La Soumission De Julie À Un Jeune

Cette histoire est co-écrite avec Julie13.

Moi :

C'est par le biais d'une annonce sur un site de rencontre que j'ai découverts une femme d'un certain âge, une dénommée Julie. Nous avons échangé longuement nos désirs et tendance pour un érotisme ardant. Après quelques jours de discussion sur le net, on décida de passer du virtuel au réel, rendez-vous fut dont pris à la terrasse d'un bar pour nous présenter. C'était une étape nécessaire pour elle. Les malades courants sur la toile présentent un risque certain, surtout pour une femme. Je trouvais de ce fait la démarche normale et cela me prouvait que je n'avais pas à faire à une mythomane. Durant cette rencontre, elle me dit avoir comme fantasme d'être la soumise d'un homme bien plus jeune qu'elle, ça tombe bien je ne compte pas la décevoir.

Quelques jours plus tard, je suis devant sa porte, après avoir sonné elle m'ouvre, je la trouve très belle, très sexy. Elle me prend la main pour me diriger vers son salon. On ne perd pas de temps, on est tous deux là pour du sexe !
Du coup, on se retrouve très vite sur son canapé, on commence à s'embrasser avant que ses mains ne commencent à s'approcher de mon sexe. Je lui dis alors que mon pénis ne sera libéré qu'à la condition qu'elle se déshabille de la façon la plus sensuelle possible. Une fois cela fait elle revient près de moi sur le canapé, elle commence alors à toucher mon sexe à travers mon pantalon où une jolie bosse commence à se dessiner mais je l'arrête une nouvelle fois et lui demande de s'installer face à moi et de se caresser le plus intensément possible. Elle commence alors à caresser son clitoris, les jambes bien écartées. Je lui demande ensuite de s’introduire un doigt, puis deux, tout en effectuant des va-et-vient. Au bout de quelques minutes, je prends sa main afin de porter ses deux doigts à ma bouche avant de lui demander de me retirer mon pantalon et mon boxer...

Elle :

Tu es mon Maître.


Je suis nue et exposée, je ne suis pas à l'aise car toi habillé ! Je fais ce que tu m'ordonnes, j'écarte les cuisses et commence à me masturber. Je voudrais me caresser les seins mais je n'ose pas car tu ne m'en as pas donné la permission. Tu es debout moi à genou, soumise...
Je baisse ton pantalon, mes seins bougent, tu les regardes. J'ai du mal à descendre le boxer tant tu es en érection ! Tu es nu de la taille aux pieds. J'ai devant moi un membre énorme qui palpite ! Je ne sais que faire car je n'ose pas le toucher...

Moi :

Je te vois fixer mon membre et hésiter à le saisir. Je mets fin à ton hésitation en te caressant le visage tout en te disant que tu mérites une petite récompense pour avoir bien fait les choses jusqu'à présent. Je te place alors assise sur le canapé, dos à moi et commence à te masser le dos de la façon la plus ferme possible tout en t'interdisant de te toucher. Je monte, je descends avant de passer à tes épaules. Puis, je m'approche doucement de ta poitrine sans la toucher. Sentant ton souffle s’accélérer petit à petit, je me colle à toi, tu sens alors contre toi mon sexe qui est dur comme du bois. De ma main gauche, je m'occupe de l'un de tes tétons alors que ma main droite descend bien plus bas et s'occupe de ton entre-jambe. Tout en continuant mes gestes, tu m'entends te dire d'un ton ferme dans le creux de l'oreille « embrasses moi ! », tu détournes alors ta tête, nos lèvres sont maintenant collées pour un baiser des plus intense pendant plusieurs minutes. Une fois le baiser terminé, je suis de nouveau debout juste devant toi, et je t'annonce qu'il est maintenant grand temps de t'occuper de mon sexe et que tu me montres comment tu t'occupes des hommes...

Elle :

J'ai envie de lui faire cette fellation qu'il désire. Il ne me touche pas, ne me force pas mais cette présence agitée de soubresauts me force plus que m'invite à agir. Vais-je le décevoir? Je ne pense pas à mon plaisir à ce moment tendu.
Timidement, car ça fait 15 années que je n'ai pas touché un sexe masculin, j'avance une main mais pour saisir ce membre d'une raideur absolue. C'est doux et dur à la fois, mes souvenirs reviennent et ma main gauche ose prendre doucement cette paire douce et sensible ! Il réagit par une parole exprimée dans un souffle. Je n'ai pas compris ce qu'il dit mais je sais que je suis dans la bonne voie. Doucement sans brusquerie je le masturbe.
Il pousse son ventre en avant, j'en oublie ma position incommode, mes genoux ne me font plus mal ! J'ai compris. Avec mes deux mains je lui décalotte le gland, l'observe, le baisse, et rougissante comme une petite qui découvre, j'ose le poser sur mes lèvres !

Il me laisse faire... Me juge-il ? Ou aime t-il ce que je fais ?
J’entrouvre la bouche et lèche le bout sur le méat. Puis tout le gland, la tige, je me lâche, j'ose enfin me libérer de tant d'année sans amour ! Je sais que j'aime cet homme jeune qui a l'âge de ma fille aînée ! Je mets son sexe en bouche et n'ose bouger de peur de le blesser avec mes dents... C'est qu'il est fort ! Ce n'est que maintenant doucement, sans un mot qu'il me pousse la tête pour qu'il puisse s'enfoncer plus loin, j'étouffe, il est allé trop loin et est allé directement dans le fond de ma bouche, il l'a sentit et se retire pour que je puisse me reprendre et de le reprendre avec joie et plaisir. Il me donne de petites impulsions sur la tête sans jamais me prendre par les cheveux.
Ca y est j'ai le bon rythme. Il me prend la tête mais me laisse faire. Il ne me guide plus et je sens et entends qu'il commence à jouir.

Je suis fière de moi, la « vieille peau » encore capable de donner du plaisir à un homme !!! M'en enhardissant d'une main je lui caresse le périnée et le scrotum, douce enveloppe des testicules que parfois je serre doucement. Il est agité de tremblements, sa verge palpite en des mouvements compulsifs. Il va éjaculer (juter... je deviens femelle). Je pourrais le retirer et le finir à la main mais non ! Je lui donne tout de moi.
« Vas-y mon amour. Vas- y ! » Je sens qu'il hésite mais je lui maintiens le pénis dans ma bouche, il ne peut se retirer. J'ai les mâchoires qui me font un peu mal mais « Lâche- toi, jouis en moi ! » me dis-je. Encore deux mouvements et dans un râle, un flot de sperme m'envahit et déborde, j'ai avalé sans y réfléchir ! J'ai tout avalé ce que j'avais dans la bouche, le reste coule sur mon menton puis sur ma poitrine. Il veut se dégager mais je le maintiens pour recueillir les derniers spasmes spermatiques !
C'est fini ! Il débande lentement et se met à genoux un peu honteux. Je lui prends la tête pas la nuque et l'embrasse. Je suis heureuse et fière à la fois! Oui, Je suis FIERE !!!

Moi :

On y est ! Elle a saisit mon pénis avec une main et commence à me masturber tendrement, je lui dis que c'est agréable mais j'ai l'impression qu'elle ne m'entend pas tant elle est concentrer sur mon sexe. Puis, elle commence à me sucer, timidement au début mais je sens petit à petit qu'elle prend de l'assurance. Sa fellation est plus qu'excellente. Après plusieurs minutes de ce divin traitement, je sens que le moment fatidique approche, je ne vais plus pouvoir tenir très longtemps tant elle me fait du bien. Je pense alors me retirer de sa bouche pour finir sur sa poitrine mais à ma grande surprise et pour mon plus grand bonheur, elle refuse, elle s'accroche à mon sexe pour me montrer qu'elle souhaite me goûter, ça tombe bien, je compte bien lui donner tout ce que j'ai.

On accélère tous deux nos mouvements, et je ne peux plus tenir. Résultat j'éjacule et malgré la grande quantité, elle ne se laisse pas démonter et avale tout, je suis impressionné.
Je suis à genoux, totalement vidé, elle s'approche, me saisit par la nuque pour qu'on s'embrasse de nouveau. Je suis fier d'elle et je compte bien le lui montrer.

Je suis maintenant debout devant elle tandis qu'elle est toujours assise, je vois bien qu'elle attend mes directives. Du coup, je reprends la parole pour lui dire ce que j'attends de d'elle.


« Lèches les dernières gouttes, lave ma queue, je ne veux plus rien dessus. Tu es une femelle soumise, ma femelle soumise et je suis ton jeune mâle alors laves mon sexe et tu auras ta récompense. »...

Elle :

Je préfère être encore à genoux mais à genoux assise. Toi tu t'assoies et me regardes durement !
Je ne sais que faire. Je me sens gourde avec ce sperme qui coule sur ma poitrine, je veux me lever pour me laver et toi tu m'intimes l'ordre de venir vers toi à quatre pattes.

Moi :

« Tu veux me nettoyer ? Alors vas-y mais viens vers ton maîtres à quatre pattes ! Et cambres toi pouffiasse ! Fais- moi voir ton cul de vieille, ta chatte molle ! Redonne- moi envie de bander ! »

Elle :

Je me dirige vers la salle de bain quand...

Moi :

« Recules ! Tu veux te nettoyer de ma liqueur ? Viens donc pour ta punition ! »

Elle :

Je me fige sous les insultes. Ne devrais-je pas m'insurger ? Oui ce serait digne de ma part mais... en fait je ne le peux pas, ne le veux pas. Je ne suis plus une femme digne, je suis une femelle obéissante, une vieille qui sent que c'est sa dernière chance d'être appréciée, surtout par un jeune !
Je recule donc les seins balancent et cognent doucement sur mes bras ! J'ondule pour mieux les caresser comme par inadvertance. Je commence à aimer ce jeu, les seins en mouvement comme maintenant je ne connaissais pas.

Moi :

« Retournes toi et marche en rond, et tu me regardes quand tu es en face de moi ou de côté ! Et surtout écarte tes fesses ».

Elle:

Je m'exécute et quand je lui tourne les fesses je sais qu'il me "mate", je suis sans pudeur la vulve entre-ouverte maintenant, je suis une chaudasse en rut ! J'ai envie de jouir, une envie terrible. Je vois son regard égrillard quand je passe de côté je sais ce qu'il voit et doit aimer mes seins qui bougent d'une façon obscène.

Moi :

« Viens ici ! Tu vas me laver mon sexe et mon cul ! »

Elle :

Ce dernier mot m'a fait mal ! Que je lui lèche le sexe... Je venais de faire mieux mais l'anus ? J'ai trop envie de jouir ! Peut-être qu'après je pourrais ?

Moi :

Je vois le désir dans ses yeux, elle meurt d'envie que je la fasse jouir et même si elle ne le sait pas encore, je compte bien la frustrer encore un peu avant de la satisfaire comme rarement un homme ne l'a satisfaite. Je compte bien la prendre et la posséder pendant de longues minutes, très longues minutes jusqu'à ce qu'elle jouisse ! Mais pour l'instant, c'est l'heure de sa punition, du coup, pour la mettre en place, je m'installe sur le canapé de sorte qu'elle ait facilement accès à mon pénis et à mes fesses, je n'attends qu'une chose, que sa langue me lèche bien partout.

« Pendant ta punition, je veux que tu regardes ton maître dans les yeux ! ».

Elle :

Je suis devant lui toujours comme un animal, à quatre pattes. Il se glisse du canapé pour s'offrir. Son sexe est rasé mais pas le reste il me montre ce que je dois faire ! Il me tient par les cheveux et me guide d'une main tandis que de l'autre il me tend une verge redevenue turgescente ! Je recommence ce que je venais de faire mais contrainte maintenant, mon désir de jouissance s'est éteint d'un coup ! Il se tourne sur le côté écarte de sa main une fesse !

Moi :

« Lèche tout ! »

Elle :

Je le fais malgré mon dégoût, je le tiens dans ma main, je sais que ça lui plais de me savoir à ce point soumise, je le tiens maintenant aux testicules, il sait que je le tiens vraiment car il me lâche les cheveux et me laisse seule continuer. Je suis une femelle lubrique qui bien que soumise à faire ce que je ne voulais pas, je détiens le pouvoir de faire souffrir en tenant ses attributs ! C'est moi qui suis la maîtresse, une maîtresse qui veut jouir! Mais comme il ne semble pas vouloir mon plaisir, je le gagne par ma main qui le serre. Il est en extase, il va jouir une nouvelle fois. Je le sens ça y est il va partir mais je lui comprime les testicules comme dans un étau. Il Hurle de douleur. Mais je ne lâche pas !

« Tu ne veux pas que je jouisse ? Tu vois ce que ça vaut ! » (Me suis-je dis en souriant).

Moi :

Je ne m'attendais absolument pas à ce qu'elle me saisisse mes testicules, la douleur laisse place très vite au plaisir. Je vois bien qu'elle n'attend qu'une chose, que je m'occupe d'elle et j'en ai très envie également. Du coup je me relève, et la place à quatre pattes sur le canapé. Dans un premier temps, Je lui enfonce directement trois doigts au plus profond de ton sexe, aussi loin que je le peux. J’accélère le mouvement tel une mitraillette. Je vois tes seins se balancer à toute vitesse d’avant en arrière.

Il est temps de passer à la phase suivante, mon pénis étant de nouveau du comme du bois.
Je me positionne alors derrière elle, place ma queue à l’entrée de ton sexe, je passe mes mains de chaque coté de ton corps pour attr tes seins. Je les cramponne le plus fort possible, et les tire d’un coup sec vers l’arrière, au même moment je lui envoie un coup de rein très violent en m’enfonçant au plus profond de son intimité ! Après quelques minutes dans cette position, je lâche ton sein droit, et place ma main sur ta fesse droite. Je lui titille l’anus avec mon pouce...

Elle :

Il a crié de douleur ! Il se dégage vite. Il me prend par le ventre et me pose sur le canapé à quatre pattes et m'enfonce ses doigts dans le vagin et les agitent comme un fou. Ce n'est pas pour mon plaisir mais pour me punir, il ne s'occupe pas de mon bouton, de mon clitoris ! Il est brutal mes seins balancent dans tous les sens car j'essaie de me libérer de cette atteinte. Puis il se présente raide comme la justice à l'entrée de ma grotte qui n'est pas très humide car trop de frustration et de douleur ! Il m'empoigne les seins et les serre fort. La douleur irradie jusque dans mon ventre, il les tire à lui et s'enfonce en moi violemment presque "à sec" car je ne lubrifie pas beaucoup.

Je crie de douleur de ce passage en force. Il commence son mouvement bestial de va-et-vient j'entends ses testicules me frapper. Il me tord le téton tandis que son pouce s'insinue à l'entrée de l'anus ! Curiosité de l'âme féminine, cette caresse me donne un plaisir inattendu ! Je m'écarte pour lui facilité l'intromission, je suis bien remplie par sa verge et je veux être complètement pleine de lui. Je ne suis plus femme mais femelle en rut, je mouille comme on bave ! Il enfonce son pouce et d'un coup je jouis dans un râle qui dure qui dure ! Je ne sais pas combien de temps cela à duré je me suis effondré tandis qu'il continuait à me pilonner...

Moi :

A ma grande surprise et pour mon plus grand plaisir, elle semble adorer mon pouce dans son anus, ce qui me donne bien entendu une bonne idée. Et alors que j'allais reprendre la parole, je constatais qu'elle est en plein orgasme ! Maintenant j'en suis sûr, elle adore mes actions sur son anus.

« Je te sens très chienne, tu veux ton mâle... Tu vas l’avoir ! Tu es à moi et comme une bonne garce que tu es, je vais te sodomiser. Tu te rends compte ? Un homme bien plus jeune que toi va te sodomiser et tu vas adorer ça ! ».

Mais voulant faire les choses biens afin qu'on prenne tous deux le plus de plaisir possible, je prends bien le temps de la préparer en glissant mon index entre ses lèvres vaginales pour le lubrifier avant de forcer l’entrée de son joli petit cul. Je vis son souffle s'accélérer mais elle ne se débina pas et elle se laissa faire également lorsque j’enfonçais un second doigt en elle. Je fis attention de ne pas la brusquer et j’attendis de la sentir prête pour pousser simultanément mon majeur et mon index entièrement en elle.

« Maintenant, écarte tes vieilles fesses pour faciliter ton maître ! Tu vas adorer recevoir ma jouissance dans ton cul ! »...

Elle :

Je ne veux pas qu'il me sodomise j'essaie de me libérer de son emprise, il vient de m'enfoncer un doigt et le deuxième qui force mon entrée étroite ! Je n'ai jamais été sodomisée ni par un homme ni avec un jouet et puis je sens que j'aurai mal et puis je suis fatiguée ! D'une ruade je me dégage et veux m'enfuir il me ratt !

Moi :

« Ne fait pas ta vierge effarouchée tu n'es qu'une femelle qui aime la bite, le sperme et te faire sauter par des gamins ! Et regarde- moi pouffiasse ! »

Elle :

Je lève les yeux, j'ai perdu de ma superbe.

Moi :

« Je vais te dire ce qui va t'arriver maintenant. Tu vas être ma chose, mon objet de plaisir ma soumise qui n'aura rien à demander encore moins à exiger. Je déciderai de tout pour toi ! Compris ? ».

Elle :

« Oui maître ! » dis-je timidement et vaincue.
Je découvre une facette inconnue de ma personnalité, le besoin de soumission d'autant plus fortement troublant que c'est comme si je me soumets à mon fils !

Moi :

Je la vois maintenant écarter ses fesses à pleine main. J’aurais voulu immortaliser cette image tant c’était à la fois trash et terriblement sexy. Je poussais doucement pour la pénétrer. Je caressais son dos et je ne m’aventurais pas trop loin pour lui permettre de s’habi mais je dus prendre tout mon temps. Son cul était tout serré autour de ma queue, c’était divin. Je pu la sodomiser longuement mais doucement et sans m’enfoncer totalement dans un premier temps.

Elle finit par parvenir à se décontracter et elle commença même à balancer elle-même son fessier d’avant en arrière sur mon sexe. Je trouvais cela très excitant. C’est d'ailleurs incroyable, ce n'est pas la première femme que je sodomise et pourtant je n’ai rarement senti un tel plaisir. J’ai l’impression d’avoir une batte de base-ball en lieu et place de mon sexe ! Je la pénètre encore et encore, je veux que ça dure le plus longtemps possible.

« J'en étais sur ! Je savais que tu aimerais que je m'occupe de ton cul, tu es vraiment une sacré garce ! »

Je me projette en elle de toute mes forces et je fais résonner le claquement de nos peaux dans toute la pièce puis je recule pour de nouveau cogner contre elle aussi violemment que je le peux. Tout à coup, je sentis mes couilles tressaillir, je me plante aussi loin que je peux dans son rectum et je profite du plaisir divin de sentir mon sexe cracher au plus profond d’elle. Je respire fort tandis qu'elle, elle soufflait comme une athlète en plein effort. On est tous les deux épuisés.

Elle :

Il se détend, je le sens ! J'ai le rectum en feu mais c'est ça qui m'a donné du plaisir. Je vais ressentir ce feu pendant au moins deux jours. Il m'a dépucelée de ce côté !
Délicatement il se retire, se couche sur moi et murmure des mots d'excuse que je ne comprends pas ! Je ne dis rien, ne lui réponds pas, j'ai mal aux fesses... Il me caresse ! C'est un autre homme !
Doucement je le repousse pour descendre de ce canapé. Il tente de me retenir en me prenant le bras mais non je m'éloigne. Il reste prostré la tête sur le coussin qui à accueillit la mienne.
Je le regarde sans haine, le devrais-je ? Il me semble en le regardant que je voulais "me faire un jeune". Un plaisir d'e (?) en quelque sorte. Je ne lui en veux pas. Sur le coup lors de la pénétration, j'étais furieuse mais trop ferrée, car il avait la bonne prise mais par la suite... Que de sensations nouvelles !
Je reviens vers lui, m'assois et le prend dans mes bras, sa tête contre mes seins. Il pleure et je lui sèche ses larmes qui redoublent.

« Mon poussin, mon Nounours poilu... ce n'est rien, tu étais en besoin et puis je n'ai pas été gentille en te faisant la . Tu sais j'ai eu du plaisir à te faire mal et à être sodomisée, enculée... tu vois je deviens triviale. Mais au moins tu m'as apprit beaucoup sur moi ! Je suis ta femme, ta soumise, ta femelle maintenant que tu me connais par tous mes orifices ! »

Il me regarde ahuri les yeux encore humides. Il ne dit rien.

« Mon Poussin ! Je ferai tout ce que tu voudras... Tu pourras avec moi réaliser tes fantasmes pour les partager avec toi! »

Il est stupéfait de mon discours, il s'attendait à une scène violente et je suis en train de le caresser comme une Maman console son petit. Je le lâche pour m'étendre sur le canapé, la tête sur l'accoudoir. C'est une invite pour que je puisse enfin avoir un peu de plaisir ! Je l'ai attiré contre moi le tenant fermement.

« Viens mon poussin. Je ne t'en veux pas, c'est la fougue de la jeunesse. Tu vas maintenant me faire du plaisir mais vas doucement j'ai besoin de temps. »

Il me regarde mais je ferme les yeux pour lui laisser le temps de réflexion. Va-il oser ou fuir ? Je l'ai relâché pour lui laisser sa décision libre.
A travers mes cils je vois son tourment mais doucement il me caresse les jambes et remonte tout aussi avec douceur vers mes cuisses ! Il va vite me dis-je, trop vite mais non... Le bougre sait ou devine ce que j'aime. C'est ma poitrine qu'il a martyrisée qui reçoit ses hommages de bisous, caresses, pincement voluptueux, suçons... un vrai bonheur que j'entretiens en lui tenant la tête. Sa main me caresse le flanc.

Il s'enhardit pour me sucer le sein. Je laisse tomber la jambe droite sur le tapis et j'attends. Doucement, en me disant des mots doux, il descend sa main et atteints ma fourche chaude.
Il ne se presse pas. J'aime ! Il me prend la vulve et la presse doucement. Il ne se presse pas et c'est maintenant moi qui veux qu'il aille plus vite !

Moi :

Elle est maintenant couchée devant moi, elle attend que je m'occupe de son plaisir et je ne compte pas la décevoir car je ne compte pas partir !
J’ai très envie de jouer avec ses seins aussi je précipite ma bouche vers l’un d’eux, laissant la pointe rouler entre mes lèvres et mes dents et durcir d’excitation. Pendant ce temps, une de mes mains caresse tendrement l’autre avec détermination.

Après mettre occupé de sa poitrine avec ma bouche, je presse toujours sa vulve mais j'ai tout à coup l'impression qu'elle souhaite plus. Du coup, je me penche entre ses jambes et je dépose des baisers à l’intérieur de ses cuisses, avant de partir à la conquête de son sexe qui ne demande qu’à s’offrir totalement à moi. Mes premiers coups de langue sont timides mais adorant sa saveur, je me fraye vite un chemin à l’intérieur de sa chatte. Je veux lui donner du plaisir, voir son visage s'éclairer de plaisir sous mes caresses.

Elle :

Il se couche sur moi, à genoux sur le tapis. Il est la tête sur ma poitrine sa main sur mon épaule.

« Viens mon bébé ! Viens tu vas avoir ta tété ! Viens ! C'est bien ...tu a faim mon poussin. »

Je lui prends la main pour qu'il la pose sur mon sein droit.

« Oh ! Le gourmand...C'est bien ! Oh le coquin, il aime sa Maman, il l'aime fort et mais c'est qu'il est curieux le petit ! »

En effet il glisse sa main droite sur mon ventre, atteint les quelques poils que je laissais au dessus de la vulve.

« Tu aimes mon minou ! Il est doux ! Mais tu me fais mal galopin à me tirer sur ma petite chatte ! Oui ! Mets des doigts dans ma chatte, elle est chaude. »

Il se redresse et me fixe un peu interdit.

« Tu veux voir ta Maman jouir ? Oui ! Je le savais, tu n'es qu'un vilain garçon. »

Il est à genoux et me fixe et il se lâche en me couvant de baisers qui me font frissonner de bonheur. Je suis femme finissante qui séduit un jeune homme lequel me fait l'amour !

« Oui ta bouche sur ma fente! Lèches la bien pour la nettoyer, lèches moi mon bouton de plaisir ! »

Je lui maintien la tête votre mon sexe ! Il lape ma cyprine. Il enfonce ses doigts dans mon vagin et les fait bouger, j'aime me faire ça mais c'est mieux par un autre. Il me lèche bien et en plus il pose un doigt sur mon anus.

« Petit cochon ! Qu’est-ce que tu fais ? Continue mais doucement. »
 
Je lui maintiens toujours la tête pour le guider et aussi pour le maîtriser ! C'est moi désormais qui domine car je veux ma jouissance, ma seule jouissance.
Il fait son possible avec ardeur... Mais trop fort, trop vite comme s'il veut se faire pardonner.

« Doucement mon grand ! Doucement. Oui caresse moi c'est bien. Oui tu es mon amant qui me fait du bien ! Non, n'enfonce pas ton doigt pas là, j'ai mal... Mes seins ? Oui mon petit ! Tu peux, tes doigts dans mon vagin... Oui c'est bien mon Amour oui !!! »
 
Je jouis brusquement. Ce fantasme d'e me fait m’arquer violemment à tel point qu'il prend peur de ma crispation. Je reste raidie par la jouissance ! Il est toujours à genoux. Je ne sens plus rien que ma jouissance. Je l'entends comme si il était loin, m'appeler croyant que je fais un malaise!!!

Moi :

« Julie, Julie Julie dis moi quelque chose ! Ma JuJu ! S'il te plaît !... »

Elle :
Doucement je reviens à moi. Quelle explosion ! Je n'avais jamais autant eu de plaisir même sous les mais et le corps de mon amie ! J'ouvre les yeux, il est là toujours agenouillé.
Je lui souris et me redresse pour me mettre moi aussi à genoux et le serrer dans mes bras, ma tête contre la mienne tandis que mon vagin continue ses légères crispations de bonheur.

« Tu as eu peur mon Poussin ! C'était fort tu sais et c'est toi qui m'a fait cette joie. »

Je me lève et l'aide à en faire autant. Il est beau comme ça, il est touchant ! Je sens mon cœur fondre et je l'embrasse.

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