Mon Gendre

A soixante huit ans et veuve depuis maintenant plus de vingt ans, je pensais avoir tout oublier du sexe. Mais le destin fait parfois que les choses ne sont pas ce que l’on croit. Ni même ce qu’elles devraient être.
Le mois dernier, ma fille, qui demeure deux étages au dessus de chez moi, est descendue un matin en me disant que son mari état mal fichu et, comme ma doctoresse devait passer me voir, elle m’a demandé d’appeler son époux lorsqu’elle serait là, pour qu’il descende se faire examiner.
La doctoresse est arrivée en milieu de matinée. Et après mon examen, tandis qu’elle rédigeait mon ordonnance, j’appelais mon gendre pour qu’il vienne la voir. Il est descendu aussitôt. La doctoresse lui a demandé ce qu’il avait et il a répondu avoir probablement un bon rhume. J’ai proposé à la doctoresse qu’elle fasse son examen dans la chambre, mais elle a dit que ce n’était pas la peine, que mon gendre n’avait qu’à se mettre torse nu sur le divan. Chose dite, chose faite. Elle a commencé son examen par la prise de tension, puis a continué par une longue écoute stéthoscopique. Ensuite de quoi elle a procédé à un examen clinique en le palpant sur l’ensemble du corps. Arrivant sur le ventre, elle a dégrafé le pantalon et y a entré une main pour palper le ventre. C’est alors qu’elle lui a demandé :
- Et votre testicule, qu’est-ce ça devient ?
Je savais, par ma fille, que son mari avait eu un petit problème de ce côté là. Il a répondu à la doctoresse que ça avait l’air d’être revenu à la normale.
- Je vais quand même regarder ça. A-t-elle dit.
Puis, sans façon, elle a baissé le pantalon et le slip jusqu’aux pieds. Si bien que je me trouvais assise là, face à mon gendre complètement nu.
Sans tenir compte de ma présence, la doctoresse lui a alors palpé longuement les testicules, Sans doute aurai-je du détourné le regard, mais était-ce la surprise de cet examen inattendu, je ne l’ai pas fait et j’ai continué à regarder.

Le toucher de la doctoresse, quoique je ne lui voyais rien faire d’anormal, devait sans doute prodiguer des sensations à mon gendre, car j’ai bientôt vu son sexe se redresser. La doctoresse, voyant sa réaction a dit tout naturellement :
- Voyons si tout se passe correctement.
Puis elle a pris son pénis dans ses doigts et l’a manipulé en le décalottant. Ce serait inexact de dire qu’elle l’a masturbé, sans doute sait-elle parfaitement comment effec ce genre d’examen, mais à un moment mon gendre n’a pas pu contenir une éjaculation. Trois ou quatre giclées de sperme se sont échappées de son sexe tendu, maculant son ventre.
Sans se départir de son sérieux, la doctoresse a simplement déclaré :
- En tout cas la fonction génitale s’effectue normalement. Reste ce petit durillon à la base du testicule. Je vais vous prescrire une écographie pour voir ça.
Puis, se tournant vers moi, elle m’a demandé une serviette. Je suis allée chercher une serviette dans la salle de bains et lui ai apporté. Mon gendre était toujours en érection et son ventre, ses poils étaient barbouillés de sperme. Tandis que la doctoresse lui rédigeait ses ordonnances et son arrêt de travail, il s’est levé pour se rhabiller.
Lorsque la doctoresse a été partie, je me suis excusé auprès de lui d’avoir été obligée de voir. Lui s’est excusé de n’avoir pas réussi à se contenir. Je lui ai dit que ce n’était pas sa faute, puisque j’avais proposé à la doctoresse d’effec son examen dans la chambre. Que je comprenais néanmoins que, compte tenu de son problème antérieur, il était tout à fait normal qu’elle tienne à vérifier elle-même que tout se passait correctement à ce niveau. Que je réalisais bien évidemment que lui n’y était pour rien. Nous avons convenu de ne pas accorder plus d’importance qu’il n’était nécessaire à cet incident, et surtout de ne pas en parler à ma fille, qui s’en trouverait sans doute très gênée.
Moi qui croyais avoir oublié jusqu’à l’existence d’un sexe masculin, me voici munie d’un souvenir difficile à effacer.
A chaque fois que je regarde le divan, je revois la scène : mon gendre allongé, nu, et la doctoresse lui palper les testicules et le pénis jusqu’à l’éjaculation. J’avoue être gênée de cette vision qui me donne des sensation de fourmillement dans le bas du ventre.
Mais je ne sais si je pourrai oublier, ni même si je le souhaite.

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