On Assiège Un Jeune Papa À Deux

Je suis dans un sauna gay où je me rends parfois pour me changer les idées.

Il y a un escalier étroit qui monte vers une petite pièce faiblement éclairée où le sol est recouvert de matelas en skaï et où il fait assez chaud. Je prends l’escalier. À mi-hauteur, alors que j’ai la tête à peu près au niveau du sol de la pièce, je vois le spectacle suivant :

Un type, la petite trentaine, cheveux plutôt courts mais peu soignés, pas de tatouages ni de piercings ni rien, quelques poils filasse sur le torse, est couché à poil sur les matelas. Il a le parfait look hétéro : on dirait un jeune père de famille égaré. À ses côtés est couché un vieux type, gros, nu mais portant des lunettes à monture épaisse. Il est en train de lui mettre trois de ses gros doigts boudinés dans son petit cul, et c’est exactement ça que je vois, à 50cm de mon visage : les cuisses du jeune père de famille écartées avec les trois gros doigts du vieux qui fourragent dans son anus béant.

Le jeune papa pousse des soupirs, de plaisir ou de douleur, on ne peut pas dire. Ça doit quand même être un peu de la douleur parce que le gros y va sans ménagement, et il a quand même des doigts vraiment épais ! Rien à voir avec son petit zizi : une petite boule de chair blanche entre les plis de son gros bide et de ses cuisses.

Ensuite, le gros sort ses doigts du cul du papa et les lui fout tous les trois dans la bouche direct ! Là aussi, sans ménagement, directement bien au fond. Le jeune papa fait des « ggg’ gnggh’ ggh’ » rauques. Le vieux continue, tranquille, impassible : il enfonce ses doigts dans la gorge, puis de nouveau dans le cul le temps de laisser l’autre reprendre son souffle, et de nouveau dans la gorge après quelques minutes.

Quand le vieux retire ses doigts du cul, je vois devant mes yeux l’anus du jeune papa complètement ouvert, une véritable entrée de tunnel ! Puis, quand il lui enfonce les doigts dans la gorge, son corps entier se contracte, et son anus se referme comme le diaphragme d’un appareil photo ! La chair de sa rosette, toute mouillée de salive et rougie par les sollicitations, fait des petits bourrelets adorables ! On dirait une bouche qui se tend pour faire un bizou, et des petites bulles de salive se forment au milieu : je fonds !

Le vieux est en train littéralement de lui violer la bouche avec ses gros doigts.

Le jeune papa fait toujours des « gg’ gg’ gg’ » plutôt inquiétants. Avec ses mains il essaie mollement de repousser le gros bras du vieux, mais en même temps, sa bite est tendue de façon inouïe ! Son gland est gonflé à bloc et sa queue rebique comme un portemanteau. Bien qu’il soit couché sur le dos et qu’il se secoue sous l’effet des spasmes, sa bite est si fermement dressée que son gland ne vient jamais lui atterrir sur le ventre.

En fait de spasmes : on a plutôt l’impression qu’il essaie de donner des coups de bite dans le vide, comme s’il était en train de fucker un être invisible. Puis vient le soulagement quand le gros retire ses doigts de sa bouche et les remet bien au chaud dans son anus. On sent alors le type se détendre. Il respire longuement et son anus se dilate de nouveau. Il n’y a que sa queue qui reste toujours aussi tendue.

Le vieux continue ces allers-retours torturants entre le cul et la bouche avec un rythme tranquille et des gestes souverains. Le jeune papa a l’air totalement exténué. Ce spectacle m’a mis moi-même dans une forte érection, et je finis par m’approcher et m’agenouiller entre les cuisses ouvertes du jeune papa. J’ai enfilé une capote, et ma bite attend son tour devant l’anus où les doigts du vieux fourragent. Il y reste assez longtemps cette fois, et quant enfin il les retire, je glisse ma bite dans ce trou béant.

L’arrivée simultanée de mon gland au fond de son trou et des doigts du vieux dans sa bouche provoquent chez le jeune papa une contraction immédiate, et con cul m’enserre la bite de façon incroyable ! C’est moi qui suis obligé de pousser un grand soupir de volupté ! C’est si bon que je manque de jouir sur le coup. Je lui att la bite, dure comme une poignée de manivelle, et je la tire vers moi pour enfoncer ma bite encore plus profond dans son anus, et alors, dans une nouvelle contraction formidable de son cul, nous jouissons tous les deux, lui d’un jet si puissant qu’il l’éclabousse jusqu’au visage, et moi tout au fond de sa gousse de chair qui n’en peut plus.


Il tourne alors la tête, se libérant enfin des doigts du vieux, et moi je m’affale sur lui, restant longuement comme ça car ma bite met un temps fou à dégonfler. Quand je me retire finalement de son cul, elle est encore très grosse et le réservoir de la capote qui pendouille a l’air de contenir un blanc d’œuf entier.

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