Initiation De René

Mon mari est mort il y a six mois. J’ai eu du chagrin un moment. Il aurait du me manquer sexuellement parlant, en vérité il me baisait quand il en avait envie, sans se soucier jamais de mon plaisir. Pourtant avant lui les autres arrivaient en règle générale à le donner des orgasmes, pas toujours puissant, mais je jouissait au moins. Depuis qu’il est parti je reste seule, je me contente avec quelques masturbations, manière de ne pas rester sur ma faim. Mes fantasmes se résument à des pensées érotiques. J’ai même eu celui de baiser avec une autre fille.
J’ai un jardin et ma maisons est grande, je ne peut pas trop me payer un employé pour tout faire, par contre le fils des voisins, René, un garçon de 19 ans, est venu me demander s’il pouvait, moyennant une somme dérisoire venir pour me donner un coup de main, il entre en fac cette année et trois sous pour lui sont déjà une fortune. Il commence par désherber le jardin: il fait chaud et se met torse nu. J’ai beau avoir 10 ans de plus que lui, il ne m’est pas indifférent. Il est musclé, beau garçon, jeune, bien sur et avec un sexe pas mal : je l’ai vu quand il urinait dehors sur le tronc d’un arbre quand il se croyait seul.
Maintenant je pense à lui en me masturbant plus que d’habitude. Je le vois me mettre sa queue dans mon sexe qui mouille largement et je jouis bien avant lui pour qu’il me change d’endroit pour venir me sodomiser. J’en suis à un point où rien qu’en le voyant je commence à mouiller. Quand il fini les travaux jardiniers, il s’attaque la maison, il y a du rangement à faire au grenier. Comme il est à l’intérieur, je peut lui faire du rentre dedans.
Je m’arrange pour que la porte de ma chambre soit ouverte quand je suis en petite tenue, qu’il monte au grenier. Je sais qu’il m’a vue plusieurs fois sans rien dire ou faire. Je vais taper un grand coup pour qu’il réagisse enfin. Quand j’entends René monter je suis déjà nue depuis un moment, couchée, les jambes ouvertes : je me masturbe.

Il ne peut ne pas me voir, ou alors il n’aime pas les femmes. Je ferme les yeux, la masturbation fait son effet. Quand il est sur le palier, je sais que je vais jouir. Son pas s’arrête devant la porte, il doit me regarder. J’entrouvre les yeux : il est bien là à me regarder faire. Je vois sa main aller sur sa queue qu’il masse à travers son pantalon. Il n’ose pas entrer, je vois son visage se crisper un peu, il doit jouir et il part.
J’attend une bonne heure avant de monter voir ce qu’il fait : il range sans arrêt. Quand il me regarde, il sourit un peu en rougissant. Je l’aide pour avoir quelques mots à échanger. Je lui demande s’il a une petite ami, s’il aimerai avoir la possibilité de lui faire l’amour. Que j’aimerai avoir son âge pour coucher avec un garçon comme lui. Je le taquine un peu en l’excitant au passage. Je sais qu’il bande à nouveau. Je m’arrange pour le toucher, l’air de rien en rangeant. Je fait plus que le toucher, j’appuie carrément sur sa bite. Je me relève l’air désolé, alors que je n’ai qu’une seule envie: qu’il se jette sur moi pur me prendre. J’ai un besoin urgent de sa bite dans mon sexe. Je n’y tiens plus, je lui prend le paquet dans le main. Maintenant au moins René sait ce que je veux. Je sors sa queue : une belle queue quand il bande. J’en ai rarement vue d’aussi grosses et longues. Tans pis, j’aurais préféré un format plus petit. Je le branle lentement, son visage rougissant devient normal. Je ne lâche pas et à mon étonnement il jouit rapidement. Je dirige son jet de sperme sur une vielle malle. Cette fois il pâlit, il sait qu’il n’aurait pas du jouir si vite.
Tant pis, il est jeune, il ne tardera pas à bander encore. J’enlève mon corsage sous lequel je suis nue. Je prends ses mains pour qu’il me pelote. Maladroitement il me caresse. Je ne peux pas lui dire que ce qu’il fait n’est pas excitant. Je ne vais pas le décourager. Je dois être sa première vrai femme. Je prends ses mains pour les diriger sur mes seins. C’est beaucoup mieux ainsi.
Je défait sa ceinture et fait tomber d’un seul coup son pantalon et son slip. Il ne s’en formalise pas. Je reprend encore sa bite qui ne bande pas beaucoup. Cette fois je me baisse devant lui pour lui prendre la queue dans ma bouche, cette fois je suis certaine que je suis la première à le sucer. Je vais lui apprendre quelques trucs : je passe une main vers son cul où je rentre deux phalanges, je lui caresses les couilles. J’ai ma langue qui lèche son gland, avant que je le prenne presque à moitié dans ma bouche, je ne peux réellement pas en entrer plus. Je fait des vas et viens. Tout en le suçant je peux me dégager de ma jupe qui est le seul vêtement que je porte encore.
Je me relève avant qu’il jouisse. Je veux qu’il me baise avant de jouir encore. Je l’emmène dans ma chambre. Je me couche sur le lit entrainant sur moi. Nos lèvres enfin se réunissent pour un baiser où c’est lui qui met sa langue dans ma bouche. René vient sur moi dans l’intention de me baiser. Je veux lui apprendre certains principes tels que faire jouir sa compagne avant lui. Je lui fait mettre sa langue sur mon sexe. Il ne sait comment faire: je le lui explique surtout avec des mouvements explicites de mon bas ventre. Il comprend vite qu’il doit me sucer le clitoris, chose qu’il semble découvrir. Je lui fais mettre sa langue directement dans le trou de ma chatte où là aussi il découvre qu’il faut aller et venir et tourner la langue à l’intérieur. J’hésite à le faire venir sur mon anus. Et puis, après tout, j’ai envie de jouir, il est là, j’en profite. Il s’applique à entrer toute sa langue dans mon cul. Il doit penser que je suis vicieuse et pourtant c’est normal de jouir par le cul.
Quand j’ai jouis trois fois, je lui permets de venir sur moi.
Je le dirige vers mon entrée secrète, pas tellement pour lui qui y mit la langue. Il voudrai entrer brusquement : je la fais entrer doucement sans à coup. Il obéit sagement et je peux enfin avoir une bite dans mon con. Je le dirige pour faire durer mon plaisir, après tout je me moque un peu du sien.

Je sens bien sa queue en moi. Je sens encore mieux ses mouvements que j’accompagne. Quand il arrive au fond de mon sexe, je le fait arrêter pour profiter se sa présence. Je le laisse me faire jouir trois fois avant de me retourner en levrette. Il vient à la recherche de mon vagin. Ce n’est plus là que je le veux: II faut que je lui explique que les femmes ont aussi un cul et qu’elles aiment se faire mettre par là aussi. Je mouille mon anus avec ma cyprine, il y rajoute de sa salive avant de venir sur moi. Là encore je lui demande d’aller très doucement, un cul n’est pas ouvert et humide comme un con. Il entre très lentement, même trop lentement à mon goût. Il me la met au fond sans que je le lui demande: il m’a fait jouir plusieurs fois. Soudain il accélère son rythme pour lâcher son sperme. Je sens sa pine qui grossir à chaque giclée.
J’aurai aimer avoir un peu de sa liqueur dans ma bouche. Je le ferais tout à l’heure.
Il est tard, il faut qu’il rentre chez lui, il me quitte en m’embrassant sur la bouche. Il revient cet après midi.
J’ai des doutes, pourtant je me trompe. Il arrive gai comme un pinson. Il m’embrasse encore. Je ne m’étais pas rhabiller, il me met sa main directement sur mon sexe, avec un doigt sur le clitoris. Il commence à me branler, le petit saligaud. Je le laisse faire. Il m’a donné encore envie de jouir, je m’abandonne à ses caresses d’autant que connaissant les lieux il m’emmène dans la chambre. Il veux me baiser encore une fois. Je refuse, je le veux dans ma bouche. Je décalotte son gland avec mes lèvres, je le lèche encore sans le prendre dans la bouche, je commence par ses couilles velues, en mettant toujours un doigt dans son cul. Quand j’arrive en haut, je redescends : je le fait languir. Enfin mes lèvres entourent son membre. Je fais aller et venir très lentement ma bouche sur sa bite. Je sens qu’elle enfle de plus en plus. J’accélère pour qu’il jouisse vite. Je reçois toi ou quatre jets magnifiques de spermes dans le bouche.
Je reste suspendue à sa queue un bon moment pour ne rien perdre de sa semence. Je me relève et devant lui lentement j’avale son liquide qui ne l’est pas tant que ça. Je lui trouve un goût eu peu amer. C’est bon quand même depuis le temps que je n’en avait pas eu.
Il n’est pas en bonne forme pour me baiser. Je lui montre comment je me branle, je commence par écarter les lèvres pour faire ressortir le clitoris de sa protection. Je mouille trois doigts de la main droite avec de la salive et les passe sans arrêt sur le haut du clitoris. Je jouis une première fois. Je fais suivre immédiatement après trois doigts, jamais moins, dans le vagin, je me baise carrément. Enfin je me sodomise un peu, juste le temps d’une jouissance avec toujours ces mêmes trois doigts. Je le regarde depuis que j’ai commencé, sa bite bande petit à petit.
Elle est assez grosse maintenant : il vient sur moi pour une dernière baise. Il a bien compris les leçons de ce matin. Il me fait encore jouir avant lui pour enfin décharger sa dose.
Il a refusé de recevoir sa paye de la dernière journée.
Je l’ai revu aux vacances de Noël, il est venu pour baiser, bien sur et surtout pour me remercier de mon initiation qui font de lui un baiseur recherché à la fac. Les filles qui l’ont essayé ne veulent plus le lâcher.

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