Nouvelles Recrues 1/3

Bonjour à tous,
Comme promis dans ma première histoire " Trio plus 1 ", je vais vous livrer la suite de mes aventures, car nous pourrons vraiment parler d'aventures.
Pour ceux qui ne me connaissent pas, Je m'appelle Clothilde avec un "h" et j'ai 25 ans. Je suis née le 3 août, cheveux auburn, 65kg, 1m75, belle poitrine de 90B, peau bien colorée et... d'après mon avis et celui de quelques privilégiés, un peau p'tit cul ! Bref, à part mon nez que je n'aime pas et quelques boutons disgracieux, je suis assez contente de mes parents et de moi.
Je vivais pendant un certain temps avec mes deux meilleures amies, Carole et Laurence et puis avec mon mec, qui, à vrai dire, était notre mec.
Carole, petite blondinette avec un minois charmant qui pouvait se transformer en tigresse. Légèrement rondelette mais tout en charme avec une poitrine en petites poires avec des petites auréoles... hmmm, à croquer doucement. A côté de ma petite toison, celui de Carole est tout hésitant et laisse voir les détails d'une anatomie féminine affriolante.
Laurence est la brune du groupe, une superbe nana avec des origines italiennes, chevelure dense et rondeurs généreuses. Une belle paire de fesses bien dodues, un visage tout rond mis en valeur par un regard profond aux yeux verts et toujours souriants. C'est ma beauté avec qui j'ai en commun une poitrine bien généreuse de même taille et presque de même forme.
Pascal, pour terminer notre équipée est un gars des plus gentil et... patient ! C'est le type beau brun ténébreux, calme avec un regard plein de malice. 1m78, longiligne avec la dose de muscles sans en avoir trop. J'adore ! Laurence et Carole aussi.
Pour faire un résumé rapide, Carole, Laurence et moi étions lesbiennes. De bonnes adoratrices des minous et câlins en tout genre entre nanas. Un jour, Carole, pour je ne sais pas trop quelle raison, a rencontrer Pascal et s'est amourachée de lui. Au début, l'arrivé de Pascal a foutu un peu le bordel et il n'a pas été accepté.

Petit à petit, il est devenu copain juste toléré, puis un événement triste pour moi avec la perte de ma mère l'a fait entrer dans mon acceptation. Il s'est révélé être une personne très ouverte et très gentille avec beaucoup d'attention. Bref, une longue histoire a fait de nous quatre une équipe soudée dans la vie de tous les jours et dans les rapports amoureux. Trois filles bi et un mec pas macho pour deux sous... C'est peut-être ça la réponse à la violence sur Terre ! ... Ok... j'arrête le délire !
La vie en couple n'est sûrement pas simple et, comme dit un artiste humoristique : " Un couple, c'est résoudre à deux des problèmes que nous n'aurions jamais eu toute seule ! ". Maintenant, imaginez la vie entre trois nanas avec les hormones dans tous les sens. Et bien... Si vous visualisez bien le bordel que cela peut être, ajouter un homme dans le lot et vous aurez à coup sûr, l'équivalent de la bombe " H ".
Pour notre quatuor, l'équilibre semblait avoir été trouvé. Il y avait bien de temps en temps quelques clashs ! Mais, après le calme, les retrouvailles, les câlins et ça roulait assez bien.
Comme je vous l'ai dis, Pascal formait un couple avec Carole au début. J'ai l'impression que tant que Laurence et moi étions les numéros 2 et 3, cela passait bien. Puis, Pascal accéda, avec l'accord et la bénédiction de Carole, à mon corps et celui de Laurence. Nous trouvions vite un rythme très " X " dans nos rapports et il n'y avait, pour ainsi dire, aucune limite dans notre vie sexuelle. Jamais, je n'aurais cru possible autant de plaisirs avec le sexe. La quantité de sensations et de rayonnement dans le corps et l'esprit est quasiment infinie et nous avions à notre porté le monde du plaisir.
Pascal ne semblait pas avoir de préférence entre nous trois. Il aimait les seins volumineux et, avec Laurence, il avait de quoi se régaler. Il aimait nous lécher et chacune avait un sexe différent avec des caractéristiques très particulières. Sa virilité et ses douceurs nous apportaient des compléments aux plaisirs échangés entre filles.

Petit à petit, malgré tout le plaisir échangé, une sorte de malaise se mit en place entre les nanas. Carole supportait de plus en plus difficilement le partage de Pascal. Elle acceptait de faire l'amour entre fille mais quand Pascal était avec Laurence ou moi, elle ne nous rejoignait pas et avait une forte tendance à faire la tête pendant quelques jours. Elle ne l'avouait pas mais tout le monde sentait le problème.
En catimini, Pascal nous indiqua le malaise, sans aucune surprise. Avec Laurence, nous commencions à penser à " l'après Carole " mais cela était vraiment triste car c'était à travers elle que nous étions lesbienne et que nous étions devenu bi avec Pascal. Si elle partait, c'était une grande partie de notre sexualité et de notre équilibre qui allait foutre le camp.
Une peur nous taraudait, avec Laurence. Nous aimions Pascal et il était hors de question de le voir partir avec Carole.
La situation s'envenimait avec la série de non-dits, de réflexions et de situations trompeuses. L'automne et le temps maussade eut raison de la situation. Carole nous annonça qu'elle voulait vivre dans un univers plus serein et qu'elle avait pris la décision de partir de l'appart que nous partagions à quatre. Je lui dois quand même le tact de n'avoir pas claqué la porte en criant : " Salut les nazes ! ". Quelques pleures et quelques explications dans la semaine suivante, puis les actions commencèrent.
Carole chercha un appart près de son boulot. Tout le monde l'aida mais elle préféra faire le maximum seule. Elle joua la grande princesse en obligeant personne à la suivre, bien au contraire. Pascal fut remis à sa place quand il lui proposa de la revoir de temps en temps. Je ne pense pas qu'il voulait juste la sauter, mais seulement garder une relation amicale en fonction des besoins et attentes de Carole. J'en veux encore un peu à Carole d'avoir traiter Pascal de dépravé parcequ'il voulait continuer à la voir.
Septembre passa et Octobre vit Carole partir.
Une douloureuse impression de vide s'installa mais, en même temps, une impression de soulagement. Difficile d'expliquer mais le peine ne fut pas aussi dur à surmonter que ce que j'aurai cru.
Avec Laurence, nous avions prévu ce départ et je pense que c'est en grande partie pour cela que Carole ne nous manqua pas énormément. Son petit minou blond au petit goût de vacances, ses baisers langoureux sur nos corps, sa peau laiteuse, son petit rire tout silencieux et ses belles grimaces quand elle jouissait... tout restait sur quelques photos ou quelques films coquins que nous avions fait puis, en grande partie dans nos souvenirs. L'appart fut ré-aménagé. Nous avions les salaires pour vivre dans cet appart sans trop de problème, donc, nous restions ici. La grande chambre fut transformée en belle pièce pleines de lumières tamisées avec de la pastel partout. Laurence fit une décoration superbe et cette chambre devint la notre, à nous trois.
La grande différence avec " avant Carole ", était que nous dormions toujours à trois. Pas de fantasme déplacé, nous dormions... mais pas toujours ;-)
Avec Laurence, nous avions un plan et cela nous excitait toutes les deux. Chacune avait fait une liste de personnes avec qui nous fantasmions. Des anciennes copines, des connaissances du sport, des gens rencontrés ici ou là... Nous avions pris la décision, sans l'avis de Pascal, de trouver une remplaçante pour Carole. Une nana cool, aimant le sexe, bisexuelle bien sûr et qui ne fume pas et n'est pas trop détraquée ! Bon ! ce n'était pas gagné mais la persévérance était de mise.
Nous avions évité les collègues de travail afin de ne pas créer des problèmes dans nos carrières. Quand nous avons dis à Pascal notre plan, il était à poil sur le lit entre nous deux et nous tenait dans ses bras. Aussitôt, son sexe se redressa... ça faisait au moins un de ces cerveaux qui était 'pour'. Ensuite, il rigola et nous traita de folles. On lui demandait si cela le dérangeait et sa réponse fut claire : " Non pour le plaisir de rencontrer d'autres femmes et de les découvrir avec vous deux.
Oui pour les risques de perdre notre équilibre. ".
C'était pas con et loin d'être faux. Avec Laurence, nous étions devenues des gourmandes du sexe. Il ne pouvait pas se passer une semaine sans que nous fassions des trucs de dingues. Laurence se pâmait devant moi en sachant très bien que la voir dans des tenues sexy me mettait en ébullition. Dans notre trio, Pascal n'avait pas à faire grande chose pour profiter de nous. Il nous laissait faire et il pouvait nous retrouver dans la douche à nous masturber ou à la cuisine avec la main de l'autre dans la culotte. Un truc qui affolait Laurence, c'était de me voir faire la cuisine avec les mains dans la nourriture. Elle en profitait pour me caresser les seins. Il n'était pas rare que je finisse la cuisine avec le soutif dégrafé et un sein à l'air. Pascal s'amusait beaucoup à nous voir. C'était notre vie amoureuse.
Un petit truc qu'on avait prévu avec Laurence était la vidéo et la photo. A plusieurs reprise, Pascal avait eu des réflexions sur des souvenirs et des parallèles avec les films porno et les sites du même type. Le départ de Carole déclencha plein de fantasmes avec Laurence et Noël vit arriver une belle caméra numérique et un appareil photo tout mignon. Pascal, lui, nous offrit un bon d'achat pour de la lingerie dans une boutique Parisienne. Il nous laissa le soin de choisir notre lingerie pour nous faire un gros plaisir d'érotisme post-fête.
Le raisonnable, avec Laurence, autant oublier ! La nouvelle année donna le coup de lancement de notre recrutement. Laurence fit des sorties avec ses anciennes copines. A part quelques photos de groupe où elle me montrait les têtes et les allures, le résultats ne fut pas au top. Elles étaient pratiquement toutes avec un p'tit gars sauf les deux tristounettes de l'ancien clan du Lycée Marie Curie qui étaient encore vieille fille pour quelques années. Laurence ne cachait pas son homosexualité car elle trouvait qu'il n'y avait pas de honte. Elle le payait assez durement par certains moments mais elle assumait. Par contre, elle n'allait quand même pas à dire qu'elle aimait aussi un homme, et encore moins qu'elle vivait et faisait l'amour avec une femme et un homme à la fois !

De toutes ces copines, seule Martine accrocha en sympathie avec Laurence. Le petit 'hic', c'est qu'elle était enceinte. Largué par le gentil géniteur dès qu'il a su que son p'tit truc avait marché. Sans vouloir être mauvaise, je trouve quand même qu'il y a pas mal de mec qui ont des couilles, juste pour jouer avec, parce que lorsqu'il faut en avoir au sens 'responsabilité', ça devient vite un souvenir. Bref, encore un gars qui restera dans la case des loosers, encore un qui n'aura pas un équilibre garanti et encore une femme qui devra tenir la barque seule. Tout cela correspond bien à ce que je vois dans mon travail avec mes équipes. Des mecs grandes gueules mais avec rien dans le ventre et dans le pantalon. Des femmes tournant du cul pour se faire repérer ou esclaves de choix et assumant le maintient d'une famille. A m'entendre, il ne reste plus qu'à demander les horaires de train et se jeter en dessous !
Revenons à Martine. Quand Laurence me montra sa photo, elle faisait toute frêle avec un petit visage rond sous une tignasse toute frisée d'un châtain clair coloré de force. Ses traits avait l'air fins et tout son visage, du nez aux pommettes, était un ensemble de finesse et de douceur. Elle était mignonne et semblait très gentille. Laurence me confirma la description et l'invita un soir à la maison. Le fait qu'elle soit enceinte retirait aussitôt toutes idées de câlinerie avec elle. C'était juste une invitation cordiale. Quand Martine accepta l'invitation, elle était à son quatrième mois de grossesse et le contraste entre son corps fin et les formes de la femme enceinte était assez impressionnant. Tout se passa bien pendant l'apéro jusqu'à la question de Martine sur le couple Laurence/Pascal. Euh... Un petit malaise s'installa car Laurence n'avait rien dit de particulier et Pascal était assis à côté de moi depuis un moment avec sa main dans mon dos à me caresser tendrement. Je crois que Pascal s'arrêta net, Laurence commença l'apnée et moi, je changeais de couleur. Sans nous concerter, Pascal et moi tournâmes la tête vers Laurence pour entendre sa réponse. Martine en fit autant avec toujours son sourire accroché aux lèvres. Je commençais à me méfier d'elle avec son air ingénue, elle avait l'esprit vif !
Laurence, comme à son habitude, expliqua en termes directs, sans ambages : " Nous vivons tous les trois ici et nous formons un couple uni, mais à trois. Puisque tu veux tout savoir, avec Mathilde, nous sommes bi et nous nous aimons tous les trois. "
Voilà ! Laurence avait chaussé ses gros godillots et avait sauté à pieds joint dans la mare. Il n'y avait plus qu'à attendre la réaction...
Martine éclata de rire et dit : " C'est génial ! Jamais je n'aurais cru cela possible ! Surtout de toi Laurence !... " et elle parti dans une rétrospective des souvenirs qu'avait Martine et Laurence. Pascal recommença à me caresser le dos et je retrouvais mes couleurs d'origine. Martine prit un deuxième verre d'apéro qui, même léger pour elle, avait tendance à la faire parler, parler, parler...
Elle commença à poser des questions sur notre trio : Comment nous nous étions rencontré, comment on vivait avec les autres (les gens normaux !), comment... mais elle n'abordait jamais le côté sexe, même si elle devait attendre cela avec impatience.
Pascal restait silencieux car, gaffeur comme il était, il risquait de s'engouffrer dans une situation délicate. Laurence faisait bonne figure mais je la sentais fatiguée par cette Martine qui faisait sa journaliste à vouloir savoir comment ceci se passait et comment cela se passait...
Un moment, Pascal se leva pour aller chercher la suite des amuses bouche et je le rejoignit dans la cuisine. Un gonflage de joues avec les mains sous la gorge fit rire Pascal et il me répondit à voix basse : " C'est vrai qu'elle est légèrement gonflante ! Je pense que je vais l'attaquer un peu pour voir si le cul, ça la branche ! " " Mouais... elle a l'air de se poser des tas de questions sur nous trois mais si elle veut vraiment savoir, elle pose des questions franches et un point, c'est tout ! ". Pascal souriait toujours en me répondant " Doucement ma chérie, elle a l'air gentille et elle doit avoir peur de la situation. Avoue que c'est pas commun ! " " Mouais... ". En prenant les plats et en sortant, Pascal me glissa dans l'oreille " Moi, elle me plait et j'aimerais bien la voir à l'œuvre. Elle doit être en manque depuis 4 mois et elle doit avoir la dose d'hormone a faire bouillonner une marmite ! ". Je ne pus m'empêcher de sourire en retournant dans le salon et en regardant Martine.
Après avoir disposer les plats, Pascal demanda à Martine : " Sinon, comment se passe ta grossesse ? ". Martine eut un petit soupir mais réussi à garder le sourire " Ca va ! ". Pascal continua à la questionner et nous apprîmes qu'elle attendait un garçon, qu'elle allait vivre chez ses parents le temps que le bébé soit assez grand pour pouvoir revivre normalement, que le père était militaire et parti en mission pour ne pas assumer son rôle et que ça faisait quatre mois qu'elle vivait sa grossesse seule. Pascal commença à attaquer sur un sujet de plus en plus personnel : " Pétard ! Quatre mois sans sexe, ça doit être chaud !... Ici, c'est 4 jours au grand maximum, et les retrouvailles sont bouillantes ! ". Il prit le temps de boire un peu pour laisser l'information faire son chemin. De mon côté, j'étais morte de rire intérieurement. J'avais l'impression de voir Martine se décomposer. Laurence, assise en tailleur par terre et adossée au canapé n'avait fait que confirmer les dires de Pascal par des hochements de tête. Pascal relança la conversation en me serrant contre lui avec son bras autour de mes épaules : " En plus, tu es une superbe nana et il faut vraiment être con pour te larguer comme une vieille chaussette. Moi, à la place de ton mec, je serais resté à te dorloter et te câliner. Avec les filles, nous n'avons pas prévu d'avoir d'. Nous vivons l'amour pour le plaisir et nous profitons à mort de tout ce que nous avons à notre portée. " Pascal n'arrêtait pas de parler et d'enfoncer le clou sur une situation super bonne pour nous, et naze pour elle. Laurence et moi attendions avec patience la fin du retour de manivelle. Martine avait le bec cloué et après son questionnaire insidieux et indirect, elle avait droit à une attaque frontale sur mesure. Pascal demanda à Martine : " Excuse moi de la question mais je m'intéresse beaucoup aux sujets relatifs aux femmes face aux questions sur le sexe. Comment tu fais pour te passer de sexe depuis quatre mois ? En plus, je crois savoir qu'il est de réputation chez les femmes enceinte d'avoir une libido assez forte durant cette période... ". Martine hésita et répondit timidement : " C'est très personnel comme question... C'est... Non ! c'est pas très dur... un peu, évidemment mais ça va !... Je pense que les femmes peuvent se passer de sexe plus facilement que les hommes... Je ne suis pas comme vous ! ".
Pascal sourit et répondit : " Je comprend mais c'est juste une manière de vivre sa sexualité et non une question de besoin ou de désir. Ici, par exemple, c'est un échange et un cadeau que nous donnons et que nous prenons... Evidemment, si tu n'as pas d'éducation sexuelle dans ce sens, tu ne peux pas comprendre ce que nous vivons ici. Par contre, et je crois parler au nom de nous tous, si un jour, tu veux essayer avec nous, tu seras la bienvenue. Tu es vraiment une superbe nana et je pense que tu dois être très belle nue ".
Voilà, Pascal avait fini par dire l'objectif final.
Laurence dû voir Martine virer au rouge car elle lui dit : " Et bien ma chérie, je suis désolée pour toi mais Pascal a raison. Je pense que tu dois te dérider un peu si tu veux vivre vieille. ".
Martine bu un peu et répondit " En venant, je ne m'attendais pas à trouver une ancienne copine et son couple d'amants m'inviter à faire l'amour. "
Tout le monde rigola à sa conclusion et une sorte de pression se réduisit du même coup. Martine ne semblait pas heurtée et, même si elle n'avait pas dit oui, elle n'avait pas dit non. Finalement, je commençais à l'imaginer à poil avec son gros ventre. Je me demandais comment son corps avait changé avec la grossesse et je devenais curieuse et ma température associée à mon désir montait doucement.
Pascal dit à Martine : " Et puis, il y a un avantage sérieux chez la femme enceinte, c'est qu'elle n'a plus les règles pendant au moins 9 mois ! ".
Laurence lança : " Ouais, c'est sûr que ça donne une plus grande liberté ! Dommage que tu sois seule sinon, tu aurais pu en profiter à mort ".
Martine répondit : " Non, je ne suis pas aussi gourmande de sexe... Mais votre situation à trois me surprend et je dois reconnaître que je suis curieuse de ce que vous vivez ! "
Je lui dis : " Nous, on n'est pas contre de donner des cours sur le plaisir, surtout à des femmes comme toi. "
Pascal joua le modérateur : " Dis donc les filles, je ne pense pas que Martine soit prête à avoir des rapports lesbiens. "
Je me retournais vers Pascal en faisant les gros yeux " Hep, toi, tu veux garder Martine pour toi tout seul ? "
Il m'embrassa sur la bouche et me dit " Je t'adore toi ! je n'y avais pas pensé le moins du monde ! Allez, à table ! "
Il se leva et alla aider Laurence à se relever. Il en profita pour la prendre dans ses bras et l'embrasser.
D'un coup d'œil, je vis Martine regarder avec intérêt. Cela m'amusait.
En bougeant pour débarrasser la petite table et installer la grande, Laurence passa à côté de moi et fit comme d'habitude en me prenant par les hanches et m'embrassant dans le cou.
Martine nous regarda faire et demanda si c'était toujours comme ça.
Laurence lui répondit très simplement " oui ".
Pendant la suite de la soirée, Martine posa quelques questions plus précises sur nos rapports sexuels. Elle voulait connaître comment nous faisions entre filles, qui avec qui, ...
La simplicité de nos réponses avait l'air de la surprendre à chaque fois. Pour lui prouver les réponses, Laurence lui montra notre chambre dans laquelle, trônait sur la table de nuit les godes.
Martine osait des questions de plus en plus osées et Pascal l'arrêta en lui disant directement : " Tu sais, Martine, si tu veux vraiment savoir comment nous vivons une sexualité ouverte et heureuse, tu peux la vivre avec nous. Des questions et des réponses ne vont t'apporter que des images et des fantasmes seule dans ton lit. Maintenant, si tu veux, après le repas, nous irons nous faire une beauté et nous discuterons plus directement de ce que tu veux connaître. Tout ce qui se passe dans cet appart ne sort pas d'ici. C'est notre jardin secret et nos plaisirs. Si tu veux participer et découvrir, tu es la bienvenue et j'aurai plaisir, avec Mathilde et Laurence à t'accueillir dans notre lit. Qu'en penses-tu ? "
Martine laissa sa fourchette en l'air. Elle bafouilla juste un " Euhhh... j'sais pas ".
Laurence lui dit " Et bien, il te reste le gâteau et après, il faudra savoir ! "
Je souriais de voir Martine se battre avec toutes ses peurs et j'imaginais facilement toutes les questions qui s'entrechoquaient dans sa tête.
Le gâteau arriva et fut vite grignoté sans réel appétit. Je pense que tout le monde attendait la suite.
Il était presque 23 heures et Pascal demanda à Martine si elle voulait rentrer chez elle pour attr le dernier transport en commun.
Martine, sans aucune hésitation, lui dit qu'elle préférait rester.
Sa réponse me surpris venant d'un petit bout de femme comme elle. Elle acceptait donc de faire l'amour avec nous trois. Une grande surprise pour moi mais, vu la tête de Laurence et pascal, c'était partagé.
Martine ajouta quand même : " Allez-y doucement, j'avoue avoir la frousse ! "
Laurence se leva et la pris par la main pour l'emmener dans la salle de bain en lui disant " Ne t'inquiète pas ma chérie, je te donne ma parole que tout ce passera bien... " et elle passèrent dans la salle de bain toutes les deux.
Pascal me demanda si j'allais bien.

La réponse était difficile car il y avait une inconnue dans notre équipe. Notre équilibre allait être bousculé. J'avais envie de faire l'amour avec Martine et de la découvrir mais je restais inquiète de la suite.
Après cette soirée, j'en ai parlé avec Laurence et elle était dans le même état. Nous avions joué les allumeuses pour trouver une nana avec qui jouer mais maintenant, il fallait passer à l'acte et assumer nos actions. Pas facile !
Laurence revint et elle avait un sourire crispé.
Pascal nous prit dans les bras et nous embrassa à tour de rôle. " Si vous voulez, mes chéries, on la raccompagne chez elle et on oublie tout ça ! "
Un regard avec Laurence et la réponse fut simple : " Non, on continue ".
Martine revint enveloppée dans un peignoir. Elle chuchota quelque chose à Laurence qui la fit rire. Ensuite, Je m'éclipsais dans la salle de bain avec les filles pendant que Martine allait dans la chambre.
Pascal se lava dans le lavabo et, avec Laurence, dans la douche pour nous rafraîchir.
J'habillais Pascal avec un caleçon et, avec Laurence, nous prenions chacune une nuisette et une petite culotte propre. Laurence me montra l'étagère des sous-vêtements et me dit que Martine avait mis mon ensemble satin noir.
Pascal bandait déjà et il rentra dans la chambre caché par moi pour ne pas que Martine soit apeurée par la vue du sexe dressé.
Martine était encore dans le peignoir, assise sur le lit et elle n'osait pas bouger.
Avec nos nuisettes, Laurence et moi avions nos seins bien visibles et ils dansaient au gré de nos mouvements. Je commençais à crever d'envie de voir les loches de Martine.
Pascal s'installa en cachant son sexe raide et il dit " Bon, voilà les règles qu'il faut connaître : Le respect de l'autre, la douceur, le plaisir... Je crois qu'avec tout ça, on ne peut passer qu'un bon moment. Martine, si tu veux arrêter, tu le dis. Il est hors de question de te forcer. Tu dois te sentir bien dans toutes les actions. Est-ce que tu es ok ? "
Martine hocha la tête en signe d'assentiment.
Pascal continua : " Est-ce qu'il y a quelque chose qui te pose problème maintenant ? Ou, est-ce que tu penses que quelque chose va te poser problème ? "
Martine baissa la tête et dit doucement qu'elle avait peur, qu'elle était pas belle avec son gros ventre.
Pascal sourit en lui disant que nous avions tous peur parce que la situation était inconnue de tout le monde. Ensuite, il dit à Martine que nous avions tous un truc qui nous gênait. Pour preuve, lui-même cachait son sexe. Martine sourit.
Pascal nous regarda, avec Laurence, et il me fit glisser une bretelle de ma nuisette.
" Comme tu peux voir, expliqua-t-il à Martine, Mathilde et Laurence ont des seins lourds et j'adore les belles poitrines. Tu veux nous montrer ta poitrine ? "

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