Mon Gendre 3 Et Fin

Mon gendre 3
M’entrainant dans ce qui devait être sa chambre, elle m’a dit
« Allonges toi et branles toi pendant que je me prépare »
Sans hésitation, je lui ai obéi ; je ne sais pourquoi, mais elle me dominait depuis mon arrivée ; son baiser avait déclencher en moi, l’envie de lui appartenir, de lui être soumise et ce fut le cas. Mes doigts jouaient avec mon petit bourgeon, s’infiltrant par la même occasion dans ma chatte encore enflammée par la posséssion de Fred. C’est à ce moment qu’elle est revenue, harnachée d’un gode culotte, noir, de belle dimension. Se mettant à genoux entre mes cuisses, elle m’a elle aussi fistée, mais de façon beaucoup plus brutale, même si cela ne déclenchait pas de douleurs importantes ; elle voulait sans aucun doute faire la différence avec ma relation avec Lindsey, se doutant, la connaissant, qu’elle aussi m’avait ainsi possedée. Il ne lui a pas fallu longtemps pour me faire jouir, tant sa brutalité enflammait mes envies ; ma main s’appuyait parfois sur son bras qui me posseder, geste qu’elle retirait, mais tout en augmentant ses virounades jusqu’au fond de ma matrice ; ma jouissance était tellement forte que j’avais envie de plus ; je voulais qu’elle me soumette avec son gode et entre deux sanglots de jouissance, j’ai eu le courage de lui dire :
« Prends-moi, défonces moi, fait de moi ce que tu veux, je t’appartiens ; je te suis soumise, que tu me fasses mal quand tu me prendras, je suis à toi »
ses yeux , noirs, inquisiteurs se sont fixés sur les miens, assurant un peu plus sa domination, puis écartelant mes cuisses, elle s’est vigoureusement plantée dans ma chatte ; un gode n’a pas le même impact qu’une chair et quand il s’est enfoncé en moi, froid, un plastique dur, une raideur infernale, je n’ai pas pu me retenir ; la douleur, autant que le fait d’accepter cette forte pénétration, la réalité de savoir qu’elle saurait me posseder violement, mais aussi sans aucun doute m’amener à accepter à toutes ses envies a provoqué une certaine détresse, enveloppée de plaisir, provoquant des larmes.

Sous ses assauts que j’encourageais, je comprenais que si elle le voulait je ne serais qu’à elle.
Son plaisir de domination a eu l’impact sur elle, car à son tour, elle s’est mise à gémir, accentuant ses coups dans mon ventre dévasté par la douleur et le plaisir. Soudain, débordant de sa culotte, m’inondant les cuisses et les draps, sa cyprine s’est déversée, accompagnant sa jouissance et la mienne. Quand elle s’est retirée de mon ventre, j’ai découvert que sa culotte avait un petit gode intérieur que devait lui pénétrer, soit la chatte soit son anus, ce qui sans aucun doute était à l’origine de cette puissante fontaine.
Après le repas, le groupe s’est réparti dans les chambres ; il était évident que Jo allait être sollicité par un ou plusieurs garçons, et les cris qui ont débordé de leur chambre en étaient la preuve ; pour ma part, malgré la sollicitude de Fred qui chercher manifestement m’emmener avec lui, je ne suis réfugiée avec Lindsey et Jonathan, qui ayant deviné ma séance avec Jo m’ont laissé profiter d’un peu de repos. Tout en conversant cependant sur nos couples respectifs.
C’est ainsi que j’ai compris que le couple était une relation fréquente, principalement Jo dominant et possédant Lindsey, alors que son mari ne refusait pas de se faire sodomiser par Jonathan . Que Fred était l’amant très régulier de Lindsey, avec ou sans la présence de son homme. S’ils n’allaient que très rarement en club, ils leur arrivaient de participer à des soirées plutôt chaudes, allant même jusqu’au bdsm pour elle ; puis elle m’a avouée, déposant un bisou sur les lèvres, que cela faisait longtemps qu’ils avaient envie de flirter avec nous, elle ayant très envie de moi, mais aussi de se faire prendre par Jean.
A mon tour, je lui ai dévoilé notre mode de vie, à savoir que Jean, candauliste, aimait me voir pris par un ou plusieurs hommes ; que j’avais une maitresse attitrée, que sans qu’il le sache j’avais appartenu à deux amants, en même temps, c’est à dire que je les voyais ensembles et qu’ils faisaient de moi ce qu’ils voulaient, allant même une fois à m’offrir à deux de leurs amis, séance très chaude dont malgré tout, j’ai gardé un bon souvenir, mais que maintenant notre relation s’était éloignée.
Tout comme eux, nous avions été dans un club bdsm, mais qu’à l’inverse d’eux, c’était Jean mon soumis lors de ces jeux.
Bien entendu tous ces révélation ont redonné vigueur à Jonathan, d’autant plus que Lindsey nous caressait, lui le chibre, moi soit mes seins, soit ma chatte. M’allongeant sur le lit, elle a pris le sexe de son homme pour l’enfourner dans mon ventre, en lui disant « fais lui l’amour, comme pour moi ». Alors que pendant qu’il me pénétrait assez tendrement, elle présentait son minou, bien humide à ma bouche vorace. Plus tard, nous avons jouis, l’un après l’autre, nous embrassant tendrement. Le début d’un amour partagé.
Quand nous sommes redescendus, il n’y avait que les garçons, car le couple s’était absenté, après que Jo se soit fait prendre par les trois en même temps. Moment de détente et de conversation, Fred me questionnant sur notre libertinage. Très intéressé, il m’a demandé si Jean serait d’accord pour qu’il continue à me rencontrer, autrement dit, il avait envie d’être mon amant, comme il l’était celui de Lindsey avec l’accord de Jonathan. Le plus simple, lui ai-je répondu, c’est que tu lui poses toi-même la question lors d’une rencontre. Ce qui signifiait que j’étais pour ma part d’accord. De révélations en révélations, les queues de nos boy se sont vites montrées et pour une fois, j’ai osé demander.
« J’ai entendu Jo tout à l’heure et moi aussi j’ai envie de vous appartenir, je laisse Jonathan pour l’instant avec sa petite femme, mais à vous trois maintenant de me faire jouir. »
encore étonnée par ma demande, j’ai vu fondre sur moi les trois garçons ; vite déshabillée, car je n’avais qu’une robe lègère sur moi, vite allongée, trois paires de mains ont commencé à me caresser, me pincer les tétons, avant que plusieurs doigts, sans savoir à qui ils appartenaient ,viennent s’infiltrer aussi bien dans ma chatte que dans mon fondement ; alors que deux queues se présentaient à ma bouche, pour une fellation , le seul qui ne m’avait pas encore possédée, m’a relevée les cuisses et sa queue s’est propulsée dans ma chatte ; difficile de sucer deux bites quand une autre vous défonce ; mais pour moi seul comptait le fait que j’allais les avoir pour moi tous les trois.
; les seins malaxés, les tétons rouges tellement ils étaient triturés, le ventre défoncé par une queue agile à défaut d’être volumineuse, ma jouissance a déferlé plusieurs fois, avant qu’il ne se vide en moi, avec comme chaque fois le plaisir de me faire féconder
C’est alors que Fred a pris les commandes ; Bernard couché sur le dos, je me suis empalé sur son éperon que j’avais déjà apprécié auparavant ; sa queue bien dure me ramonait le vagin ,donnant des coups de rein pour mieux me pourfendre ; Fred s’était gardé pour lui la meilleur position ; me plaquant sur la poitrine de Bernard, le coquin est venu posé son gland contre le sexe déjà en moi ;doucement , mais fermement son dard s’est logé contre le vit qui me remplissait déjà, pour finalement plaquer son bassin contre mes fesses ; j’avais deux gros membres en moi qui m’écartelaient ; condamné à rester immobile en moi, Bernard se faisait branler la tige lors des pénétrations de plus en plus fortes de Fred ;sous ses assauts, ma respiration s’est accélérée, mes gémissements puis mes cris ont emplis la pièce ; j’aime me faire prendre en double vaginale et je le faisais savoir
« Oh oui, vous me déchirez, mais j’aime vos queue en moi, faites-moi jouir encore, baisez-moi, fécondez-moi, je vous veux… »
Pour les vouloir, je les ai eus ; quand soudain Fred s’est retiré, alors qu’aucun des deux, n’avait juté. Un grand vide dans ma chatte, dilatée à l’extrême, mais aussi un grand manque ; quand glissant son dard contre mon sillon, le graissant des sécrétions qui suintaient de mon con, il a voulu me sodomiser.Ma réaction a été brutale, essayant de me libérer de leurs étreintes
« Non je ne veux pas, tu es beaucoup trop gros pour moi et tu vas m’estropier ; je ne suis pas une adepte de la sodomie et même jean n’y a pas droit »
« Rassures-toi, je vais faire doucement, mais puisque Jean ne t’encule pas, je vais te faire perdre ton pucelage ; tout à l’heure tu m’as dit que je pouvais faire ce que je voulais de toi, alors je le fais »
En meme temps, il me massait mon petit trou, prenant ma cyprine autour du chibre qui continuait à me percuter le ventre ; doucement mais fermement un doigt m’a pénétrée, puis deux, virevoltants dans le conduit secret ; c’est à ce moment que deux claques sur les fesses m’ont fait sursauter et qu’il en a profité pour défoncer mon anneau ; la douleur a été atroce, me vrillant le ventre, les larmes jaillissant de mes yeux, mais mon œillet avait cédé et sa queue était dans mes entrailles.

« tu n’es plus pucelle du cul et j’ai eu le privilège d’être le premier »
sans tenir compte de mots orduriers que je lui balançais, il a commencé doucement à me pistonner, reprenant parfois ma semence pour lubrifier le passage ; petit à petit la douleur a diminué, laissant place à un début de plaisir, qui s’est concrétisé par une grosse émission de cyprine ; il s’en ai aperçu et à la cantonnée il s’est écrié
« tu vois, maintenant tu jouis du cul et ce n’est pas fini »
En effet, alors que Bernard jutait en moi, ce qui accentuait les fuites de ma chatte, lui prenait une vitesse supérieure, m’enculant puissament, de plus en plus facilement ; soudain une bouffée de chaleur m’a envahie s’accompagnant d’une jouissance inconnue, je prenais mon pied en me faisant sodomiser, et elle a éclaté bruyamment quand ses jets se sont propulsés, emplissant mes entrailles pour la première fois. Facilité par son sperme, sa queue a continué à me défoncer, me procurant plusieurs jouissances, avant qu’il ne se retire de mon anneau ; à ma grande honte, nos sécrétions mélangées se sont répandues sur le matelas, mon malaise les faisant bien rire.
Epilogue
Jonathan et Lindsey sont venus à la maison et son mari l’a offerte à jean ; depuis lorsque nous nous voyions, nos jeux sont fréquents, Lindsey est devenue une amante pour moi, alors que nous échangeons régulièrement nos conjoints aussi bien la nuit que pour de courts séjours.
J’ai revu Jo, je me suis laissée prendre selon ses envies, mais un peu plus tard, ses demandes devenant trop hard pour moi, j’ai coupé les ponts. Quant à Fred, nous l’avons invité à la maison où comme prévu, il a eu l’accord de Jean ; depuis c’est un amant régulier, venant me prendre à la maison, me baisant souvent devant Jean, mais aussi m’enculant, alors que lui n’a toujours pas le droit de le faire il est souvent arriver que nous nous retrouvions tous les cinq, pour des week-ends chargés, surtout pour les deux femmes.

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