Mes Premiers Émois (3)

Suite de mes aventures avec Anne.
Plusieurs soirs se sont enchaînés avec branlette et fellation.

Je me souviens d'un mercredi, nous avions cours que le matin, tous les monde partaient après le repas, seuls les internes restaient présents.
Cet après-midi là, nous avions commencé à nous balader dans la ville. Un crachin et la nuit tombait assez tôt, nous nous retrouvions à notre coin habituel, dans le bâtiment réservé aux terminales et aux BTS, tout en haut d'une cage d'escaliers, près du radiateur.
Anne avait eu gym le matin, elle avait gardé son bas de jogging gris clair. Elle ouvrit son blouson car la chaleur du local contrastait avec l'extérieur. Elle portait un pull rose pastel assez ouvert sur sa poitrine généreuse. Une paire de tennis blanche assez classique.
Quant à moi, je portais un jean Lewis noir assez ample, retenu par une ceinture marron. Un manteau assez long cachait un pull bordeaux à manches longues.

Je plia mon manteau en 2 pour faire une couverture et le mis à côté du radiateur.
Anne s'y assis. Je l'y rejoignis.

On parla pendant quelques minutes de la journée et diverses banalités.
Au bout d'un moment, je m'approcha d'elle et l'embrassa. Elle me rendit mon baiser. J'ouvris mes lèvres et inséra ma langue pour rejoindre la sienne. Ces lèvres avaient le goût de fraise, son gloss favori. Le manège des langues dura plusieurs minutes.
Entre temps, mes mains s’aventurèrent sur son corps, en remontant doucement sous son pull vers ces seins. Je lui caressa ces seins et lui toucha les extrémités. Elle frémit et je sentis ces tétons durcir sous mes doigts. Je compris à ce moment-là qu'elle était sensible des pointes et je continua à les lui tripoter.
Quant à elle, tout en continuant à s'embrasser goulûment, elle glissa sa main dans mon pantalon et massa mon entrejambe. Ma bite commença immédiatement à grossir et à remonter dans mon pantalon. Anne rentra sa main dans mon slip et fit des vas et vient sur ma tige sans la décalotter.

Après 4/5 mouvements, elle repris sa main pour mettre un peu de salive et titilla cette fois si le haut de ma bite et la décalotta. Mon gland dur dépassait de mon pantalon et heurta à chaque fois son pubis. Mon excitation était telle que je lui glissa : « ralenti ou stoppe le rythme, je vais éjaculer »
Elle stoppa carrément et laissa ma bite toute seule. Ces mains remontèrent sur mon torse et me fit des chatouilles.

Mes mains se furent de plus en plus baladeuses. Elles descendirent sur son ventre, et chose que je n'avais encore jamais faite, encore plus bas.
Son pantalon de jogging était élastique il était pour moi aisé de glisser totalement une main.
Je me souviens encore de cette découverte: la chaleur et la moiteur de son corps qui contaminait ma main.
Je lui caressa son pubis à travers sa culotte: elle était complètement trempée. J'appuya de plus en plus fort mes doigts sur sa chatte pour distinguer via le sens du toucher, les différents plis de chair à travers sa culotte.
Anne poussa de longs soupirs en m'encourageant avec une toute petite voix que je le reconnaissais pas.
J'arrêta de l'embrasser sur la bouche et obliqua dans son cou jusqu’à côté de ces oreilles.
Je lui chuchota " laisse toi aller, c'est à ton tour !" je m’éloigna d'elle d’une dizaine de cm et l’observa. Son jogging était mouillé au niveau de son entre-jambe qui se voyait bien vu qu'il était gris clair. Je lui baissa doucement et le retira. Je l'étala sur le radiateur pour qu’il sèche.
Anne quant à elle s'était rassise sur mon manteau. Pudique, elle avait mis sa main devant sa culotte. Je m’assis à côté d'elle, et posa ma main sur la sienne. Je lui chuchota "tu as vu ma bite, tu la appréciée.. J'ai envie de découvrir ton sexe. Tu peux me guider ?" Pour toute réponse, elle retira sa main et glissa sa culotte au niveau de ces chevilles.
J'observa pour la première fois de ma vie un véritable sexe d'une jeune fille. Elle ne ressemblait à rien de ce que j'avais vu dans les pornos.
. Elle était assez poilue (Anne par la suite m’avoua qu'elle se taillait les poils avec une paire de ciseaux mais ne s’épilait pas), deux grandes lèvres gonflées cachaient le reste. Je distinguais sa fente qui luisait de sa mouille attisée par mes doigts il y a seulement quelques minutes. Des poils étaient eux aussi collés car mouillés.
Je me décala et m'installa entre ces jambes. J’approcha doucement ma main gauche de ces lèvres et d'instinct les écarta. C’était chaud, humide. Je n’avais qu’une envie, plonger mes doigts dedans. Anne de sa petite voix : « va y oui, plus en haut plus profond, plus vite, là oui touche mon bouton là, oui continu ici » Je continua à toucher espèce de bouton en haut (j’appris par la suite que c’était son clitoris). Elle haletait et gémissait de plus en plus : du coup je continua à le toucher et à le faire rouler sous mes doigts. De mon autre main, je glissai lentement mon index dans son vagin. Quelle sensation ! De sentir son doigt emprisonné dans son sexe. Sentir la moiteur et son vagin se contracter. Je rajouta mon majeur collé à mon index. J’ai été surpris car son vagin sembler s’écarter pour m’accueillir. Anne mouillait abondamment, je glissais avec une extrême facilité.
Ma position n’était pas très confortable. Je m’allongea à plat ventre. Ma bite toujours dure comme du bois, collé contre le lino froid baissa mon excitation. Mon visage était à quelque centimètre de son sexe. Je continua de lui tripoter son clitoris et lui donna un coup de langue.
Anne poussa un gémissement comme jamais « nooooon c’est trop boonn là » puis des halètements intraduisibles. Je me concentra du coup à lécher, titiller, frotter ma langue contre son bouton. Je descendis ma langue pour la glisser à l’intérieur de son vagin et goutta à sa liqueur qui n’arrêtait pas de couler. Je me souvins du gout, légèrement salé et très fluide.
Anne poussa un grognement rauque, me maintenait ma tête contre son sexe avec ces mains. Un petit flot de mouille inonda ma bouche.
Je sus quelle avait jouit. J’étais fier de moi 
Anne au bout de 5/10 sec me lâcha. Je m’éloigna et me releva car j’avais de sacrées crampes aux genoux et au dos. Elle me dit faiblement « merci Pierre, je n’avais jamais ressenti cela avant. »
Elle se releva elle aussi, m’attrapa contre elle et m’embrassa. Elle senti ma tige durcir dans mon pantalon, se frotter contre son vagin toujours à l’air libre. Elle se mit à genoux en déplaçant mon manteau, tira sur mon jean d’un coup sec.
Je baissa mon slip, ma bite bougeait toute seule tellement j’étais excité. Les lèvres d’Anne était à quelques centimètre de ma tige, je sentais son souffle sur mon gland et mes couilles.
Sans se faire prier, elle décalotta mon gland et commença à me branler énergiquement.
Ma bite était sur le point d’exploser par l’attente. Je lui souffla d’une voix rauque « je vais pas tenir ce traitement longtemps ! »
Pour toute réponse, elle posa sa langue sur mon gland violacé et commença à le lécher.
Elle fit tournoyer sa langue autour, puis engloba ma tige de sa bouche. Je poussa « un ooohhh ».
De ces mains elle malaxa mes deux couilles. Je sentais venir l’instant de non-retour, et lui dit « je vais jouir »
Elle continua son manège, me regardant d’un regard coquin de ces yeux bleus. Ma bite finie par hoqueter d’une rare violence. J’éjacula plusieurs trainées dans sa gorge. Anne toussota mais continua à me suçoter jusqu’à que ma bite devienne molle, me pressant jusqu’à la dernière goutte.
Je la pris dans mes mains et l’embrassa.
En se rhabillant, Anne me donna un tissu humide roulé en boule dans la main : « tiens je ne peux pas garder ma culotte, si ma mère la voit, elle va me faire un scandale !»

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