Suite Téléphonique De La Pipe

Chapitre 2

Toute la semaine, malgré un travail très prenant, Jérôme pensa à Esther, repassant continuellement le film de ce voyage, s’octroyant des arrêts sur image…
« C’est vraiment une femme exceptionnelle se disait-il, quel talent ! quelle artiste du sexe, ce qu’elle aime ça ! Et puis quelle classe, pleine d’esprit et d’humour, je n’en crois pas mes souvenirs ! ! Quelle chance d’avoir rencontré une femme aussi brillante, je suis sur qu’elle l’est aussi dans sa vie professionnelle. C’est exactement le genre de personne que j’aimerai garder comme relation, quelle équipe on pourrait former tous les deux ! ! ! »
De disant cela il réalisa soudain que c’était surtout lui qui avait bénéficié de cette relation, c’était elle qui l’avait fait jouir, lui n’avait rien fait pour elle, pas la moindre caresse.
Bien sur, si elle avait fait cela et de cette si belle façon, c’est qu’elle y prenait du plaisir et cela le réconfortait un peu car il ne savait éprouver du plaisir s’il sentait que sa partenaire n’était pas au diapason. Certes cela n’avait pas été le cas.
Brutalement il paniqua à la pensée qu’elle avait pu très bien le prendre pour un goujat ou un incapable et qu’elle pouvait très bien souhaiter ne pas le revoir. Pourtant elle lui avait confié son numéro de téléphone. En proie à toutes ces pensées contradictoires il se promit de l’appeler dans la soirée.
Il avait l’avantage d’être marié à une femme charmante et fort belle, aussi blonde que sa connaissance était brune et qui avait entre autre qualité l’extrême délicatesse de vivre avec lui le respect de l’indépendance de l’autre, en même temps qu’un travail qui la tenait souvent éloignée de leur domicile. Ce soir là justement elle ne rentrait pas, c’était donc parfait pour essayer d’appeler sa belle suceuse.
Le cœur battant il composa le numéro, au bout de trois sonneries une voix féminine lui parvint :
« Allo ? »
« Bonjour, pourrai-je parler à Esther ? »
« C’est moi-même » entendit-il, mais il avait reconnu sa voix dès le premier mot.


« C’est Jérôme…. Vous vous souvenez peut-être… ? »
« Jérôme disait-elle d’une voix suave, Ah oui…bien sûr je me souviens »
Il n’avait pas remarqué lors de leur voyage qu’elle avait une voix si belle, il est vrai qu’ils n’avaient échangé que peu de mots. Il le lui dit.
« Merci, mais je crois que vous vous êtes intéressé à autre chose qu’à ma voix…et puis avouez que je pouvais difficilement soutenir une conversation » dit-elle d’une voix douce et sensuelle accompagnée d’intonations moqueuses.
Jérôme était collé au téléphone, subjugué par la beauté de cette voix, séduit par les intonations sensuelles et la douceur des sons de gorge qui lui parvenaient. Complètement étonné il se sentait déjà bander.
« En effet répondit-il, justement je voulais vous faire part d’un regret. »
« Ah…vous n’avez pas été…satisfait de notre….conversation. »
« Oh si ! ! certainement que si, plus que vous ne pouvez l’imaginer mais si j’ai reçu autant de plaisir de votre part, à mon grand regret je n’ai pu à mon tour vous en offrir. »
Elle rit, d’un rire de gorge qui venait directement au sexe de Jérôme, sans passer par les oreilles.
« Eh bien peut-être aurez vous bientôt l’occasion de réparer cela »
« Hélas vous êtes loin de Paris, je ne sais si j’aurai la possibilité de vous rejoindre avant un moment. »
« Je souhaite vous retrouver bientôt dit-elle, mais en attendant nous avons le téléphone.. »
Le sang monta brutalement aux tempes de Jérôme.
« Vous croyez qu’avec des mots… »
« Je vous écoute » le coupa Esther, d’une voix encore plus douce.
Jérôme lui aussi très cérébral, comme tout véritable sensuel, était enchanté et ne se le fit pas dire deux fois.
« Vous êtes à votre bureau ? »
« Oui, je suis seule »
« Vous êtes assise, je suis derrière vous, mes deux mains se posent au niveau de votre cou, le massent légèrement, descendent vers l’extérieur de vos épaules, très doucement, s’orientent vers l’arrière et passent lentement sous vos aisselles.
Là je sens la naissance de vos seins. Un instant je reste ainsi, les deux mains plaquées contre l’extérieur de vos seins, à les sentir palpiter. Mes mains d’un geste entourent chacun de vos globes d’un mouvement tournant, pour les soupeser, les tâter, sentir ainsi leur consistance et leur chaleur. Je les sens fermes et doux. »
« Oui c’est doux » soupira Esther encourageant ainsi la caresse.
« Mes mains vous caressent les seins et du bout des doigts j’en touche les tétons, je les sens pointer et durcir, vous aimez ? .. »
« Ouiiii j’aime .. » murmura la voix de rêve au bout du fil.
« J’ouvre votre chemisier, je libère vos seins, je veux les voir…me penchant par dessus votre épaule j’embrasse le bout d’un sein, le titille de la langue, le mordille du bout des dents. »
« Hummmm soupirait la belle caressée, continuez. »
Elle aime bien diriger les opérations pensait Jérôme, ce que j’apprécie assez par ailleurs, mais là je vais essayer de la dérouter.
« Non, j’arrête, je referme votre chemisier. Vous allez vous mettre debout, face à votre bureau, et vous pencher en avant, la poitrine contre le dessus du bureau, vos jambes écartées. »
« Oui dit-elle dans un soupir, je vous présente mes fesses. »
« En effet ma main droite sur votre cheville droite, ma bouche sur votre cheville gauche je remonte lentement le long de vos jambes, d’un côté avec la main, de l’autre avec la bouche, léchant et mouillant vos bas au passage . J’arrive à l’intérieur de genou, sur lequel je m’attarde un peu, le temps de déposer un baiser. Je continue ma progression vers le haut, ma bouche et ma main sont maintenant à l’intérieur de vos cuisses. »
« Je les écarte encore gémit Esther, c’est bon ce que vous me faites. »
« Je continue de monter, arrive à la fin du bas et de sa texture élastique emprisonnant légèrement les cuisses à la naissance de votre peau, que je découvre à la fois de la main et de la bouche…un vrai délice de douceur.
Ma bouche reste un instant là, à goûter le moelleux de votre peau, votre parfum, votre odeur, à déguster votre cuisse tendre et ferme. Le satiné de votre peau me retient là encore, du bout de la langue je vous goûte, du plat de la langue j’essaie d’en déguster plus. Je vous lèche en vous dégustant, ma main droite remontant d’une caresse votre cuisse, palpant du bout des doigt et de la paume votre douceur. »
« Hummm, je remonte doucement ma jupe dit la voix ensorceleuse » ce qui révéla qu’elle ne portait pas de culotte.
« Oui découvrez votre cul que je devine adorable. »
« Ahhh soupira la belle léchée » comme si le mot, prononcé à son intention augmentait son excitation.
« Toujours avec ma bouche d’un côté et ma main de l’autre je découvre vos fesses, les deux sensations mélangées : le toucher et le goût pour moi, et deux caresses différentes pour vous. Je m’attarde un instant sur votre fossette, à la jointure de vos fesses et de vos cuisses, de la langue je la caresse au passage et du doigt je la dessine. Quel beau cul, quelles belles fesses larges et charnues, et ce beau sillon qui les sépare ! ! »
« Entre mes fesses, par en dessous, vous voyez mes lèvres… » dit-elle d’une voix frémissante.
« Oui je vois vos lèvres, charnues et écartées, je distingue quelques-uns de vos poils. Du bout des doigts j’en prends une touffe que je fais crisser entre le pouce et l’index, je les tire doucement, faisant ainsi le tour de votre chatte en vous infligeant la sensation de ce supplice de tirage de poils intimes. »
« Humm » fut la réponse à ce commentaire.
« Tiraillant toujours vos poils en admirant votre cul, j’en profite pour, de la longueur de mon majeur explorer votre fente que je découvre humide. »
« Non, inondée. » rectifia Esther.
« En effet condescend Jérôme et je remonte vers le sommet de votre con que je devine sublime, jusqu’au petit bouton que je chatouille du bout de mon doigt, je le sens durcir et l’index et le majeur joints, le tenant ainsi prisonnier, je le branle doucement.
»
« Ouiii branlez moi » soupire la belle affalée sur son bureau, le cul offert au regard expert de son admirateur virtuel.
« J’abandonne avec regret je dois dire votre chatte ouverte, mais ce n’est pas ce lieu que j’ai décidé d’honorer ce soir. Accroupi derrière vous, le visage à hauteur de vos fesses, des deux mains écartant les deux globes rebondis, j’admire votre raie ouverte à mes yeux. Mon regard se pose sur le spectacle le plus intime que vous puissiez m’offrir : votre délicieux trou du cul. Sombre et caché au milieu de votre raie, il m’attend là, comme un cadeau de vous dans son écrin voluptueux, précieusement inoubliable. Je le contemple un moment, sachant le plaisir que vous avez à sentir mon regard au plus profond de votre intimité. Sa rondeur plissée se dissimule entre les deux collines qui lui offrent leurs parois protectrices. Ecartant des deux mains les fesses déjà bien ouvertes que vous me présentez il change de forme et à mesure que je tends votre raie il vient vers moi. Je relâche ma tension sur vos fesses, puis je retends de nouveau, plusieurs fois de suite comme pour branler de la sorte votre joli trou. Je le vois ainsi s’ouvrir et se fermer, se préparant à recevoir tout à l’heure un présent qui le dilatera.
Subjugué par cette vision paradisiaque, mon doigt s’approche pour le toucher et l’accompagner dans son mouvement. Du bout de mon majeur je frôle le centre de ce petit cratère, j’en apprécie la douceur et l’élasticité, déjà je le sens prêt à s’ouvrir à la première sollicitation. Vous avez le cul souple d’une baiseuse passionnée. »
« Ah que j’aime ces mots » dit Esther dans un souffle.
« Mon doigt continue son exploration, il tourne maintenant en spirale du centre vers les bords, s’appliquant à bien ressentir à chaque petit pli la finesse de votre peau. Arrivé tout au bord il cède ma place à ma main tout entière, la paume appliquée totalement sur votre cul, comme pour sentir battre là toute votre excitation. Mon majeur se dirige maintenant vers votre chatte, ouverte et mouillée elle va me permettre de lubrifier mon doigt à votre liqueur. Je m’enfonce du doigt dans votre chatte, un instant je reste immobile, le temps de déguster cette position, puis je me retire, ne résistant pas au plaisir de flatter vos lèvres au passage. »
« Ahhh !.. baisez moi, baisez moi maintenant » soupire Esther de sa voix divine.
Jérôme résiste difficilement à cet appel, à cette voix qui supplie de lui infliger une douce baise comment peut-on dire non ? Et pourtant pour augmenter encore son plaisir à elle, et le sien par conséquent, il décide de ne pas répondre à cette supplique pourtant formulée de la plus agréable façon. Il faut parfois faire patienter le plaisir, justement quand c’est presque insoutenable, pour l’augmenter encore. Jérôme avait cette perversité cérébrale du jouisseur, et il savait que la jeune femme était de la même race.
« Non je ne vous baiserais pas Esther, mais je vais vous doigter le cul, doucement, de mon doigt humide de vous je vous encule lentement. Mon doigt vous pénètre doucement, s ‘enfonce à ne plus pouvoir, ma main bloquant sa progression, et pourtant je voudrais aller plus loin en vous, vous pénétrer encore plus, vous enculer totalement. »
« Ouiii…oh ouiii… enculez moi » supplia la bouche sensuelle qui depuis longtemps déjà tenait sur le fil de sa voix la bite bandée de Jérôme.
Celui-ci avait sorti sa queue, et sous le charme de la voix de sa complice téléphonique il se branlait, sentant le plaisir monter d’un degré à chaque soupir d’Esther.
De son côté Esther très excitée par les images que Jérôme lui suggérait, la main entre ses cuisses se caressait sentant sur ses doigts la concrétisation du plaisir qu’elle prenait à l’écouter.
« Je me relève Esther, je sors ma bite dure et humide, ouvrez bien vos fesses. »
« Oui je vous ouvre mon cul, prenez le, donnez moi votre belle pine que je sais si bonne. »
« Mon gland est tout contre votre anus, de ma main je fais aller ma bite du haut en bas de votre raie, de façon à prendre connaissance d’elle par les sensations de mon gland sur la peau la plus douce de votre intimité. Puis prenant vos fesses à deux mains, je les referme sur ma queue, formant ainsi une gaine dans laquelle je me branle. Bientôt j’écarte de nouveau vos superbes fesses, prenant ma queue d’une main, écartant votre divin trou de deux doigts, je pointe ma bite. Mon gland est à l’entrée de vous, je m’enfonce lentement, lentement mon gland passe la barrière de votre anneau, ma queue poursuit son intrusion et se plante jusqu’à la base. »
« Ah ouiii, je vous sens dans mon cul, soupira la divine, de ma main je remonte entre mes cuisses et caresse vos couilles. »
« Oui répondit Jérôme, la bite dans votre cul, les couilles dans vos mains je vous pistonne. »
« Ahhhh gémit Esther je jouis !…je jouis..je jouis ! ! ! »
Le râle de plaisir de la jeune femme précipita Jérôme dans le bonheur.
Ils jouirent ensembles.
Plus tard, reprenant leurs esprits, ils remercièrent France Telecom




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