
- Non je veux d’abord t’éclater la vulve avant de faire quoi que ce soit avec toi ! Je veux te dépuceler là tout de suite, à la levrette; je veux te déchirer ton hymen et faire couler ton sang avant de te faire l’amour. Je veux te posséder comme une bête, rien que pour mon plaisir. Mets toi vite en position de chienne, là sur le divan ; tes fesses bien hautes et bien ouvertes. Oui comme cela ! Le panorama est divin : un superbe cul offert à mon énorme engin qui va se régaler ! Ce n’est pas tous les jours qu’il a le droit d’investir un si beau jardin, encore vierge de toute visite ! Je vais introduire le gland entre les grandes lèvres ! Tu le sens ?
- Oui je le sens ! Et je sens déjà que cela va me faire très mal ! Vas-y doucement avec mon hymen ! Je sens ton gourdin cogner sur lui ; il tente de résister ! Aaaaaille !!! Ça y est, il est déchiré ! Fait rentrer tout ton zob dans mon vagin ! Oh je le sens qui atteint le fond de mon tunnel ! Je coule ! Je ruisselle ! C’est bon ! Laisse-le encore un peu au fond pour calmer la douleur. Tu peux maintenant remonter et faire le va et vient ! C’est beaucoup plus doux que tout à l’heure ! Cela fait moins mal ! Refait encore le mouvement ! Encore ! Encore ! Plus vite, plus vite ! Plus vite ! C’est merveilleux ! C’est bon ! Bon ! Bon ! Tu sens comme je mouille ! Je vais jouir ! Je vais jouir ! Je vais jouir ! Ouiiiiiiiii ! J’ai joui ! Oh toi aussi tu as joui ! Tu m’as envoyé tout ton sperme dans la chatte! Oh ta queue est pleine de sang ! De mon sang ! de mon pucelage ! Laisse-moi la sucer ! C’est super ! Je t’adore !
- C’est la première fois que je dépucelle une fille, comme cela à la levrette ! Tu es vraiment courageuse ! Il ne me reste plus qu’à te dépuceler par derrière pour faire de toi une vraie pute ! Ma pute ! Mais avant je veux dépuceler ta bouche ! Et tout de suite ! Reste assise sur le divan et rapproche toi de moi ! Oui comme cela ! Tu vois ma queue est encore parfaitement raide, malgré qu’elle vient de déverser une tonne de sperme ! Ouvre ta bouche ! Plus grand que cela ! Attention aux dents ! Ne le mord pas, il n’aime pas çà ! Il préfère être léché et sucé ! Vas-y ! Oui comme ça ! Tu es très douée ! Je vais maintenant faire rentrer tout le sexe dans ta bouche, jusque dans la gorge ! Voilà ! Résiste à l’envie de vomir, cela va vite passer ! Laisse ta bouche et ta gorge s’habi à ma bite ! Après cela je vais amorcer un mouvement de va et vient et tu prendras la relève dès que tu sentiras que tu le pourras ! Voila, c’est bien comme cela ! Fais aller et venir ta tête vers mon bas ventre ! Choisi le rythme qui t’arrange ! Quand j’aurai envie de gicler et de jouir, je prendrai la suite et imprimerai le rythme qui me fera éjaculer et te fera boire une bonne tasse de sperme épais et chaud ! Tu sens comme ma queue est entrain de grandir dans ta bouche ? Elle bientôt éclater ! Ça y est ! Je jouis dans ta gorge et dans ta bouche ! Je sorts ma queue pour jouir sur ton visage, sur ton cou, sur ta gorge ! Dis-moi que tu aimes boire mon sperme !
- J’adore boire ton sperme ! Il a un goût d’anis ! Regarde comme je l’étale sur ma poitrine ! Sur mes seins ! Comme je lèche mes doigts qui en sont remplis ! Si je pouvais je prendrais un bain avec ton sperme ! Je suis une buveuse de sperme ! Une chienne buveuse de sperme ! Ça t’excite de me voir faire cela, hein ! Je le vois à ton gourdin que ne veut pas se reposer ! Il est encore debout comme un étendard ! Qu’est-ce qu’il veut encore ? Il m’a déjà dépucelé par le con et par la bouche ! Je suis sûr il veut continuer avec mon troisième trou !
- C’est bien cela ma belle ! Il veut t’enculer ! Il adore les beaux culs de femmes comme le tien ! Surtout quand ils sont encore vierges ! Tu vois comme il entrain de frémir rien qu’à l’idée qu’il va faire son nid dans ton cul ? Mets-toi en position. Comment veux-tu que je t’encule à quatre pattes comme tout à l’heure pour la levrette, ou sur le dos, les jambes relevées au dessus de ta tête ?
- Sur le dos, car je veux le regarder aller et venir ! Je veux te voir me défoncer le fion ! Je veux te voir entrain de me baiser comme cela par derrière ! C’est la bonne position ? Tu veux que je lève encore plus mes jambes ? C’est suffisant ? Tu me mouilles l’anus avec ta salive ? Oui force mon anneau avec ton doigt ! Comme cela ! Je sens le doigt qui rentre avec difficulté ; mon anus se referme sur lui ; il veut le garder à l’intérieur. Lubrifie-le avec le jus de ma chatte ; il est plus visqueux que ta salive. Oui comme cela ! Tu vois, ton doigt entre plus facilement ! Élargis l’entrée, pour permettre à ton engin d’y entrer sans me détruire le sphincter. Vas y, fais entrer la bête ! Doucement ! Aiiiiie ! Ça fait mal, mais ne t’arrête pas, je peux supporter, mais vas-y doucement quand même ! Oh le salaud ! Il y va de plus en plus fort ! Il cherche à me démolir le fion ! Oui continue ! Démolis-moi le cul ! Ça commence à me plaire ! Ça fait mal ! C’est bon ! Continue ! Fais-moi mal ! Continue ! Jouis en moi ! Remplis-moi de foutre ! Fais-moi décharger ! Regarde ma chatte, elle coule ! Je vais la caresser en même temps que tu m’encules ! J’adore ce tableau de ton zob qui me transperce le cul et de moi qui me masturbe ! Je te sens éclater en moi en inondant mon trou de sperme ! Continue à jouir en moi, c’est merveilleux ! Je jouiiiis ! Viens me donner ta queue toute ramollie, je vais la sucer pour la nettoyer ! Dis-moi que tu aimes ta chienne ! Dis-moi que je suis une vraie graine de pute ; dis-moi que tu vas me garder et que tu vas me faire encore plein de choses.
- Bonne nuit et à demain !
J’étais exténué. C’était comme si toute cette mascarade était vraie. J’avais réellement joui (en me masturbant tout le temps qu’avait durée la scène) et elle aussi. Mais ce n’était pas une situation qui pouvait durer éternellement. Elle ne m’avait même pas laissé le temps de discuter avec elle pour revenir à des choses plus réelles. Comme par exemple, qui elle était vraiment et, surtout, quand est-ce que je pourrais la voir réellement, en chair et en os. Je sais maintenant que je suis accroché; que je vivrai les prochains jours dans l’attente de son coup de fil et du nouveau rôle qu’elle voudra nous faire jouer. Je sais que de toutes les façons j’y prendrai du plaisir comme j’en avais pris hier et comme j’en ai pris aujourd’hui.
Le lendemain, pas de coup de fil. J’ai passé toute la nuit à attendre. J’ai voulu l’appeler, mais je n’avais pas son numéro. En me levant pour aller au travail, je n’étais pas à prendre avec des pincettes. Pour un oui pour un non, je criais et engueulais tout le monde. D’ailleurs tout le monde s’était donné le mot pour m’éviter, tant mon comportement était devenu exécrable. Le soir je rentrais chez moi, encore plus énervé que le matin et me mis à attendre le fameux coup de téléphone. A 23 heures 30, mon cœur battait la chamade quand la sonnerie retentit.
- Allo ! C’est toi Sarah…Nadia ?
- Non c’est Farah !
Je voulus savoir pourquoi elle ne m’avait pas appelé la veille ; mais je retins mes reproches, sachant qu’elle ne répondrait pas à mes questions.
- C’est qui Farah ? », m’entendis-je dire. Je ne connais aucune Farah. Que voulez-vous ?
- Rien que discuter avec toi ! disait la voix. Discuter de la vie et de l’amour. Je suis malheureuse et je voudrais bien trouver une oreille attentive pour m’écouter. Je suis une femme malheureuse; je suis mariée à un homme, tout en étant amoureuse de son jeune frère. Je l’ai même trompé avec lui.
- Raconte-moi cela ! lui dis-je.
- Et bien voilà : mon mari et moi sommes mariées depuis cinq ans, nous avons eu une petite fille. Nous avons fait un mariage d’amour. Notre bonheur a duré jusqu’à la naissance de notre bébé, puis, probablement à cause de la grossesse, de l’accouchement et du bébé, mon mari s’est éloigné de moi. Il a un jeune frère célibataire, beau comme un dieu et surtout fort et viril. Il passe de temps en temps à la maison et parfois, il y passe la nuit. Un matin qu’il était là et que mon mari était allé à son travail comme d’habitude, j’étais restée seule dans la maison, avec lui et le bébé. Je me suis occupée du bébé, et après l’avoir lavé, changé, lui avoir donné son biberon et remis dans son berceau, j’étais retournée dans la cuisine préparer le petit déjeuner de mon beau frère et le mien. Il se leva tard, comme à son habitude, pris une douche et vint dans la cuisine habillé d’un pantalon de pyjama de mon mari et d’un de ses tee-shirts qui mettait en valeur son corps d’athlète.
« Sa présence créait en moi comme un malaise et me faisait frémir. Mon corps était parcouru de légères décharges électriques qui me faisaient mal, surtout au niveau du bas ventre. J’avais envie de m’offrir à lui, bien qu’il soit le frère de mon mari. J’étais folle de son corps. Il me plaisait énormément. Chaque fois que je le voyais je sentais ma culotte se mouiller ; des fois je coulais tellement que j’étais obligée de changer de culotte. J’étais sûr qu’il devinait l’effet qu’il faisait sur moi. Il en profitait même en me regardant avec insistance comme pour me dire « je sais à quoi tu penses salope ! Tu meurs d’envie que je te saute! De goûter à mon gros bâton »
« Il parlait en effet comme cela ; vulgairement. Et cela aussi me titillait en pensant qu’en amour aussi, il devait être brutal, et foncer comme un taureau en rut. Ce matin là donc, il avait remarqué le regard concupiscent que je lançais à ses larges épaules, ses pectoraux et ses biceps. Au moment où je m’approchais de lui pour lui servir son café au lait, il me prit par la taille et détacha la ceinture du peignoir de bain que j’avais gardé depuis la douche du matin. J’étais bien sûre toute nue en dessous. Je m’étais caressée sous la douche en imaginant sa grosse queue en moi et j’avais décidée de rester nue ; au cas où…
« Je n’avais pas fait le moindre petit geste pour résister. J’étais comme dans un autre monde ; rien ne comptait plus que cet homme qui, j’en étais sûr, allait me tirer comme une bête et m’emmener au septième ciel. Je me laissais faire sans rien dire, toute tendue vers le moment où il allait me jeter par terre pour me posséder. Je ne voulais que cela ! Il dévoila ma poitrine gonflée par la grossesse et les premier mois d’allaitement, mais encore ferme et désirable. J’avais encore quelques bourrelets dus à la grossesse, mais je n’avais pas de graisses superflues ; je n’étais pas énorme ; je recommençais à reprendre mon poids normal. J’étais encore très désirable. Il posa directement une main entre mes cuisses qu’il fit écarter avec force et frotta sans ménagement ma chatte que je n’avais plus épilée depuis l’accouchement. Il vit tout de suite que j’étais mouillée; que je coulais.
« Tu as envie de baiser salope ! Avec ton beau frère ! Cela t’excite plus de baiser avec moi qu’avec n’importe qui d’autre ? Dis-moi que c’est vrai ! » Je m’entendit lui répondre dans un souffle « oui, c’est vrai ». Je reçus toute de suite une gifle retentissante ; puis une deuxième ; et une troisième. Ma tête valsait, allait de droite à gauche, puis de gauche à droite suivant la direction des coups. Il s’arrêta au bout de la cinquième ou sixième gifle, voyant que je ne réagissais pas. Je ne criais pas, ne pleurais pas, ne me défendais même pas. Je me contentais de le regarder et de remarquer son sexe qui tendait le tissu du pyjama, faisant une pyramide énorme et impudique. Je me disais pendant qu’il me frappait : il veut me baiser ; il a une énorme envie de me baiser. Et cela me rassurait et décuplait mon désir pour lui. Voyant que j’avais remarqué l’état dans lequel était son sexe, il s’arrêta de me frapper, sortit son énorme queue du pyjama et en m’attrapant violemment par les cheveux me fit mettre à genoux devant lui et m’ordonna de le sucer.
« Je ne me fis pas prier pour engloutir l’engin complètement dans ma bouche et ma gorge et d’y aller avec application pour le faire jouir. Je fis ce qu’il fallait pour tirer de lui un maximum de jouissance ; quand il éclata dans ma bouche, il poussa un très long râle bien sonore et déversa une quantité impensable de sperme qu’il m’obligea à avaler ; jusqu’à la dernière goutte. Il ne cacha pas son plaisir ; il eut même un petit rire sardonique. Il m’empoigna par les cheveux, me fit lever et me plaqua contre la table de la cuisine, la poitrine en avant et les fesses en l’air. Il écarta sans ménagement les pans de mon peignoir, dénuda mon cul, chercha mon anus avec sa main en écartant mes fesses et m’empala d’un seul coup sans ménagement et sans même mouiller son engin. Je poussais un cri de douleur, mais il n’y prit même pas garde. Il continua son mouvement de va et vient violent. Cela me faisait un mal de chien, d’autant que j’étais vierge de cet endroit. Mais petit à petit, son sexe se lubrifia, le mouvement se fit moins brutal et le plaisir commençait à se mêler à la douleur. Il finit même par prendre le dessus, me faisant haleter de désir. Cela l’excita encore plus et il redoubla d’ardeur jusqu’à la jouissance finale, qu’il eut bruyante et abondante en foutre. J’avais aussi beaucoup déchargé, mais plus discrètement que lui, de peur d’encore recevoir des coups. Il sortit de mon cul, le zob encore plein de sperme et d’un liquide marron et me le présentât pour le nettoyer avec ma bouche. Je le fis sans rouspéter, avec même un certain plaisir.
« A la fin il se leva et me dit que j’étais une vraie salope et qu’il aimait les salopes. Il reviendra sûrement continuer la partie de jambes en l’air qu’il a commencée ce matin et que la prochaine fois il me fera monter au septième ciel. »
« Et cela continue jusqu’à aujourd’hui », termina-t-elle. Je voudrais bien en finir avec mon salaud de beau frère. Il ne pense qu’à son plaisir et il ne le trouve que dans la brutalité. Chaque fois qu’il me baise, il me fait hurler de douleur. J’ai peur qu’il finisse par me déchirer quelque chose. J’ai besoin d’un peu plus de douceur. En amour, je suis une vraie chienne ; j’aime être dominée. Mais j’ai besoin d’un homme qui a des sentiments, pas seulement d’une brute. Et toi tu es cet homme là ! »
Je lui répondis que j’étais prêt à jouer le jeu de l’amour avec elle, dès maintenant si elle me demandait d’aller chez elle et d’y passer la nuit.
- Viens » supplia-t-elle.
- Me voila ! C’est vrai que tu es très désirable ; tu es plus belle que ce que tu disais tout à l’heure ; ta peau est douce, ta poitrine imposante et ferme, tes seins énormes et gonflés, tes cuisses longues et musclées, tes fesses bombées, ta chatte poilue et bien dessinée. Tu es en effet très désirable. Mais je comprends ton beau frère, tu es faite pour être tirée comme une chienne. Tu n’appelles pas la douceur, tu appelles la brutalité. Même ta bouche est dessinée à l’image d’un sexe magnifique ; aucun homme normal ne peut te regarder sans vouloir te planter sa queue dans la bouche. D’ailleurs c’est que je vais faire tout de suite. Mets toi vite à genoux devant moi, je vais te faire goûter une énorme queue ; peut-être plus énorme que celle de ton beau frère.
- Oh, oui ! Elle est bien plus grosse ! Plus belle aussi ! Elle fait moins peur que celle de mon beau frère, qui est toute noueuse et parcourue de grosses veines. La tienne ressemble à un gros bâton avec un renflement au bout. Je l’aime déjà ! Enfonce là dans ma bouche ; elle a maintenant pris l’habitude d’accueillir de grosses queues !
- Alors fait le nécessaire pour lui donner du plaisir ! Je vais te caresser les seins pendant que tu me tailles une belle pipe ! Ils sont énormes tes seins ! Ils sont doux et plein ! Les tétons sont fermes et dressés ! Ils aiment être caressés ! Cela t’excite beaucoup que je te palpe les tétons ! Je vois que tu bouges ta croupe d’envie ! Je suis sûr que ta chatte est déjà complètement mouillée ! J’irai m’en assurer tout à l’heure ! Continue comme cela le mouvement de va et vient de ta bouche sur ma queue ! C’est sublime ! Tu es une vraie experte en pipes ! Caresse-moi les couilles en même temps ! Oui comme cela ! Ça y est je vais jouir ! Je vais éclater dans ta bouche et ta gorge ! Mon zob va éclater tout de suite ! Maintenant ! Ahhhhh ! C’est boooooon ! Avale le foutre ! Ne laisse rien s’échapper ! »
- Tu as aimé la manière dont je t’ai taillé une pipe ? C’était bon n’est-ce pas ! Occupe-toi de ma chatte maintenant ! Tu ne peux pas la laisser baver toute seule comme cela ! Prend moi fort et fais-moi jouir comme une folle ! Fais mois crier de plaisir ! Mes jambes sont assez écartées pour permettre à ton engin de pénétrer dans le garage ? Tu veux que je les lève encore plus haut ? Les genoux sur ma poitrine ? Comme cela ? Il est énorme l’engin qui va me pénétrer ! Oh il entre très facilement ! Je le sens frotter contre les parois de mon vagin ! Frotte ! Lime plus fort que cela ! Plus vite ! Tu vas me de plaisir ! Tu sens comme ma chatte est humide, comme elle coule ! Pousse encore plus fort ! Fais rentrer tes couilles aussi ! Pétris moi les seins en même temps que tu me fourres le vagin ! C’est trop bon ! Je vais décharger ! Je vais jouir comme une chienne ! Je vais crier ! Baise-moi ! Baise-moi ! Fais-moi monter au ciel ! Je jouis ! Je jouis ! Je jouis ! Merci ! Meeeerciii »
Et elle raccrocha, toujours sans me laisser le temps de discuter avec elle. Le manège dura longtemps. Tous les scénarii y passèrent : la lycéenne et son professeur; la femme, son amie et le voisin brutal ; elle, son mari et moi ; et d’autres histoires. Jusqu’au jour où ayant fait le tour de ses fantasmes, elle m’appela un matin et me demanda de venir la rejoindre chez elle, pendant que ses s étaient à l’école (ils étaient en demi-pension dans une école privée d’un quartier chic). Je n’en crus pas mes oreilles. Je croyais rêver ; je lui fis répéter l’invitation pour m’assurer de sa véracité. Elle me donna l’adresse ; c’était une grande villa, pas très loin du lieu où j’habitais, dans un quartier cossu. Mon cœur battait très vite ; j’étais aussi impressionné qu’un jeune lycéen allant à son premier rendez-vous amoureux. J’allais enfin connaître le mot de la fin, la vérité. J’appuyai très brièvement sur la sonnette d’entrée ; trois secondes plus tard, le grand portail s’entrouvrit une main apparut, me faisant signe d’entrer. Ce que je fis, intimidé et curieux. J’étais dans la cour de la grande villa ; elle était entourée de gigantesques murs de clôtures. Personne alentour, aussi haut perché soit-il, ne pouvait voir à l’intérieur.
Je reconnus tout de suite la propriétaire de la main, bien que je ne l’aie plus vue depuis une quinzaine d’années : Fazo (contraction de Fatma Zohra), l’amie de la plus jeune de mes sœurs. Quel changement entre la petite lycéenne qui venait travailler ses cours et ses examens avec ma sœur et la splendide créature qui est devant moi ! Elle devait avoir maintenant trente trois ans. Elle portait un ensemble rouge d’intérieur très coquet et sexy ; tout en soie et dentelles, dont le dessus tenait grâce à un ruban, rouge lui aussi, noué en papillon. A travers la transparence de la soie et des dentelles je devinais le monde merveilleux d’un corps plantureux avec des rondeurs à faire fantasmer un mort.
- Tu me reconnais ? », me dit-elle de cette voix rauque qui a électrifié mon corps toutes ces dernières nuits.
- FAZO ! lui répondis-je. Si je m’attendais à celle-là ! Tu es vraiment splendide ! Que deviens-tu ?
- Comme tu vois, je suis mariée ; plutôt bien mariée ; un mari aimant et gentil qui a une bonne situation. Comme je te l’ai déjà dit, il travaille au sud dans une compagnie pétrolière ; il est absent sept semaines d’affilée et rentre à la maison pour la même période. Là nous sommes pratiquement à la fin de sa période de travail ; si tout va bien dans une semaine, il sera ici.
Tout en parlant elle me fit entrer dans la maison ; dans un immenses salon où toutes les meubles étaient en double : deux divans, huit fauteuils, un nombre considérables de tapis. Cela sentait l’homme arrivé ! Elle me fit asseoir sur un des divans et s’assit à mes côtés, à environ cinquante centimètres de moi. Je restais encore intimidé, ne sachant pas trop quoi lui dire. C’est elle qui commença à parler.
- Tu cherches une explication rationnelle à mon comportement, n’est-ce pas ? Tu es trop intelligent pour ne pas avoir compris que chez moi c’est un jeu érotique qui ne prête à aucune conséquence et qui me donne du plaisir, intellectuel, d’abord, physique ensuite. C’est vrai aussi que j’aime mon mari et que je ne voudrais en aucun cas lui faire du mal. Mais notre vie sexuelle est plutôt terne. Je donne l’apparence d’une femme normale, aux désirs sexuels normaux. Mais à l’intérieur je suis une boule de feu ; un véritable incendie.
« J’ai une vie amoureuse intérieure très intense et… très virtuelle! J’ai inventé ce petit jeu en entendant une copine me parler d’amour au téléphone. La première fois j’ai appelé au hasard, en utilisant bien sûr le système de l’appel masqué. Au bout du quatrième appel, je suis tombée sur un homme qui était à l’hôtel dans une ville côtière et qui s’était prêté au jeu, croyant qu’il s’agissait de sa femme. Je n’ai pas démenti ; et aujourd’hui encore je me demande comment sa femme a dû prendre la chose quand il lui a raconté. La séance ne fut pas très réussie pour moi qui cherchais quelqu’un qui entrerait dans mes fantasmes, sans se poser de questions et me suivre, et même parfois me précéder, dans mes histoires. J’ai surtout trouvé un homme émoustillé par les mots les plus grossiers et les plus vulgaires. La beauté de l’histoire que je voulais lui faire vivre à mes côtés ne l’intéressait que passablement. J’y ai tout de même trouvé du plaisir, surtout quand je l’entendais gémir en se masturbant au son de ma voix. J’ai continué avec d’autres appels : certains ont été plus concluants que d’autres. Quand je trouvais quelqu’un d’intéressant je le gardais quelques nuits, jusqu’à épuisement de sa capacité à m’étonner. Mais la plupart du temps, une seule séance suffit. »
« Et puis l’autre jour, j’ai rencontré ta sœur. Et bien sûr je lui demandé de tes nouvelles. Elle m’a répondu que tu étais en quelque sorte mon voisin. Que tu as réussi ta vie professionnelle. Que tu es toujours célibataire. Que tu viens de sortir d’une relation amoureuse torride avec une femme mariée et que tu en gardes aujourd’hui encore une blessure profonde. Elle m’a refilé ton numéro de téléphone. Et la suite tu la connais. Il y a une seule chose que tu ne connais pas encore, c’est que dans ma jeunesse, quand je venais chez toi, j’étais tombée follement amoureuse de toi. Tu étais beau, grand, cultivé ; tu avais déjà fini tes études et tu travaillais. Pour la petite idiote que j’étais, c’était toi le prince charmant. Seulement toi, tu étais occupé ailleurs : chaque fois tu ramenais à la maison une nouvelle amie. Elles étaient toutes très jolies et j’étais à chaque fois très jalouse. Je crois que tu n’as même jamais remarqué l’intérêt que je te portais. Ce manège de petite fille amoureuse a duré plus de trois ans, jusqu’au Bac que moi, j’ai raté et que ta soeur a décroché haut la main. Depuis je t’ai perdu de vue. Je n’ai eu de tes nouvelles que chaque fois de je rencontrai ta soeur, à des intervalles de plus en plus éloignés. Voila maintenant tu sais tout.
- Pourquoi m’avoir invité ; cela n’entre pas dans la logique du processus que tu as mis en œuvre. Notre rencontre ne peut avoir qu’une seule signification : passer de la parole à l’acte.
- Maintenant que je t’ai revu oui ! Mais initialement je voulais simplement te remercier de ces nuits torrides que tu m’as faite passer, de me faire connaître et de te demander de partir, comme un vrai gentleman. Mais depuis quelques minutes, j’ai changé d’avis. Je veux vraiment vivre quelques moments d’extase avec toi ; d’autant que cela ne pourra pas durer ; dans quelques semaines nous ne serons plus là : nous venons d’obtenir nos visas d’émigration au Canada ; nous n’attendons plus qu’un contrat de travail avec une compagnie pétrolière canadienne pour partir. Tout est déjà prêt.
Je venais de recevoir un véritable coup de marteau : à peine ai-je trouvé mon âme sœur que déjà elle doit me quitter. Je protestais en disant que leur vie était ici, pas au Canada ; qu’il y faisait un froid de canard ; que beaucoup de ceux qui y sont allés sont revenus déçus ; que la vie y était difficile; etc. Rien n’y fit.
- Viens près de moi ! me dit-elle. Embrasse-moi plutôt et ne nous fait pas perdre un temps qui est devenu précieux !
Je m’approchais d’elle, pris son visage entre mes mains, l’examina longuement comme pour le fixer dans ma mémoire pour l’éternité et l’embrassai tendrement sur les joues, les yeux, le front et sur les lèvres, qu’elle avait gardées entrouvertes pour accueillir ma bouche. Nous échangeâmes un long baiser torride et mouillé. Ma langue alla directement à la recherche de la sienne qui l’attendait de pied ferme. Elles se défièrent mutuellement chacune attaquant l’autre et attendant la riposte. Elles se poursuivaient, allant d’une bouche à l’autre, emmenant avec elles des flots de salive sucrée. Nos bouches restèrent soudées l’une à l’autre pendant une éternité. Seul le manque d’air et la sensation d’ les firent se séparer. Ce baiser mit le feu à tout mon corps. Et au sien, qui se collait à moi de plus en plus. Je sentis sa lourde poitrine s’écraser sur la mienne ; se seins triomphants, que ne protégeait aucun soutien gorge, demandaient, que dis-je ? exigeaient ! qu’on les malaxe, les caresse, les embrasse. Je dégrafai le ruban de soie qui tenait le négligé qu’elle portait et le lui fis enlever. Elle resta avec la courte chemise de nuit qu’elle portait en dessous et qui ne cachait, ni ne protégeait, aucun coin de son intimité. Je me mis à lui pétrir légèrement les seins à travers le tissu en insistant sur les tétons violets, qu’elle avait durs et tendus. Elle eut un petit ronronnement de chatte satisfaite. Elle prit ma deuxième main et la posa sur son autre sein, pour lui faire subir le même traitement.
Au bout de quelque temps, nous n’en pouvions plus de désir. Elle se trémoussait sur le divan comme si elle était assise sur du feu ; comme si le feu montait en elle et qu’il allait toute la consumer. Mon bas ventre me faisait mal à force d’excitation et mon sexe était aussi tendu qu’un arc. Ma main se posa sur ses genoux, les caressa un court moment, puis pris le chemin de ses cuisses qu’elle écartait au passage pour ouvrir la voie qui mène au paradis. Elle ne fit aucune difficulté pour s’ouvrir en grand et offrir à ma vue le plus beau des spectacles : une chatte, que ne protégeait aucune culotte, totalement épilée, dont les grandes lèvres charnues et ourlées étaient écartées pour me laisser admirer les petites lèvres d’un rose vif, le clito gonflé par le désir et l’entrée sombre du vagin. Ma main alla caresser les grandes lèvres pour les ouvrir encore plus grand ; j’entrepris un mouvement de va et vient le long de la fente pour la lubrifier avec son liquide qu’elle commençait à lâcher abondamment. Elle coulait de désir. Je pénétrai dans la fente avec deux doigts allant à la recherche de son clito que je découvris très vite et que je pris entre mes doigts ; je lui appliquai de légères pressions successives qui la firent pâmer de plaisir.
- Suce ma chatte ! m’ordonna-t-elle !
Je m’exécutai avec empressement. Je me mis à genoux devant elle, lui fis lever les genoux jusqu’à ce qu’ils reposent sur son opulente poitrine et posa ma bouche affamée sur sa chatte brillante d’humidité. J’y déposai un long baiser, écartai les grandes lèvres, introduisis ma langue à la recherche du clito palpitant. Je me mis à le sucer, le mordiller et le titiller avec la langue. Ma belle gémissait et poussait encore plus en avant son bassin pour inviter ma langue à pénétrer plus loin dans son vagin. Ce qu’elle fit pendant que ma bouche aspirait goulûment tout le liquide qui se trouvait sur son chemin. Ma bouche et ma langue bougeaient dans sa chatte en imprimant un mouvement de va et vient de plus en plus rapide, en même temps que les gémissements de ma belle gagnaient en amplitude et en sonorité. J’introduisis un doigt dans son anus serré ; il y est entré difficilement. Malgré toutes les apparences, ma belle était vierge du cul! En mon for intérieur, je m’en félicitai : j’allai la dépuceler ! Je fis bouger le doigt avec des mouvements, circulaires pour élargir l’orifice, et de va et vient pour accroître le désir et la jouissance de ma belle.
Je la sentis qui allait jouir : son souffle devenait plus court et saccadé. Ses muscles se tendaient jusqu’à lui donner des crampes ; ses mains qui tenaient ma tête prisonnière augmentaient la pression, jusqu’à m’. Et puis elle hurla qu’elle allait jouir et déchargea violemment. Je n’arrêtai pas tout de suite le mouvement de ma bouche à l’intérieur des grandes lèvres ouvertes ; je continuai d’aspirer et avaler le liquide au goût salé qu’elle avait déchargé. Elle libéra ma tête, m’attira vers elle et m’embrassa goulûment sur la bouche.
- C’était divin. ! fit elle. Exactement comme dans mes fantasmes ! Cela peut paraître étonnant, mais je t’assure que c’est la première fois qu’un cunnilingus m’a fait jouir de la sorte. Avec mon mari c’est plus gentil : de temps en temps, il me suce la chatte, juste pour m’exciter. Il n’a jamais dû penser que ça pouvait être un acte à part entière, comme le coït ou la sodomisation. C’est exactement la même chose pour la fellation : il aime bien quand je le suce, mais il ne lui viendrait pas à l’idée que je puisse aimer ça et que j’avale sa semence. Sachant ce qu’il pense, je ne lui ai jamais permis de s’oublier dans ma bouche ; même quand je sens qu’il a une envie folle d’y éjaculer. Tu vois, même dans ce domaine, je suis novice !
- Qu’à cela ne tienne ! » répondis-je, en me mettant debout devant elle et en lui demandant de sortir mon membre de sa cachette.
Elle dégrafa mon pantalon avec adresse. En cinq secondes, je me retrouvai le cul en l’air, le pantalon et le slip sur mes chevilles. Elle admira quelques instant les dimensions impressionnantes de mon sexe, le prit dans une main pour le palper, le tâter et tester sa dureté, et après avoir poussé un petit « Oh ! » admiratif, elle avança sa tête vers mon pubis et entrepris d’introduire le gland dans sa grande bouche goulue. Elle dut l’ouvrir très large pour qu’il pénètre totalement. Je poussai le bassin en avant pour faire pénétrer la hampe. Le tout arriva jusqu’à la luette et pénétra dans la gorge. Elle eut une crispation qui annonçait une envie de vomir. J’arrêtai la poussée afin de la reposer un peu, revins en arrière jusqu’à l’entrée de la bouche et recommençai la poussée vers le fond de la gorge ; j’allai un peu plus loin cette fois ; elle n’eut pas de crispation. J’entrepris donc un mouvement continu de va et vient, doucement d’abord pour habi et la bouche et la gorge aux dimensions de mon sexe. Je tenais sa tête dans mes mains pour l’empêcher de se retirer et lui demandais de me caresser les couilles pendant qu’elle me suçait. Elle le fit avec doigté et habileté. Au bout d’un moment je sentis que ma queue allait exploser.
- Je vais jouir dans ta bouche ! Tu vas connaître le goût de mon sperme ! Aaaahhh ! Je vais jouir ! Je vais décharger. Bois cochonne ! Bois ! Avale ! Avale ! »
Le sperme sortit par saccades : la première giclée alla directement au fond de sa gorge ; elle faillit en essayant de tout avaler en une seule fois. Les autres vinrent tapisser le fond de sa bouche et dégouliner le long de sa lèvre inférieur et descendre jusqu’au menton et au cou. Elle luttait vaillamment pour avaler la plus grande quantité possible de foutre. Au bout d’un moment il ne restait que ce qui avait dégouliné de la bouche qu’elle se mit à étaler sur ses seins. Elle me regarda droit dans les yeux avec un regard d’écolière quémandant un bon point.
- Tu suces comme une déesse ! lui dis-je. Ton mari ne sait pas ce qu’il perd en n’osant pas franchir la frontière qui mène à l’érotisme. Il n’a aucune idée du bonheur que cela pourrait lui apporter ; tant pis pour lui. Aujourd’hui, c’est moi qui en profite ; demain, Dieu sait qui !
Je lui demandai de s’allonger, de lever bien haut ses jambes et de me présenter en même temps sa chatte et son anus.
- J’ai envie de t’éclater la vulve et l’anus en même temps ! Par quoi commencer ? Par le cul qui semble n’avoir encore jamais accueilli une belle bite ! N’est-ce pas ?
- Oui !fit-elle, timidement comme pour s’en excuser.
Ma queue était encore vaillante ; la perspective d’ouvrir la voie dans ce superbe cul, lui avait redonné de la vigueur. Elle frétillait comme un poisson. Je mouillai abondamment son anus avec du liquide que je prélevai de son vagin. J’y introduisis un doigt pour lubrifier l’intérieur et lui demandai de guider la manoeuvre d’introduction du pénis avec sa main. Elle prit ma queue dans sa main et positionna le gland à l’entrée du cul, sur sa rondelle. Un léger frisson lui traversa le corps ; probablement par crainte de la douleur. Elle tira le membre légèrement vers l’intérieur pour me demander d’y aller franchement. Ce que je fis en une puissante poussée du bassin qui élargit fortement l’anneau qui protégeait l’entrée et laissa le gland et tout le sexe pénétrer jusqu’au fond. Elle étouffa un cri de douleur.
- Salaud, tu m’as explosé le cul ! Doucement pour la suite, sinon tu vas me déchirer !
- Ne t’en fait pas ! Tu verras que tu t’habias vite ! Tu y prendras même beaucoup de plaisir ! Mets deux doigts dans ta chatte et caresse la pendant que je t’encule; tu verras c’est délicieux.
Ce qu’elle fit sans attendre. Elle se masturbait avec délectation, pendant que je j’empalai son cul sur mon engin qui n’arrêtait pas de grossir, tant il se sentait bien. Elle criait que c’était bon.
- Continue ! ne t’arrête pas ! encule moi fort !
Au lieu de continuer, je m’arrêtai et sortit de son cul ; lui fit retirer sa main de sa chatte et y introduisit l’engin encore tout chaud et gluant. Elle rouspéta au moment où je quittai son anus, mais poussa un gémissement de plaisir en me recevant dans son vagin tout visqueux, chaud et serré. J’entrepris de la baiser en force ; avec de grands mouvements de va et vient de plus en plus rapides ; Je sentis qu’elle allait jouir. Je m’arrêtai, ne voulant pas que cela s’arrête tout de suite.
- Attends ! lui dis-je. Ne jouis pas encore ! Faisons durer le plaisir !
Je ressortis de son con pour aller dans son cul qui est resté ouvert et qui attendait d’être fermé par mon gros bâton. J’empalai son cul une fois encore sur mon gros bâton et entrepris de la défoncer tout en lui redemandant de se masturber en même temps. Plusieurs fois nous reprîmes la manœuvre jusqu’au moment où elle se mir à crier qu’elle n’en pouvait plus ; qu’il fallait qu’elle décharge ! Qu’elle ne pouvait plus se retenir ! Que c’était trop bon ! Qu’elle aimait être enculée ! Qu’elle adorait baiser comme cela avec un homme qui sait faire jouir les femmes !
- Je jouis ! Je jouis ! Je jouis ! répétait-elle, pendant qu’elle déchargeait.
Ses cris, les mouvements furieux de va et vient de mon sexe simultanément dans un trou puis dans un autre m’ont amené au bord de la syncope. J’allais m’évanouir à force de plaisir. Je déchargeai d’un seul coup, je ne sais dans lequel des trous, une grosse giclée de foutre brûlant en poussant un râle de mourrant. Je sortis mon sexe du trou dans lequel il avait déversé pour l’introduire dans l’autre pour lui donner sa part de foutre. Rassasié, je restai le sexe tout ramolli dans la même position ; Je ne voulais pas sortir, la quitter. J’avais l’intuition qu’au moment même où je quitterais la place, nous devrions nous séparer à jamais. Je me serrais donc contre elle pour l’empêcher de me quitter. Elle comprit très vite les sentiments qui me parcourraient. Elle se mit à me parler doucement, comme à un :
- Je dois aller récupérer les s de l’école. J’ai juste le temps de prendre une douche rapide et d’y aller. L’école est un peu loin. Si tu veux demain nous nous reverrons. Je n’avais pas programmé de te revoir, mais après ce qui s’est passé entre nous aujourd’hui, je ne me sens pas le cœur de t’abandonner. Je crois que je me suis remise à t’aimer, comme dans ma jeunesse. Je tiens moi aussi à te revoir, au moins jusqu’au retour de mon mari et à notre départ pour le Canada.
C’est effectivement ce qui s’est passé : nous nous sommes revus toute la semaine. J’ai abandonné mon travail pour cela. Nous nous sommes aimés à la folie pendant cette semaine. Cela dura jusqu’au au retour du sud de son maudit mari. Nos rencontres cessèrent d’un seul coup. Elle a continué un moment à m’appeler pour prendre de mes nouvelles. Un jour, même ses appels cessèrent. Elle était partie avec toute sa famille s’installer au Canada.
Je suis sûr qu’elle a trouvé le moyen, même là bas, d’utiliser son téléphone pour prendre son pied.









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