Mes Premiers Émois (1)

Comme le titre laisse le supposer, je vais vous raconter mes premiers émois. A l’époque, j’avais 18 ans et je rentrais en internat en terminal dans mon lycée de province. Pour moi c’était l’occasion de faire table rase sur mes autres années de lycée et me faire des nouveaux amis.

Nous étions quatre jeunots dans chaque chambre et je me suis vite intégré à ce groupe, mon meilleur ami y faisant parti. Pour aller diner nous retrouvions un groupe de filles qui était en internat dans un autre bâtiment.
Le feeling passa instantanément pour l’une d’elle : Anne, Châtains foncés, des seins assez gros (un bon F), assez petite (1.55m je dirais), une bouche très pulpeuse, et de manière générale des formes généreuses.

Je l’avais trouvé surtout mature pour son âge, s’exprimait et savait bien écrire.
On avait des discussions quand j’y repense assez évoluées pour notre âge qui contrastait surtout avec le reste du groupe.
De mon côté, je ne savais pourquoi, elle me trouvait elle aussi à son goût et le courant est vite passé, Pour me décrire brièvement à l’époque : Pierre, 18 ans, 1.69m pour 50 kg, un visage et un corps assez maigre, avec une belle bite. Les garçons de la chambre m’appelaient le bambou, à chaque fois j’étais assez gêné en sortant de la douche. C’est bien plus tard, qu’au final j’ai compris qu’elle était complètement normale.

Tous les internes avaient quartier libre chaque soir entre 19h et 21h, l’heure ensuite était pour les devoirs, chacun dans leur chambre. L’extinction des feux était à 22h,
On a fini par s’éloigner de plus en plus du groupe pour se retrouver seuls à manger à 19h, sortir pour se balader dans la ville tout en continuant à parler.
Un soir en nous disant la bonne nuit, Anne a fini par m’embrasser au lieu de la bise, en me disant « fait de beaux rêves et à demain ! » Je suis resté un peu scotché sur place.
C’est en parlant avec mon pote,, sur la manière de réagir qu’il me répondit : « déplis ton banbou et tu verras sa réaction ! » que je compris qu’il faillait mieux que je me débrouille tout seul en mettant un peu plus les formes.

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Le lendemain, on se retournait tous les jours devant le réfectoire pour prendre notre petit déjeuner ensemble, je pris la décision de directement l’embrasser. Elle me rendit mon baiser avec la langue. Elle me dit « Salut, c’est bien tu prends quelques initiatives ! ».
Bref je passe les moments main dans la main, bisous et embrassades divers et variés.

Nous sommes courant novembre, il faisait maintenant trop frisquet pour parler et marcher tout le temps dehors. Etant en terminale un peu spécifique, je connaissais un bâtiment à l’écart où j’avais cours ainsi que les bts. Ce bâtiment n’était pas fréquenté le soir et surtout disposait d’un étage où personnes n’y allait.
On avait du coup pris l’habitude de manger et d’y aller, dans une cage d’escalier au dernier étage, où l’on avait une belle vue sur la ville, un radiateur qui chauffait et pas un chat pour nos embrassades.
Peut-être le deuxième ou le troisième jour, on commença à s’embrasser comme à l’habitude, je passe mes mains sur ces fesses puis je les remonta sous son pull derrière son dos. Elle n’arrêta pas de soupirer et me dit à l’oreille « continu, prends mes seins s’il te plait »
Je passa mes mains sous son t-shirt puis je toucha ces seins, ce qui lui déclencha un autre soupir, étant assez inexpérimenté, je continua à lui malaxer les seins puis à lui toucher les tétons.
Je bandais comme un âne mort, à l’époque je portais des slips, une grosse bosse dans le jean fut vite remarqué par Anne, elle commença à se frotter son pubis sur ma bite, de haut en bas de plus en plus vite. Elle me murmura « je sens ton cœur battre la chamade ! Laisse-moi te soulager »
Elle s’éloigna un petit peu de moi, déboucla ma ceinture, puis baissa mon jean. Le slip ne cachait plus grand-chose. Elle le baissa lui aussi. Ma bite me faisait mal tellement j’étais existé.
Anne pris un moment pour la regarder, pris ma bite dans sa main droite, puis se mis à genou. Sa main était toute chaude et toute moite.

Elle commença à faire de légers va et vient et me regarda d’un regard interrogateur : « est-ce comme cela que je peux te soulager ? » Je pris sa main et la plaça juste en dessous de mon gland devenu violacé et lui dit : « continu à faire des va et vient comme ça, mais je te préviens décale toi car je ne vais pas tenir longtemps ! »
Elle bondit pour se mettre instinctivement sur un côté et continua ces vas et vient rapides. La douceur, et la chaleur de sa main ne me fit pas tenir.
J’ai tout de même réussi à la prévenir en beuglant : « je vieeeens » qu’un jet de sperme sorti pour atterrir à un mètre de distance. Anne ne sachant que faire, continua à me branler, deux autres jets moins importants que le premier, sortirent pour atterrir sur le lino de la cage d’escalier.
Je me sentis vidé, c’est le cas de le dire, ma bite commençait déjà à rétrécir. Anne sorti un mouchoir de son blouson et essuya ma bite du reste de sperme qui perlait.
Je réussi à articuler « merci c’était parfait » Pour toute réponse, elle me sourit et recalotta mon gland.



Dites-moi ce que vous en pensez et je verrais si je prends le temps d’écrire les autres épisodes.
Notes : les noms des personnes ont été changés.



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