Annie, Mon Amie

Je n’ai que quarante ans et déjà veuve. Depuis que je suis seule, j’ai toujours envie de jouir, sans doute un trop plein de chagrin. Dès mon réveil, je ne prends même pas le temps d’enlever ma petit culotte: je passe ma main sous la ceinture et prend mon pied en me caressant le bouton. Depuis je suis revenue dans mon village. J’y retrouve de chères copines, surtout Annie, avec qui nous aimions nous raconter des histoires de fantômes. Annie aussi est veuve depuis longtemps. Le mois de Mai s’annonce des plus beaux et sans doute chaud.
Nous sommes parties nous promener sur le flan de la colline. Annie à son habitude baguenaude de droite et de gauche. J’ai ramassé un petit bouquet comme quand j’étais gamine. Je ne sais quel insecte m’a piqué en haut du dos. Quand Annie revient je lui en parle. Nous redescendons vers chez elle où elle a diverses crèmes. Comme pour me protéger d’une attaque venimeuse, elle a posé sa main sur mon dos, juste là où je me suis faite piquée.
Nous allons dans le salon, la pièce le mieux éclairée. Elle me fait enlever mon t-shirt et commence à masser avec je ne sais trop qu’elle drogue: elle me soulage. Pour que la crème fasse effet elle défait mon soutien gorge pour pouvoir me guérir rapidement. Je me trouve avec Annie derrière moi, assise me massant et mes seins à l’air. Je sens que j’ai la chair de poule sur ma poitrine. Je le dit à Annie qui me tranquillise: un peu d’humidité sans doute. Je sens son souffle sur mon épaule. Une main vient soulager la sensation que j’ai: elle a posé sa main sur mon sein gauche, et très lentement elle me caresse la poitrine. Elle me frôle surtout, mais petit à petit elle arrive sur mon téton qui durci. Elle a une façon de le tripoter qui est très agréable: elle passe rapidement un doigt dessus pour le faire revenir aussitôt. J’ai des frissons non plus de froid, mais de plaisir.
Après tout je suis seule dans la vie, alors pourquoi ne pas profiter de ce qui est agréable.

Et ce qu’elle fait est drôlement agréable. D’autant que maintenant elle a pris également mon sein droit. Mes deux seins sont caressés de la même façon.
Je sens que je mouille quand sa bouche vient sur la mienne. J’ouvre la mienne et nos langues commence un ballet infernal mais délicieux. En cet instant, que j’aime ses mains et sa langue. Je suis prête à aller très loin avec Annie. Elle vient devant moi, abandonnant pour un moment ma bouche. Je suis prête pour un autre baiser. Elle m’embrasse bien, mais les seins. Sa langue frôle encore mes tétons, pendant que ses mains me caressent encore. Enfin elle aussi se met torse nu. Je peux enfin voir sa poitrine de près: elle est légèrement plus grosse que la mienne (pour tout dire j’ai des seins de gamine) Je me mets moi aussi à la caresser, sans doute moins bien qu’elle, mais la volonté de lui faire du bien est là.
Une main descend sur ma cuisse, va jusqu’au genou avant de passer sous ma jupe. Il y a longtemps qu’une main n’était venu à cet endroit. Je la laisse faire quand petit à petit elle monte vers mon minou. Je ne suis pas sotte au point d’ignorer ce qu’elle veut faire. Elle caresse lentement l’intérieur de mes cuisses. Il me tarde et je crains en même temps que sa main aille là où je mouille. J’écarte les jambes en signe d’accord.
Quand elle arrive, elle trouve ma culotte bien humide. Elle va chercher la ceinture de ma culotte pour la faire descendre.
Pour la première fois elle me parle:
- Tu sera bien mieux sans ce petit vêtement qui est tout mouillé. Je vais même te mettre nue, tu sera bien mieux.
- Et toi, tu veux que je te fasse quelque chose.
- Tout à l’heure. C’est ta première fois avec une autre femme.
- Oui, c’est agréable et bon.
- Moi, c’est ma deuxième fois !!!

Elle se tait et agit: elle a posé sa main en haut de ma chatte, cherche à peine mon bouton, celui que je caresse souvent, sa main est légère, très légère, ses doigts se mettent à deux pour prendre le clitoris.
Elle ne me branle pas, elle survole pour enfin venir franchement pour me donner tout le plaisir. Annie a su trouver le bon rythme et fait aller et venir ses doigts sur mon sexe. Je ne peux décrire le bonheur qu’elle me donne. Enfin elle ajoute à cette caresse sa bouche encore sur la mienne. J’ai fermé les yeux pour profiter de ce plaisir nouveau pour moi qu’Annie me propose.
Je voudrais retenir mon orgasme: hélas il arrive trop vite. Elle n’a pas enlevé sa main de ma chatte. Sa langue s’enfonce encore plus dans ma bouche, qu’elle reprend exactement la même façon de me masturber.
Je suis dans l’irréalité, je jouis sans que je me caresse, sans qu’un main masculine me touche: seulement la main d’une amie de toujours.
Je suis devenue un poupée entre ses mains. Elle va plus bas, vers mon vagin. Celui là qui n’a reçu aucune caresse depuis que je suis seule, elle y met deux ou trois doigts, je ne sais pas. Je sens encore cette plénitude venir en moi. Elle me baise carrément. J’écarte bien les jambes. Ses doigts vont et viennent dans mon intimité. Je sens ses doigts en moi quand je jouis encore. Elle sort sa main, j’espère qu’elle ne va pas abandonner: je voudrai qu’elle aille encore plus bas. Mon anus est demandeur lui aussi. Je n’ai rien dit et elle caresse simplement de tour de l’anus. Je reste inerte, sinon que je m’entend pousser de nombreux soupirs de plaisir. Je suis sur le point de jouir quand, elle l’a senti, elle me mets un seul doigt dans le cul. Cette fois je pousse un cri.
- Tu veux que je te fasse jouir encore d’une autre façon.
Je ne sais pas de quoi elle parle
- Oui fais moi jouir encore, comme tu veux.
Elle se déshabille complètement devant moi: je peux voir sa chatte: elle me parait agréable.
Elle enlève sa tête après un baiser. Je sens son souffle entre mes cuisses. Elle monte vite vers mon minou. Je ne sais où elle va: j’ai la surprise de sentir sa langue chaude sur mon clitoris. Elle le lèche largement, met deux doigts dans mon vagin, et entre un autre dans l’anus.
Je suis prise de partout. Je ne sais si elle se rend compte des plaisirs inouïs qu’elle donne. Je n’en peux plus, je n’ai pas jouis ainsi depuis je ne sais combien de temps.
Je suis obligée de lui demander d’arrêter.
Elle se relève vient m’embrasser encore sur la bouche. C’est moi qui caresse ses seins comme elle l’a fait je pense, et surtout comme j’aimerai qu’elle me le fasse.
Comme elle j’oublie sa poitrine juste pour me repérer sur tout son corps. Mes mains vont en bas, je passe son pubis: j’en mouille encore. J’arrive au début de sa chatte, j’écarte les deux lèvres pour bien faire ressortir son bouton. Pour moi, ce n’est pas difficile. J’ai mouillé mes doigts avec ma salive et je caresse exactement comme pour moi. Je la sens jouir. Je n’arrête pas là, je vais entrer ma main dans son ventre: j’y met deux doigts seulement. Je les fait aller et venir. Je sens ses contractions plusieurs fois avant que comme elle je vais caresser le tour de son anus. Elle soupire sans arrêt. Je n’attend pas sa jouissance pour y entrer deux doigts. Là aussi je sens ses contractions.
Je veux tout lui rendre alors je pose ma tête entre ses cuisses qu’elle ouvre, se donnant à moi comme si j’étais un homme. Ma langue commence par lui lécher les lèvres avant de la renter dans son vagin. Je ne sais ce que j’arrive à faire: elle jouit sans arrêt. Je laisse ma langue dans son ventre et arrive à mettre encore un doigt directement entre ses fesses. Je cordonne mes mouvements, elle jouit à tel point qu’elle me demande d’arrêter.
Elle se lève en me demandant de ne pas bouger. Je l’attends à peine: elle tient dans sa main un godemiché. C’est le premier que je vois: je sais quand même à quoi il sert.
- Veux-tu que je te baise maintenant ou que tu me le fasse.
Je suis trop excitée pour attendre!
- Mets moi le.
Elle n’attendait que ça je suppose.
- Comment il te baisait ?
- Il me mettait les jambes sur ses épaules pour que je sois bien ouverte.

Elle vient près de moi, juste en face, prend mes jambes pour le mettre sur ses épaules. Elle passe le gode tout le long de ma chatte avant de le mettre juste à l’entrée principale. Lentement, trop lentement, elle me baise. Elle fait coulisser le gode jusqu’ au fond de moi. Je gémis toujours tant que dure l’accouplement. Je jouis encore et encore, elle continue imperturbable à me baiser. Je n’en peux plus: elle arrête, me donne le gode et se couche à mes cotés:
- Baises moi maintenant, comme je t’ai baisée.
- Comment tu préfère, tu reste sur le dos ou en levrette?
- La levrette ce sera pour la fin quand tu m’enculera.
- Ouvre toi bien, je vais te la mettre.
Elle écarte simplement les jambes. Je l’embrasse tout en cherchant à l’aveugle l’entrée de son ventre. Quand enfin je la baise, elle aussi gémit de plus en plus fort.
Je me sens presque avec le pouvoir d’un homme qui baise sa femme. Je fais aller et venir en elle le gode de plus en plus vite. Je ne tiens même plus compte de ses orgasme qui se suivent rapidement. Je suis encore mouillée: je me branle le clitoris tout en la baisant. Elle m’arrête en se mettant en levrette. Je la vois faire ce que je faisais quand mon mari me sodomisait: elle se mouille l’anus et
- Mets moi la au cul.
Je le fait en observant bien comment agit le gode sur l’entrée, sur son anus. Je pénètre lentement jusqu’au fond. Je reste un instant immobile comme je le faisait à l’époque. Je sens que je la domine maintenant. Ma main droite ne sert qu’à diriger le gode. Ma main gauche s’emploie encore sur ma chatte. Je sens qu’elle jouit terriblement. Elle enlève le gode de son cul:
- A ton tour maintenant de te faire mettre.
Je reste sur le dos, je mouille mon anus, et j’ouvre bien mes jambes:
- Mets moi la.
Elle pose le bout du gode juste sur l’anus et contrairement à ce que je croyais, elle me sodomise d’un seul coup. Elle me fait un peu mal: j’oublie tout quand elle le fait aller et venir dans le cul. Elle se penche sur moi pour m’embrasser encore. Nos langues jouent toujours entre elles. Je suis secouée par un orgasme énorme. Elle retire le gode, que nous embrassons comme une vrai bite.
Tout a une fin, tout au moins aujourd’hui. Nous n’en pouvons plus d’avoir fait l’amour pour cette première fois ensemble.
En nous quittant elle me dit que demain nous pourrions aller dans les prés chercher des fleurs. Un bisou sur les lèvres. J’attends demain.

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!