Latine Au Club

La musique jouait dans le club. Moi, j’étais venu m’amuser un peu, me détendre. Je venais de terminer ma session d’étude et l’été commençait doucement. J’avais envie de m’éclater un peu, trouver un mec et me le faire si possible. Enfin, ce n’était pas exactement cela qui allait arriver. J’avais revêtu une robe noire très courte sans bretelle qui arrivait tout juste quelque centimètre sous mes fesses. Elle se mariait parfaitement à mes courbes et à moi poitrine peu discrète. Les cheveux longs, libre dans l’air, un air d’audace sur la bouche, j’étais partie seule dans cette boîte branchée du centre-ville. Le club était plein. Il y avait de beaux mecs ici et là. Certains me regardaient, mais aucun ne me semblait encore assez appétissant. Il y avait beaucoup de filles ce soir-là. Je dansais et me déhanchais sur la piste en attendant qu’un mec vienne m’aborder.

Au bout d’un certain moment, je me rendis au bar pour me prendre un verre et pour reprendre un peu mon souffle. Je sentis quelqu’un venir se placer discrètement à côté de moi au bar. Je ne portai guère attention au début, mais son parfum délicat vint curieusement éveiller mes sens. Je regardai discrètement de côté. Une jeune femme, peut-être deux ou trois ans plus âgés se tenaient à côté de moi. Elle portait une robe moulante rose serti d’un décolleté provocateur. Il s’agissait d’une beauté latine aux lèvres pulpeuse rouge et aux courbes très attirantes. Elle avait de magnifiques jambes longues et fines auxquelles, même moi, une habituée de la gente masculine avait de la difficulté à résister. J’étais venu pour me trouver un mec, mais cette femme à côté de moi était vraiment très attirante. Il m’était arrivé quelquefois de me faire des filles, mais cela datait vraiment et je n’avais plus vraiment été attiré par l’une d’entre elle depuis. Cette femme par contre était vraiment très attirante. Sans doute avait-elle senti que je la regardais, la jeune femme se mit à me regarder à son tour.

Presque provocatrice, elle me sourit. Puis, elle vint me murmurer sur un ton chaud « Ça te dirait de danser avec moi ? ». J’acquiesçai avec un sourire. Je ne comprenais pas trop ce qui venait de se passer, mais j’étais intriguée par cette latine.

Sur la piste de danse, elle m’attira contre elle. Je sentis son corps contre le mien. Ses mains devinrent promeneuses. Je les sentais sur mes hanches puis le long de mes fesses, avant de remonter le long de mon ventre. Ainsi, elle voulait jouer ? Je glissai mes mains sur ses épaules, puis le long de son dos, touchant sans la moindre gêne ses jolies fesses rebondies. Nos cuisses se frottaient, sa poitrine venait s’appuyer contre la mienne. Cette danse lascive m’excitait beaucoup. Je n’avais jamais autant dansé auprès d’une femme ni autant l’avoir désirée. Sa main droite vint tâter mon sein sans la moindre gêne. « J’ai envie de toi » Lui dis-je sans gêne à l’oreille. Sur ses mots, elle vint m’arracher un baisé chaud. Sa langue s’introduit dans ma bouche et vint danser avec la mienne. « Mon appartement est à côté. » Me dit-elle.

Sans un mot, je la suivis. Elle me tenait par la main. Je regardais son joli derrière en me disant que j’allais y goûter dans peu de temps. Cette idée m’excitait au plus haut point. À peine dix minutes plus tard, j’étais dans son appartement, un grand loft avec de grandes vitres donnant sur la ville. Je ne pris que très peu de temps pour observer ce qu’il y avait autour de moi. Cela m’intéressait tellement peu. Tout ce que je savais c’était que mon string était mouillé depuis la danse lascive et que j’avais vraiment envie de la jeune femme.

Rapidement, j’embrassai la belle latine sur sa bouche. Nos langues vinrent à nouveau se nouer. Mes mains devinrent encore plus provocatrices que dans le club. Les siennes aussi. Sans attendre, la jeune femme m’allongea sur son lit. Je sentis sa bouche quitter la mienne pour descendre le long de mon cou pendant que ses mains prenaient possession de ma poitrine.
Elle descendit le haut de ma robe pour laisser apparaître mes deux gros seins. Elle se mit à les masser rapidement avec ses mains chaude et douce. Sa bouche quitta mon cou pour venir lécher mes seins sans timidité. Elle les léchait avec avidité en gémissant lascivement. Je la repoussai pour prendre le dessus. Ma main se glissa sous sa robe et vint effleurer son string de dentelle que je frottai avec mon pouce, appuyant particulièrement où se trouvait son clitoris. Elle était aussi humide que moi. Je quittai un instant son clitoris pour remonter sa robe et lui enlever. Elle portait un soutien-gorge et un string tout en dentelle rose et noire. Sans attendre que je puisse faire quoi que ce soit, elle m’enleva à mon tour ma robe. Je me retrouvai qu’avec mon petit string noir. Elle vint à nouveau se coller tout contre moi. Nos lèvres se remirent à ne faire qu’un son corps et mon corps presque nu se collaient l’un contre l’autre. Sa peau frottait sur la mienne pendant que nous nous embrassions avec ma passion. Nos seins venaient se caresser les uns contre les autres. Je lui arrachai son soutien-gorge pour pouvoir moi aussi lécher ses deux gros seins. Je goûtais à sa peau délicate, à ses mamelons chauds. Elle goûtait tellement bonne. Je glissai en même temps ma main dans son string et recommençai à jouer avec son clitoris. Elle gémit de plaisir. Je délaissai ses seins pour lui retirer son string. Je me retrouvai face à sa vulve épilée tout doux. Je frottai son vagin et j’insérai mon index dans son vagin, puis en faisant des va et vient, je vins goûter à sa mouille avec ma bouche. Je la collai contre son vagin et dégustai. Je commençai par tiller son clitoris avant d’y aller à pleine langue tout en continuant mes vas et viens avec mes doigts. La latine haletait de plaisir. Cela ne prit que peu de temps avant qu’elle jouisse sans peu de discrétion. Nos lèvres vinrent à nouveau s’unir. Elle goûtait à sa mouille dont le goût était imprégné dans ma bouche. Elle m’enleva ensuite mon string et me fit goûter au même massage clitoridien avec ses lèvres et sa langue chaude.
Je vins très rapidement. J’étais tellement excité par cette beauté. La jeune femme vint ensuite s’allonger sur mon corps encore vibrant de sa bouche chaude. Nos lèvres s’unirent encore. Nous nous embrassâmes comme de vraies chattes en chaleur. Nos corps continuaient de se frotter lascivement l’un contre l’autre. « Putain que tu es chaude » lui dis-je haletante. J’écartai à nouveau mes cuisses, puis, la latine s’installa au-dessus de moi, son vagin vint se coller au mien et nous commençâmes à se frotter vigoureusement l’une contre l’autre. La caresse vint m’exciter à nouveau. La latine haletait et gémissait de plaisir. Je vins rapidement la rejoindre dans son plaisir intense. Je vins à nouveau. Aucune femme, ni aucun homme n’avait réussis à m’exciter autant que cette beauté. Elle était tellement chaude. À la fin de nos ébats, je m’endormis contre son corps chaud, la tête appuyée sur sa voluptueuse poitrine.

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