Deux Chasseurs En Forêt.

Après ma mésaventure avec le conducteur du RER, je suis finalement arrivé à St Remy-les-Chevreuse. Je suis allé me balader dans la forêt, comme prévu. Mais j’avais du mal à apprécier la nature qui s’offrait à moi. Je marchais comme un automate, l’esprit totalement occupé par les images de la scène surréaliste dont j’avais été acteur malgré moi. Je revivais ma sodomie, mais comme spectateur : je voyais la conducteur agrippé à mon échine, sodomisant sans ménagement ce jeune garçon, dont les petites fesses lui enserraient le sexe…
Ces petites fesses, qui sont les miennes. Alors que je marche, perdu dans mes pensées, je sens mes fesses glisser l’une contre l’autre. Lubrifiées par la semence du conducteur, elles semblent se caresser l’une l’autre. Est-ce cela, la remémoration de la scène, ou le soleil printanier qui me caresse la peau et me chauffe les sangs ? Toujours est-il que je suis dans un état second, excité à nouveau, comme en témoigne, ma queue à l’étroit dans mon short, qui frotte douloureusement sur mon caleçon à chaque pas.
Je sens bien que cela ne peut pas durer. Je me glisse à l’écart du sentier, dans une petite clairière tapissée d’herbes folles. Là je vais pouvoir m’essuyer les fesses en toute tranquillité : ce sera mieux pour mon hygiène, et j’espère bien que cela va relaxer aussi mon excitation d’adolescent. Je descends donc mon short. Comme dans la cabine tout-à-l’heure, j’éprouve un soulagement en sentant ma queue se libérer, et profiter de la brise douce et chaude. Sans savoir pourquoi, avant de m’essuyer, je passe mes mains sur mes petites fesses, si douces… Comme pour me rappeler les sensations du RER, une dernière fois avant de les effacer. Je passe un doigt sur mon petit trou lubrifié : la sensation est divine. Mon petit œillet s’ouvre et offre un passage à mon doigt qui s’enhardit. Mon autre main se pose sur mon sexe que je commence à caresser. Plonger dans une douce et tiède torpeur…
« Pan !! »
Un coup de feu me tire brutalement de mes songes érotiques.

La détonation résonne en moi, tant le bruit est soudain et semble proche. La peur me fait trembler comme une feuille. Ce sentiment d’insécurité est accentué par les aboiements des chiens qui déboulent des arbres voisins, et se précipitent sur moi tous crocs dehors. Je suis tétanisé par la terreur, quand les chiens semblent littéralement stoppés à deux mètres de moi, par un coup de sifflet semblant s’élever des herbes.
J’ai à peine le temps de remonter mon short maladroitement. Deux chasseurs surgissent des bosquets.
-Rita, Olga, au pied.
Les chiens obéissent sans broncher à la voix autoritaire du chasseur le plus âgé, bedonnant, la cinquantaine bien tassée.
-Ouh la la, c’est dangereux petit gars de te promener comme cela un jour de chasse. Tu as de la chance, qu’on ne tire jamais un coup, sans être sûr de ce qu’on a au bout du fusil.
L’acolyte glousse, comme si l’autre avait sorti une vanne du plus haut esprit !
-T’as raison, Pierrot, heureusement qu’on sait observer avant de tirer!
Oups, j’espère qu’ils ne m’ont pas vu tout-de-même !
-Et là, il s’agit d’un drôle d’oiseau, n’est-ce pas Marcel ?
Le plus vieux me parlait en me fixant du regard. Je sentais le rouge monter à mes joues. Mon sexe ne débandait pas. Est-ce parce qu’il avait remarqué la bosse qui déformait mon short qu’il affichait ce sourire énigmatique ? Ou regardait-il son acolyte, qui m’avait contourné pour aller faire je ne sais quoi dans mon dos… Je n’eus pas le temps de me le demander longtemps. Brusquement, deux bras m’enserrèrent et le dénommé Marcel, me maintint serré contre lui. Une de ses mains se posa sur la bosse de mon short.
- Il m’a l’air d’avoir une sacrée queue cet oiseau-là ! Bien dure en tout cas !
J’étais rouge de honte.
- Alors gamin, c’est le printemps qui t’excite comme cela ?
Je sentis mon short tiré brutalement vers le bas. Ma queue, à nouveau libérée, en jaillit. Je tentais de me débattre pour échapper à son étreinte, mais je ne fis qu’agiter mes fesses contre son bas ventre, qu’il maintenait toujours serré contre moi.
De toute évidence ce frottement ne le laissait pas insensible.
-Ouh la la, mais il est sauvage ma parole, regarde comme il se débat. En tout cas, il a des petites fesses bien dures mais bien douces, dit-il en me caressant les fesses d’une main.
Sa main remonta sous mon t-shirt, s’attardant sur un de mes têtons, qui répondit en durcissant lui aussi. Il le pinça légèrement, puis descendit sa main sur mon ventre, puis sur mon sexe qu’il enserra, pendant que je continuais de me contorsionner pour lui échapper.
-Regarde comme il s’agite ! Il est tout dur des fesses et du zob !
-T’as raison Marcel, tu devrais peut-être lui glisser un petit doigt entre les fesses, cela avait l’air de le calmer tout-à-l ‘heure.
Aie, ils m’avaient donc vu !
Marcel tout en empoignant fermement ma queue, poussa son majeur dans ma raie du cul. J’eus beau continuer de me débattre, le combat fut vain : je sentis son doigt glisser dans mon anus lubrifié…Incroyable ! J’avais beau serré les fesses de toutes mes forces, son doigt s’enfonça comme dans du beurre, complètement, jusqu’à ce que sa main et ses quatre autre doigts percutent mes fesses, et les empoignent. J’étais maintenant de profil entre ses bras, et il me maintenait solidement la queue, d’une main, les fesses de l’autre. J’ai voulu continuer de me débattre, m’agitant comme un vers, mais à chacune de mes contorsions, son doigt coulissait dans mon conduit lubrifier, m’arrachant des soupirs de plaisir que je ne parvenais pas à réprimer. J’ai donc préféré cesser de me débattre, avant qu’ils ne s’en aperçoivent.
-Ah oui, t’avais raison, cela a l’air de le calmer, le petit vicieux !
-Ou c’est toi qui sait y faire, on dirait que t’as réussi à le dompter.
-Oui, regarde, maintenant il m’obéit au doigt et à l’œil. En tout cas au doigt ! clama-t-il en retirant presque entièrement son doigt, avant de le renfoncer sans vergogne.
Le petit cri que je laissai échapper les fit rire.
Il recommença la manœuvre, en accélérant progressivement le rythme.
Et à chaque pénétration, sa paume me frappait en une fessée sonore, qui me projetait vers l’avant, faisant coulisser mon sexe gonflé dans la main qui l’enserrait. J’étais tout à la fois fessé, sodomisé et branlé. Brutalement, mais divinement. Je luttais pour ne pas crier de plaisir. Mais malgré toute ma volonté, je ne pouvais réprimer totalement le râle sourd d’un corps soumis à un plaisir presque intolérable.
-Ouh là là, mais il faut que j’arrête, sinon elle va me juter dans les mains cette petite cochonne !
C’était humiliant, mais il n’avait pas complètement tort. En fait j’aurais joui depuis longtemps, si je ne m’étais pas déjà vidé, il y a moins d’une heure. Du coup, même si mon gland turgescent, tenu par cette main vigoureuse, me procurait des sensations déjà insoutenables, mon sexe ne semblait pas prêt à éjaculer. Je devais donc endurer ce plaisir trop insupportable pour durer, mais qui ne semblait pourtant pas devoir s’arrêter.
-AAh, arrêtez je vous en prie. Qu’est-ce que voulez à la fin ?
- Attends mon petit, je crois que je sais ce que je veux, et tu vas voir, cela va te plaire à toi aussi.
Il ôta son doigt de mes fesses, et de sa main tenant fermement ma queue, il me guida vers un banc en bois. Là, de sa main libre, il m’agrippa la jambe droite, la souleva, et me fit poser le pied sur le banc. Il me plaqua à nouveau à lui. Il baissa son pantalon, et m’ôta mon t shirt. Il passa alors son bras droit sous ma jambe, pour se saisir à nouveau de ma queue. Ainsi, ma pastille lui était offerte.
-Allez penche-toi en avant, je vais te donner ce que tu veux.
-Noon…
Je protestais faiblement, ma tête voulait refuser, mais mes fesses s’ouvraient malgré moi. De toute façon, son bras gauche m’appuya puissamment sur le dos, m’obligeant à me pencher en avant. Marcel plaça alors son gland sur mon anus, et tirant violemment de sa main qui tenait ma queue, il me fora jusqu’à la garde.
-AAAAh !
Je criais plus de surprise que de douleur, car sa queue avait glissé en moi comme dans du beurre.

Et Dieu que c’était bon.
Il entreprit alors de me pilonner violemment. Je me redressai alors, et il en profita pour plaquer sa main gauche sur mon têton durci. Ainsi redressé, je pouvais serrer mes petites fesses autour de cette barre de plaisir. Je l’enserrerais aussi fort que je pouvais, mais sa queue continuait à coulisser sans relâche dans mon petit cul tout dur, tout étroit, mais parfaitement lubrifié.
J’essayais de me taire, mais les sensations de cette barre me caressant le conduit annal dans des allers retours incessants me procuraient un plaisir incroyable, et chaque enculade ponctuée, d’une percussion sonore sur mon petit cul, m’arrachait des cris de plaisirs que j’essayais de contenir, en feignant de protester.
-Noon, (aah) je vous en prie,(aah) arrêtez !, (aah) s’il vous plait !
Les coups de butoir ponctuaient mon discours de manière grotesque. Bien agrippé à ma queue, par-dessous ma jambe, Marcel donnait de tels coups de reins, que je décollais maintenant du sol à chacun de ses assauts.
-Oh, mon Marcel, ce que tu lui mets! On peut dire que tu l’envoies en l’air, le petit !
-Ouais, c’est vrai, regarde-moi cela, répondit Marcel, qui me donna un coup de bite dans le cul, comme un coup de pied dans un ballon de dégagement, me projetant encore plus haut.
Ses coups de reins étaient de plus en plus puissants, et semblaient impulser, à mon corps bringuebalé tel un pantin désarticulé, des décharges de plaisir de plus en plus violentes.
- AAAh, arrêtez, noonn, aaah
-Ah mon Marcel, t’es un vrai chef d’orchestre, écoute comme tu le fais chanter avec ta baguette magique ! Rien que de l’entendre couiner, cela me fait bander, regarde !
Pierrot s’assit à califourchon sur le banc, en face de moi. Il ouvrit le devant de son pantalon et ce qui en surgit me sidéra : une barre de chair velue, de la grosseur du tube cartonné d’un rouleau de sopalin, surmontée par un gland violacé énorme. Pierrot, s’empressa d’empoigner son chibre de sa grosse main velue, pour le branler, en me dévorant de ses yeux concupiscents.
La vue de ce sexe monstrueux, à quelques centimètres de moi, acheva de me chavirer les sens. Savoir que ce gourdin était gonflé par le désir qu’inspirait mon corps me mettait dans un état indescriptible. J’en étais fier, et je m’abandonnais maintenant sans retenue, au plaisir d’être ramoné sans ménagement, heureux et satisfait, de prodiguer plaisir et désir.
-Oh la, Pierrot, mais elle est encore plus grosse que d’habitude ! C’est le gamin qui t’excite comme cela, je croyais que t’aimais que les femmes !
-Ca je suis pas un PD, mais je dois reconnaitre que j’ai jamais vu un spectacle aussi bandant. J’ai la bite tellement gonflée, que j’ai l’impression qu’elle va craquer.
-Dommage pour toi qu’elle soit trop grosse pour son petit cul. C’est un délice. On dirait qu’il a été fait pour recevoir des bites…Ouh, il va me faire venir le salop…
Je sentis alors Marcel me lâcher pour mieux me prendre à bras le corps. Et dans un ultime assaut, il me pénétra jusqu’à la garde, en me plaquant les fesses contre son pubis. Ses bras puissants m’enserrèrent, me comprimant douloureusement le thorax. Je répondis pourtant à son étreinte en me raidissant moi aussi. C’était comme si je transmettais à l’unisson la puissance de ses bras aux mâchoires de mes fesses, qui comprimaient sa queue telles un étau. Je serrais tellement les fesses, que je pus sentir sa queue gonfler au rythme de.son pouls puissant… pour enfin exploser, me remplissant d’un jet tiède.
-AAAAAh, oh, je viens, putain, je suis en train e lui jouir dans le cul, c’est trop bon !. Ce petit salop, il serre les fesses, on dirait qu’il veut me traire la bite.
-Ouiiiiih !
Je criais moi aussi ma jouissance, de sentir cet homme, derrière, se déverser en moi, de voir l’autre, devant, qui s’astiquait maintenant comme un sauvage en fixant sur mon corps un regard halluciné. La main de Marcel se crispa sur ma queue, c’était insoutenablement bon. J’eus l’impression de jouir, à l’unisson de Marcel, de tout mon corps… Et pourtant rien ne semblait devoir sortir de mon sexe. J’étais en train de vivre mon premier coït sans éjaculer. Je n’aurais jamais cru qu’une telle vague de plaisir pouvait déferler sans laisser jaillir d’écume.
-Mmmmm, ouiiii !
Mon plaisir s’atténua enfin, en même tant que Marcel déchargea ses dernières gouttes en moi. Exténués par le plaisir, il desserra enfin son étreinte, et retira doucement son sexe de mes fesses. Mes muscles se relâchèrent, j’étais exténué, apaisé. Mais Pierrot coupa court à mon apaisement naissant.
-Super, à moi de profiter de ce petit cul, dit-il en se renversant en arrière, pour se coucher sur le banc, la queue dressée entre les mains. Pose-le-moi sur la bite, je suis sûr qu’il n’en a jamais connu de pareille !
Tout en m’agrippant, Marcel eut un éclair de lucidité.
-Non, tu es fou, tu vas l’éclater avec ton zob de taureau !
-Mais non, tu lui a bien élargi la rondelle, je suis sûr que cela va passer !
-Je vous supplie, ne faites pas cela ! Pitié !
J’essayais de me débattre, mais Marcel me maintenait fermement.
-Bon, j’ai une idée, dit Pierrot. Je ne veux pas te traumatiser tout-de-même. Tu vas te mettre sur moi, et c’est toi qui t’enfiler ma queue dans le derrière, à ton rythme. Mais je te préviens, si trouve que tu tardes trop, je te transperce !
-Ah, je suis curieux de voir cela, dit Marcel, en me soulevant comme une plume, pour me placer debout au-dessus de Pierrot, les pieds de part et d’autre du banc.
Pierrot, tenant toujours sa bite d’une main, me regardait droit dans les yeux.
-Allez, viens t’assoir dessus !
-Non, s’il vous plait, elle ne passera jamais !
-Oh si tu vas voir, je te promets que tu vas la sentir passer, mais c’est à toi de décider comment !
Son regard décidé ne me laissait aucun espoir. Je devais me résigner à subir le supplice du pale. J’ai donc commencé à fléchir les jambes. Le gland gluant de Pierrot me toucha aussitôt les fesses. Sa queue était si grande, qu’il atteignait mon cul alors que j’étais encore pratiquement debout. Je pris mon courage et mes fesses à deux mains, et j’ai écarté mes deux petits globes fessiers, pour présenter au gland mon trou qui avait déjà tant subi. Le gland se plaça naturellement à l’entrée de l’orifice, stoppant du même coup le liquide qui commençait à en couler. Le contact ainsi établi, je fléchis encore légèrement les jambes, m’avançant légèrement, en entrainant le gland collé à mon anus, pour m’assoir à califourchon sur le ventre rebondi de Pierrot. Je fus ravi de cette position : elle avait l’avantage d’être confortable. Ainsi assis, je pouvais relâcher mes muscles, en me couchant sur ce matelas velu mais douillet. J’ai posé mes mains de part et d’autre de la tête de Pierrot, et j’ai concentré tout mon être sur ce challenge insensé. Je sentis mon regard, fixé sur les yeux de Pierrot visiblement satisfait, se vider pour se concentrer uniquement sur l’objectif. Je tendais mon anus de toutes mes forces, tout en relâchant toutes les autres parties du corps. Mon torse imberbe s’est naturellement déposé sur le tapis velu. Le ventre, mou, de Pierrot me donnait l’impression d’un water bed. Tout en me soutenant, il se dérobait sous moi, et je me sentis glisser doucement vers l’arrière. Je contenais ma chute en me retenant avec mes jambes. Ma chute sembla s’arrêter un instant, durant lequel je fus littéralement assis sur la bite dressée de Pierrot. Reposant sur son gland, chaud, gluant et élastique. A ma grande surprise cette position restait assez confortable…J’entrepris de relâcher progressivement les muscles de mes jambes, pour que mon poids repose pratiquement entièrement sur ce champignon géant qui me servait d’assise. Et l’impensable se produisit. Je sentis sous moi ma corolle s’ouvrir, doucement, mais inexorablement. Mon trou et le gland sur lequel il reposait étaient tellement lubrifiés, qu’ils ne pouvaient que glisser l’un contre l’autre, …l’un dans l’autre…Le champignon monstrueux glissait doucement en moi, me remplissant complètement, mais pratiquement sans douleur. Je sentais juste ma peau s’étirer au maximum, je soulageais un peu de mon poids avec mes jambes, lorsque je sentais poindre la douleur. Puis je continuais à me laisser empaler avec volupté sur ce pieu de chair. Incroyable, il était bien en train de rentrer en moi. Je rouvris les yeux, et vis le visage satisfait de Pierrot, qui me regardait le regard vide, semblant savourer chaque instant de la descente de mon corps sur son sexe bandé.
La voix de Marcel, m’arracha un instant à ma torpeur. Il s’était rapproché derrière moi pour ne pas perdre une miette du spectacle.
-Ouah, c’est dingue, elle rentre, elle rentre ! Cela paraissait impossible, mais elle rentre je te dis !
- Tu crois que je le sens pas ? J’ai la bite compressée comme un césar !
-Mais c’est fou, ta bite entre ses deux petites fesses, c’est pas possible que cela rentre, c’est comme si on voulait faire un sandwich en mettant un rôti entier entre deux tartines de burger !
-C’est vrai que je pensais pas que cela pouvait tenir, mais à son âge, cela a la peau élastique. Et puis il a le cul tellement lubrifié le petit, que ça glisse tout seul.
Moi, je le regardais en souriant. J’étais content et fier. Parce que j’avais l’impression d’accomplir un exploit dont je ne me croyais pas capable. Et puis, je voyais au visage de Pierrot que je lui donnais du plaisir, beaucoup de plaisir. Et en fin, non seulement, je n’avais pas mal, mais ce gros champignon visqueux, en glissant en moi, semblait pousser devant lui le curseur de mon plaisir… et il montait, il montait… Je commençais à croire que cela ne finirait jamais, lorsqu’enfin je sentis mes fesses se poser sur les cuisses puissantes du chasseur. Je pouvais enfin me laisser complètement aller, relâché au maximum, assis à califourchon sur cette bite qui m’occupait la moitié du ventre.
Pierrot, aux anges, flatta mes douces petites fesses qui lui enserraient la queue, comme pour les féliciter,... comme on aime flatter un cheval qui a bien couru. Mon corps répondit spontanément à cette douce marque de reconnaissance en tanguant légèrement, d’avant en arrière, doucement. Je pouvais ainsi me caresser les fesses, et les boules, en les frottant délicatement sur le corps velu du chasseur. Et cela faisait également coulisser légèrement le champignon dans mon conduit. C’était divinement bon, le plaisir d’avoir le cul ainsi caressé de l’intérieur faisait gonfler ma queue. Visiblement, Pierrot appréciait aussi.
-Hmmm, oui, vas-y, branle-toi le cul sur ma bite. Profite-s-en, je suis pas prêt de débander !
Il vint poser ses deux grosses mains sur mes seins, paumes en avant. Si bien que maintenant, mon balancement lascif me caressait en plus les têtons. C’était vraiment bon. Je profitais un long moment de ces douces caresses, sur mes fesses, mes couilles, mes seins, et surtout au plus profond de moi. Je ne pus réprimer des gémissements de femelle qui montaient en moi.
- Hmmm, hmmmm
- Oui vas-y, profite ! Ah Marcel, un petit cul comme cela qui t’enserre la bite, c’est vraiment que du bonheur.
Cette posture m’excitait de plus en plus. La grosse queue de Pierrot coulissait en moi de plus en plus facilement. Je pouvais maintenant me lever légèrement, avant de me laisser retomber sur le ventre rebondi du chasseur. Et plus je donnais de l’amplitude à mes mouvements, plus cette caresse intérieure se prolongeait pour me donner encore plus de plaisir. J’augmentais ainsi progressivement le rythme et l’amplitude, comme une locomotive à vapeur qui s’ébranle pour se lancer à pleine vitesse. Les coups de pistons que je m’assénais moi-même me faisaient maintenant siffler de plaisir.
-Ouii, ouiii, ouiii,
Pierrot me regardait, les yeux écarquillés de plaisir, comme s’il n’en revenait toujours pas d’être à pareille fête. Pour m’encourager, ou par réflexe incontrôlé, son ventre se contractait dès que mes fesses le touchait, et il ajoutait un petit coup de rein qui me donnait à la fois une petite fessée qi me ravissait, et une impulsion supplémentaire, qui me faisait maintenant littéralement décoller. Je sentais maintenant son gland s’arracher de mes fesses, me laissant ainsi suspendu en l’air un bref instant, avec la peur du vide, et l’appréhension de ne pas retomber au bon endroit. Mais, je ne sais par quel miracle, tel un bilboquet qui réussit à tout coup, je retombais toujours précisément sur le bout de son chibre, qui me pénétrait avec de plus en plus de facilité. Ce braquemart monstrueux administrait maintenant à mon petit cul une séquence de plaisirs intenses : le glissement dans mon conduit de cette queue qui s’en retire, le passage du gland s’échappant de mon anneau, l’instant de vertige en apesanteur, et la chute de plus en plus lourde, mon anneau à nouveau transpercé, mon conduit pénétré, et cette plénitude scandée par le claquement de son ventre sur mes fesses.
Que c’était bon ! Trop bon ! Combien de temps pourrais-je tenir ?
Le plaisir dépassa la limite du supportable lorsque Pierrot s’empara de ma queue et se mit à la branler d’une main puissante, au rythme de ma danse endiablée. Et comme s’il excitait plus encore un cheval qui s’emballe, il se mit à me fesser de sa main libre. Son visage apoplexique, la violence de ses claques, la force avec laquelle il me compressait la verge, tout indiquait que pour lui aussi, le plaisir devenait insupportable. Même s’il s’y efforçait le voulait, il ne pourrait plus retarder très longtemps la montée de la jouissance. Et tout cela m’affolait plus encore. Je sautais maintenant sur ma monture, comme un damné. J’avais perdu tout contrôle, mon corps frêle, complètement désarticulé, était secoué comme un cowboy dans un rodéo. J’aurais été désarçonné depuis longtemps, si cette main m’enserrant la queue, ne me maintenait en selle, ou devrais-je-dire en bite. Car cela, je ne pouvais pas l’oublié : ce colosse de chair qui me possédait, encore et encore, à chacune de mes chutes. Je m’offrais à un dieu, dont le sceptre me soumettait au plus profond de moi. Comme dans un sacrifice voluptueux, mes petites fesses s’activaient, s’écartaient, se serraient, pour obtenir du dieu, bienveillance et abondance.
Et soudain, au moment où je retombais une énième fois sur le ventre rebondi de Pierrot, le temps s’arrêta dans la douleur et le soulagement. La main du dieu me comprima la queue avec une force inouïe, stoppant nette la course du temps et ma danse grotesque. Mon corps se figea, et mes fesses, tétanisées par le plaisir, se refermaient avec une telle puissance, qu’elles parvenaient à compresser ce sceptre de chair. Je crus un court instant avoir triomphé du dieu qui m’asservissait, quand l’impression s’inversa. C’était maintenant mes fesses tétanisées qui s’écartaient sous la contrainte de la colonne de chair qui s’enfla inexorablement, pour finalement exploser en moi. Le dieu triomphait de mon corps, l’emplissant de son flot de jouissance. Comme en signe d’allégeance, mon corps qui ne me répondait plus offrit à son dieu un cri de plaisir et un jet de jouissance.
-Ah, le salop, il m’a juté sur la gueule ! En même temps, avec ce que je lui ai mis dans le cul, il va repartir plus lourd qu’il n’est arrivé !
-Ah, c’est sûr, tu l’as bien rempli, mon Pierrot, il va plus pouvoir s’assoir pendant une semaine le petit !
J’aurais aimé un peu plus de poésie. Mais Marcel n’avait pas complètement tort. Je suis en rentré en RER debout, en serrant les fesses, comme pour garder en moi, le souvenir de cette expérience incroyable

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!