Consolations

Depuis qu’il m’a quittée, je suis triste. Je ne peux pas dire que je l’aimais, j’y tenais un peu comme ça, pour nos amours du soir. J’aimais quand il me baisait, qu’il me la mettait devant ou derrière, surtout derrière. J’aimais bien me masturber devant lui et le sucer. Il est parti avec une autre garce. Je me contente comme je peux. J’ai mon gode, tout simple, qui me suffit. Je préfère me caresser la chatte avec mes doigts : il me semble que je jouis toujours mieux qu’avec ce machin en plastique. Il manque quand même le principal : un autre corps contre le mien. J’ai bêtement cherché à draguer dans des boites la nuit, je ne suis tombée que sur des coups rapides, trop rapides pour moi qui aime bien prendre mon temps en baisant.
J’en ai pris mon parti. Je trouverai le jour où je ne chercherai pas. Ce jour est arrivé rapidement. Je ne l’attendais pas si vite.
Je faisais la queue au cinéma pour prendre ma place. A mes coté je reconnaissais une vieille amie, âgée comme moi de 25 ans. Nous allions voir le même film. Dans la salle nous nous sommes assise à coté. Nous bavardons avant le film et même pendant (nos voisins commençaient à râler)
Elle était comme moi, en manque de fiancé. Comme moi elle attendait une autre aventure pour coucher. Nous avons été prendre un café et avons étalé sans trop de pudeurs nos désirs. Sans nous en apercevoir nous allions très loin dans nos descriptions : je commençais à mouiller pas mal. Mon tort a été de le lui dire. Elle aussi était excitée. Le diable me poussant je lui prenais une main pour la caresser : elle me regardais sans rien dire. Sa réponse venait de son autre main qui prenait la mienne. Nous sommes allées chez elle.
Bien sur nous étions gênées? que faire entre nous ? La réponse ne se faisait pas attendre, je l’embrassais. Elle répondait quand ma langue était dans sa bouche. Nous étions bien serrées et notre baiser ne cessait pas. Nous nous tenions par le cou. Je descendais une main vers ses fesses que je tripotais gentiment.

Sans que j’aille plus loin, elle prenait ma main pour m’emmener nous coucher.
Nous n’avions rien fait de particulièrement répréhensible. Maintenant commençait le suite plus sensuelle. Je commençais à la déshabiller, je découvrais ses trésors : ses seins, ses fesses, son pubis, ses cuisses et autres choses encore. Je la laissais me mettre toute nue.
Libres de vêtements nous étions libres de faire ce que nous voulions et nous l’avons fait.
Comme de véritables amants, nous nous sommes embrassées, je lui caressais et suçais les seins : elle m’a tout rendu.
Elle a voulu me caresser la chatte? je l’ai laissé faire : j’en mourrai d’envie. Elle a décapuchonné le clitoris. Rien que de le faire elle m’a emmené vers le sommet de l’érotisme. Quand elle l’a caressé lentement, sans appuyer dessus comme le font certains hommes elle m’a faite jouir. Ce n’était pas un orgasme faramineux, mais un bel orgasme quand même : je crois que j’ai jouis parce que c’était la première fille qui me branlait. Je la laissais faire : elle passait deux doigts entre mes lèvres, s’arrêtant à chaque étape digne de son attention : le vagin où elle me doigtait. Elle me donnait encore un orgasme, plus forts que le premier. Elle ne sortait pas sa main de mon entre jambe? elle allait à la découverte de mon petit trou. C’était pour moi une autre découverte, personne ne m’avais caressé là, seulement mit une bite. Elle ne cherchait pas à y entrer, elle en faisait le tour simplement en me donnant envie qu’elle entre dans mon cul. Elle ne semblait pas pressée que je la caresse, elle ne me demandait tien. Je ne lui fait rien : je suis une pauvre fille dans les mains d’une fille plus maligne que moi.
J’ai compris qu’elle voulais aller très loin quand elle s’est mise la tête aux pieds, sa bouche à hauteur de ma chatte. Elle m’a enjambée en mettant toute sa chatte sur moi. Elle a commencé à me faire écarter les jambes pour passer sa tête. C’et sa langue que est venue la première sur le clitoris.
Ma langue, malgré mon primitif dégoût léchait le même endroit avec moins de virtuosité qu’elle. Quand j’ai jouis j’ai serré sa tête entre les cuisses. Alors qu’elle écartait ses fesses que je prenais avec mes mains pour aller à la recherche de son joyaux: son cul, sur lequel je passais un doigt. Elle poussait son anus vers mon doigt : j’y entrais.
Nous avons continué longtemps nos 69. Si au début je me méfiais de son jus, je le trouvais parfaitement, à mon goût. Il faut dire qu’entre chaque 69, nous nous embrassions pour échanger les fluides de nos sexes. Je prenais un goût prononcé pour notre baise. Il ne me manquait qu’une bite pour l’avoir dans le cul.
Je le lui disais, elle me proposait de me mettre son gode, comme remplaçant. Pourquoi pas se faire sodomiser par une autre fille ? Je me mettais en levrette, j’ouvrais mes fesses à deux mains quand je sentais quelque chose venir sur mon anus. Elle l’enlevait pour me prendre de la cyprine et m’en mettre sur le cul, et enfin elle commençait à m’enculer. Elle faisait exactement comme une vrai bite. Elle l’entrait lentement de plus en plus profond jusqu’à me la mettre jusqu’au fond. Avant qu’elle y arrive je jouissais : j’aime la sodomie. Elle laissait en place le gode, sans le bouger, je me demandais ce qu’elle faisait. Je n’avais pas regarder l’engin en détail, il avait deux bouts terminés par un gland. Elle se mettait derrière moi, en levrette pour le mettre elle aussi dans son anus. Elle me le disait quand elle aller s’enculer. Je ne pensais jamais jouir autant, elle faisait aller et venir ce double gode dans nos intestins. Je sentais monter mon plaisir. Elle allait de plus en plus vite à tel point qu’elle se mettait à hurler au moment de notre jouissance.
Elle enlevait le gode de mon cul. Se mettait sur le dos pour me demander de le plier assez pour le lui mettre dans sa chatte: j’arrivais à faire ce qu’elle voulait: je lui faisait ainsi une double pénétration. Elle hurlait encore en jouissant.

Je lui demandais de me prendre comme je venais de le lui faire: je n’avais jamais eu de double pénétration. Elle se faisait un plaisir de me le mettre d’abord dans le cul et ensuite dans le con. Elle devait avoir l’habitude de le faire seule : je jouissais comme une folle plusieurs fois à la suite au point de presque perdre connaissance.
C’était ma première et dernière fille. Je ne le regrette absolument pas : je conseillerai à toutes les femmes de faire l’amour une fois avec une autre avant de rejeter la chose : c’est à connaitre !

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