Andrée, Ma Belle-Mère

Samedi : Sylvie étant occupée, je dois aller chercher Andrée et Christine, la mère de ma femme et sa sœur à la gare.
A la descente du train je n'aperçois que Andrée.
– Christine a eu un empêchement, me dit-elle. Vous devrez vous contenter de moi...
– Comme ça tu seras choyée... lui dis-je en riant.
Elle sourit. Dans mon souvenir, Andrée n'était pas aussi désirable. Il faut dire que sa petite robe n'y est pas étrangère. Je la débarrasse de sa valise et la laisse passer devant. J'ai tout le loisir de la détailler. A 86 ans, elle est encore très baisable. Je suis hypnotisé par le balancement de ses fesses. Je commence à fantasmer sur elle et ma queue se raidit dans mon slip.
Je lui ouvre la portière. Elle s'assied. Hummm, ses cuisses nues sont bien appétissantes. Je lui pose une main sur sa cuisse et sur le ton de la plaisanterie tout en guettant sa réaction, je lui dis qu'il va falloir faire bronzer tout ça. Elle glousse doucement et répond qu'elle y compte bien. Hummm ce n'est pas trop mal parti. Je mets la valise dans le coffre, m'installe au volant et nous voici partis. Nous sortons de la ville. La discussion est banale et sage mais je ne peux m'enlever de l'esprit que je ne dispose que de cinq heures pour profiter de ma chance.
J'ai peur. Quelle sera sa réaction ? Si elle se refuse, bon c'est dommage mais ce ne sera pas le premier râteau que je prendrai. Non. Ce qui m'inquiète c'est qu'elle en parle à ma femme.
Il faut que je me lance. Pour l'instant ma main est négligemment posée sur le levier de vitesse. J'étends le bras et saisis le genou de Andrée.
– Daniel !
Je ne réponds pas. Je caresse sa cuisse. Ma belle-mère pose sa main sur la mienne.
– Daniel que faites-vous ?
Sans répondre je continue mes caresses et remonte sur le pli de son aine.
– Arrêtez !
J'insiste, la caresse à l'intérieur de ses cuisses que la vieille femme serre et ouvre spasmodiquement.

Mes doigts se posent sur la petite culotte, sur le pubis. Andrée ne serre plus les cuisses. Elle ne tente même pas de me repousser. Elle me gronde tout de même :
– Daniel vous ne devez pas !
– Appelle-moi Daniel et dis-moi « tu ».
– Je ne veux pas ... arrêtez !...
– Si tu te laisses faire tu auras sans doute plein de cadeaux pendant les vacances.
– Mais c'est pas bien...
– Tu n'aimes pas ma main sous ta jupe ?
– Si mais Sylvie...
– Laisse Sylvie où elle est... tu aimes oui ou non ?
– Oui...
– Tu préfères dans la voiture ou tu peux patienter jusqu'à la maison ?
– Tout de suite !
Je me gare dans un chemin forestier. Nous passons à l'arrière. Andrée m'embrasse sur la bouche. Elle est gourmande et m'aspire la langue. Sa robe est rapidement retroussée et le slip écarté. Nous sommes tous deux très impatients et nous ne souhaitons pour l'instant qu'une baise rapide. C'est ce qu'obtient Andrée. Je lui défonce sa petite chatte et la ramone vivement.
– Hummm Daniel, plus fort, oui, comme ça !
– Mais tu mouilles encore salope !
– Oui...
J'éjacule en elle. Nous restons ainsi quelques minutes à nous embrasser. Je sors de sa chatte et remonte mon pantalon.
– Daniel, tu ne vas pas remettre ton slip alors que ta queue dégouline de sperme tout de même !
Elle se penche et me gobe la bite. Elle suce et aspire. Putain quelle salope !
– Hummm, j'adore le sperme. J'en boirais des litres.
– Quand je pense que j'ai hésité à te peloter.
– Tu n'aurais jamais imaginé ce que tu perdais... tu pensais que j'étais sage ?
– La façon dont on parle de toi m'inclinait à le penser.
– Je sais. Je donne bien le change. On me voit toujours en veuve inconsollable. Si on continuait chez toi ?
Vingt minutes et nous sommes à la maison.
– Viens Andrée. On va dans le lit conjugal, il n'est pas fait.
– Hummm, oui. Baiser là où tu te payes ta femme, ma fille.
.. hummm, en plus il y a sa photo à côté du lit... prends-moi par derrière pendant que je la regarde...
Je fais mine de la déshabiller.
– Non ! Ne perds pas de temps ! Retrousse ma robe et prends-moi comme ça. Dans le cul !
Cette salope est brûlante. Je lui écarte les fesses. Son anus est mouillé. Ma bite la transperce.
– Ouiii ! Encule-moi ! Et s'adressant à la photo de ma femme : t'as vu ton mari ? Il me baise ce pervers. Il m'encule. Il te fait cocu avec ta mère !
Je me débats avec la fermeture éclair de sa robe que je parviens enfin à ouvrir. Je dénude ses épaules sans cesser de la sodomiser. Je couvre sa nuque de baisers.
Il faut que je la voie nue. Je sors de son cul malgré ses protestations et la dessape intégralement. Amusée, Andrée replie ses bras sur sa poitrine et joue l'innocence. Si je ne l'avais pas vue en salope deux secondes auparavant, je lui donnerais le bon dieu sans confession.
– Tu sais donner le change.
– Oui c'est comme ça que m'aiment les hommes. Vous rêvez tous de petites vieilles innocentes. Pas vrai ?
– Oui. Tu dois être craquante en écolière avec ta petite chatte imberbe.
– Ce sera pour la prochaine fois mon gendre. Viens !
Elle m'attire sur elle et se met à me cajoler, m'embrasser et m'exciter par ses paroles.
– Hummm, mon gendre je t'aime. Touche-moi partout ! Je suis ta petite Andrée adorée. Ouiii... tu aimes que je t'appelle « mon gendre » ?
– Hummmm ouiiii !
Elle a écarté les cuisses et je me perds dans son fourreau chaud et humide.
– Tu es étroite Andrée !
– Bien sûr Daniel, je l’ai toujours été.
La salope. Elle est belle, chaude et perverse. Quelle salope !
Après deux baises « hard », elle veut de la tendresse.
– Vas doucement comme si tu étais avec ta petite nièce... tu ne dois pas la déchirer... elle est toute fragile... hummm, oui, comme ça. Doucement. Profondément... oh oui Daniel, prends-moi !
Tout en allant et venant doucement en elle, je caresse ses petits seins et l'embrasse amoureusement sur la bouche.
Andrée ondule sous moi. Elle imprime à son bassin des mouvements de plus en plus rapides. Elle halète et pousse des gémissements.
– Daniel, je vais jouir ! C'est trop bon ! Plus fort, oui plus fort ! Défonce-moi la chatte !
Andrée se met à crier. Elle est comme en transe. Après quelques mouvements saccadés de son bas ventre et des râles bestiaux, elle s'effondre pantelante sous moi. Elle me laisse continuer à limer en elle pour mon orgasme et je lui inonde sa petite chatte avant de la couvrir de mon corps. Je roule sur le côté et Andrée se love contre moi, saisissant tendrement ma queue désormais molle. Elle me branle doucement me décalottant doucement puis recouvrant mon gland du prépuce. Elle serre la hampe en allant vers le gland faisant sortir encore quelques gouttes de sperme qu'elle s'empresse de recueillir sur sa langue.
Je jette un coup d'œil sur le réveil : 17h45.
– On a encore deux heures devant nous Andrée.
– Viens ! Viens ! Caresse-moi...
Andrée est insatiable et même si ma queue demande grâce je connais d'autres moyens pour passer du bon temps avec une femme...

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