Consolation

Elle arrive en pleur, mon amie Nicole. Nous nous connaissons depuis l'enfance, même quartier, même école. Nous nous suivons partout. Elle est choquée: son mari la trompe avec une fille bien plus jeune, sans doute même mineure. Nous sommes assises sur le canapé. Elle pose sa tête sur mon épaule. J'essaie de la consoler comment faire quand on ne connaît pas soit même une telle situation, un mari aimant et une vie heureuse. Je la laisse pleurer sur moi. Au bon d'un moment je dois prendre une décision: ou la secouer, ou la câliner ? Je la câline tout simplement: je lui caresse les cheveux, le visage. Elle continue à remuer son chagrin. Je l'embrasse sur les joues. Sans le faire exprès, mes lèvres dévient un peu sur sa bouche. Elle tourne la tête: nos lèvres sont ensembles. Je ne sais pourquoi, ni comment ma langue va dans sa bouche. Je ne sais pas non plus pourquoi elle m'accepte. Pourquoi nous restons ainsi enlacée alors que non n'avons jamais eu de tel rapport. Pour nous le sexe était une chose normale: quand nous étions jeunes nous en parlions souvent, surtout de nos petits copains et enfin de nos amoureux plus intimes, même de notre dépucelage.
Là nous sommes dans une situation inédite. Je suis surprise de l'effet que me fait ce baiser. Je suis excitée. Je me demande comment elle est, elle. Nos lèvres se séparent enfin. Nous nous regardons avec des yeux presque amoureux. Elle ne pleure plus, elle me sourit. Je le lui rends. Nos lèvres à nouveaux viennent se souder. Nos langues se caressent sans fin. Nous nous étreignons plus fort. Elle pose sa main sur mon genou. Elle monte vers mon sexe. Je la laisse faire, fermant le yeux, déjà consentante pour la suite. Je pose une main sur un de ses seins que je caresse. Sa main arrive sur ma culotte toute mouillée. Elle cherche à me caresser: elle arrive sur mon clitoris Elle me branle: mon plaisir est décuplé. C'est la première main féminine qui me branle. C'est drôlement agréable, excitant.

Je jouis rapidement.
A mon tour je lui passe ma main entre ses cuisses en montant vers son paradis. J'arrive à lui trouver le bouton. Je la branle comme je le fais pour moi, avec deux doigts. Elle se crispe juste au moment de son orgasme.
Nous nous regardons à nouveau tendrement, comme des amantes. Nos désirs et envies sont plus forts que ce que la morale approuve: je lui enlève son t-shirt, dégrafe son soutien gorge. Quand je le lui enlève, mes lèvres vont sur les tétons. Je les embrasse, les suce, recommence encore. Elle caresse ma tête, comme une approbation. Elle aussi enlève mon chemisier, le soutien gorge et me caresse avec une grande tendresse. Être torse nu ne nous suffit plus: nous nous déshabillons complètement. Cette fois nous pouvons caresser tout le corps de l'autre. Nous restons debout, poitrine contre seins, mes mains sur ses hanches, les siennes autour de mes fesses. Nos baisers deviennent de plus en plus profonds. Nous sommes excitées au maximum. Nous sommes face à face, les mains sur le sexe de l'autre. Je la doigte, elle cherche toujours mon clitoris. Je passe une autre main entre ses fesses, elle les écarte pour permettre à mon doigt d'aller sur son anus. Je le caresse à peine: elle murmure que si je continue elle vas jouir. Je n'arrête pas: je tiens à lui donner du plaisir. Elle se crispe en jouissant encore: elle ne peut me dire su c'est son vagin et mon doigt en liu ou son cul qui l'ont faites jouir. En tout cas je profite de son doigt là où elle me l'a mis. Elle le fait aller et venir, comme elle je jouis.
Je l'entraîne dans la chambre où nous serons bien mieux pour nous faire l'amour. Nos vêtements restent à coté du canapé. Dans la chambre nous nous embrassons follement, comme deus jeunes mariés près à baiser. Nous tombons sur le lit. Je n'en revient toujours pas de mettre laissée aller jusque là. Nous recommençons nos baisers, nos caresses. Elle veut que je la suce. Pourquoi pas après tout, j'aime quand mon mari le fait.
Je me tourne vers son bas ventre. Je pose ma bouche sur son sexe: l'odeur y est agréable. Je sort ma langue en la posant n'importe où: le goût me plait. Je commence par son anus, où je rentre un peu ma langue, exactement comme me le fait mon époux. Ça lui plait bien.Je fait aller et venir ma langue, elle ne veux pas que je cesse, "continues, c'est bon". Je ne veux pas la faire jouir de suite. Je cherche à lécher ses lèvres avant de mettre mon bout de langue dans son vagin. Je sais que là je trouverai l'endroit auquel aucune femmes ne peut résister moi la première. Je n'ai pas à chercher l'endroit plus rugueux que le reste. J'y passe ma langue en appuyant à peine. Là, elle met ses jambes sur mes épaules dans un geste d'offrande totale de son corps. Elle gémit sans arrêt, je sens les spasmes de son orgasme autour de ma langue. Je ne la sors que quand elle fini de jouir. C'est enfin pour moi l'occasion de prendre son clitoris entre mes lèvres.
Je me relève après cette dernière jouissance. J'ai besoin moi aussi de sa langue sur moi. Je suis sur le dos, les cuisses légèrement écartées; Sa langue prend possession de mon entre jambes. Elle progresse lentement vers mon sexe humide. Je sens sa langue directement sur mon bouton. Elle me lèche sans arrêt le clitoris. Je sens deux doigts venir sur mon anus. Elle ne veut que le caresser au début pour ensuite les renter un après l'autre avant de les faire aller et venir en moi. Je ne peux résister à ce qu'elle me donne: je jouis encore.
J'entends du bruit à l'entrée de l'appartement: mon mari rentre. S'il voit nos vêtements en tas dans le salon, il va comprendre que pour une fois je suis avec une autre femme. S'il monte il va nous voir. Finalement qu'elle importance, nous baiserons à trois, je sais qu'il y pense souvent, même si dans son esprit je devrait être avec lui et un autre homme.
Sans trop tarder, il nous voit enlacées. Mon amie a peur de se faire jeter: je la rassure: il ne va pas la manger, enfin presque.
Je lui sourit et lui demande de partager le lit. Il se déshabille en nous regardant. Mon ami, étonnée de ne pas le voir en colère, l'examine de plus près. Il bande plutôt bien. Je l'invite a se mettre entre nous deux. Je l'embrasse la première: il me met une main sur le sexe. Mon amie lui demande de l'embrasser aussi: il l'embrasse aussi fortement que moi. Son autre main se pose sur son sexe: il nous branle en même temps. Je suis heureuse qu'il soit là. Je prends la main de mon amie pour qu'elle vienne lui caresser la queue. Il la laisse faire. Je me penche vers sa bite pour la sucer. C'est la main de mon amie qui la tient pendant que je suce le gland. Elle le masturbe lentement. J'entends les soupirs de satisfaction de mon homme. Il jouit dans ma bouche. Je partage le sperme avec mon amie qui à son tour en donne à mon mari. Finalement nous nous faisons un drôle de baiser, nos trois langues hors de la bouche qui se caressent, aec le goût de sperme.
Mon mari de débande pas. Je lui demande de baisser mon amie. Au début elle ne veut surtout pas qu'il la baise devant moi par un reste de pudeur sas doute. J'insiste tellement qu'elle se donne entièrement. Je suis derrière eux: je vois la queue de mon homme entrer dans le con. Je ne sais qu'elle mouche me pique. Je vois les fesses masculines à ma portée. Je me penche juste un peu, je lèche le cul de mon mari qui du coup s'arrête de baiser en étant à fond dans le vagin. Ses mouvements suivent le rythme de ma langue dans son cul. Je ne pensais jamais qu'il aimerai ce que je lui donne comme nouveau plaisir. J'en fait plus, j'arrive à passer ma main entre les deux: je caresse et la bite et le con.
Je sens qu'il jouit quand son cul se contracte. Je n'ai pas sorti ma langue. Il reste dans le ventre de l'autre femme. J'autorise un simple déplacement de sa bite vers le bas: il peut encore enculer sa nouvelle maîtresse. Je continue mon léchage, j'ai en plus de la place pour accéder au clitoris libre. Je le branle. Il me semble que je suis celle qui dirige cette baise, sauf que je ne ressens rien dans mon bas ventre.
J'attends: je sais qu'il sera temps tout à l'heure de jouir encore. Quand elle jouit je pense qu'il va sortir en débandant. Heureusement pour moi, il bande toujours. Enfin je vais pourvoir me faire mettre. Je n'ai pas envie de me faire sodomiser maintenant, je la veux dans le con. Quand il va me la mettre mon amie lui prend ma pine la dirige vers moi. Elle garde deux doigts autour de la queue pendant tout le temps qu'il est dans mon ventre. Elle veux que j'ai encore plus de plaisir: elle met un seul doigt dans mon cul.
Elle commente ce qu'elle fait et ce qu'elle voit. Elle meurt d'envie d'être sucée. Je lui propose de venir sur ma tête. Elle vient le dos tourné vers mon mari qui en profite pour la peloter. Je n'a pas à chercher à quel en croit je dois mettre ma langue: elle se place d'elle-même là où elle veut.
Nous finissons de baiser, lassés tous les trois. Nous nous endormons. Quand je me réveille je vois mon amie sur la pine de mon homme: elle se fait mettre dans le con. Elle m'excite que je me branle en commentant maintenant ce que je vois.
Elle s'est remise de son chagrin, d'abord parce qu'elle a bien jouit et baisé avec moi et mon mari, et ensuite parce qu'elle sait que je pourrais toujours la consoler, sinon mon mari

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