Mon Maître À Dit (Partie Vi)

MON MAÎTRE A DIT
(Partie VI)

A faire l’idiote sous la pluie, voilà ma robe de nouveau transparente. Ca n’a pas l’air de gêner Eddy. Je l’observe, à chaque feu rouge, qui me déshabille du regard.
Il s’égare aussi sur mes cuisses, dégagées par trop de boutons défaits et mes jambes écartées.
Soudain, sans motif apparent, il s’arrête et se range le long du trottoir, puis il coupe le moteur.
« Il faut qu’on parle, que je te parle. »
« Eddy, ca ne pourrait pas attendre qu’on soit à la maison ? »
« Ca concerne cet après midi. »
« Bon, c’est bien ce que je disais, ca peut attendre que l’on soit rentrés. Ecoute, Eddy, je me sens bien et détendue, et je n’ai ni l’envie, ni la force d’affronter une scène de ménage. Alors ou tu repars ou je prends le métro et je rentrerai …demain… peut être. »
« Mais non, chérie ! Je n’ai pas l’intention de te faire une scène ! »
Il s’est tourné vers moi et me caresse les cheveux de sa main droite.
« Tu sais, j’ai beaucoup parlé avec Jefferson et… »
« SIR Jefferson, s’il te plait ! »
« Ho ! Pardon. J’ai beaucoup parlé avec Sir Jefferson et… »
« Que t’a-t-il dit ? »
« Cathyyy ! Cesse de me couper la parole et écoute ce que j’ai à te dire. C’est assez dur comme ca ! Et bien voilà. J’ai beaucoup parlé avec Sir Jefferson et je dois reconnaitre qu’il est très persuasif. Il m’a ouvert les yeux et l’esprit sur pas mal de choses. Et…je voulais te dire que… ce que j’ai vu et ressenti… m’a plut et excité. Voilà. »
Etonnée, je me tourne vers lui. Il est rouge de honte.
Je lui offre mon plus beau sourire.
« C’est bien vrais ce que tu viens de me dire ? Prouve-le, alors ! »
Sans attendre, il se penche sur moi et m’embrasse fougueusement. Sa main gauche s’égare dans mon décolleté et il caresse mes seins comme le ferrait un adolescent avec sa première conquête.


Mais soudain, il retire sa main et la regarde d’un air dégouté.
Je ne peux m’empêcher d’éclater de rire. Elle est toute gluante de foutre et il ne sait plus quoi en faire.
« Hahaha ! Ca t’apprendra de n’avoir nettoyé que mes joues. T’a l’air fin, maintenant ! Hahaha ! »
« Attends, coquine ! Tu vas voir ! »
Nous voilà tout deux, chahutant dans la voiture, comme des s. Eddy, bien plus fort que moi, gagne et essuie sa main sur mes joues.
Nous rions à en pleurer, puis après un autre long et doux baiser, nous repartons.
A un feu, je vois Eddy passer sa langue sur ses lèvres.
« Qui a-t-il ? Tu a les lèvres gercées ? »
« Non, non ! Ce n’est pas du tout ca. C’est ton baiser…Il était salé ! »
J’éclate de rire de nouveau.
« Hihihi ! Et tu ne sais pas pourquoi ? Tu n’a même pas une petite idée ? »
Il réagit et fait une petite grimace.
A peine dans l’appartement, il me prend dans ses bras et me serre fort contre lui.
« Embrasse-moi ! »
« Hihi ! Tu sais, ca risque d’être encore salé ! »
Mais, semble t’il surexcité, il prend ma bouche et la dévore. Puis, semblant perdre le contrôle, il embrasse et lèche mes joues et mon cou, ou là aussi, je le sens, des restes de jouissances sèchent lentement.
« Eddyy, arrêteeee ! »
En colère, il me repousse et s'appuie contre le mur.
« Ha oui, j’oubliais ! Tu n’a pas le droit de faire l’amour avec ton mari ! »
Je m’approche de lui et pose mes mains sur ses joues.
« Mais si ! Sir Jefferson m’a donné l’autorisation pour ce soir. Tu peux me baiser ! Tu es content ? »
Il me reprend dans ses bras.
« Évidement que je le suis ! Vas vite prendre une douche, d’accord, »
« Non ! Pas d’accord ! Je veux faire l’amour encore souillée, comme ca ! »
« Tu es sur ? »
« Oui, je veux que tu me sentes remplie du plaisir de ces hommes et que tu y rajoutes le tiens. »
Il passe ses avant bras sous mes fesses et me soulève.
Il m’emmène ainsi jusqu'à la chambre et il me jette sur le lit. Après m’avoir sauté dessus et enfourché, il arrache les boutons de ma robe pour l’ouvrir en grand.
Une forte odeur se dégage de tout mon être et je ne pense pas qu’Eddy aille jusqu’au bout de mes désirs.
Pourtant.
Il retourne dans mon cou, descend et lape chaque parcelles de ma peau, jusqu’à mes seins.
Eux aussi sont nettoyés et léchés avec application.
Mon nombril est débarrassé d’un jus stagnant, qui avait coulé là, dans le plus fort de la bataille.
Fier de lui, il se redresse en se léchant les babines.
Son regard trahi sa honte, mais également son plaisir à avoir fait une chose auquel il n’aurait jamais pensé auparavant.
« T’arrête pas ! Continu ! »
Soudain, devant cet homme qui vient de s’avilir seul, cet homme qui me regarde avec du sperme séché autour des lèvres, je me sens plus grande, plus forte.
« Continu ! Lèche-moi ! »
« Heuu ! Là ? Non, merci ! Hihi ! »
« C’est pas une demande, Eddy ! C’est un ordre ! Bouffe-moi la chatte ! »
Je me sens prise par une étrange fièvre.
« Ho ben non, Cathy, c’est… »
« Moi, c’est Léna et bouffe ca, connard ! »
Je l’att par les cheveux et je trouve la force de lui baisser le visage jusqu’à quelques centimètres de mon sexe.
En un éclair, je me rends compte que j’y suis allée un peu fort, et je m’attends à une énorme rébellion.
« C’est bon, c’est bon, Léna ! Lâche mes cheveux ! Je vais le faire ! »
Pas de rébellion ? Il m’appelle Léna ?
Je suis envahie par un étrange sentiment de puissance. Il s’est passé quelque chose, c’est certain.
Serrais-je en train de prendre autorité sur mon mari ?
Hésitante, j’essaie quelque chose.
« T’a intérêt à le faire ! Et à bien le faire, si tu veux jouir ce soir ! Nettoie bien tout les recoins, cocu ! »
« Oui, Léna ! »
« Maitresse Léna ! »
« Oui, Maîtresse Léna ! »
Je n’en reviens pas.
J’arrive à soumettre Eddy à ma volonté. C’est divin et je comprends mieux le plaisir qu’éprouve Sir Jefferson. Il sera fier de moi.
Il tire un bout de langue ridicule pour lécher mon clito. Puis, hésitant, il descend le long de ma fente.
« On va pas y passer la journée, cocu ! »
J’appuis de toute mes forces sur son crane et sa bouche s’écrase sur mon vagin poisseux.
Je le maintiens ainsi, et il n’a pas d’autre alternative que de faire ce que je lui ai demandé.
Je sens toute sa langue plonger dans le liquide visqueux et odorant, qui encombre encore ma chatte.
Il renifle, avale et tousse un peu.
Mais très vite, mon plaisir rajoute au travail à faire.
Il aspire de grandes quantités de jus, dans des bruits de succions liquides.
Mon cerveau se met à l’envers et je craque.
« Viens ! Viens me baiser, mon chéri ! Viens vite me remplir ! Haaa ! J’en peux plus ! »
Inutile de lui dire deux fois et son pantalon descend à ses genoux en une fraction de seconde.
Jamais je ne l’ai connu si fort bandé. Il me pénètre jusqu’à la garde, m’arrachant au passage un râle inhumain.
Il prend aussi ma bouche, sans hésiter et par surprise.
La forte odeur et le gout amer me font tourner la tête.
« Ha, non ! Petite trainée ! Tu as voulu te faire remplir, putain ! Et bien, tu vas y goutter aussi, espèce de morue ! »
Sa main coince ma mâchoire et il m’embrasse en me crachant dans la bouche.
Emportée dans un tourbillon de folie, je cède et finie par apprécier l’étrange mixture.
Eddy, trop longtemps privé, explose et se vide, les larmes aux yeux.
Cette nuit, nous referons l’amour dans la salle de bain, dans la cuisine, dans notre chambre…salle de bain…

Une semaine c’est écoulée et nous avons reprit notre vie, comme avant, à un détail près. De nouveau, j’interdis à Eddy de me toucher.
« Ca commence à me gaver, tes conneries ! »
C’est ce qu’il m’a dit hier.
Lui qui me disait avoir compris.
Je n’en suis pas si sur aujourd’hui.
C’est vendredi et je sens que le week-end va être morose. Ce qui m’ennuie, c’est que je ne voudrais pas qu’Amandine en pâtisse.
La sonnette retentis et Eddy va ouvrir.
« Cathy ! C’est pour toi ! C’est ta gouine ! »
« Eddy ! Je t’interdis de parler comme ca ! Je suis désolée Sylviane. »
« C’est pas grave chérie, il est juste frustré et aigri, le pauvre homme. Je viens chercher Amandine. »
« Amandine ? Ha bon ? Pourquoi ? »
« Ben ! Tu n’es pas au courant ? »
« Au courant de quoi, Sylviane ? »
« Sir Jefferson m’a téléphoné pour que je la prenne chez moi , cette nuit ! »
« Quoi ? Qu’est ce que ca veux dire ? Qu’est ce qui lui veut ? Il n’en est pas question ! »
« Mais non, Cathy ! Ce n’est pas ce que tu crois. Il m’a demandé de prendre ta fille, parce que ce soir…Il mange chez toi ! »
« Ho c’est pas vrais ! Eddy va péter un plomb. Houlàlà ! Surtout ne pas paniquer. Heuu ! Commençons par le début. AMANDINE ! Viens là mon cœur ! »
J’ai une grosse bouffée de chaleur et mon cœur s’emballe.
Une fois Amandine partie, je vais voir Eddy qui est à la cuisine.
« Chéri, j’ai un truc à te dire. Promets-moi de ne pas te fâcher. Tu veux ? »
« Qu’est ce que tu a encore trouvé pour m’emmerder !? »
« Ce n’est pas moi Eddy, c’est…Heuu ! Bon !... Sir Jefferson vient manger à la maison, ce soir ! Voilà ! »
Il pose ce qu’il a dans les mains et sort furieux de la cuisine.
« Bon ! Moi, j’en ai mare ! Je me tire. »
« Qu’est ce que tu fais ? Tu ne peux pas me faire ca ! J’ai besoin de toi, là ! »
« En es tu sure, Cathy ! Moi je dirais que tu a besoin d’un bouffon, pas d’un mari. Je te laisse en tête à tête avec « ton Maître » vénéré ! »
Affolée, je tente le tout pour le tout. Je tombe à genoux et je serre ses jambes dans mes bras.
« Si tu t’en va, tu me perds ! Tu me perds pour toujours ! Eddy ! Reste et je serrais ton esclave, tu pourras faire ce que tu veux de moi, je serrais ta chienne ! Je dormirais par terre si tu le veux, mais reste ! Je t’en supplie ! »
Seules les femmes savent faire ce genre de choses. Et j’atteins mon objectif.
Mon mari prend pitié.
« Rhoo ! C’est bon ! Relève-toi et arrête ton cinéma ! Mais c’est la dernière fois. Tu le diras à Sir machin truc ! »
« Sir Jefferson, chéri ! Sir Jefferson ! »
Il retourne à la cuisine. Fière de moi, je me relève et sèche mes larmes de crocodiles.
Je file dans la chambre pour me changer.
Mon Maître s’invite chez moi ! Quel honneur !
Je veux être éclatante de beauté.
J’ouvre placard et armoire et cherche, la tenue qui scotchera mon Maître.
Porte jarretelle, bas noirs à coutures. Ha oui, cette délicieuse robe noire. Elle est si courte qu’elle ne cache pas le haut de mes bas, et laisse une bande de chair rose apparaitre. Elle est également très décolletée, épaules et dos nus, et n’est retenue que par de très fines bretelles.
Pour compléter ma tenue, je choisie des escarpins talons aiguilles. Ils sont vernis noirs et sont original par leurs semelles rouges.
J’oubliais…Les aiguilles font seize centimètres et de ce fait je ne repose que sur mes doigts de pied. Ca me fait des jambes magnifiques et une silhouette de rêve. C’est dur de marcher avec ce genre de chaussures, mais ca vaut vraiment le coup, lorsque l’on veut plaire.
Une heure trente plus tard, je me présente en cuisine.
« Je te plais ? »
« Ha oui, énormément ! Tu feras beaucoup d’effet quand tu seras sur le trottoir à tapiner ! Bravo ! »
« T’es vexant, Eddy ! Mais ca sent tellement bon, que je te pardonne. »
Je prends des gants avec mon homme. Je n’ai pas trop envie qu’il me plaque maintenant.
On a sonné à la porte et c’est le cœur battant que je vais ouvrir.
« Bonjour Maître. Ho ! Mais vous n’êtes pas seul ? »
« Maître Yang et Sir Agnimel m’accompagnent. Tu connais Chastity et Viola. »
Cinq, ils sont cinq. Je suis complètement décomposée. Eddy vas me .
Mais en attendant, je les fais entrer et les conduit au salon.
Les hommes s’installent dans le canapé. Sir Jefferson, trône au centre, alors que les filles se sont placées près des deux autres hommes, debout et mains dans le dos.
Chastity est habillée à l’identique du jour ou je l’ai rencontré. Mais je découvre une des tenues de Viola, que je n’ai connu jusqu’ici qu’en chasuble transparente.
Elle porte un robe noire,courte et moulante, avec de nombreuses déchirures sur le coté qui laissent apercevoir ses cuisses et le coté de son sein gauche. Ca lui donne un petit air sauvage.
Elle est grimpée sur des sandales à talons aiguilles de douze centimètres, en satin noir, maintenues à la cheville par des brides serties de brillants étincelants.
Elle est superbe et troublante.
En ce qui concerne les deux hommes, Maître yang, comme son nom l’indique, est asiatique.
Pas très grand, cheveux grisonnants, il a un regard pervers qui m’effraie un peu.
Sir Agnimel est un immense africain d’une quarantaine d’années, au crane rasé. Il est imposant et appelle au respect par son charisme.
D’ailleurs, cette brochette d’hommes, habillées de sombre et affalées dans mon canapé, appelle toute entière au respect.
Je coure partout, sors des verres et les range pour en prendre d’autres, pratiquement identiques.
Sir Jefferson, agacé par mon trouble et ma panique, me stoppe net dans ma course.
« Le cocu n’est pas là ? »
« Hein ? Le cocu ? Ha oui, le cocu ! Je vais le chercher Maître ! »
Je fonce dans la cuisine.
« Hé ! Le coc…Eddy ! Sir Jefferson te réclame ! Arrive vite ! »
« Ce n’est pas mon Maître et je ne suis pas à sa botte ! Comprit ? J’arriverais quand je le déciderais ! »
« Pas ton Maître ? Tu en es bien sur, Eddy ? Ah, à propos ! Il n’est pas seul, il est…Heuu… Cinq ! »
Je n’attends pas sa réaction retourne au salon pour informer qu’Eddy ne tardera pas à arriver. Je suis surprise de trouver les filles aux mêmes endroits et dans les mêmes positions, mais nues.
Eddy est là, presque aussitôt. Je le connais bien et je sais qu’il a été très impressionné au cinéma, par mon Maître, et qu’il doit marcher sur des œufs.
Il essuie ses mains au torchon qui pendouille de son pantalon et s’approche du canapé, main tendue.
Evidement, il prend un vent mémorable et je pense qu’à cet instant, il comprend qu’il n’est pas sur un pied d’égalité avec ces hommes.
« Chers amis, voici le cocu dont je vous ai parlé. Il va aller se mettre dans le coin, là bas, afin que Léna puisse se présenter à nous ! »
Eddy, vexé et honteux, la main toujours tendue, rougit pour les trente prochaines années et va, obéissant, dans le coin désigné, les mains dans les poches.
Sir Jefferson lui lance un regard irrité, qu’il interprète très bien. Il retire ses mains de ses poches et les met, comme les jeunes filles, dans son dos.
« Léna, approche toi et retire ce vêtement ridicule ! »
Moi qui étais fière de ma petite robe…
« Présente toi à mes amis et vite, nous avons faim ! »
Comme je l’ai fait au cinéma, je commence ma présentation.
« Je suis Léna, et je suis à vous. Voici ma bouche et ma langue, pour vous déguster et boire votre foutre ! Voici ma chatte, pour que vous me baisiez ! Voici mon cul, pour que vous m’enculiez ! Mes orifices vous appartiennent. Mon corps vous appartient. Je suis votre jouet, instrument de votre jouissance. »
« Merci Léna. Agenouille-toi ! »
Les trois hommes se penchent les uns vers les autres et chuchotent un instant. Puis, Sir Jefferson se lève.
« Chastity ! Approche ! »
Elle semble surprise et troublée. Elle doit se demander ce qu’elle a bien put avoir encore fait, pour être ainsi désignée.
« Retire la chevalière et donne moi là ! »
Le visage de la jeune fille se crispe.
« Ho, Maître ! Non, pas ca ! Je vous en supplie ! »
« Le conseil en a décidé ainsi ! Tu perds tes droits et tu rends la chevalière ! »
Elle pleure en tournant une bague à son auriculaire droit.
J’ai déjà aperçu l’objet sans y avoir vraiment porté attention.
Totalement décomposée, elle tend la chevalière à son Maître.
« Ton attitude durant cette année à été très décevante. Tu as abusé de tes droits et les a utilisé à des fins d’intimidations envers les tiens. Aussi, dès aujourd’hui, tu redeviens simple soumise ! »
« Oui, Maître. Merci, Maître. »
En larme, elle retourne à sa place. Elle me fait de la peine, même si je n’ai pas très bien compris ce qu’il vient de se passer.
« Léna, approche ! »
Je me relève et avance vers celui qui a changé ma vie. Pour la première fois, je le vois sourire franchement.
« Léna, je suis heureux de faire de toi ma nouvelle favorite. Cet anneau en fait preuve. Sois fière de le porter. Désormais et tant qu’il sera à ton doigt, tu pourras avoir des rapports avec ton cocu, une fois par semaine. Tu pourras également t’exprimer librement, mais avec parcimonie et respect. »
Il passe la chevalière à mon doigt et pour la première fois, je la détaille.
Elle est en or. Le chaton est ovale recouvert sans doute d’une résine rouge sur laquelle sont gravées finement les lettres S.J., recouvertes d’or fin.
« Maître, je suis très honorée, mais je pense que cet anneau revient de droit à Viola. »
Les trois hommes éclatent de rire.
« Et depuis quand les soumises pensent t’elles ? Hahaha ! Tu mériterais que je te destitue de suite. Mais je mettrais ca sur le compte de l’ignorance. Viola à eu sa chance aussi, et une soumise ne peut être deux fois favorite du même Maître. Te voilà renseignée, mais fais bien attention à ne jamais contredire un Maître. Qu’il soit le tiens ou non ! »
Je baisse la tête comme une qui a fait une bêtise.
« Pardonnez moi, Maître, cela ne se reproduira plus. »
« Bien ! Alors à table ! Nous avons faim ! »
Je m’éclipse dans la cuisine avec Eddy pour prendre des couverts.
« Pardonnez moi, Maître, cela ne se reproduira plus. Haha ! T’avais l’air fine, je te jure. »
« Eddy, ne te moque pas veux tu ? Ou il n’est pas dit que nous fassions l’amour une fois par semaine. »
« Pffff ! Est ce que cette mascarade va finir un jour ? »
Je ne réponds pas et retourne à la salle à manger avec sept assiettes. Je commence à dresser la table, lorsque mon Maître intervient.
« Dis-moi, Léna. Tu n’aurais pas l’intention de nous faire tous manger ensemble ? Trois assiettes suffiront ! »
« Heuu ! Oui, bien sur ! Ou avais-je la tête. Désolée, Maître. »
Voilà qui va arranger Eddy, qui n’avait préparé que pour trois personnes.
Je passe le repas sous la table en compagnie de mes amies soumises, prêtent à satisfaire la moindre envie d’un des Maîtres. Eddy, est condamné à faire le service et je l’imagine très bien, bougonnant dans sa cuisine.
Le repas fini, ils retournent au salon. Cafés et digestifs avalés, ils se mettent, à ma grande surprise, totalement nus.
Eddy, commençant à accepter son statut de cocu, reprends place dans son coin, mains dans le dos.
Sir Agnimel se couche sur le tapis, un coussin sous la tête. Son sexe est dressé et sa taille est…attrayante. Il me fait signe d’approcher.
Je me place à califourchon sur lui et pose le gland contre ma fente. Je mouille déjà et je n’ai aucune peine à me laisser glisser sur la verge.
Sir Agnimel prend possession de mon ventre et déjà je ressens le plaisir qui monte en moi.
Sa queue est bonne et me remplit bien.
Il ne me fait pas l’amour, il me baise comme on baise les salopes.
Sur le canapé, Maître yang et Sir Jefferson, honorent les bouches de Chastity et Viola. Ils me regardent me faire défoncer la chatte par le Maître africain, et en semblent très excités. A tel point que Maître yang délaisse la délicieuse langue de Chastity, pour venir se placer derrière moi.
Je n’ai jamais pratiqué la double pénétration. Anxieuse, je sens le gland se poser sur mon anus. La pression augmente, mais Maître Yang ne force pas. Il applique de légers coups de reins, appuyant de plus en plus.
Déjà très excitée, je ressens soudain l’envie folle de me donner sans retenue.
Je profite de mes nouveaux droits pour le faire savoir.
« Ho oui, Maître ! Enculez-moi ! Défoncez-moi ! Je veux me sentir pleine de vos membres à tout deux ! »
Il ne le se fait pas dire deux fois et agrippé à mes hanches il pousse en moi, loin, profond.
J’ai la sensation d’être déchirée de l’intérieur et je pousse un cri.
« Tiens ! Prends ca ! Ca t’évitera de beugler ! »
C’est Sir Jefferson qui vient d’agripper mon crane et qui me présente son membre à sucer.
Voilà, c’est fait.
Ce qui depuis très longtemps n’est qu’un fantasme, se réalise enfin.
Avoir tout les orifices occupés.
Bien que mon cul me fasse un peu souffrir, j’apprécie d’être baisée comme une chienne. Je sens les membres se frotter contre la fine paroi qui les sépare.
Je suis comme une marionnette, incapable d’appliquer moi-même un rythme régulier. Je suis secouée de toute part, par les cadences irrégulières des trois verges.
Mes yeux humides de douleurs, de plaisirs et de folies passagères aussi, me permettent d’avoir quelques flashs rapides.
Mon homme dans son coin, mains dans le dos, les deux filles couchées l’une sur l’autre sur le canapé, ondulant et s’embrassant à pleines bouches.
Ces visions augmentent encore mon envie d’atteindre le nirvana.
Et soudain !
Ils explosent tour à tour.
En moins de trente secondes, ils se libèrent de leurs jus précieux, pour mon plus grand plaisir.
Un tsunami de foutre se déverse dans mon ventre et mes entrailles. Ma bouche déborde de la semence délicieuse de mon maître, surprise que je suis par une quantité exceptionnelle.
Un court instant, mon cerveau n’analyse plus rien et ne me renvoie plus que la force de mon plaisir.
Le paradis…j’y suis.
La redescende sera longue et délicieuse.
Un peu plus tard, les Maître invités et les filles, nous quittent.
Je reste seule avec mon homme…pardon ! Mon cocu, et mon Maître.
Ce dernier me fera l’amour toute la nuit devant les yeux du cocu, assit près du lit.
Au petit matin, je parviens à parler à mon Maître en privé.
Je lui fais part de mon expérience avortée de domination sur Eddy.
« De quoi ? Tu as osé ? De quel droit ? Pour qui te prends-tu ? Tu es et restera une soumise toute ta vie Léna. Tu n’a aucun droit, à part celui de m’obéir ! Tu payeras pour ton insolence ! »

A SUIVRE…

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