Mon Maître À Dit (Partie Ix)

MON MAÎTRE A DIT
(Partie IX)


La punition devient pénible et je commence vraiment à regretter mon voyage à Venise.
Une fois de plus, il m’a conduite à la salle de bain en laisse, me faisant avancer à quatre pattes comme une chienne.
Sous la douche, je craque et pleure toutes les larmes de mon corps.
C’est une femme épuisée, vidée, qu’il rattache au pied du lit.
Vers vingt et une heure, on frappe à la porte.
« Haa ! Vous voilà enfin ! Bonsoir Francesca, comment vas-tu depuis l’année dernière ? Et toi, belle Diletta, toujours aussi coquine ? Hummm ! Vous êtes superbes ! »
Il revient dans la chambre en tenant deux superbes créatures par la taille.
A n’en pas douter, elles sont italiennes pure souche. Grandes, minces, brunes aux cheveux longs et poitrines arrogantes sont autant de détails qui ne trompent pas, sans parler de leurs prénoms.
Il les enlace, l’une après l’autre et les embrasse avec fougue et passion.
Les filles le caressent comme s’il s’agissait d’une divinité, tout en ronronnant.
« Chi è ? »
« Ca, Diletta, c’est une délicieuse soumise française. J’en ai fait ma favorite. Mais pour l’instant, elle est punie. »
« È perfetto ! »
« Haha ! Cruelle et jalouse ! J’adore ! »
Francesca s’accroupie face à moi. Elle caresse ma joue et sa main descend lentement sur mon corps, jusqu’à mon vagin.
Elle titille mon clito un instant et me voyant réagir à sa caresse, elle pénètre deux doigts dans ma fente humide.
« Humm ! Elle semble t’intéresser. Tu veux jouer avec, pendant que je m’occupe de Diletta ? »
Sans répondre, elle approche ses lèvres des miennes et m’embrasse tendrement.
Je me laisse faire, sans oser bouger. J’aimerais la caresser à mon tour, mais j’ignore si j’en ai le droit.
Sir Jefferson s’allonge sur le lit avec l’autre fille. Je ne les vois pas, mais je les entends rire et échanger des baisers.


Je suis un peu vexée d’être ainsi mise à l’écart, mais je compte bien sur la belle Francesca pour passer un moment divin. Ca se présente bien car elle se lève et se débarrasse de sa robe d’été.
Ses courbes sont sublimes et sa peau bronzée donne envie de la croquer.
Une fois nue, elle se place debout au dessus de mon visage, me présentant un coquillage parfaitement lisse.
Depuis cette nuit avec mon amie Sylviane et mes petites expériences avec Chastity et Viola, je sais que l’amour au féminin est une chose exquise.
Alors, je ne me ferais pas prier pour y goutter.
Ma langue écarte les grandes lèvres et frétille pour aller plus loin. Elle ne dément pas le fait que les latines sont chaudes comme de la braise.
Je la sens trempée et baveuse. Sa mouille coule déjà le long de ma langue et sur mes lèvres.
Quel gout fantastique.
Je ne la touche pas, mais je me masturbe frénétiquement. Mes gémissements, étouffés par la vulve détrempée, accompagnent ceux de Diletta, et ceux de Francesca que j’aperçois là haut, suçant mon Maître debout sur le lit.
Tandis que je dévore sa chatte, elle se régale du sexe de Sir Jefferson, ne laissant à Diletta pas d’autres choix que de lui aspirer et lui lécher les couilles.
« Ho ouiii ! Bouffez-moi la queue, petites trainées ! Je vais jouir sur vos faces de salopes ! Haaa ! »
Et c’est ce qu’il fait. Je le vois par en dessous, arroser copieusement le visage des deux italiennes. Impossible pour moi de ne pas subir des dommages collatéraux, et du foutre s’écoule dans mes cheveux et mon œil droit.
Le jus me brule et je m’empresse de l’essuyer de ma main libre. Mais pour ce faire, j’ai du suspendre mon cunnilingus et ce n’est pas au gout de la belle Francesca.
« Ma ? Che cosa fai ? Continua, connasse ! »
Elle agrippe mes cheveux et frotte sa moule inondée sur mon visage. Elle fait pénétrer mon nez et manque de m’ lorsque soudainement, elle jouie en abondance sur ma frimousse.

« Haaa, sìììì ! Vengo ! »
Elle m’arrose largement de sa jouissance. Je lèche et lape autant que je peux, pour boire au maximum de ce plaisir féminin enivrant.
Mais je suis très vite oubliée.
Les trois compères descendent une bouteille de champagne et s’éclipsent dans la salle de bain une bonne heure.
Je les entends rire et…jouir de nouveau.
Moi, emportée par la fatigue, je m’écroule sur la moquette et je m’endors. Dans la nuit, je serrais réveillée à deux reprises par les cris des filles en jouissances.
Au matin, à mon réveil, elles seront parties.
Je suis détachée et mon Maître m’invite à table pour déjeuner. Il est souriant et s’occupe de moi, préparant mes tartines beurrées ou me resservant du thé.
Nous prenons une douche ensemble, mais surement épuisé par sa nuit, il ne me touche pas.
« Je lève ta punition. Nous voilà quitte et j’espère que dorénavant tu réfléchiras à deux fois avant de faire une bêtise. »
« Ho oui, Maître. J’ai bien compris ! »
« Parfait ! J’imagine que tout ceci t’a fatigué. Couche toi et dors, ta soirée risque d’être longue. »
Je ne me fais pas prier et me glisse dans les draps froissés. Ils embaument le parfum et l’amour. C’est dans ces effluves de sexe que je m’endors comme un bébé.
Je me réveille vers dix huit heures, en pleine forme. Je suis seule. Sir Jefferson est sorti.
Je saute sous la douche en chantant.
Peut être vais-je enfin voir Venise comme une vraie touriste ?
Je me pomponne et me glisse dans une robe fourreau moulante, noire et ultra courte, avec un décolleté renversant et épaules nues, sans bretelles.
Bien sur, je n’ai pas oublié, pour l’accompagner, de prendre de jolis escarpins vernis avec des talons de douze centimètres.
Mon Maître rentre enfin.
« Je suis Léna, et je suis à vous. Voici ma bouche… »
« Laisse tomber ! Humm ! Tu es exquise Léna ! Je t’invite au restaurant et ensuite nous sommes attendus à une soirée organisée par un ami.
»
Tout ceci est excitant et je suis sur que cette soirée vat être fantastique. Je sais que Sir Jefferson côtoie le beau monde, je ne pourrais qu’être éblouie et ravie.
C’est dans un gentil petit restaurant que nous commençons la soirée.
Mon Maître est heureux de me voir détendue et souriante et il me le fait savoir.
« Tu es radieuse ce soir. Tu es magnifique, et je ne crois pas que se soit ce jeune serveur qui me contredira ! »
C’est un jeune et beau garçon qui vient prendre notre commande. Comprenant le message que vient de m’adresser Sir Jefferson, j’écarte mon décolleté d’un doigt distrait. Je pose mon autre main sur le rebord de la table et j’étire mes doigts jusqu’à effleurer le pantalon du jeune serveur.
Le pauvre, intimidé, se recule d’un demi-pas. Il prend note de la commande de mon Maître et s’enfuit se cacher en cuisine.
« Haha ! Le pauvre est bien jeune encore. Dans quelques temps il s’avancera plutôt que de reculer. C’est bien, Léna ! J’ai apprécié ton initiative. »
« Merci Maître. Derrière vous, un homme m’a vu faire et il semble avoir apprécié également. Il me fait des œillades et se penche un peu pour regarder sous la table. »
« Humm ! Parfait ! Écarte toi bien un petit instant, puis rends toi aux toilettes. Tu ne peux pas le laisser comme ca. Je te donne carte blanche. »
Mes jambes étaient déjà bien écartées, mais j’obéis. J’éloigne encore un peu plus mes cuisses l’une de l’autre. Le bas de ma robe, pas vraiment extensible, suit le mouvement et remonte jusqu’au haut de mes cuisses. Je me sens vraiment provocatrice, très salope, et j’aime ca. Je suis toute excitée et je sens ma fente s’humidifier.
Je vois l’homme réajuster ses lunettes et regarder mon entre jambes discrètement, prenant garde de ne pas se faire voir de son épouse.
C’est un type d’une cinquantaine d’années, gros, voir gras. Il est dégarni sur le sommet du crane et de grosses gouttes de sueurs y roulent. Il ne cesse de s’éponger, sans résultat.

J’ignore si c’est la chaleur ou si c’est moi qui le perturbe, mais la fraicheur des toilettes devrait lui faire grand bien.
Je lèche le bout de mon doigt en lui souriant et me lève en direction des toilettes, sans rabaisser ma robe.
Sans hésiter je pénètre dans ceux réservés aux hommes. Installée devant un lavabo, je me lave les mains.
Je n’ai pas longtemps à attendre avant que ne s’écrase dans mon dos, le gros ventre du client.
Je me redresse et il empoigne mes seins. Dans le miroir, je le vois, rouge écarlate, se pencher dans mon cou pour l’embrasser.
Je recule, le forçant à faire de même et nous pénétrons dans une cabine. Il perd l’équilibre lorsque l’arrière de ses genoux heurte le siège des toilettes.
Dans sa chute, il s’accroche à ma robe qui descend jusqu’à ma taille.
Je ferme la porte précipitamment et me retourne.
Il est maintenant assis et ses mains sur mes fesses m’attirent à lui. Il embrasse mon ventre, lèche mon nombril.
Je me penche un peu pour que sa bouche puisse atteindre mes tétons et mes seins.
Ses mains s’égarent maintenant sous ma robe. Il la remonte aussi haut qu’il le peut et je me retrouve juste couverte d’une grosse ceinture de tissu.
Je lève une jambe et pose mon pied sur le réservoir. L’homme plonge son visage entre mes cuisses et se désaltère à ma source.
Lorsque sa langue titille mon clito, je ne peux m’empêcher de crier de plaisir, priant pour qu’il n’y ait personne dans les toilettes voisines.
Voyant qu’il n’en peut plus et son pantalon menaçant d’exploser, je m'accroupis face à lui et libère son membre.
A l’image de son maître, il est petit et gros. Je n’ai aucune difficulté à le prendre tout entier dans ma bouche. L’homme ne semble pas satisfait et appui fort sur ma tête. Certes, si son membre est petit, en revanche, ses couilles sont énormes et c’est celles-ci qu’il veut que j’engloutisse. Je fais ce que je peux, alternant couilles et sexe et il ne me faut pas longtemps pour le vider de tout son jus.
Triomphante, je retourne à ma table en me passant la langue sur les lèvres.
« Merci Maître ! C’était délicieux. »
« J’en suis ravi. Retournons vite à l’hôtel, je ne voudrais pas être en retard pour notre rendez vous. »
Apres une bonne douche, je vais voir mon Maître.
« Maître, comment désirez vous que je m’habille, ce soir ? »
« Comme ca ! Se serra très bien ! »
« Mais Maître, je suis nue ! »
« Je le vois bien Léna. Mets tes chaussures et approche. »
Chaussée de mes escarpins, je m’approche de mon Maître, assit sur le lit.
Sur celui-ci est posé un loup de carnaval et une chose en tissu noir que je n’arrive pas à définir.
Le loup, noir, est orné de plumes noires sur le dessus et le contour des yeux est sertit de petites pierres brillantes.
Sir Jefferson me le passe et me place devant un miroir.
« C’est très joli, Maître. »
« Et avec ceci, ce serra encore mieux. »
Il prend la boule de tissu et la déplie. C’est une grande cape avec une capuche. Ca ressemble à un vêtement médiéval.
Il la pose sur mes épaules. À quelques centimètres sous mon cou, il la ferme grâce à une fibule de cuir et de métal, puis il couvre ma tête avec la capuche.
Il me laisse seule devant le grand miroir et je dois bien reconnaitre qu’ainsi affublée, je me trouve belle et mystérieuse.
Il revient quelques minutes plus tard, habillé super classe, dans un costume surement italien et sur mesure évidement. Il porte également un loup noir, mais sobre.
Il attache ma laisse et nous voilà parti.
Mes mains sont crispées sur les deux pans de la cape pour la tenir bien fermée. Mais une fois sorti de l’hôtel et deux rues plus loin…
« Mets tes bras le long du corps et lâche cette cape ! »
« Mais ! Maître ! Elle va s’ouvrir ! »
Il s’arrête et se place devant moi. Derrière son loup, je vois ses yeux me lancer des éclairs.
« Désires-tu être punie de nouveau ? »
« Ho non, Maître ! Pardonnez-moi ! Je vous présente toutes mes excuses ! »
Pauvre conne que je suis ! Voilà comment mal finir un voyage.
Heureusement pour moi, il semble détendu et magnanime.
Nous arrivons place Saint Marc.
A chaque pas, ma cape s’ouvre un peu, dévoilant en alternance mes jambes droite et gauche, jusqu’à mes cuisses.
Bien que la nuit soit tombée, la blancheur de ma peau attire les regards des quelques couples d’amoureux qui trainent sur la place.
Plus calmes, je ne reçois aucune injure. Juste des regards étonnés et interrogateurs.
Un coup de vent fait voler ma cape derrière moi, me dévoilant complètement.
J’entends une jeune fille pousser un « Hooo ! » admiratif.
Voilà qui fait plaisir à entendre.
Je ferais le reste du chemin complètement à l’aise et très fière d’être en compagnie de mon Maître dans cette ville magique.
Nous prenons plusieurs ruelles, traversons un pont, mais j’ignore lequel.
Encore quelques passages étroits et nous arrivons face à une demeure somptueuse.
Nous pénétrons dans une cour intérieure, éclairée par des centaines de bougies.
Il y a un monde fou. Hommes élégamment habillés et femmes, tout comme moi, revêtues de capes et visages couverts de loups ou de masques somptueux comme pour le carnaval.
La seule différence c’est qu’elles ne sont pas tenues en laisses et qu’elles portent des habits.
Il y a de très beaux laquais qui servent des boissons.
Ils portent des perruques poudrées, des chemises à jabots sur des gilets rouges et de grandes vestes bleu roi.
Ils serraient très classes si au dessus de leurs chaussures à boucles, ne sévissait pas quelques choses d’étrange.
Leurs jambes sont recouvertes de collants blancs sous des pantalons moulants rouges, s’arrêtant aux mollets.
Rien d’exceptionnel, tout ceci fait partie du costume de laquais, sauf que les hauts de leurs pantalons et de leurs collants sont inexistant. Ceux ci tiennent grâce à des sortes de jarretelles et laissent apparent leurs sexes.
Au fond de la cour, près d’un buffet qui déborde de petits fours, une femme est accroupie et suce sans gêne un des laquais.
Un autre, près d’une fontaine, veste relevée, se fait sodomiser par un homme qui tient encore sa flute de champagne dans une de ses mains.
Tout le monde semble trouver ca normal et personne n’y prête attention.
Sir Jefferson, en grande discussion, lâche ma laisse et disparait dans la foule, me laissant seule au milieu de tout ces inconnus masqués.
Une femme s’approche de moi. De son visage, je ne vois que les yeux. Ils sont jeunes et d’un bleu azur.
Elle écarte ma cape, regarde mon corps et s’en vas, sans un mot.
« Ton Maître m’envoie ! Suis-moi, putain ! »
Un laquais vient de prendre ma laisse et me tire vers la demeure. Il marche vite en fendant la foule.
Je heurte une femme.
« Tu peux pas faire attention, morue ! »
Pas le temps de répondre, le valet me tire.
« Attend, bouffon ! »
Un grand homme l’arrête net. Il s’approche de moi, glisse sa main sous ma cape et me pénètre d’un coup de plusieurs doigts. Il me fouille, me touille, puis après m’avoir libéré, il porte ses doigts à ses narines.
« Hummm ! C’est de la bonne qualité ! Je viendrais te voir tout à l’heure, si mes couilles sont encore pleines ! »
Nous voici enfin à l’intérieur.
Je n’ai jamais rien vu d’aussi beau, d’aussi luxueux.
L’or est partout. Sur les meubles, les encadrements de tableaux, les sculptures.
Mais je n’ai guère le temps d’apprécier tout ca. On me pousse dans une pièce, un bureau.
Il y a Sir Jefferson et quatre autres hommes, penchés sur une feuille de papier qu’ils signent l’un après l’autre.
Le laquais me retire ma cape et sort de la pièce.
Je ne suis même pas certaine que mon entrée ait été remarquée. Je reste bras ballants, nue, près de la porte, ne sachant que faire.
Je me balance doucement, d’avant en arrière pour que la poignée de ma laisse vienne heurter ma fente et la pointe de mon clito.
Tandis que les hommes discutent et boivent, moi, je m’excite discrètement dans mon coin.
Je me sens humide et chaude. J’ai une terrible envie de me masturber, là, tout de suite. Mais je n’en fais rien de peur des représailles.
Mon Maître m’aperçoit enfin.
« Haa ! Viens là, Léna ! Approche ! Voici ma favorite ! Présente-toi à mes amis, veux-tu ! »
Les quatre hommes se sont tournés vers moi et ils me caressent déjà de leurs regards lubriques.
Je rougie, car mon petit jeu avec la laisse ne manquera pas de se voir lors de ma présentation. Ma chatte va briller comme un sapin de noël tant je suis mouillée.
« Je suis Léna, et je suis à vous. Voici ma bouche et ma langue, pour vous déguster et boire votre foutre ! Voici ma chatte, pour que vous me baisiez ! Voici mon cul, pour que vous m’enculiez ! Mes orifices vous appartiennent. Mon corps vous appartient. Je suis votre jouet, instrument de votre jouissance. »
« Bien ! Merci Léna. Messieurs, je vous laisse avec votre cadeau de bienvenue. Je vous retrouve tout à l’heure, devant le buffet. Amusez vous bien ! »
Il sort et me laisse avec les inconnus.
Ils m’entourent et me caressent tout en discutant entre eux, comme si je ne pouvais pas les entendre.
« Humm ! Il a du gout ce grand con ! »
« Mouai ! Bof ! J’espère que le cadeau est à la hauteur du contrat que nous venons de signer ! »
« Non, c’est bon ! Vous n’avez pas vu comment elle mouille la petite pute ? »
« En tout cas, sa bouche est faite pour ma queue. »
« Après tout ! Je préfère une salope à un restau ! »
« Moi, si ca vous dérange pas, je l’encule le premier ! »
Il me penche sur une table et crache sur mon anus. Je n’aime pas beaucoup, mais que dire. Il étale sa salive avec la queue qu’il avait prit soin de sortir, dès le départ de mon Maître.
Mal préparée, il m’arrache un cri de douleur, lorsqu’il pousse en moi.
Mais connaissant et maitrisant les techniques pour une bonne sodomie, le plaisir prend le dessus rapidement.
Il va et vient à une cadence soutenue. Ses couilles frappent mon vagin avec force.
Je vois ses compères se préparer et astiquer leurs membres, tout en me regardant me faire défoncer.
Il jouit à gros bouillons dans mes intestins et je suis immédiatement mise à genoux. Deux grosses queues se présentent à moi et je les suce en alternance.
Leurs mains dans mes cheveux me poussent à en prendre plus que je ne voudrais, et c’est en gorge profonde qu’ils déchargent dans mon gosier, ne manquant pas de me faire tousser et saliver abondamment.
Mes yeux pleurent tout ce qu’ils peuvent. J’essuie ma bouche et mes joues du revers de ma main, et je sais, aux traces noires, que mon maquillage doit couler.
« Viens là, salope ! Moi, c’est ton ventre que je veux remplir ! Ha putain ! Si seulement je pouvais t’engrosser ! »
Il me couche sur la table et me prend sans autre forme de procès.
Je le sens bien, ces hommes se lâchent et me traite comme la dernière des dernières.
Ils ont surement besoin de lâcher une pression qui devait leurs peser depuis déjà un bon moment. Ils évacuent une sorte de rage. Je le ressens dans leurs façons de jouir.
« Tiens ! Prends ca, trainée ! Tu le sens mon foutre dans ton ventre ! Hein ! Tu le sens ! »
Il se vide en se plantant bien en moi. Il a posé une main sur ma gorge et la serre un peu.
« Oui, monsieur ! Je le sens ! Donnez-moi tout ! J’aime ca ! Haaaaa ! »
Ce petit geste de violence, semble avoir excité ses collègues qui me rebaisent à la chaine, sans me laisser le temps de souffler.
Puis, semble t’il satisfait, ils vont retrouver mon Maître au buffet, en me tirant par ma laisse.
En passant devant un miroir, je vois mon maquillage qui a souillé mes yeux et mes joues.
J’aime bien. Je me sens chienne.
« Tenez Sir Jefferson ! Reprenez votre bien. Nous comprenons mieux pourquoi vous en avez fait votre favorite. C’est une garce de compétition ! Hahaha ! »
« Vous ne croyez pas si bien dire ! Et en plus c’est une cocufieuse de première ! »
Eddy !
Mon pauvre Eddy ! Mon pauvre mari !
Pour un peu, je l’aurais presque oublié.
Je rougie de honte.
« Vous permettez que je l’utilise ? »
« Mais bien sur ! Elle est là pour ca ! »
C’est le grand homme. Celui qui m’avait fouillé le sexe et qui avait promit de venir me voir.
Il me conduit à la fontaine, et après m’avoir fait poser un pied sur la margelle, il me baise debout devant toute l’assemblé.
Assemblé qui c’est bien dévergondée pendant que je me faisais baiser dans le bureau.
La plupart des femmes sont désormais nues. Elles se font prendre, ici ou là, selon les humeurs et les envies des hommes.
Je serrais encore prise quatre fois dans la soirée, puis nous rentrons.
Je ne saurais jamais qui étaient tout ces gens, réunis pour cette grande bacchanale, ni quel genre de contrat ont signés les quatre inconnus.
Sir Jefferson se comportera en seigneur le reste du séjour.
Nous visiterons les musées, les églises, comme un couple d’amoureux, nous arrêtant parfois pour nous enlacer et nous embrasser longuement.
Nous rentrons en avion, des images et des souvenirs pleins la tête.
Arrivés à Paris, mon Maître m’entraine dans des boutiques de luxe et remplit tout une valise de fringues pour l’été et de maillots de bain.
Puis, il me conduit à la gare et me trouve une place dans un train, destination… saint Raphaël.
Impossible de joindre Eddy sur son portable. Tel que je le connais, il a encore oublié son chargeur.
Je suis impatiente de retrouver ma petite famille et le voyage semble durer une éternité.
Je me rends immédiatement à la plage, à l’endroit ou je suis sur de les trouver.
Très vite, j’aperçois ma fille.
« Amandine ! Amandine ! »
« Mamannnn ! C’est maman ! »
Elle coure jusqu’à moi et se jette dans mes bras. Je suis émue et j’ai les larmes aux yeux.
« Ca vas ma chérie ? Tu m’as tellement manqué ! Où est papa ? »
« Bonjour Cathy ! »
Mon sang se glace. Ce n’est pas Eddy qui me dit bonjour, mais Sylviane.
« Ou est Eddy ? »
« Heuu ! Il faut que je te parle, Cathy. »
Je panique. Mon cœur s’emballe.
« Où est Eddy ? Où est Eddy ? »
« Heuu ! Il est parti Cathy ! Il est parti ! »
Elle m’explique qu’Eddy lui avait téléphoné pour lui demander de garder amandine pendant les vacances. Il lui a donné de l’argent, puis...il est parti.
Où ? Elle l’ignore.
S’il a voulu me culpabiliser, c’est gagné.
Je fini les vacances avec amandine et Sylviane.
J’ai perdu l’appétit et c’est triste et fatiguée que je remonte chez nous.
J’ai reprît le travail depuis une semaine et toujours pas de nouvelle d’Eddy.
Un vendredi matin, au cabinet médical, le téléphone sonne.
« Cabinet du docteur Milhaud, j’écoute ! »
« Vingt deux heures, ce soir, chez moi ! »
« NON MAITRE ! ATTENDEZ ! »
Il a raccroché.
J’ai crié si fort que le docteur interrompt sa consultation pour venir me voir.
« C’est vous qui avez crié, Cathy ? »
« Oui docteur ! Excusez-moi. »
« Mais qui diable appelez vous maitre ? Soyez discrète, voulez vous ! »
Le soir venu, je fais garder amandine par Sylviane et me rends chez Sir Jefferson.
Je m’arrête à la grille. Il tombe des hallebardes.
J’ai le cœur gros. Je suis bien trop triste et affaiblie moralement pour avoir envi de le rencontrer.
Une petite voiture se présente au portail. J’aperçois une fille au volant. Elle est toute jeune et ravissante. Elle porte un collier de cuir.
Je m’approche avant qu’elle ne redémarre à l’ouverture de la grille.
« Excuse-moi ! Tu vas voir Sir Jefferson ? »
« Oui ! Montez vite, vous allez être trempée ! »
Je détache mon collier et retire la chevalière de mon doigt.
« Peux-tu lui remettre ceci ? S’il te plaît. »
« Oui, bien sur ! Que dois-je lui dire ? C’est de la part de qui ? Quel est votre prénom ? »
« Tu es mignonne. Ne t’inquiète pas, il comprendra. Fais attention à toi. D’accord ? »
La petite voiture disparait au bout de l’allée d’arbres.

A SUIVRE…

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!