La Suite De Ma Nuit Au Camping...

En ce tout début de saison, le camping n’était pas complet, de nombreux emplacements étaient vides. La chaleur de la journée poussait les gens à profiter de la fraicheur pour aérer tentes et caravanes. Toujours émoustillée par ma séance de voyeurisme, je me dirigeais vers la douche, excitée à l’idée de me laisser aller sous un jet d’eau chaude. J’espérais secrètement qu’il y aurait des adultes dans le bloc sanitaire pour rendre mes caresses plus excitantes par la crainte d’être entendu ou que l’on comprenne l’aspect crapuleux de ma douche tardive.
Mais en passant devant une caravane, je remarquais que deux ados pouffaient en regardant par une fenêtre. En me voyant passer dans le chemin, ils partirent. Intriguée, je ralentie le pas pour jeter un regard à l’intérieur. La fenêtre était entrouverte mais, bien que la télévision semblait allumée, je m’étonnais qu’aucun son ne me parvienne. C’est en m’arrêtant que j’ai constaté que le film regardé sans son était un porno.
Continuant ma soirée voyeurisme, je me suis faufilée sur le coté de l’emplacement, quittant le chemin, pour me retrouver au bout de la caravane. Voyant mieux à l’intérieur, sans être vu, j’ai constaté qu’un homme était assis contre la paroi. Je ne voyais que ses jambes et parfois sa main et son sexe. Il se branlait. Colée contre la même cloison, j’entendais son souffle saccadé, parfois retenu. Sur notre gauche, le film, sans son (sans doute à cause de la fenêtre ouverte), montrait une femme prise en gang-bang. J’étais surtout excitée par l’homme et son plaisir solitaire.
Je bougeais le moins possible, regardant de temps à autre si personne ne passait dans le chemin que j’empruntais précédemment. Après l’une de ces vérifications, mes yeux revinrent vers la fenêtre.
J’ai sursauté. Face à moi, l’homme regardait par la fenêtre. Les yeux dans les yeux, je ne sais pas lequel était le plus surpris, effrayé, honteux…
Que faire ? Fuir ? Partir tranquillement comme si de rien était ? Parler ? Mais pour dire quoi ? Toutes ces questions s’entrechoquaient dans ma tête.

Mais une fois l’effet de surprise passé, j’ai décidé de reprendre les choses en mains.
- Désolée
- Qu’est ce que vous faites la ?
- J’ai fait fuir des ados voyeurs
- Et vous avez pris leur place ?
- EH….. je peux pas nier, dis-je en esquissant un sourire.
J’aurais alors pu partir, il était honteux, mais calmé…
- Je vous ai interrompu ? j’en suis navrée…
En disant cela, mon regard et mon sourire devait refléter le vice car, si sa gène s’accentua, je senti que son excitation revenait.
- Pas grave…
- La politesse voudrait que je vous aide à finir
Devant cette proposition aussi inattendue qu’imprévisible, il ne sut quoi répondre.
Vous me connaissez, plus je domine une situation, plus je deviens entreprenante.
Montant sur l’attelage et glissant ma main par la fenêtre, je me suis mise à caresser des doigts sa queue déjà au bord de l’explosion en lui disant « qui ne dit mot consent… tu m’ouvre la porte ? »
C’est ainsi que je me suis retrouvée dans cette caravane avec cet inconnu.
Il ne fallut que quelques caresses de la langue pour qu’il explose. Mais ce n’était que le début.
Mon nouvel amant était un homme un peu bedonnant mais plutôt bien proportionné. Ses cheveux étaient brun, parsemés de quelques cheveux blancs. Il avait une quarantaine d’années et était ici pour travailler sur un chantier durant plusieurs semaines. Le temps qu’il reprenne vigueur, nous échangeâmes quelques mots et de nombreuses caresses. Il était obnubilé par ma poitrine, que tantôt il suçait précautionneusement, tantôt il malaxait. Ondulant, assise à califourchon sur ses jambes étendues, je mimais un chevauchement pour redonner vie à sa queue.
Lorsque je voulu le reprendre en bouche, j’ai constaté que le film se diffusait toujours. Une autre scène se déroulait, nous exposant un 69 entre deux hardeurs.
D’un regard, je lui proposais de faire de même. Je finis donc d’ôter mes vêtements rapidement.
Bien que pas très habile de la langue, mon amant nu aucun mal à continuer d’attiser l’excitation qui me tenaillait depuis plus tôt dans la soirée. Dés que sa queue repris de la raideur, je dérobais ma chatte à sa bouche pour enserrer mes seins autour de son membre et le faire durcir un maximum. Rien que la position, sans doute jusqu’à ce jour seulement fantasmée, donna à sa queue la dureté d’une trick prête à baiser. J’aimais son souffle retenu, saccadé. Il fermait les yeux. Sa jouissance précédente me permettait d’espérer qu’il tiendrait suffisamment de temps pour calmer mes palpitations que je sentais s’accélérer entre mes jambes.
Tendant une main vers ma trousse de toilette, je l’ouvris pour en sortir une capote que j’enfilais à ma nouvelle partenaire de jeux. A ce moment là, mon désir était purement égoïste, je me sentais couler d’envie de prendre une queue en moi.
A califourchon sur mon amant, j’ai très vite imposé mon rythme, préférant de plus grandes aller et venus pour bien me sentir pénétrer, sentir cette queue me caresser le vagin… Accélérant, je sentis que j’allais perdre mon nouveau jouet. Bien que mal rassasiée, je décidais d’être plus charitable. Je l’ai donc autorisé à exploser sur mes seins qui le faisaient tellement tripper.
Puis essuyant mon torse contre le sien et échangeant un long baiser, je lui dis au revoir. Me rhabillant, je fis demi-tour et je suis retournée sous ma tente. Mes compagnons de voyage semblaient endormis. L’odeur de sexe encore présente sur mon corps, mon tee-shirt collé par des restes de sperme, je me suis tranquillement apaisée les sens en terminant manuellement ma soirée !
Bien que ce ne fut pas la nuit la plus mémorable coté sexe, le simple fait de faire cela avec un parfait inconnu, sans préambule, dans un lieu presque public nécessitait bien de venir vous en parler. Qu’en pensez-vous ?

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