En Forêt De Chantilly

Samedi 13h30.
- Allez Sylvie. Met ta petite robe mauve, on va faire un tour en forêt.
- Oh toi je te vois venir ! Avec ma robe, on ne va pas aux champignons.
- Ne te fais pas prier.
Une demi-heure plus tard nous sommes au croisement où j’espère bien retrouver Jim. Il me semble bien apercevoir un homme dans les sous-bois. Sylvie n’a rien remarqué. Nous quittons la voiture et nous enfonçons en forêt. J’adosse ma femme contre un arbre et retrousse sa robe. Ses fesses sont rondes et douces. Je l’embrasse sur la bouche. Je relève sa cuisse.
- Vas-y Sylvie, frotte-toi contre moi !
Ma femme obéit. J’ouvre le haut de sa robe, découvrant ses petits seins. Je les caresse. Je fais tomber une de ses épaulettes.
Un craquement près de nous fait sursauter Sylvie. Elle rabat sa robe sur sa poitrine et aperçoit un homme en train de se branler. Stupeur ! C’est Jim ! Comment est-ce possible ? Il n’a pas pu les suivre !
- Sylvie, je te présente Jim. Je l’ai connu sur internet et il semble que tu l’intéresses.
- Pour ton information ton copain me baise depuis deux jours !
- Pardon ?
- Oui, depuis deux jours il me fait l’amour à l’hôtel, à côté de mon bureau.
- Tu me fais cocu !?
- Il m’a menacé de diffuser mes photos si je ne lui cédais pas !
Jim est un peu embarrassé mais je le rassure tout de suite.
- Vous n’aurez plus besoin de vous cacher maintenant. Amène-toi je crois que Sylvie est prête pour une petite partie à trois.
Je pousse ma femme vers Jim. Il prend les deux épaulettes et les abaisse découvrant la poitrine de Sylvie.
- Nonnn !
- Tu ne vas pas jouer les saintes n’y touche ! On se connait maintenant.
Il lui relève la robe. Sylvie recule. Et se cogne contre moi. Je la saisis par les bras. Jim se colle contre elle et lui plaque une main sur son pubis. De l’autre il lui tripote les seins.
- Salops !
Je la tiens fermement. Jim ouvre son pantalon et se glisse entre les cuisses de ma femme.

Je la sens tenter de reculer.
- Vise bien Jim ! Ne rate pas sa petite chatte.
- Il n’y a pas de danger… hummm, j’ai déjà le gland sur sa motte… je descends… laaa, tu me sens Sylvie ?
- Oui, il est sur mes lèvres…
- Oui… mais tu mouilles salope ! Je vais te défoncer la chatte comme tu le mérites…
Ca y est. Il est en elle. Il la pilonne.
- Hummm, elle est bonne ta femme !
- Oui une vraie salope. Ne t’en fais pas elle va se calmer. Pour l’instant elle est juste vexée.
Sylvie pousse des gémissements. Elle proteste mollement pour la forme ;
- Tu vas me sucer maintenant. Tu vas prendre ma grosse queue, me branler et me caresser les couilles et moi je vais tout te cracher dans ta petite bouche de bourgeoise.
- Obéis Sylvie ! Cambre-toi bien que je t’encule en même temps !
Jim lui remplit la bouche de sa grosse bite. Ma femme étouffe. Elle tente de reprendre son souffle mais Jim enfonce à nouveau son pieu au fond de sa gorge. Elle est prise de hauts le cœur mais rien ne nous émeut. Jim lui bourre la bouche, moi je l’encule. Jim se retient pour éjaculer en même temps que moi. Je lui fais signe. Il se retire de la bouche de Sylvie quelques secondes pour se branler et crache tout son sperme sur le visage de ma femme. De mon côté j’ai inondé ses fesses. Satisfaits nous regardons Sylvie tenter de se rajuster. La robe est retombée sur ses fesses, se maculant de mon sperme mais elle a encore un sein à l’air.
Décoiffée, la poitrine à demi-découverte elle est bandante.
Elle ne peut se rhabiller davantage. Jim l’a prise dans ses bras et l’embrasse sur la bouche. Ma femme répond à son baiser et enfonce ses doigts dans sa chevelure. Elle me regarde :
- On serait peut-être mieux à la maison.
C’est une invitation qui ne se refuse pas.
Nous rejoignons la voiture. Ma femme monte à l’arrière et invite Jim à l’y rejoindre.
- Tu ne vas pas me laisser toute seule !
Jim n’hésite pas.
Je n’ai pas le temps de faire le tour de la voiture qu’ils sont déjà enlacés, la robe de Sylvie retroussée et Jim prêt à la sauter.
- Vous ne perdez pas de temps !
- Conduis et tais-toi ! Tu n’as que le droit de nous écouter. Ton copain va te faire cocu. Ta petite femme adore sa grosse queue. Viens Jim, aime-moi… sois tendre… tu vas voir comme je sais être amoureuse…. Hummmm, mon chéri… oui, plus profond…
Pendant une demi-heure je l’es entends s’aimer. Ma femme se venge en étant très tendre avec Jim. Elle sait que bien que j’aime la voir prise par d’autres hommes je suis quand même jaloux, surtout si elle est cajoleuse. Telle qu’elle se comporte avec Jim, ce n’est plus seulement du sexe. Ils font l’amour…
Nous arrivons à la maison. Sylvie a besoin de tendresse et me propose de faire un film.
- Tu ne participes pas Daniel. Tu nous filmes, Jim et moi. Le scénario : Jim est mon amant. Il me rejoint et nous nous aimons tendrement pour te faire cocu.
L’idée me plait. Jim est partant. Armé de mon caméscope j’immortalise la scène :
Sylvie lui ouvre la porte. Jetant un œil inquiet à l’extérieur, elle s’empresse de le faire rentrer et de fermer la porte. Elle se retourne vers lui :
- Mon amour !...
Jim la prend dans ses bras et l’embrasse tendrement sur la bouche.
- Viens Jim ! Le lit est encore chaud. Tu vas sentir son odeur en me faisant l’amour.
- Oui Sylvie ! Allons le faire cocu.
Ah les salops ! Ils jouent vraiment le jeu et moi je bande en les voyant me faire cocu.
Ils sont au pied du lit. Jim fait glisser les bretelles de la robe de ma femme. Ses lèvres les accompagnent et effleurent les épaules de Sylvie. La robe descend découvrant ses petits seins qu’il embrasse amoureusement. Il aspire ses tétons, tourne la langue autour. La robe est arrivée sur les hanches de Sylvie. Il glisse sa langue dans le nombril de ma femme.
- Oh Jim, mon amour, tu es divin !
Un petit effort. Jim tire sur la robe pour passer les hanches.
La robe tombe aux pieds de ma femme. Elle n’a pas de culotte. Son amant, à genoux, lui embrasse le pubis. Sa main caresse l’intérieur de sa cuisse. Il sent la chaleur de sa chatte. Jim lui embrasse les cuisses.
- Je t’aime Jim. Tu es doux. Continue…
Ma femme s’assied sur le bord du lit les cuisses écartées.
- Viens mon amour. Lèche-moi… oui, comme ça… oui, doucement… oui, glisse ta langue plus profond… mon clito… ahhh ! c’est bon, ouiii ! mon cul, ouiii, ahhh, mon amour, je t’aime Jim !
Il se redresse, relève ma femme et lui présente sa bite dressée. Sylvie le branle doucement d’une main et caresse ses couilles de l’autre. Elle pose de petits baisers sur le bout de son gland, lui donne de petits coups de langue. Elle l’a décalotté et doucement, progressivement, ses lèvres emprisonnent le gland de son amant. Jim sent la langue de ma femme onduler sous sa verge. Elle l’enfonce au fond de sa gorge, s’arrête deux secondes puis redescend, l’aspirant juste avant de la sortir de sa bouche et ainsi jusqu’à ce que son amant demande grâce.
- Sylvie ! allonge-toi ! je vais te baiser.
- Oui, viens mon chéri, viens, je suis à toi.
Jim la pénètre doucement. Ils continuent le scénario et s’aiment. Il va et vient régulièrement dans le vagin de ma femme. Il lui caresse les seins, l’embrasse tendrement sur la bouche. Sylvie lui murmure des mots d’amour et lui rend ses caresses. Ma femme est au bord de l’orgasme.
- Jim, mon amour ! plus fort ! plus vite ! oui, comme ça ! fais-moi jouir mon amour ! oui, oui, ahhhh !!! oh ouiii ! hummm, tu l’as fais cocu, ahhh…
Il a déchargé dans le vagin de ma femme. Elle a hurlé et presque convulsé sous l’orgasme. Ils sont maintenant côte à côte, couverts de sueur. Ma femme se penche vers Jim, l’embrasse amoureusement et lui murmure si bas que j’ai peine à l’entendre :
- Merci mon amour. Je t’aime. Il faudra recommencer.
Je crois que là je suis vraiment cocu…

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