Vacances À Libresexe (Rêve D'Un Paradis Du Sexe)

L’été dernier je suis parti en vacance à l’île de Libresexe, une île imaginaire dont j’aimerais vraiment découvrir un avatar bien réel pour y vivre en liberté ne serait-ce que quelques jours de vacances.
Libresexe est une île située dans une contrée où le climat permet de se dispenser de vêtements. On y vient en bateau, par une navette à voiles, en deux heures depuis le continent mais, pour y accéder, il faut, au préalable, avoir passé tout un tas d’examens destinés à s’assurer que les entrants soient sains et qu’ils puissent baiser en liberté sans risquer de contaminer les autres participants, ce qui permet de se libérer des contraintes liées à la triste nécessité de la capote. Pour les dames en âge de procréer, à elles d’assumer : ou elles veulent un gamin sans s’emmerder avec un père et, en baisant ainsi avec de multiples mecs, elles se donnent des chances d’être engrossées sans savoir jamais qui leur a fait ce cadeau. Dans le cas contraire, à elles d’assurer la contraception, attendu qu’il est impossible d’imposer une vasectomie à tous les visiteurs de sexe masculin.
A mon arrivée sur l’île, nous étions trois passagers sur le bateau : un couple et moi.
L’accueil sur le quai était à la hauteur de mes espérances. Deux superbes jeunes femmes nues m’ont souhaité la bienvenue. La première, prénommée Manuela, était une grande blonde à la pilosité naturellement peu abondante qui, en définitive, ne cachait rien. Un mètre soixante dix, bien proportionnée, des seins ni trop gros ni trop petits et une couleur dorée uniforme qui disait son habitude de vivre nue puisque aucune marque disgracieuse ne ternissait sa beauté. Louise, une superbe noire, tout aussi bien faite que sa camarade, était quasi intégralement épilée, à l’exception d’une sorte de ticket de métro.
Un tel accueil eut tôt fait de ma poser des problèmes de place dans le pantalon. Elles m’ont embrassé chacune sur une joue en me disant :
- « Bienvenue à Libresexe ! Nous allons te conduire à tes appartements et t’expliquer les règles de vie sur l’île »
Elles m’ont guidée par une allée tranquille d’un parc luxuriant vers un groupe de bungalows au sein desquels se trouvait le mien.

J’ai bien aperçu d’autres personnes évoluant nues, mais je n’en dirai pas plus, tant mon regard était attiré par les deux superbes culs qui se dandinaient devant moi. Elles m’ont ouvert la porte et, me précédant dans la place, m’ont invité à pénétrer dans les lieux. J’ai posé mon sac et elles m’ont invité à me mettre à l’aise.
Manuela a dit qu’elle nous préparait des cocktails pour fêter dignement mon arrivée cependant que Louise m’invitait à me dévêtir pour prendre une douche. Je l’ai regardée, n’osant pas me dévêtir en sa présence, puis, réalisant que j’étais le seul habillé, je me suis dévêtu sans faire plus de manières. La seule chose qui me gênait encore, c’est que je n’avais pas débandé depuis mon arrivée sur l’île. Luise ne s’en est pas offusquée pour autant, au contraire. Elle est venue vers moi, a posé ses lèvres sur les miennes et sa main en coupe sur ma queue en me disant :
- « C’est nous qui te faisons cet effet-là ? »
- « J’en ai bien peur ! »
- « Alors, ça veut peut-être dire que tu as justement choisi le meilleur endroit pour satisfaire tes envies de sexe. Encore bienvenue à Libresexe ! »
Elle m’a entraîné dans la douche où elle a fait couler l’eau avant de m’asperger tout le corps d’une eau agréablement tiède et de m’enduire de gel douche. Ce faisant ses mains se faisaient caressantes et ne négligeaient aucun endroit sensible. Je lui ai rendu la politesse avec plaisir, en profitant pour malaxer ses chairs si appétissantes. Nous nous sommes rincés, puis je l’ai essuyée en la pelotant bien partout. M’essuyant à son tour, elle m’a tété les seins en me flattant l’entre jambes d’une main baladeuse, puis elle s’est agenouillée pour prendre en bouche mon membre turgescent. Je la laissais faire, subjugué par la sensualité de sa caresse. Manuela, qui avait fini de préparer les cocktails, est venue se coller derrière moi, m’embrassant dans le cou jusqu’à ce que je tourne la tête vers elle. Elle a alors pris ma bouche, y insérant une langue mutine.
Ses bras m’enlaçaient et ses mains avaient pris possession de mes tétons qu’elles pinçaient et torturaient avec douceur.
Comment résister longtemps à un tel traitement ? J’ai explosé dans la bouche de Louise qui ne s’est pas retirée et à continué de pomper ma queue jusqu’à complète débandaison, gardant dans sa bouche ce qu’elle pouvait contenir de mon sperme, le reste lui dégoulinant en coulures blanches sur sa peau brune. Elle s’est relevée pour partager mon foutre avec Manuela dans un baiser torride.
Elles m’ont pris par la main pour m’entraîner au salon où nous avons devisé en sirotant le délicieux cocktail préparé par Manuela. Elles m’ont expliqué que Libre sexe, comme son nom le laisse à penser, comporte deux notions essentielles : libre et sexe, ce qui veut dire que, primo, question habillement, rien n’est imposé et la nudité est toujours bienvenue. Pour ce qui est du sexe, il est permis d’offrir tout type de relation sexuelle à toute personne. Bien évidemment, ma liberté d’offrir n’a d’égale que celle de l’autre de refuser, chacun étant libre d’avoir envie ou non, d’accepter une personne et de refuser l’autre, d’accepter certains attouchements et d’en refuser d’autres. C’est la liberté pour chacun avec la seule obligation de respecter le choix de ses interlocuteurs. Autres limitations : la zoophilie n’est pas possible sur l’île, aucun animal n’y étant accepté, le crade (uro, scato, …) doit être réservé à la sphère privée, chacun ayant la charge de nettoyer ensuite ses cochonneries que tout le monde n’apprécie pas et, pour finir, le sado-maso n’est admis que dans l’enceinte réservée à cet effet afin que seules les personnes ayant choisi d’y pénétrer soient confrontées à ces pratiques particulières.
Pendant qu’elles m’expliquaient tout ça, j’avais posé mon verre et flattais leurs corps si désirables, palpant leurs poitrines et je ne saurais dire laquelle me plaisait le plus, de la brune ou de la blonde. C’est cependant entre les cuisses de la brune que j’ai choisi de poser mes lèvres pour un cunnilingus qu’elle a semblé apprécier si j’en juge par la bordée de cyprine qu’elle a lâché dans ma bouche.
Pendant ce temps-là, Manuela s’est emparée de ma queue qu’elle a d’abord dégusté telle une sucette avant de se l’introduire dans la chatte. Quand elle a joui, les contractions de son vagin ont eu raison de ma résistance et j’ai envoyé dans sa moule une nouvelle dose de crème.
Je leur ai demandé :
- « Aurai-je le plaisir de vous revoir durant mon séjour ? »
- « C’est peu probable. Notre tâche est d’accueillir les nouveaux arrivants. Il nous faut d’ailleurs te quitter pour aller accueillir celui qui nous vient par la navette de seize heures. Notre autre rôle est de faire la police, pour le cas où quelqu’un ne respecterait pas les règles en vigueur sur l’île et importunerait quelqu’un qui ne souhaite pas sa présence »
Elles on perçu ma mine dubitative.
- « Ne te méprends pas, nous sommes rompues à plusieurs sports de combat et n’aurions aucune difficulté à mettre hors d’état de nuire le récalcitrant le plus costaud, même si, bien sûr, nous préférons user d’autres arguments beaucoup plus plaisants tant pour nous que pour notre partenaire. »
- « Nous te laissons t’installer avant de partir à la découverte d’autres partenaires. Ah oui, j’oubliais, il y a un petit code en vigueur sue l’île : une porte ouverte est une invitation à pénétrer. Quand tu es chez toi, si tu veux être tranquille, ferme ta porte, dans le cas contraire, laisse la ouverte. Il y toute chance pour que quelqu’un ou quelqu’une s’invite à partager un moment de plaisir avec toi. Là encore, tu as toujours toute liberté pour accepter ou refuser.
Au-revoir Jean-Paul, nous sommes heureuses d’avoir fait ta connaissance. Nous te souhaitons un excellent séjour à Libresexe »
- « Au-revoir les filles, et merci de votre accueil si chaleureux. »
- « La porte, on la ferme en partant, ou on la laisse ouverte ? »
- « Fermez-la, s’il vous plait. J’ai besoin de reprendre quelques forces avant d’affronter d’autres partenaires. Pour l’instant, je ne me sens pas du tout en état de satisfaire les besoins de qui que ce soit.
Elles ont ri et se sont éclipsées en fermant la porte.
J’ai pris le temps de ranger mes affaires, puis je me suis allongé sur le lit pour une sieste bien méritée. J’ai dû dormir un bon moment puisque l’après-midi était déjà bien avancé quand j’ai repris conscience.
J’ai ouvert ma porte pour prendre l’air. Mes voisins sirotaient une bière sur leur terrasse Quand ils m’ont aperçu ils m’ont tout de suite invité à prendre une mousse en leur compagnie. J’ai hésité l’ombre d’un instant, étant sorti sans me rhabiller, mais, observant qu’ils étaient dans la même tenue, j’ai tout de suite accepté leur invitation.
Huc-mi s’est levée pour m’accueillir. C’était une jolie femme de type asiatique, aux seins un peu petits, comme c’est souvent le cas chez les asiatiques mais, ce détail mis à part, elle était sublime et sa chatte ne présentait aucune trace de poils. Elle m’a embrassé sur la bouche (Décidément ça devait être le mode local) en frottant ses seins contre mon torse et son pubis contre ma queue déjà bandée. Elle m’a ensuite pris par la queue pour m’emmener vers son mari qui, lui aussi, s’est levé et, comme sa femme, est venu me rouler une pelle en frottant sa queue contre la mienne. C’était un géant blond de type nordique, à la carrure impressionnante. Comme sa femme, il était rasé intégralement.
Là, je n’avais pas l’habitude, moi qui n’avais jamais touché un autre mec de ma vie. J’aurais pu refuser mais, sans doute à cause de l’ambiance Libresexe, j’ai laissé faire, un peu réticent au départ, avant de me laisser aller au plaisir de cette caresse nouvelle pour moi. Je sentais sa queue bandée qui frottait contre la mienne et ne faisais rien pour limiter le contact.
Il a relâché son étreinte et s’est écarté de moi pour prendre ma queue dans sa main en disant :
- « Belle bête ! J’espère que tu me feras le plaisir de me la mettre dans le cul ! »
Tout cela allait un peu vite pour moi. Huc-Mi l’a sans doute senti puisqu’elle a dit :
- « Doucement, Arvo, nous avions invité notre ami à prendre une bière pour faire connaissance. Laisse-lui le temps de faire connaissance, d’autant qu’il est encore nouveau sur l’île et qu’il n’est sans doute pas habitué au niveau de liberté de mœurs que nous apprécions tant ici. »
- « Tu as raison. Trinquons d’abord. Nous avons tout le temps, d’autant que, si je ne me trompe pas, Jean-Paul a déjà eu affaire à Louise et Manuela qui l’ont très certainement vidé complètement avant de nous le laisser. »
- « Vous les connaissez ? »
- « Évidemment, elles assurent le service d’accueil et, avec elles, rien n’est négligé. J’ai eu le plaisir de le constater personnellement. »
Nous avons devisé tranquillement en sirotant notre bière. Huc-Mi s’étant installée à côté de moi, elle s’est s’est lovée contre mon corps avant de me susurrer :
- « Alors, tu apprécies le sens du contact qui régit les rapports sur l’île ? »
En fait de contact, elle me tripotait la queue entre ses doigts fins et elle a fini par se vautrer complètement sur mon torse pour me rouler une pelle ultra sensuelle. Elle a délaissé ma queue pour s’occuper de mes seins tandis que ma main s’égarait sur les siens qui, à défaut de bien remplir ma paume, s’avéraient très sensibles et leurs pointes érigées semblaient apprécier les pincements dont je les gratifiais.
Tout occupé avec Huc-Mi, j’avais un peu oublié Arvo qui, pendant ce temps-là, s’était agenouillé devant nous. Ce n’est que quand sa bouche s’est emparée de ma queue que j’ai réagi. Ma queue déjà bien bandée a franchi encore une étape dans son développement. C’est vrai qu’il suçait bien et, sans l’accueil de Louise et Manuela qui m’avait bien vidé, j’aurais joui en rien de temps dans sa bouche, mais l’animal savait ce qu’il faisait. Dès qu’il sentait ma jouissance trop près d’éclater, il s’arrêtait.
Huc-Mi s’est écartée de moi. Arvo a délaissé ma queue pour poser son torse sur la table, présentant devant moi son cul qui n’attendait qu’une chose, qu’on s’en occupe.
Huc-Mi l’a caressé, a léché l’anus pour y mettre un max de salive puis, après avoir vérifié l’ouverture du fion, elle m’a attrapé par la queue pour la présenter devant l’entrée du diable. Je n’ai eu qu’à pousser pour m’introduire dans ce fion qui en avait certainement connu d’autres, si j’en juge par la facilité avec laquelle il a avalé ma bite, pourtant de bonne taille. J’ai mis mes mains sur ses hanches et j’ai limé. Huc-Mi s’était positionnée par dessous pour lui sucer la queue. Il s’est raidi et a joui dans la bouche de sa femme et les contractions de son anus sous l’effet de sa jouissance ont eu tôt fait de venir à bout de ma résistance. Je lui ai envoyé une salve de foutre dans l’intestin.
C’était la première fois que j’enculais un mec, mais je me suis fait la réflexion que, finalement, un cul de femme ou un cul de mec, c’était un peu la même chose. La plus grosse différence était que je ne ressentais pas la bouche d’Huc-Mi sur la bite d’Arvo, tout comme je n’aurais pas ressenti sa chatte si elle avait remplacé sa bouche alors que, dans le cas contraire, si un mec pénètre la chatte de la femme que j’encule, je sens les mouvements de sa queue contre la mienne à travers la fine paroi.
Mais, finalement, il semblait clair que, dans cette île, on pouvait goûter à toutes sortes de plaisirs et se laisser aller aux joies de la découverte. Si un truc nous plaisait plus ou moins, nous avions tout loisir de jouir autrement avec d’autres partenaires, tous là pour profiter au maximum des joies du sexe en toute liberté.
Trois mecs qui passaient par là s’étaient arrêtés pour nous regarder copuler. L’un se branlait, un autre suçait la queue du troisième. Quand j’ai ressorti ma queue du cul d’Arvo et qu’Huc-Mi a eu terminé sa fellation, ils se sont approchés. Huc-Mi a embrassé le premier, lui déversant dans la bouche le reste du foutre de son mari. Le second m’a présenté sa queue à sucer pendant que le troisième s’est intéressé à mon cul. Il l’a caressé, léché, enduit de salive, en a assoupli l’ouverture avec ses doigts avant d’y présenter sa queue qu’il avait longue et fine. Le gland butait sur la résistance de mon œillet. Il me faisait mal, mais je voulais aussi savoir ce que c’était d’être enculé. J’ai donc poussé mon cul vers l’arrière par petits mouvements de faible amplitude et, quand j’ai senti la porte s’ouvrir, un coup un peu plus fort a permis au gland de passer. J’ai accentué ma pression pour qu’il pénètre plus avant. Je sentais la progression. La douleur était certes présente, mais pas insupportable. Quand j’ai eu cette queue intégralement enfoncée dans mon cul, j’ai demandé une pause pour m’habi et, quand j’ai senti la douleur s’atténuer réellement, j’ai commencé à bouger mon cul pour faire comprendre à mon enculeur qu’il pouvait y aller Peu à peu, le plaisir du glissement de cette queue dans mon fondement s’est substitué à la douleur. Je me suis détendu et, libéré de la tension occasionnée par la douleur initiale, j’ai repris ma fellation.
J’ai senti aux palpitations de la queue dans ma bouche que le mec était bien près de venir. Je me suis donc appliqué à accen la pression de mes lèvres, l’enveloppement de ma langue, l’aspiration de ma bouche jusqu’à ce que le foutre jaillisse. Je me suis empressé de tout recueillir dans ma bouche et, quand le mec s’est retiré, c’est Arvo qui est venu m’embrasser pour le goûter avec moi. Décidément, moi qui n’avais jamais eu aucun contact homo, cette fois, il me semblait avoir goûté à toutes les possibilités.
J’ai fini par jouir à mon tour dans le fondement de mon enculé pendant qu’il lâchait sa dose de foutre dans la bouche de son compère.
Finalement, une queue dans la bouche, l’autre dans le cul, quel pied ! Il ne me manquait plus qu’une bouche sur ma queue ou, pourquoi pas, d’enculer un mec ou une nana tout en me faisant enculer et en suçant un dernier. Mais, cette fois, j’avais mon compte. Ma queue en berne ne voulait plus rien savoir, aussi j’ai pris congé de mes camarades de jeux pour rentrer chez moi m’octroyer une bonne sieste récupératrice, porte fermée pour ne pas être dérangé.
J’ai dormi jusqu’au lendemain matin, aussi, j’étais à nouveau prêt à faire d’autres rencontres. Ma queue se redressait déjà à cette seule évocation. J’ai laissé ma main errer sur mes parties sensibles, cependant, je ne voulais pas me faire jouir, préférant garder intactes mes capacités pour de nouvelles rencontres.
J’ai mangé quelques fruits, bu un café et en route pour l’aventure. Le reste de la semaine s’est passé aussi agréablement. J’ai baisé, enculé, caressé, sucé, … Je me suis fait sucer, enculer, caresser …, le plus souvent nous étions trois, quatre, voire d’avantage à copuler. Après une semaine de ce traitement, j’étais littéralement vidé. Il était temps que cette parenthèse se termine. Jamais je n’aurais imaginé l’existence d’un tel paradis et, surtout, de rencontrer autant de gens respectueux, qui voulaient, certes, baiser, mais je n’ai jamais vu un mec prendre qui que ce soit pour un vide couilles. Le mot d’ordre respecté par tous était « plaisir partagé ». On fait ce qu’on peut pour aider les autres à jouir. Notre jouissance intervient alors naturellement, avec le plaisir de chacun et ça, j’ai bien peur que, dans la vie normale, ça ne soit pas aussi répandu tant rodent les prédateurs qui veulent juste tirer leur coup.
Enfin ! L’an prochain, j’essaierai de réserver un nouveau créneau à Libresexe et, en attendant, si d’autres qui en rêvent comme moi ont envie de passer un bon moment de plaisir partagé dans le respect de chacun, qu’ils n’hésitent pas à me faire appel. Bien évidemment, je ne prétends pas être un étalon sans limite, capable de baiser dix fois dans une soirée. Par contre, j’apprécierais une soirée détente. Pour la partie sexe, j’aime varier les plaisirs et accompagner le vôtre avec les yeux, avec les mains, avec la bouche et, bien sûr, avec ma bite. Dans la vraie vie je suis, à ce jour, totalement hétéro, mais je ne suis pas sûr de refuser une ouverture vers une bisexualité qu’il me reste à découvrir. A vous de me guider pour accompagner vos plaisirs.

Vanclive

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