Les Grèves De Transports

Les grèves des transports

Travailler à Paris et habiter à la campagne a du bon et aussi des inconvénients. Je n'ai pas de voiture et suis totalement tributaire des retards des transports.
Ah les grèves de transport de la RATP et SNCF conjuguées... ça a du bon quelque fois !
Ne pouvant pas rentrer chez moi en fin de journée, (une grève surprise des transports) une collègue m'a offert de passer la nuit chez elle. J'ai été surpris de son invitation. Au début, j'ai refusé mais sur ses insistances, j'ai fini par accepter. J'ai appelé mon épouse qui ne travaille pas, et lui ai dit que je restais sur Paris, la direction de notre entreprise ayant offert une nuit d'hôtel à tous ceux qui habitent loin, qui sont venus travailler et qui ne pouvaient plus retourner chez eux. De toutes les façons, elle pouvait me joindre sur mon portable.


Il est 17 heures, en fin de journée de travail. Me voilà donc parti avec ma collègue Patricia. Elle habite dans la banlieue nord toute proche de Paris. Nous faisons route à pied, il n'y a ni bus, ni métro. Après une bonne heure de marche, nous arrivons en bas de sa tour, nous prenons l'ascenseur direction le 12 ème étage. Vue imprenable sur la ville et même sur Paris, car il n'y a pas d'autres tours en face. Je lui demande :

- Mais... où sont tes s ? ( je sais qu'elle en a deux s et qu'elle est divorcée ).

- C'est les congés scolaires et ils sont chez les parents de leur père qui sont à la retraite.

- Ah ! Alors, tu es seule ?

- Oui ! Mais ne t'en fais pas.

Patricia me fait entrer chez elle. Tout est mignon, bien rangé, ça sent bon le propre, elle me dit :

- Installe-toi sur le canapé, mets toi à l'aise, et fais comme chez toi.

Elle me laisse un moment, s'absente à la cuisine, et revient avec une boisson chaude et une boîte de gâteaux. (il ne fait pas très chaud aujourd'hui) Nous partageons ensemble ce petit moment d'intimité.

J'ai eu à ce moment, une montée d'adrénaline, des bouffées de chaleur. Je sentais je ne sais pas quoi m'envahir. Puis Patricia me dit :

- Excuse moi un moment ! J'aime bien me mettre à l'aise après le boulot. Marcher comme ça pendant une heure, je suis morte de fatigue. Je vais prendre une douche. Si tu veux, tu peux y aller aussi... après moi ! Allume la télévision si tu veux.

Et la voilà qui disparaît dans sa salle de bains. J'entends l'eau couler, je l'entends chantonner sous sa douche... Je fantasme... J'imagine des choses... que je voudrais être à la place de son savon, ou être l'eau qui lui coule sur le corps...

Elle ressort les cheveux ruisselants enveloppée d'un peignoir qui laisse par endroit, entrevoir ses jambes, et la courbe de sa poitrine. Elle me dit en souriant :

- Si tu veux, me dit-elle, tu peux y aller. Ca fait du bien, c'est relaxant.

- Oui, je veux bien, mais je n'ai rien pour me changer.

- C'est pas grave. tu n'es pas gros, je peux te donner un de mes pyjamas, si tu veux. Quant aux sous-vêtements, là, je ne sais pas.

- Bon, oui j'aime bien aussi prendre une douche le soir en rentrant, alors je fais faire comme toi. Tant pis pour les sous-vêtements, je vais voir ce que je peux faire.

Patricia me tend une serviette de bain, très grande, dans laquelle je pourrai me sécher et je me dirige vers la salle de bains. Surprise : le verrou ne fonctionne pas !

- Ca ne fait rien, me dit-elle ! Nous sommes que tout les deux, et je ne vais pas entrer quand tu seras sous la douche, ajoute-t'elle en riant : - Je pourrais peut-être perdre la vue ?

J'avoue que moi, j'aurai bien ouvert la porte quand elle y était, si je savais que le verrou ne fermait pas. Je me suis douché avec du gel champoing douche, ensuite me suis séché avec le drap de bain qu'elle m'a donné. Ce drap sentait bon la lavande et était doux au toucher. Je l'imaginais s'enveloppant dedans.
En sortant de la salle de bains, elle s'était revêtue d'une robe d'intérieur, transparente, au travers de laquelle on pouvait voir ses sous-vêtements, plus exactement sa petite culotte, car elle n'avait pas remis de soutif. Je devinais sa poitrine opulente qui ballotait au rythme de sa respiration. A la sortie de la douche, je me regarde dans la glace, et remarque que j'ai les cheveux bien hirsute, ce qui la fait bien rire à ma sortie de la salle de bains.

- Tu as une brosse pour les cheveux dans le dernier tiroir du meuble de la salle de bain. Pendant que tu te douchais, j'ai préparé un petit dîner, léger, très léger. Je fais attention à mon régime.

- Tu es déjà bien gentille de m'héberger, il ne fallait pas !

- Mais ne reste pas dans ta serviette comme ça. Tiens, tu veux mettre ça ? me dit-elle. C'est un de mes pyjamas, peut-être un peu petit pour toi, mais, c'est pas grave, je ne l'ai pas choisi rose. me dit t'elle en éclatant de rire.

J'ai donc revêtu son pyjama, sobre, bleu clair avec des petites fleurs. Les manches étaient juste un peu courtes. Nous avons dîné simplement, presque sans parler, pour moi peut-être par timidité, pourtant je connais bien Patricia, mais me retrouver en pyjama devant elle et aussi en petite tenue me paralysait. La fatigue et les péripéties de la journée nous guettaient.

- C'était parfait, ton repas, dis-je en un bâillement sonore. Pardon !

Elle se mit à rire et à bailler elle aussi.

- Viens, je vais te faire visiter mon appartement. J'ai complètement oublié, excuse-moi.

- Oh, mais ne t'excuse pas.

J'ai découvert tout son intérieur, son intimité... Il m'a semblé avoir volé ses secrets. Après la cuisine et les chambres de ses s bien rangées (un garçon et une fille) elle me dit :

- Celle-ci est ma chambre.

- Tiens, tu as un lit à deux places ? Alors cachotière ! Y'a quelqu'un dans ta vie ?

- Non, répondit-elle.
Mais dans un grand lit, on dort mieux que dans un lit à une place.

Là, je n'ai pas résisté. J'ai posé mes mains sur ses épaules et fait tomber d'un coup sa robe de chambre. Maintenant, je voyais de mes yeux ses seins que j'avais tant imaginés. Je l'ai caressée longuement, très longtemps, dans le dos, les bras. Elle est venue se blottir contre moi. Elle m'a dit :

- Comme je me sens bien dans tes bras ! Douze ans, douze ans, qu'on ne m'a pas pris dans les bras !

Réconforté par ses mots, j'ai continué l'exploration de son corps. Je suis descendu dans le bas de son dos, j'ai retiré doucement sa culotte jusqu'aux chevilles. Elle s'est laissée faire. Je l'ai regardée, comme ça, nue comme un ver. Elle n'a rien dit. Elle s'est approchée de moi et m'a enlevé le pyjama. Et comme je n'avais pas remis mes sous-vêtements, je me suis retrouvé tout nu, moi aussi.

Nous avons passé la nuit à faire l'amour, le plus surprenant, c'est que, pas un seul instant j'ai pensé à ma femme. nous vivons pourtant depuis plus de dix ans dans le bonheur, sans aucun problèmes. Cette nuit avec Patricia fut pour moi une folle nuit d'amour unique !

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