Mon Chéri

Mon, chéri, mon amour, mon tendre mari.
J’ai reçu enfin ta première lettre depuis ton dé&part il y a 8 jours.
Je m’ennuie de toi, de ta bouche, de tes mains, de ton corps. Depuis ton départ, je me sens délaissée, prisonnière que je suis dans mon isolement, surtout le soir: tu te doute bien ce qu’il me manque.
Ce matin avant de recevoir ta lettre j’ai fait quelques course. J’ai eu le malheur de rencontré ton ami Alain, tu sais celui qui me fait des avances sans arrêt! Il me désire et ne s’en cache pas. Il voulait que je l’invite un soir dans l’espoir de me séduire. Je l’ai envoyé bouler.
Tu ne peux pas savoir quel bonheur j’ai eu en te lisant. Tu ne me parle pas d’un manque que tel que je te connais tu dois satisfaire souvent en te caressant la queue J’espère que tu pense à moi dans ces moments. Quand je suis entré dans l’appartement, avant même de te lire, j’ai laissé dans le couloir mes chaussures, je suis venue m’assoir dans le salon, sur mon fauteuil. Au fur et à mesure de ma lecture je sentais arriver ma bulle au bas ventre. J’ai envie de toi; de tes mains sur me fesses, de ta bouche sur ma chatte et de ton bâton dans mon ventre. Je me suis relevée pour me déshabiller dans la chambre. Je n’ai même pas rangé mes affaires. J’ai pris ton dernier cadeau dans le tiroir de la table de nuit. Je ne m’en suis servi qu’avec toi à mes cotés.
Aujourd’hui j’ai décidé plusieurs choses:
- d’abord vivre nue dans l’appartement: je me sens mieux ainsi et je peux me voir dans les glaces: j’ai mis le chauffage à fond,
- Ensuite ne pas hésiter à me faire du bien,
- pour finir avoir ta photo qui me regarde: j’aurai l’impression que je me caresse devant toi, comme tu aime. J’ai envie de toi, je te veux dans mon ventre, je veux ta queue: que j’aime ta queue partout, même si la première fois que tu as voulu me sodomiser j’ai refusé, j’ai accepter la deuxième fois pour te faire plaisir et enfin j’ai jouis la fois suivante et j’adore maintenant quand tu me la mets au cul.

J’aime que te m’ai appris à bien me masturber: je vais en profiter tout à l’heure.
Pour le moment je suis nue assise, pour te répondre. Ma main gauche caresse mon sein. J’ai envie de jouir de plus en plus forte! Je viens de la poser sur ma chatte. Je n’aime pas me donner du plaisir avec la main gauche. Je suis obligée d’arrêter.

Je reprends ma lettre que j’ai interrompue pour me masturber. Je vais te décrire ce que je me suis fait:
J’ai caressé mes deux seins, en insistant sur les aréoles que j’ai très sensibles. J’étais la tête en arrière, mes deux mains sur la poitrine quand j’ai du mettre ma main sur ma chatte. J’étais mouillé comme ça ne m’arrive pas souvent. J’ai écarté les jambes comme quand tu me la mets. J’ai, avec ma main gauche soulevé le haut de mes lèvres: mon clitoris bandait. Je l’ai caresser avec mes trois doigts habituels, tu sais quand je suis très mouillée je sens mieux la caresse. Je n’a pas attendu longtemps pour jouir. Si tu avais été là, tu aurai nettoyé ma chatte avec ta langue. J’arrête pour l’instant, je préfère revenir pour écrire encore le besoin de ton corps et ton sexe. Je pense à ce que tu me fais quand je suis sur toi, ta bite dans le vagin et que par derrière tu me mets deux doigts dans l’anus, ce qui ajoute à mon plaisir. Je sais que tu aime quand tu me baise et que moi aussi je mets des doigts dans ton cul.

Excuses moi encore, je reprendrai la court de ma lettre un peu plus tard: j’ai encore envie.
Voilà c’est fait: je viens d’avoir un bel orgasme. C’est un peu de ta faute: je me suis encore caresser le minon et j’ai lis en même temps le gode dans le vagin. Il a coulissé dans mon ventre jusqu’au fond: je n’ai pas pour qu’il entre. Je l’avais mis à chauffer sous l’eau chaude de du lavabo. Je ne voulais pas qu’il aille si loin, mais s tu savais comme j’avais envie. Un fois au fond de mon ventre, je l’ai laissé sans bouger, tu sais comme quand nous en avons envie tous les deux et que tu me la mets jusqu’au bout et que reste immobile: je me régale de d’avoir en moi.
J’ai fait pareil. Je recommencé à me caresser un sein et de la main droite, j’ai saisi le gode pour le faire aller et venir. C’était beaucoup moins agréable qu’avec toi: je pensais à nos baises et j’ai jouis en pensant à toi. Quand je l’ai retiré de mon vagin, je l’ai pris dans le bouche pour le nettoyer. Ma cyprine est toujours aussi bonne: tu t’en serai régalé.
Je ne veux plus penser au plaisir, sinon je vais passer mon après midi à me masturber.
Je me suis levée pour oublier un peu: j’ai fait un peu de ménage, toujours nue. Au début c’état tout simplement « bandant » comme tu dis, à la fin ce n’était plus tenable. Je suis passée prendre une douche, pour me calmer. Tu sais comment ça fini pour moi les douches. Déjà ensemble nous aimions jouir tous les deux avec le jet. Cette fois j’ai rempli la baignoire et plonger dans l’eau. Elle arrivant juste sur les tétons. Je n’ai pas pu résister à la tentation, j’ai mis mes jambes sur le bord de la baignoire, j’avais ainsi à, portée de mes mains et mon clitoris et mon anus. Je ne les ai pas ménagés: j’ai cessé plusieurs fois mes vas et vient pour faire durer le plaisir. Pourtant est arrivé l’instant où je n’ai plus retenir mes mains. J’ai eu un énorme orgasme.
Maintenant je crois que je suis calmée pour un moment: la preuve j’ai pu écrire sans être trop mouillée. Je ne sais combien de temps je vais tenir. Est-ce normal d’avoir envie de jouir ainsi quand son mari chéri n’est pas là? Tu manques toujours à mon con (excuses moi d’employer ce mot que tu me dit en baisant).
Je vais essayer de me sodomiser et me branler le clitoris: je risque de perdre l’entrée de mon cul. Je suis allée me coucher, c’est plus facile pour moi. Comme prévu j’entre le gode dans mon vagin pour le mouiller, comme tu le fait avant de m’enculer. J’étais sur le dos, les jambes ouvertes comme tu aimes. J’ai posé le gode sur mon anus qui s’est ouvert comme par miracle: J’ai un peu pour me le mettre. J’étais bien avec l’engin dans le cul.
Tu as bien choisi le modèle, pile adapté à mon cul. Quand je me le suis mise à fond, j’ai commencé à me branler le clito.
Je regrette de ne pas avoir fait de gymnastique quand j’était jeune, j’aurai pu ma sucer seule. C’est à quoi je rêvais quand je l’avais dans l’anus. J’ai bien synchronisé les mouvements pour arriver à une autre jouissance. En tout cas je ne le regrette pas: j’ai eu fantasme, je te voyais avec une fille noire qui te caressais lentement la bite: tu fermais les yeux. Tu sais si ça t’arrive je ne suis pas jalouse du moment que toit aussi tu prend ton pied; bien qu’au fond de moi-même une partie de mon ventre n’est pas d’accord.
J’ai décidé que ce soir, avant ma dinette, j’irai acheté ce que nous avions vu ensemble: tu sais nous avions hésité sans les acheté: je vais prendre des boules de geisha. Je sais que je vais me faire remarquer. Je n’irai pas au sex-shop pour cette raison: il y a en ville une magasin de vêtements féminins qui offre de genre de jouets intimes. Je les mettrai au magasin même pur voir qi je jouis en route: ce serait bien. Je te le dirai demain en finissant ma lettre ce que j’aurai ressenti: j’espère jouir en route.

Voilà, je me réveille toute moulue, tu sais quand nous baisons trop je suis souvent comme ça le lendemain. Hier j’ai acheté ses boules, la vendeuse, une jeune femme de mon âge m’a proposé der perles à rentrer dans l’anus: elle les a essayées pour en jouir beaucoup avec son amant. Elle est très gentille et sexy. Je crois que si j’étais un homme je me serai laissé tenter. En tout cas elle m’a montré comment mettre ses boule qui, pour ce modèle de « luxe » possède en elle des petites billes qui animent les boules quand on marche: elle m’a prévenue que je risquait de jouir en cours de route.
C’est vrai que dès que je les ai eu en moi, j’ai senti comme ne nouveauté dans mon ventre. Elle a eu raison, il a fallut que je m’arrête en rentrant. J’ai jouis en pleine rue. Je me suis appuyée sur un mur, je voyais les gens passer en m’imaginant qu’ils savaient tous que j’avas un orgasme.
Je les ai gardé jusqu’au moment d’aller au lit. J’étais toujours nue, hier au soir. Bien sur j’ai senti le besoin de jouir. Ce doit être ton départ qui me fait ça: j’ai toujours le ventre plein d’envie. Je regrette de ne pas avoir acheté un autre gode pour le mettre dans le vagin avec l’autre dans le cul. Je pense que pour une femme, ça doit être le nirvana. On en achètera un autre quand tu sera de retour.
Je me suis caresser le bouton, les seins, le périnée, là où tu passe t’es doigts quand tu veux aller sur l’anus. J’ai encore branlé le clitoris avant cette fois de me caresser le cul rien qu’avec mes doits. Ca m’a donné envie de me baiser avec le gode. Je me suis baiser sans doute pendant 2 heures, d’où cette figure de déterrée.
Au fond ça m’est égal: j’ai bien jouis.
Reviens vite me la mettre: je serai encore plus chaude que quand tu es parti.
Je t’embrasse sur les lèvres, imagine ma langue dans ta bouche et tes mains sur moi, n’importe où. Je prend ta bite dans ma bouche pour que ton sperme vienne jusque moi.

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