Mon Docteur... Chéri ?


Mon docteur… chéri ?


Richard et moi avons l’habitude de pimenter notre vie sexuelle par des jeux érotiques pour lesquels il fait montre d’une imagination féconde. Il me surprend n’importe quand par des messages qui me mettent souvent dans un état d’excitation incroyable qui me transforme, lorsque nous nous retrouvons, en véritable chienne.
Lorsque je reçus, un peu avant midi le texto suivant : « Rendez-vous docteur MINET cet après midi 15H30 précises » Il ne fit aucun doute pour moi, que mon chéri me proposait un nouveau jeu et qu’un second texto allait suivre. Ça n’était pourtant pas le jour car j’avais un travail considérable. Mais bon, c’était tout là l’attrait du jeu : me prendre au dépourvu et m’obliger à trouver une solution car, plus proche de la nymphomane que de la frigide, je ne pouvais rater l’occasion d’une bonne partie de jambes en l’air. Néanmoins la charge de travail me fit oublier cet intermède jusqu’à ce que je reçoive vers 14H00 un nouveau message très laconique : « 24 bd des Belges ». Ainsi donc le jeu était lancé ! Je me précipitai dans le bureau de mon boss pour lui signaler que je devais m’absenter.
— Un problème ? me demanda-t-il.
— Rendez-vous chez le toubib que j’avais zappé.
— Rien de grave, j’espère ?
— Non non, la routine.
— Ok. Pas de souci. Prends le temps qu’il faut.
Je le remerciai puis consultai ma montre. J’avais une bonne heure devant moi. Je n’étais pas loin du lieu de rendez-vous. Je me dirigeai aux toilettes pour parfaire mon maquillage. Je voulais être la plus sexy pour Richard. Satisfaite, j’allais repartir lorsqu’il me vint l’envie, de moi aussi, lui faire une surprise : je retirai ma culotte et la fourrai dans mon sac. Il aimait beaucoup pouvoir mater ma petite chatte lisse en zieutant sous ma jupe ! J’étais déjà très excitée en sortant des toilettes. « Calme-toi Aline, calme-toi ! ».
A 15H15 je lisais la plaque :
Docteur A MINET
Maladies de la femme
Consultations sur rendez-vous
4ème étage gauche

« Maladies de la femme ? Toi, je te vois venir mon coco ».

Je souris puis poussais la porte de l’allée. Au 4ème je trouvais une plaque quasiment identique sur la porte. Je sonnais puis entrais, et là je fus stupéfaite de voir une femme rousse à lunettes qui se tenait derrière un comptoir d’accueil. Bon, pour les plaques de toubib, j’étais habituée à ce que Richard fignolât ses scénari, mais la présence de cette femme me semblait pousser le jeu dans une autre dimension. La rouquine leva la tête :
— Bonjour madame. Vous avez rendez-vous ?
— Heu oui, à 15H30
— Madame Aline IMBERT ?
— C’est ça.
— Si vous voulez-bien aller en salle d’attente, le docteur Minet à un peu de retard.
Je poussais donc la porte « salle d’attente » et, surprise ! Une femme était déjà là. J’étais un peu déroutée. Je m’assis dans un coin et je détaillais la pièce. J’étais vraiment dans une salle d’attente. Ou alors… Chapeau Richard ! Au bout d’un moment je penchais quand même pour la mise en scène, du moins jusqu’à ce que la porte s’ouvrit et que n’entre une autre femme. Là c’était pas possible y’avait un lézard. Je traquais le moindre indice qui eut pu me mettre sur la piste, lorsque la rouquine apparut pour inviter la femme qui se trouvait dans la salle avant moi, à la suivre. J’abandonnais la mise en scène. C’était vraiment un cabinet médical. Mais alors que ferait Richard ici ? Plus je réfléchissais plus je me perdais en conjecture. Un quart d’heure plus tard la rouquine reparut :
Madame IMBERT, s’il vous plait.
Ah ! j’allais bientôt pouvoir démasquer mon voyou de mari. La femme me fit entrer dans une cabine en me précisant :
— Mettez-vous en sous vêtements et attendez que la porte s’ouvre. C’est automatique.
J’appréciais le modernisme puis je commençais à me déshabiller. « Merde ma culotte ! » Je n’étais plus du tout sûr de tomber « directement » sur mon chéri alors dans le doute… je la remis. Juste à temps car la porte glissa sur son rail. Je fis un pas dans la pièce meublée d’un bureau, de plusieurs fauteuils, et d’une immense étagère supportant de nombreux ouvrages de médecine.
En tournant la tête, j’aperçus une seconde pièce avec un lit de consultation et divers accessoires médicaux. J’étais bien dans le cabinet d’un médecin ! Soudain j’entendis une voix en provenance de la seconde pièce.
— Bonjour madame, asseyez-vous je vous en prie.
Ouf ! Je connaissais cette voix. C’était bien lui… Le coquin ! Mais quand il ajouta :
— Je suis à vous dans une seconde.
Le timbre grave me parut inconnu. Certes, Richard avait parfois des intonations de ce genre mais le ton me parut… autoritaire ! Pas son genre du tout. A moins que… A l’animal ! il me mettait dans tous mes états. Lorsqu’il pénétra dans le bureau je fus soulagée. C’était lui. Mais non idiote ! Richard ne porte pas de moustache… et puis il est beaucoup plus brun… et ses cheveux sont plus courts… Ça n’était pas lui ! J’étais prête à partir en courant lorsque je vis un éclair dans ses yeux. Un éclat que je connaissais bien. Je fouillait les prunelles bleues. Oh oui, ce sont ses yeux, j’en suis sûre ! Puis je me souvins subitement combien Richard aimait se déguiser. Il avait un talent fou pour cela. Je n’étais plus du tout pressée de partir. Je le laisserai abattre ses cartes. Je le détaillais encore, de la tête aux pieds et lorsque j’arrivais aux mains je frissonnais. Richard a les mains beaucoup plus fines… Enfin je crois. Oh, je ne sais plus, c’est lui… ou c’est pas lui ? Si c’est pas lui je n’ai aucune envie de rester. Mais si c’est lui… je vais me régaler. Le « docteur » m’interrompit dans mes réflexions en me posant un tas de questions dont certaines, très intimes, me mirent mal à l’aise. Si c’était Richard, il connaissait déjà les réponses. Si ça n’était pas lui…
— Alors combien de rapports sexuels par mois ?
— Environ une dizaine.
— Bien. Donnez-moi une note sur une échelle de zéro à cinq pour qualifier vos orgasmes.
 Oui c’était bien lui pour me poser ce genre de questions. Je répondis un mensonge pour voir sa réaction.
— Trois !
En réalité j’aurais dû donner un 5 sur 5.

—Même qualité qu’il s’agisse de pénétration ou de masturbation ?
Je crois que mon chéri-cochon est lancé.
— Oui répondis-je.
— Pratiquez-vous des rapports anaux occasionnellement ?
Annaux… occasionnellement ? « Tu le sais très bien puisque tu me sodomises au moins deux fois par semaine gros cochon. Mais je vais te répondre quand même. »
— Rarement.
Là le connaissant, il ne va pas pouvoir s’empêcher de rectifier. Mais non, rien ! Je trouvais ça curieux. Et puis sa façon de hocher la tête. Il ne fait jamais ça Richard. Merde ! Dans quoi est-ce que je me suis fourrée !
— Bien, me dit-il, la fiche de ma secrétaire indique que vous venez pour un bilan global.
— Heu… Oui.
— Des problèmes particuliers à me signaler ?
— Heu… Non.
— Douleurs pendant les règles peut être ?
— Heu… Les seins un peu gonflés mais c’est tout.
— Vous les avez eu quand ?
— Heu… Elles se sont finies y’a trois jours.
— Parfait.
Bon ben ça, c’est un comportement de vrai médecin, non ? Pourtant cette fossette au coin des lèvres quand il sourit c’est celle de Richard. Zut de Zut. C’est lui ou c’est pas lui ??? Si c’est pas lui il faut que je me sauve en vitesse… Mais si c’est lui j’ai envie de voir la suite. Il me surprit dans mes réflexions.
— Un problème ?
— Heu… Non, non.
— Bon alors on va passer à côté.
Je le suis et il me fait allonger sur la table d’examen. Contrôle de la pupille… de la gorge… palpation du cou… examen des oreilles. Tout y passe. Et il sait se servir des instruments ! Idem pour la prise de tension.
— Asseyez-vous.
J’ai senti son ton autoritaire et je frissonne en m’asseyant. Il m’ausculte… comme un vrai médecin. Je commence à être excitée… Et ça se complique lorsqu’il me palpe le ventre.
— Enlevez votre soutien gorge s’il vous plait.
Mon soutien gorge ? Je ne vais quand même pas lui montrer mes nichons si c’est pas Richard. Ça suffit bien que mon gynécologue les voit de temps à autres.
Allez, hop ! je saute de la table et je me barre.
— Votre soutien gorge !
L’ordre tombe, impérieux, et je frisonne… Je sens des fourmillements entre mes cuisses. Merde, il m’excite sérieusement ce (faux ?) Richard. Je crois que je commence à perdre les pédales. Je dégrafe mon soutien gorge et je vois aussitôt une lueur lubrique dans ses yeux… Comme sait en avoir mon chéri. D’accord, c’est vrai je fais un bon 90 D de quoi (enfin je crois) faire dresser l’engin ! Il me fait mettre les bras derrière la tête pour les palper alternativement. Très professionnel. Puis il me fait asseoir pour reprendre la palpation. Hou !!!! il me pince les tétons. Ça ne me fait pas mal, ça m’excite juste un max et je sens que je commence à couler… dans ma culotte. A partir de ce moment là je lâche totalement prise et je me fous de savoir qui est ce médecin. Ce qui m’intéresse maintenant c’est de voir la suite. Et tant pis pour Richard, si c’est pas lui. J’ai encore envie de me faire peloter les mamelles. Heureusement, lui aussi ! Il me fait descendre de la table.
— Penchez-vous en avant.
Il tire un tabouret, s’assied devant moi, me saisit un nichon dans chaque main et les presse en les tirant vers le bas comme s’il voulait… me traire ! Ça on ne me l’avait jamais fait. Mais la sensation est agréable et malgré moi je regarde par terre pour voir s’il ne tomberait pas quelques goutes de lait ! Alors là, c’est sûr, je perds les pédales, et en plus je débloque !
— Excellent. Vos mamelles sont bien souples et vos tétons très réactifs.
Réactifs ? Tu parles, j’ai les bouts dressés depuis que j’ai retiré mon soutif.
— Venez vous mettre devant le miroir et retirez votre culotte.
— Ma… ?
— Oui, votre culotte, dépêchez-vous !
Il a encore cette voix autoritaire qui me fait à nouveau frissonner. Je fais glisser mon slip au sol puis je me positionne face à la psyché. C’est un truc de vicelard, ça ! Comme ça il peut me reluquer en même temps devant et derrière… et moi je le vois scanner mon corps sublime. Oui bon, je suis peut être pas un top modèle mais j’ai pas de graisse et mes formes sont très bien proportionnées. Je sens ses pouces qui suivent la ligne de ma colonne puis ses mains s’arrêtent sur mes fesses. Il les palpe longuement. Sans un mot. Je sens même un doigt qui s’aventure.
— Pas de douleur à l’anus ?
— Heu… Non.
— Même lors des sodomies ?
— Heu… Non.
J’ai presque envie de lui dire que ça doit dépendre sans doute de la taille de l’engin qu’on y introduit. Je n’ai été sodomisée que par Richard et comme il n’a pas une grosse queue ça passe tout seul. Je ne dis rien bien sûr mais toutes ces questions me mettent en effervescence et je sens un peu de liqueur lubrifier ma chatte. Richard… ou pas Richard ?… Je m’en fous à présent totalement et je veux juste me concentrer sur le plaisir que j’éprouve à m’offrir impudiquement à la vue de ce… médecin ?
— Mettez les pieds dans les marques.
Toujours le même ton excitant ! Je repère les traces. Un peu trop lentement et il me claque les fesses. je frissonne.
— Dépêche-Toi !
Oh mon Dieu ! Il est passé à la vitesse supérieure et son tutoiement m’électrise. Il place une sorte de miroir au sol, entre mes jambes. Soudain je vois le reflet d’un écran dans la psyché. Je vois l’image grossir. C’est ma chatte qui apparait. Elle grossit encore et je peux distinguer le voile humide qui la recouvre. Je me sens un peu honteuse de me dévoiler ainsi… Mais c’est un docteur, non ?
— Bien, vos lèvres sont bien dessinées. Je vois juste un petit problème au niveau de votre clitoris.
Mon clito ? Il fonctionne très bien mon clito ! Je lance :
— Ah bon ?
— Rien de grave je vous rassure. Il y a juste que le capuchon me semble un peu étroit.
— C’est grave ?
— Non ne vous en faites pas.
Zut il a abandonné le tutoiement. Il poursuit :
— Je vais regarder si je peux l’assouplir.
— Heu… C’est nécessaire ?
— Oui, c’est nécessaire, vos sensations seront décuplées.
Soudain il me claque les fesses.
— Penche-toi en avant je veux voir la forme de ton abricot.
De mon quoi ? Je n’ai pas le temps de réfléchir. Je reçois une nouvelle claque.
— Obéis !
L’ordre claque comme une caresse. Je me courbe en avant.
— Bon, il est parfait. Vous pouvez vous redresser.
Il inscrit quelque chose sur son bloc et moi j’attends les bras le long du corps et je sursaute lorsqu’il me demande :
— Tu mouilles ?
Bien sûr que je suis toute mouillée après ce que tu viens de me faire subir mon cochon. Je tarde trop à lui répondre.
— Alors ?
— Heu… Oui, je crois.
— Approche.
je fais trois pas et il passe la main sur ma chatte.
— Tu es trop mouillée. Tiens essuie-toi.
Il me tend un rouleau de papier absorbant. Je m’éponge… et je remouille aussitôt.
— Heu… Docteur, je crois que…
— Vous remouillez ?
Je rougis comme une pivoine.
— Heu… Oui.
— Bon. Approche.
Je fais encore deux pas.
— Pose une jambe sur la chaise et masturbe-toi. L’orgasme va permettre d’évacuer la tension et en plus ça me permettra d’en apprécier la qualité.
Je bafouille :
— Heu… Là, devant vous ?
— Oui, là, devant moi.
Le ton est toujours autoritaire. J’abdique et je pose un pied sur la chaise. Il rectifie ma position.
— Ouvre-toi bien.
Je pose les doigts sur ma chatte. Elle est en feu. Je sens mon clitoris rouler sous mes doigts. Je ferme les yeux.
— Non regarde-moi. Je veux pouvoir mesurer l’évolution de ton plaisir sur ton visage.
C’est dur de garder les yeux ouverts. Mes doigts s’activent. Mon clito s’enflamme. Ma respiration s’accélère. Je soupire, je grogne… je me mords la lèvre pour ne pas crier. Puis je crie. Fort ! Lorsque j’explose.
— Parfait. Essuie-toi et allonge-toi sur la table les pieds dans les étriers.
J’obéis. Il enfile des gants. Je sens ses doigts se poser directement sur mon clitoris. Il le presse… l’étire… le presse à nouveau. La sensation est étrange. Puis soudain je sens comme une petite brulure, très brève.
— Bon, c’est parfait. Tu devrais avoir d’avantage de sensations à présent.
j’ose lui répondre :
— J’en avais déjà pas mal docteur.
— Alors ça sera un bonus.
Il se retourne et prend un spéculum qu’il introduit… puis écarte.
— Bon, vous avez un utérus de jeune fille.
Il retire l’appareil puis il introduit les doigts.
— Vous êtes très étroite. Rappelez-moi la fréquence de vos rapports .
— Heu… Environ une dizaine par mois.
— D’accord.
Soudain je sursaute.
— Reste tranquille. Je cherche juste à stimuler ton point G.
Je sens que la machine repart. La chaleur… les frissons. Heureusement il n’insiste pas.
— Bon, c’est parfait tout fonctionne bien.
Il laisse une main en contact avec mes cuisses puis il remonte jusqu’à mon ventre qu’il palpe à nouveau. Soudain je sens le contact de sa blouse sur ma main. Sans réfléchir je bouge les doigts. Ils sont à hauteur de son sexe. Je ne peux pas me retenir. Je cherche un passage. Merde, il est à poil sous sa blouse. Pourquoi ne l’ai-je pas vu avant ? Quand a-t-il retiré son pantalon ? De toute façon je m’en fous. C’est bien qu’il soit comme ça. Je prends de l’assurance. Je glisse les doigts sous ses bourses. Elles sont lourdes. J’ai envie qu’il retire sa blouse. Qu’il me montre sa bite ! Je m’embrase et de mes doigts fébriles j’arrive à déboutonner le bouton du bas. Sa queue jaillit. Et là, je sais. Ça n’est pas Richard ! Celle-là est trop grosse, trop épaisse… trop belle ! Je vais tromper mon chéri. C’est mal. Immoral. Mais j’ai perdu pied depuis trop longtemps pour parvenir à me ressaisir maintenant. D’ailleurs je n’en ai pas envie. Je veux subir tout ce qui m’attend. Le « docteur » me saisit les mamelles. Oh oui, vas-y pelote moi bien. j’adore ça et c’est la meilleure façon de bien me chauffer. Le sait-il ? Il me malmène les tétons… Délicieux ! Allez, approche encore un peu. Il a dû m’entendre car il est maintenant à ma portée. Je tourne la tête et sans préambule je gobe son gland. Il est chaud, humide… savoureux… un peu gros peut être pour ma petite bouche. Je n’ai pas l’habitude mais je vais m’y faire. Je fais des mouvements de succion et je sens son plaisir dans les spasmes de sa queue. Je lèche le gland puis je descends la langue le long du frein… Jusqu’aux couilles que je lèche et que j’essaie de prendre dans la bouche : trop grosses. Je les embrasse… puis je remonte très lentement pour, d’un seul coup enfoncer toute sa bite. Je manque de m’. Mais ça ne fait rien. Je veux lui faire une gorge profonde… puis deux… puis trois… Il soupire, il râle… Ah, tu m’as bien excitée mon cochon. Maintenant c’est à toi de de subir. Soudain je me mets à pomper. Presque frénétiquement. J’ai une furieuse envie de lui vider les couilles…. pour lui apprendre à m’avoir trait… à m’avoir obligée à me branler devant lui… je vais te faire cracher mon salaud ! Mais il se retire. Non ! J’aperçois la blouse tomber. Il glisse jusqu’au bout de la table. Je le vois déchirer un emballage de capote du bout des dents. Il se la met, m’att les chevilles et me tire puis il me croise les jambes et d’un mouvement de rotation me retourne sur le ventre.
— Et maintenant je dois voir si c’est bon de vous baiser madame Imbert.
Sa phrase à peine achevée il me pénètre d’un grand coup de reins. J’ai du mal à sentir la chaleur de sa bite à cause de la capote. Mais tout le reste je le sens bien. Il entre… me pilonne… ressort… plus vite… plus vite… jusqu’à me rendre folle et je pète les plombs ! Je deviens grossière. Je lui dis que sa bite est bonne… qu’il me baise bien. Et c’est vrai ! Je veux encore l’encourager mais c’est lui qui s’y colle :
— Tu as l’air de beaucoup aimer la queue toi.
Oh oui, continue, continue à me parler. Il le fait :
— Tu en as déjà eu des grosses comme ça ?
Je réponds, ou pas ? Aller, tant pis, je réponds.
— Oui.
— Ton mari bien sûr.
— Heu… Non.
— Ha ha !
Qu’est-ce qu’il va s’imaginer ? Je dois rectifier tant que je le peux encore.
— C’était avant lui.
S’il me répond je n’entends pas car je me mets à hurler en jouissant.
— Bon, ta chatte fonctionne bien. Je vais voir derrière.
Derrière ? Je mets quelques secondes de trop à comprendre. Je sens son gland appuyer. Je crie :
— Non pas là docteur !
— Calmez-vous. Je suis obligé de voir si vous fonctionnez bien comme ça aussi.
Je le supplie :
— Non doc…
Je ne peux terminer le mot. Son gland force ma rondelle et je crie. Il tente de me calmer :
— Calme-toi, maintenant ça va aller.
Il commence à coulisser dans mon étroit fourreau. La douleur s’estompe. La sensation est incroyable. Je n’ai jamais connu ça. Je me cramponne à la table pour ne pas basculer pendant ses assauts. Je lâche quelques râles.
— Bon, tu as l’air de très bien fonctionner comme ça aussi. Dommage que tu ne t’autorises pas à te montrer d’avantage salope.
Pas salope moi ? Attends tu vas voir. Je m’imprègne du rythme puis je viens au devant de sa queue. Il apprécie.
— Oui, c’est bien, je vais te laisser continuer toute seule.
Qu’est-ce qu’il veut dire ? Je ne tarde pas à comprendre. Il s’immobilise, la queue toujours fichée dans mon cul. Alors je prends le relai. Je m’enfonce… je me retire… presque complètement. Je sens son gland au niveau de ma couronne. Je me retire encore puis lorsque je n’ai plus qu’une légère sensation je pousse un grand coup en arrière. Et je crie… De plaisir !
— Tu as l’air d’aimer te faire enculer ma salope.
Je continue sans répondre. Il me claque violemment la fesse.
— Réponds !
— Oui.
— Alors dis-le.
A ce moment là je me sens salope jusqu’au bout des ongles et je réponds :
— Oui, j’aime me faire enculer. Et j’en rajoute. Par vous docteur !
— Tu as déjà joui comme ça ?
— Non docteur.
— Tu aimerais ?
Idiote sa question, non ? Il répète :
— Tu aimerais ?
— Oui, si c’est possible.
— Bien sûr. Ton anus compte plus de terminaisons nerveuses que ton clitoris. On verra ça tout à l’heure.
Sur ces mots il se retire, et va s’asseoir sur le tabouret.
— Viens ici.
Je saute de la table. Il me tends une nouvelle capote.
— Mets-la !
Sa bite est toujours aussi raide et je déroule le préservatif sans difficulté. J’en profite pour lui toucher les boules.
— Elles te plaisent ?
— Oui docteur.
Il sourit puis me fait asseoir à califourchon sur lui. Je n’ai pas fini de m’installer que sa bite est déjà rentrée.
— C’est facile avec toi, tu mouilles vraiment bien.
Je suis flattée et j’ai envie de lui dire que sa grosse queue y est pour beaucoup. Je m’abstiens car il commence à rallumer le feu dans mon ventre.
— Je veux que tu gardes les yeux ouverts.
Ça va être dur. Mais je vais essayer. J’y arrive. Et c’est bien de le regarder. J’aime voir son plaisir et lui offrir le mien. Il place ses mains sous mes cuisses pour imposer son rythme. Je n’ai pas l’habitude de cette position. Sa bite appuie sur des points inhabituels et je jouis vite. Vite et fort. Il attend quelque seconde puis me murmure à l’oreille.
— Aller petite salope retourne toi, je vais t’enculer. Et tu vas jouir.
Je suis encore dans les brumes de mon orgasme. Je ne sais pas si c’est lui qui me positionne ou si je le fais moi-même mais je me retrouve de dos, sur ses cuisses. Je sens sa queue qui cherche son chemin… et le trouve. La douleur cette fois est infime. J’ai envie de diriger les opérations. Il me laisse faire. Je me trémousse sur sa grosse bite et c’est bon de la sentir me fourrager. Puis je prends appui sur ses cuisses pour me soulever et… m’empaler. Lentement, puis de plus vite. Il m’arrête et me préviens :
— On va glisser au sol, je peux pas te défoncer dans cette position.
Il reste enfoncé et je me retrouve à quatre pattes.
— Maintenant relève toi doucement en restant penchée en avant.
Il m’enserre de ses bras pour maintenir son bassin contre mes fesses.
— Garde les jambes tendues et penche-toi encore un peu.
Je suis souple et je prends facilement la position.
— Att tes chevilles. Voilà parfait, je vais pouvoir te défoncer.
Et il le fait… et je n’arrête pas de hurler comme une chienne. Il s’en donne à coeur joie… me pilonne et s’enfonce comme s’il voulait chercher à rentrer ses couilles. Je jouis plus fort, bien plus fort que lorsqu’il m’a baisée dans la chatte. Je sens aux palpitations de sa bite qu’il ne va pas tarder à jouir alors je hurle :
— Dans ma bouche… dans ma bouche docteur.
Il se retire précipitamment, viens devant ma bouche, arrache la capote et… entre pour jouir. Plusieurs jets puissants que j’avale avec délectation. Je le nettoie avec la langue puis sans un mot il va récupérer sa blouse. Et moi, je me rhabille. Maintenant que le plaisir s’est estompé j’ai quand même un peu mal au cul. Assise à son bureau je demande :
— Je vous dois combien docteur
— C’est cadeau !
La voix… l’expression… le ton chantant. C’est tout Richard ça ! Merde c’était pourtant pas sa bite. Si ? Oh je sais plus ! Il m’a tellement excitée ce « docteur ».
Je me retrouve bientôt dans la rue presque hébétée.
Lorsque Richard rentre, le soir, je ne le quitte pas des yeux. Je veux le mater sous la douche. Je crois que ça lui plait ! Je détaille sa queue. Non, elle n’est pas si petite que ça, en fait. Il faudrait qu’il bande. Ça ne tarde pas et alors là je ne sais plus ! Celle du docteur m’avait parue énorme mais peut-être qu’elle ne l’était pas tant que ça ! Ça m’agace, et plus tard, lorsqu’au cours du repas Richard me demande :
— Ça été ta journée ?
— Oui.
Je le regarde. Il me semble attendre quelque chose. Alors je lance :
— Je suis allée chez le toubib.
— T’es malade ?
— Heu… Non, une convocation.
— Médecine du travail ?
— Heu… Oui.
Et là je me demande soudain si les textos émanaient bien de son portable. Merde ! Je suis tellement accro à nos jeux que j’étais certaine que c’était lui.
— Et qu’est-ce qu’il a dit ?
— Que je suis en pleine forme.
— Il t’a fait un examen complet ?
Tiens-tiens, habituellement il ne me demande jamais ce genre de choses. Je pourrais peut-être le pousser à se démasquer, alors je lance :
— Oui, il m’a fait mettre à poil.
— Complètement ?
— Oui.
— Ah bon, ils font comme ça d’habitude à la médecine du travail ?
— Je sais pas mais j’ai pas osé refuser. C’est un docteur.
— Oui bien sûr.
Il m’a semblé percevoir une lueur dans ses yeux.
— Et il m’a longuement palpé les seins.
— Ha.
— Dans toutes les positions.
— Ok.
Rien à faire il ne se trahit pas. Après tout, finalement… j’ai passé un bon moment. C’est quand même là l’essentiel.
Les assauts fougueux du docteur m’ont épuisée et une fois sous la couette je m’apprête à rejoindre Morphée. Richard entre dans la chambre. j’espère qu’il ne va pas vouloir me prendre ce soir. Il ne se couche pas. Il fait le tour du lit, me dépose un baiser sur le nez et murmure :
— J’ai envie de te baiser dans la bouche.
Il aime ça, et je ne déteste pas ses assauts virils entre mes lèvres. Toutefois ce soir je n’en ai pas très envie, mais puis-je lui dire que c’est parce que j’ai déjà eu mon compte cet après midi avec le docteur ? Non bien sûr, alors j’ouvre la bouche et je cherche à comparer. Elle est bonne mais celle du docteur l’était aussi. Je laisse mon chéri me baiser puis j’avale son nectar. Il me semble plus doux… plus crémeux…
Puis je m’endors, heureuse.
Ce n’est pas tous les jours que je suis baisée dans tous les trous !



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